Saint-Leu-la-Forêt
Saint-Leu-la-Forêt est une commune française du Val-d'Oise située en vallée de Montmorency à côté de Taverny et de Saint-Prix, à environ 20 km au nord de Paris.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Leu.
Saint-Leu-la-Forêt | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Argenteuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Val Parisis | ||||
Maire Mandat |
Sandra Billet 2020-2026 |
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Code postal | 95320 | ||||
Code commune | 95563 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Loupiens | ||||
Population municipale |
16 130 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 3 067 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 01′ 02″ nord, 2° 14′ 47″ est | ||||
Altitude | 84 m Min. 57 m Max. 191 m |
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Superficie | 5,26 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Domont | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.saint-leu-la-foret.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Loupiens, Saint-Loupiennes.
Géographie
Localisation
Saint-Leu-la-Forêt s'étend sur 526 hectares dont 146 hectares de forêt.
Son altitude est de 65 m dans la plaine, de 84 m au niveau de la mairie, de 170 m au niveau de la Châtaigneraie et de 190 m au lieu-dit les Sapins brûlés en forêt de Montmorency.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe de Taverny, Chauvry, Saint-Prix, Ermont et Le Plessis-Bouchard.
Carte de la commune. Occupation des sols
Transports ferroviaires
La commune est desservie par la gare de Saint-Leu-la-Forêt, sur la ligne H du Transilien reliant Paris-Nord à Valmondois et Persan - Beaumont.
Réseau routier
L'autoroute A115 en direction de la N184 (Francilienne) bifurque de l'autoroute A15 au niveau de Franconville et dessert Saint-Leu-la-Forêt par la sortie no 3.
La ville est traversée par quatre routes départementales :
- suivant un axe nord-ouest/sud-est par l'ex-RN328 (actuelle RD 928)) partant d'Eaubonne pour rejoindre Hérouville ;
- suivant un axe est/ouest par la RD144 en provenance de Montmorency qui prend fin à Saint-Leu-la-Forêt ;
- suivant un axe nord/sud par la RD139 en provenance de Franconville qui prend fin à Saint-Leu-la-Forêt ;
- suivant un axe nord-ouest/sud-est par la RD502 partant de Taverny pour rejoindre Ermont, parallèlement à l'autoroute A115.
Urbanisme
Typologie
Saint-Leu-la-Forêt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6],[7].
Toponymie
Sanctus Lupus en 1122[8], Sanctus Lupus de Taberniaco en 1201[9], Sanctus Lupus ad Taberniacum[9], Saint-Leu Taverny[9], Saint-Leu lès Taverny en 1370[8].
À la suite de la Révolution française et jusqu'en 1915, la commune change cinq fois d'appellation : Claire-Fontaine, nom révolutionnaire précisé parfois cy-devant Saint Leu en 1794 ; Saint-Leu-Taverny par la fusion avec Taverny à compter du ; Napoléon-Saint-Leu en 1852 ; une seconde fois Saint-Leu-Taverny en 1870 ; puis finalement Saint-Leu-la-Forêt en , Taverny ayant été érigé en commune indépendante[10],[Note 3].
Le nom de Saint-Leu-la-Forêt provient de l'existence d'une église au XIIe siècle dédiée à saint Loup[11] (ou Leu), archevêque de Sens en 609. Ses habitants sont les Saint-Loupiens.
Histoire
La ville comporte de nombreuses sentes, qui étaient destinées autrefois à la circulation des habitants entre les jardins (se référer au passé vinicole, fermier et maraîcher de la commune) ou aux lépreux.
La cité n'a d'abord été qu'une clairière de bûcheron et l'on ne sait rien de son histoire au Moyen Âge, période à laquelle il existait une maladrerie au lieu-dit La Chaumette.
Le village est une seigneurie des Montmorency à partir du XIVe siècle, puis des Condé jusqu'à la Révolution française. En 1470, la population n'est que de 50 habitants.
Au XVIIe siècle, il y avait deux châteaux à Saint-Leu : en 1645 est édifié le château du Haut à l'emplacement du château seigneurial des Montmorency, puis en 1693 est construit le château du Bas sur le fief d'Ort.
