Voir quelqu’un que l’on connait souffrir d’une maladie ou d’un trouble sans pouvoir l’aider est assez difficile. Bien que vous ne puissiez pas faire grand-chose pour le (la) guérir, vous avez toujours la possibilité de faire certaines choses pour lui montrer que vous tenez à lui (elle). En outre, vous pourriez lui dire des mots pour l’encourager pendant cette période difficile qu’il (elle) traverse.

Partie 1
Partie 1 sur 4:
Utiliser les mots pour montrer de l’intérêt à son ami malade

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    Parlez avec lui. Apprenez à bien écouter et dites-lui que vous êtes à sa disposition, au cas où il voudrait parler de son état ou de toute autre chose. Dans tous les cas, le fait de pouvoir parler à quelqu’un est un grand soulagement pour un malade.
    • Soyez honnête avec lui, si vous ne savez pas quoi dire. La maladie met souvent les gens mal à l’aise et il n’y a rien de mal à cela. L’essentiel est d’être là pour lui et de lui offrir votre soutien. Rappelez-lui que vous êtes là pour lui, quoi qu’il arrive.
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    Envoyez-lui une carte postale ou appelez-le. Envisagez de le faire si vous ne pouvez pas être physiquement avec lui. Il est généralement plus facile d’envoyer un SMS ou d’écrire un message sur Facebook, mais écrire une lettre ou passer un coup de fil est quelque chose de plus personnel et plus attentionné pour le destinataire.
    • Pensez à lui écrire une lettre avec votre cœur. Cela est particulièrement utile, si l’on ne sait pas quoi dire à quelqu’un qui se trouve dans une situation délicate. Vous pouvez donc lui écrire une lettre et, si vous avez le sentiment que ce que vous y mentionnez ne reflète pas bien ce que vous voudriez exprimer, avoir le temps de le corriger et de le réécrire. Concentrez-vous sur vos souhaits, vos prières de guérison et vos bonnes nouvelles qui n’ont rien à voir avec sa situation.
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    Posez-lui des questions. Bien qu’il soit important de respecter son intimité, s’il (elle) est disposé (e) pour répondre à des questions, vous aurez la possibilité d’en apprendre plus sur son état et de savoir comment vous pourriez lui apporter votre soutien [1] .
    • Bien que vous puissiez faire des recherches sur Internet pour en savoir plus sur sa maladie, sachez que le fait de lui poser des questions est le seul moyen pour savoir comment la maladie affecte sa vie, et plus important encore, comment il se sent.
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    Parlez à ses enfants. S’il (elle) a des enfants, ils se sentiront probablement isolés, seuls et confus. Selon la gravité de la maladie de leur père (ou de leur mère), ils peuvent aussi avoir peur, être en colère ou inquiets. Ils peuvent aussi avoir envie de parler à quelqu’un. S’ils vous connaissent et vous font confiance, ils peuvent vous considérer comme un mentor et un ami pendant cette période difficile.
    • Emmenez-les prendre une glace et laissez-les vous parler. Toutefois, ne les obligez pas à en dire plus qu’ils ne veulent le faire. Certains enfants n’ont besoin que du soutien des adultes dans ces circonstances, alors que d’autres souhaitent faire part de toutes leurs émotions. Soyez disponible et restez en contact tous les deux ou trois jours, en fonction du niveau d’intimité que vous avez avec eux.
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Partie 2
Partie 2 sur 4:
Témoigner son intérêt à son ami malade par des actions

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    Allez le (la) voir. Si c’est un ami intime ou une personne qui vous est cher qui est hospitalisé ou qui ne peut pas quitter sa maison, le meilleur moyen de l’encourager est d’être avec lui. De cette manière, vous pourriez le distraire afin qu’il oublie sa condition et maintenir un semblant de normalité pendant cette dure épreuve.
    • Pensez à ce que vous pourriez faire pendant votre visite. Si la personne aime jouer aux cartes ou à des jeux de société, envisagez d’en apporter. Si vous avez des enfants, demandez-leur de dessiner quelque chose qui peut l’égayer, même s’ils ne peuvent pas vous suivre pour venir le voir.
    • Envisagez d’appeler d’abord pour savoir si c’est le bon moment pour aller le (la) voir ou planifiez votre visite. Parfois, certaines précautions doivent être prises avant qu’on accepte le malade d’avoir des visites afin qu’elles ne coïncident pas avec l’heure de la prise des médicaments, de la sieste, du coucher et d’autres imprévus.