Les deux furent acquis en 1804 par Louis Bonaparte, frère de Napoléon Ier, qui fit démolir le plus ancien, le château du Haut, et s'installa avec son épouse la reine Hortense dans le domaine du Bas. Il est enterré avec deux de ses fils Napoléon-Charles et Napoléon-Louis dans l'église de la ville. On peut apercevoir leurs tombeaux dans l'abside, derrière le chœur.
Lors du raid de dirigeables contre Paris et sa banlieue le 21 mars 1915 un Zeppelin survole Saint-Leu-Taverny, sans lancer de bombes[12].
Jusqu'en 1951, année de leur transfert à Ajaccio, les restes de Charles Marie Bonaparte, père de Louis, étaient également abrités dans la crypte qui ne conserve plus que le sarcophage du père de la dynastie Bonaparte.
Le second château fut rasé après la mort mystérieuse du dernier des Condé, en 1830.
L'arrivée du chemin de fer en 1876 modifia la vie du village et accéléra son intégration progressive à l'agglomération parisienne.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [13], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Val-d'Oise depuis 2010.
De 1801 à 1831, la commune fait partie du canton de Montmorency avant d'intégrer cette année-là le canton de Taverny. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient le chef-lieu du canton de Saint-Leu-la-Forêt[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton de Domont.
Saint-Leu-la-Forêt fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[14],[15].
Intercommunalité
La commune a rejoint le la communauté d'agglomération Val-et-Forêt.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne »[16].
Cette fusion intervient le et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération Val Parisis.
Tendances politiques
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVD menée par la maire sortante Sandra Billet — qui avait succédé en 2017 à Sébastien Meurant, démissioinnaire après son élection comme sénateur — remporte la majorité des suffrages exprimés avec 1 955 voix (46,73 %, 25 conseillers municipaux élus), devançant les listes menées respectivement par[17] :
- Delphine Armandin (DVC, 1 584 voix, 37,86 %, 6 conseillers municipaux élus) ;
- Franck Bernard (LREM, 645 voix, 15,42 %, 2 conseillers municipaux élus)
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où l'abstention s'est élevée à 61,48 % des électeurs inscrits.
Liste des maires
Distinctions et labels
En 2005, la commune a reçu le label « Ville Internet @ »[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 4]
En 2019, la commune comptait 16 130 habitants[Note 5], en augmentation de 6,95 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
À Saint-Leu-La-Forêt se trouvent[Quand ?] quatre établissements consacrés aux moins de trois ans et leurs parents :
- la crèche familiale Les Loupinous ;
- la halte-garderie parentale Les Loupandises;
- le Centre de PMI (Protection maternelle infantile) ;
- le Centre de planification familiale Les Lignières.
On y trouve aussi[Quand ?] cinq écoles maternelles et primaires :
- école maternelle Cadet Rousselle;
- école maternelle Le Village ;
- école maternelle et primaire Marie Curie, (anciennement École Verdun jusqu'aux années 1990) ;
- école maternelle et primaire Jacques Prévert ;
- école primaire Foch ;
- école primaire Marcel Pagnol (anciennement École Leclerc jusque dans les années 1990) ;
- école maternelle et primaire privées Le Rosaire ;
ainsi que deux collèges :
- collège Wanda Landowska ;
- collège privé Le Rosaire.
Deux associations de parents d'élèves sont présentes sur la commune : la FCPE et l'AIPESL.