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    Traitez la personne comme vous en aviez l’habitude. Généralement, ceux qui souffrent d’une maladie chronique ou qui sont en phase terminale de leur maladie vivent entourés de choses et de situations qui leur rappellent constamment qu’ils sont malades. Ce dont la personne que vous visitez a besoin dans ces circonstances, c’est de lui donner le sentiment que rien n’a changé et qu’il (elle) est toujours la même personne que vous aimez et dont vous vous souciez. Traitez-la donc comme si elle ne souffrait de rien [2] .
    • Maintenez un contact régulier avec lui (elle). L’on peut considérer une maladie chronique comme un véritable test d’amitié. Pour que votre relation résiste aux difficultés émotionnelles et pour l’aider dans la gestion de certaines tâches, vous devez faire de votre mieux pour rester en contact avec lui (elle) et en faire une priorité. Une personne qui suit un traitement, qui est hospitalisée ou confinée dans son lit à la maison est souvent « oubliée ». Alors, si nécessaire, écrivez une note sur votre calendrier pour ne pas oublier de lui rendre visite ou appelez-le régulièrement.
    • Aidez-le à faire des choses qu’il aime. Si votre ami (e) souffre d’une maladie chronique ou est en phase terminale, il est nécessaire qu’il trouve encore du plaisir et de la joie de vivre. Dans cette perspective, vous pouvez l’aider en proposant de l’emmener faire ses activités préférées [3] .
    • N’ayez aucune peur de faire des blagues et de planifier des choses à faire dans l’avenir ! Il (ou elle) est toujours la même personne que vous connaissez et aimez.
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    Soutenez-le ainsi que sa famille. S’il a une famille ou même des animaux de compagnie, sa maladie risque de lui causer encore plus de stress, car dans ces conditions, il va non seulement s’inquiéter de son pronostic ou de sa guérison, mais également des personnes qui dépendent de lui. Sachez qu’il y a des moyens efficaces pour aider sa famille pendant cette période.
    • Vous pourriez cuisiner pour eux. C’est le moyen classique et éprouvé de soutenir quelqu’un qui est malade. Que celui-ci puisse le manger ou non, sachez qu’en préparant un repas fait maison pour sa famille, vous pourrez atténuer son stress et il saura qu’il y a quelqu’un qui prend en charge ses enfants, son conjoint (e) ou d’autres personnes qui dépendent de lui.
    • Aidez-le dans la gestion de certaines tâches. Si votre ami (e) a de petits enfants, des parents âgés ou toute autre personne qui dépend de lui, demandez-lui dans quelle mesure vous pourriez l’aider pendant cette période. Par exemple, il peut avoir besoin de quelqu’un pour rendre visite et s’occuper de son père âgé, qui pourra emmener son chien en promenade ou emmener (et récupérer) les enfants à l’école ou à leur séance d’entrainement de football. Parfois, les personnes malades ont de la difficulté à gérer de petites tâches, mais la présence d’un ami de confiance qui s’en occupe peut faire la différence.
    • Aidez-le à nettoyer sa maison. Étant donné que certaines personnes ne sont pas à l’aise avec ce type de soutien, vous ferez mieux de demander à votre ami la permission avant de commencer à le faire. S’il n’y trouve aucun inconvénient, demandez-lui de vous autoriser à aller chez lui une fois par semaine (soit plus ou moins fréquemment, selon vos capacités) pour effectuer des tâches ménagères. Vous pouvez lui proposer des tâches pour lesquelles vous êtes particulièrement doué (comme tondre le gazon, nettoyer la cuisine, laver le linge, faire les courses) ou lui laisser simplement le soin de vous dire ce qui sera le plus utile pour lui (elle).
    • Demandez-lui ce dont il (elle) a besoin et agissez en conséquence. On entend les gens dire souvent : « fais-moi savoir si tu as besoin de moi pour quelque chose », mais beaucoup d’entre eux sont trop timides pour demander l’aide qui leur a été proposée. Au lieu de lui demander de vous faire signe quand il aura besoin de quelque chose, demandez-lui directement ce dont il a besoin. Dites-lui que vous allez au supermarché et que vous voulez savoir si vous pouvez lui apporter quelque chose ou si vous pouvez venir chez lui un soir dans la semaine pour lui nettoyer la maison. Soyez précis et sincère au sujet de votre désir de l’aider. Bien entendu, assurez-vous de faire ce qu’il vous demande !
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    Envoyez-lui des fleurs ou un panier de fruits. Si vous ne pouvez pas être physiquement présent, envoyez-lui au moins quelque chose de symbolique qui peut témoigner de l’affection que vous avez pour lui afin qu’il sache que vous pensez à lui.
    • Retenez qu’il est possible que sa maladie le rende plus sensible aux parfums intenses. Par exemple, certains patients atteints de cancer qui subissent une chimiothérapie pourraient ne pas aimer les bouquets de fleurs). Ensuite, essayez de connaitre d’autres choses qui pourraient être plus appropriées. Cela pourrait être son chocolat préféré, des ballons ou un ours en peluche.