Sports
La ville de Saint-Leu abrite le club du FC St-Leu 95 qui évolue actuellement en Régional 1 (6e Division). Le club joue ses matchs à domicile au stade municipal des Andresys situé boulevard André Brémont.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On peut noter :
- L'église Saint-Leu-Saint-Gilles, située rue du Général-Leclerc en plein centre-ville : elle fut édifiée en 1851 sur ordre du prince-président Louis-Napoléon, futur Napoléon III, et consacrée en sa présence. L'église abrite dans sa crypte les tombeaux de quatre membres de la famille Bonaparte[29],[b 1] dont le père de Napoléon III, Louis Bonaparte (1778-1846), frère de Napoléon Ier et roi de Hollande, et deux de ses fils, Napoléon-Charles Bonaparte (1802-1807) et Napoléon-Louis Bonaparte (1804-1831) qui fut brièvement roi de Hollande en . Le tombeau de Charles Bonaparte, père de Napoléon Ier et grand-père de Napoléon III est vide. Sa dépouille a été transférée à la chapelle impériale à Ajaccio en 1951. L'église remplaça une construction antérieure du XVIIe siècle, qui avait été consacrée le . Cette dernière avait remplacé à son tour l'église primitive du XIIe siècle, située sur les hauteurs en forêt de Montmorency et démolie en 1686.
- La façade principale sud-ouest avec le portail marque le début de l'avenue de la gare et est la seule façade pourvue d'une ornementation : les autres murs donnent sur des ruelles ou sur des propriétés privées. L'architecte Joseph-Eugène Lacroix s'est inspiré d'églises italiennes de plan basilical, et plus particulièrement de la basilique Saint-Apollinaire-le-Neuf de Ravenne. Un grand portail avec un archivolte plein cintre et un tympan garni d'une mosaïque donne accès à la nef. Des portails plus petits flanquent ce portail principal des deux côtés et s'ouvrent sur les collatéraux. La partie supérieure de la façade de la nef avec son pignon est ornée de cinq arcades plein cintre, dont les trois au centre comportent des fenêtres.
- Le clocher-tour bien distinct de son bâtiment principal est placé devant la façade latérale nord-est. Son second étage est doté de deux baies abat-son gémelées par face, surmontées d'un gable avec une horloge. Autour du larmier entre le premier et le second étage, les murs sont décorés de moulures dans le style de la Renaissance italienne.
- La Maison consulaire, 2, rue Émile-Bonnet : ce bâtiment de style classique date du début du XVIIIe siècle et tient son nom d'un séjour très probable de Napoléon Ier alors qu'il était Premier Consul.
- Pendant la Première Guerre mondiale, la maison est utilisée comme hôpital militaire annexe et soigne en cinq ans plus de deux mille poilus. C'est aujourd'hui une propriété municipale, hébergeant des services de la mairie[b 2].
- Croix du prince de Condé, 78, rue du Château : érigée en 1844 par le sculpteur Faugenet d'après les plans de l'architecte Leveil, elle rend hommage à Louis VI Henri de Bourbon-Condé, trouvé pendu le à l'espagnolette d'une fenêtre de son château de Saint-Leu. Il n'avait pas supporté l'exécution de son fils unique Louis-Antoine de Bourbon-Condé sur ordre de Bonaparte, dans les fossés du château de Vincennes. Bien que l'enquête policière conclut au suicide par pendaison, des rumeurs accusent la seconde épouse du prince, Sophie Dawes, baronne de Feuchères. C'est pour cette raison qu'elle vend le domaine du château, qui est morcelé et transformé en lotissements.
- La croix marque exactement l'emplacement de la chambre dans laquelle le prince fut retrouvé pendu[b 3].
- Faucheur se désaltérant, dit aussi fontaine du moissonneur, place de la Forge : cette statue en fonte modelée par Sylvain Kinsburger fut érigée en 1892[30] et remplaça une précédente fontaine datant du XIVe siècle. La statue du Faucheur symbolise le travail agricole, celui de la plupart des habitants du village d'alors[b 4].
- Lavoir de l'Eauriette, rue Kléber : ce lavoir est construit en 1873 à la suite de l'aménagement du réservoir de l'Eauriette, qui permet d'alimenter six bornes-fontaines, deux autres lavoirs et la fontaine de La Pissotte.
- Le petit bassin rectangulaire est protégé par un édicule en charpente qui repose sur quatre poutres aux angles. Seul le fond est fermé par un mur[b 5].
- La fontaine de Boissy, rue de Boissy : elle a été édifiée à la fin du XIXe siècle et fut initialement entourée d'un édicule à fenêtres ogivales néogothiques. Ce dernier fut démoli au cours des années 1990 et remplacé par un simple mur en meulière.