    • Certains hôpitaux offrent un service de livraison des cadeaux si on les achète dans leur boutique. S’il est hospitalisé, envisagez d’acheter un bouquet de fleurs ou des ballons directement là. Vous pouvez trouver le numéro de téléphone du magasin sur le site Web de l’hôpital ou appeler la réception de l’hôpital pour demander de vous mettre en contact avec leur boutique.
    • Pensez à acheter un beau cadeau ou un bel arrangement floral avec des amis que vous avez en communs ou des collègues.
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    Soyez vous-même. Vous avez votre propre personnalité et vous n’avez pas besoin de prétendre être quelqu’un d’autre, de prétendre être capable de tout réparer ou même d’avoir la réponse à tout. Autrement dit, soyez juste vous-même.
    • Ne prétendez pas avoir les réponses à toutes les questions. Parfois, même si vous les connaissez, il est préférable de laisser le patient comprendre certaines choses par lui-même. Se comporter naturellement peut impliquer votre sens de l’humour. En effet, être en compagnie d’un malade peut vous donner l’impression de marcher sur des œufs, mais si vous êtes nerveux ou si vous vous comportez comme si vous ne saviez pas quoi dire, il se peut que vous mettiez votre ami mal à l’aise. Alors, essayez de rire et de plaisanter, comme toujours (si c’est ce que vous avez l’habitude de faire).
    • Soyez d’une compagnie agréable. Puisque votre intention est de lui apporter votre soutien et d’être aussi réconfortant que possible, vous devez essayer de lui remonter le moral. Dans cette perspective, évitez de le chagriner avec des commérages ou de lui parler de choses négatives. Même le fait de porter des vêtements de couleurs vives peut égayer sa journée !
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    Faites en sorte qu’il se sente utile. Parfois, le fait de demander conseil ou une petite faveur à une personne atteinte d’une maladie chronique ou en phase terminale lui permet de se sentir utile, ce qui peut la motiver à rester engagée pour lutter contre la maladie.
    • Pour beaucoup de patients, le cerveau est plus actif que jamais et le fait de penser à la vie et aux problèmes des autres peut les aider à se laisser distraire pendant un moment.
    • Pensez à un domaine où vous savez que votre ami est doué et posez-lui des questions sur ce sujet. Par exemple, s’il est un jardinier passionné et que vous envisagez d’aménager des parterres de fleurs pour le printemps, demandez-lui comment vous pourriez vous y prendre pour commencer et quel type de paillis vous devriez utiliser.
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Partie 3
Partie 3 sur 4:
Savoir quoi ne pas faire ou dire

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    Faites attention aux erreurs courantes. Il y a beaucoup de clichés que les gens utilisent quand d’autres traversent des moments difficiles et, dans la plupart des cas, ces derniers se sentent blesser ou leurs réactions ne sont pas sincères. Voici quelques exemples de ce qu’il ne faut pas dire.
    • « Dieu ne nous éprouve pas au-delà de nos forces » ou une autre phrase encore pire « C’est la volonté de Dieu ». Parfois, les croyants prononcent cette phrase de bonne foi parce qu’ils en sont réellement convaincus, mais ce sont des mots qui peuvent paraitre très blessants pour le patient, surtout s’il se trouve dans une situation très difficile ou accablante. De plus, il se peut qu’il ne croie pas en Dieu.
    • « Je sais ce que tu ressens ». Dans certains cas, les gens disent ces mots à des personnes en difficulté et, même s’il est vrai que tout le monde a connu des difficultés dans sa vie, il est impossible de savoir ce que l’autre ressent. Cette phrase est encore pire si elle est accompagnée de souvenirs personnels qui ne sont pas comparables à l’intensité de l’expérience vécue par le patient. Par exemple, si un ami s’est vu amputé d’une jambe, ne comparez pas cette situation à ce que vous aviez vécu lorsque vous vous êtes cassé le bras, car ce n’est pas la même chose. Toutefois, si vous aviez réellement vécu l’expérience que vit votre ami (e), vous pouvez dire : « J’ai vécu quelque chose comme ça. »
    • « Tout ira bien ». C’est une expression courante de ceux qui ne savent pas quoi dire et c’est plus un souhait qu’un fait. Vous ne pouvez pas savoir si quelqu’un ira bien et, dans le cas d’une maladie chronique ou du stade terminal d’une maladie, le patient n’ira pas bien, il pourrait mourir ou être condamné à une vie de souffrance. Dire ces mots signifie minimiser ce qu’il endure.
    • Au moins, ne cherchez pas à réduire sa souffrance en suggérant qu’il devrait être reconnaissant du fait que ce qu’il endure n’est pas grave.
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    Ne vous plaignez pas de vos propres problèmes de santé. Autrement dit, évitez de parler des « petits » problèmes de santé, comme les maux de tête ou le rhume, que vous avez.
    • Cette recommandation peut varier en fonction du type de relation que vous entretenez avec la personne et de la durée de sa maladie. S’il (ou elle) souffre d’une maladie chronique ou s’il s’agit d’un ami très intime, vous aurez plus de chances de parler des choses que vous vivez.
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    Ne laissez pas la peur de faire des erreurs vous amener à ne rien faire. Bien qu’il soit important d’être sensible à ce que ressent quelqu’un qui est malade, nous avons parfois tendance à rester complètement inactifs pour compenser notre peur de faire ou de dire accidentellement quelque chose de déplacé. Il est préférable de faire l’erreur et de s’excuser plutôt que d’ignorer complètement un ami malade.
    • Si vous commettez une erreur et si vous dites quelque chose de déplacé, essayez de vous rattraper en disant simplement : « Je ne sais pas pourquoi j’ai dit cela. Je ne sais même plus quoi dire. Toute cette situation est très difficile. » Votre ami vous comprendra.
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    Soyez prévenant. Essayez de prêter attention aux indices que votre ami vous envoie pour savoir si vos visites sont inopportunes. Ainsi, vous pourrez ne pas lui rendre visite trop souvent ou ne pas trop durer lorsque vous allez le voir. En fait, il peut être très difficile pour une personne gravement malade de tenir une conversation et pour ne pas vous offenser, elle peut se fatiguer excessivement pour vous faire plaisir.
    • Si votre ami semble distrait par la télévision, par son téléphone ou s'il a du mal à rester éveillé, cela pourrait indiquer que votre visite est inopportune. N’en faites pas une affaire personnelle ! Souvenez-vous juste qu’elle fait face à beaucoup de choses, physiquement et émotionnellement et que cela peut être éprouvant.
    • Faites attention à l’heure et veillez à ne pas rester jusqu’à l’heure du repas ou à d’autres moments où il aura besoin d’être seul. Si vous envisagez de lui rendre visite à l’heure du déjeuner ou du diner, demandez-lui s’il (ou elle) aimerait que vous lui apportiez ou lui prépariez quelque chose à manger.
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Partie 4
Partie 4 sur 4:
Comprendre ce que c’est qu’une maladie chronique

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    Soyez conscient de ses limites. Renseignez-vous sur son état et le traitement qu’il suit pour vous préparer aux éventuels effets secondaires, aux changements de personnalité ou aux limites de son énergie et de son endurance.
    • Demandez-lui s’il ou elle aimerait vous faire part de son état (s’il est disposé à le faire) ou faites une recherche sur Internet pour en savoir plus sur sa maladie.
    • Faites attention à son langage corporel. Faites-le pour savoir ce qu’il ressent et la façon dont la maladie affecte sa capacité à participer à des activités, à rester alerte et à rester stable émotionnellement. Soyez gentil et compatissant s’il ne se comporte plus comme avant et souvenez-vous qu’il porte beaucoup de lourds fardeaux.
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    Retenez qu’il pourrait développer des changements d’humeur. Faire face à une maladie débilitante, chronique ou en phase terminale entraine souvent une dépression et d’autres problèmes. De plus, les médicaments administrés en vue de la traiter ont souvent des effets secondaires qui peuvent affecter l’humeur [4] .
    • S’il (elle) fait face à des pensées liées à la dépression, rappelez-lui que sa maladie n’est pas de sa faute et que vous serez là pour le (la) soutenir, quoi qu’il advienne [5] .
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    Faites preuve d’empathie. Autrement dit, essayez de vous mettre à sa place. Il se peut qu’un jour vous souffriez d’une pathologie similaire et dans ce cas, vous voudriez certainement être entouré de personnes sympathiques et gentilles. Souvenez-vous la règle d’or : « faites aux autres ce que vous voudriez qu’on vous fasse ».
    • Si vous étiez dans une situation similaire, quels types d’activités quotidiennes ne pourriez-vous pas faire ? Comment vous sentiriez-vous émotionnellement ? Quel type de soutien aimeriez-vous recevoir de vos amis ?
    • En vous imaginant à la place de votre ami (e), vous saurez mieux comment l’aider.
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Conseils

  • Si votre ami souffre d’une maladie contagieuse dangereuse, il est nécessaire que vous preniez certaines précautions pour éviter la propagation des germes. Dans cette perspective, vous pourriez par exemple, porter un masque chirurgical et rester à une certaine distance de lui. Vous pouvez aussi l’appeler au téléphone ou passer un appel vidéo pour rester en contact sans courir le risque d’être contaminé.
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Catégories: Amitié
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