- L'eau fortement sulfatée de la fontaine était réputée posséder des vertus thérapeutiques contre les maladies des reins ; la fontaine est aujourd'hui tarie[b 3].
- Le château de La Chaumette, rue de la Forge et rue du Général-de-Gaulle : dans cet ancien hameau du nom de Calmeta, s'élève ce château néoclassique de 1869, remplaçant un édifice identique de 1806 détruit par un incendie.
- Le nom vient d'une léproserie attestée en ce lieu dès 1237, devenu hôtel-Dieu au XVIe siècle.
- La grille d'entrée en fer forgé porte les initiales « AB » pour Anselme-Henri Bocquet, qui fit reconstruire le château en 1869. Il reste une demeure familiale jusqu'en 1947, puis est vendu aux Sœurs Maristes de Saint-Prix, qui y installent leur école[b 5].
- La gare de Saint-Leu-la-Forêt : le bâtiment-voyageurs de 1923 est l'œuvre de l'architecte Gustave Umbdenstock. L'architecture d'inspiration néo-normande avec un décor de colombages et briques est aujourd'hui disparue sous l'enduit. Restent comme éléments distinctifs, le haut pignon de la façade sur la ville surmontée d'un petit beffroi et de son horloge[b 4].
- Les sculptures d'Aristide Patsoglou : des œuvres de cet artiste local ornent l'entrée de la bibliothèque et le local de la police municipale.
- Église Saint-Leu-Saint-Gilles.
- Maison consulaire.
- Croix du prince de Condé.
- Sylvain Kinsburger, Faucheur se désaltérant, dit fontaine du moissonneur (1892).
- Grille du château de La Chaumette.
- L'ancienne bibliothèque municipale Albert Cohen.
Saint-Leu-la-Forêt dans les arts
- Patrick Modiano (prix Nobel de littérature), situe l'enfance du héros et une partie de l'action de son roman Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier à Saint-Leu-la-Forêt.
Personnalités liées à la commune
- Louis-Napoléon Bonaparte et la reine Hortense.
- Nicolas Beaujon, financier français.
- Louis-Philippe d'Orléans (1749-1793), duc d'Orléans (connu sous le nom de « Philippe Égalité »).
- Madame de Genlis (1746-1830), marquise de Sillery, femme de lettres.
- Joseph Fouché (1759-1820), ministre de la police au service de Napoléon Ier.
- Georges Cadoudal (1771-1804), chouan.
- Louis VI Henri de Bourbon-Condé, prince de Condé (1756-1830), père du duc d'Enghien, que Napoléon Bonaparte devait faire enlever et fusiller en 1804.
- Wanda Landowska (1879-1959), claveciniste et pianiste polonaise, s'y installe de 1923 à 1940[31] et, en 1925, y fonde une école de musique qu'elle inaugure avec Alfred Cortot.
- Pierre-Laurent Baeschlin (1886-1958), artiste peintre ayant vécu à Saint-Leu-la-Forêt.
- Louis-Ferdinand Céline (1894-1961), romancier, essayiste, médecin. Propriétaire non résidant d'une maison entre 1935 et 1951.
- Eyvind Johnson (1900-1976), écrivain suédois, prix Nobel de littérature en 1974.
- Louis Velle (né en 1926), acteur français, marié à Frédérique Hébrard.
- Olivier Larronde (1927-1965), écrivain et poète français.
- Sylvie Oussenko (née en 1945), mezzo-soprano et autrice.
- Gérard Buhr (1928-1988), acteur et écrivain, habita avenue du parc.
Héraldique
Saint-Leu-la-Forêt
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Notes, source et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La base Ehess-Cassini donne 1880 pour la suppression de la référence à Napoléon ; il semble que la date de 1870, année de la fin du second Empire, soit plus vraisemblable.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Sources
- Claude Adame et M. et Mme Ducœur, Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Saint-Leu-la-Forêt, (voir dans la bibliographie)
- p. 763-766.
- p. 763.
- p. 762.
- p. 768.
- p. 767.
Références
- « Communes limitrophes de Saint-Leu-la-Forêt » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes de Saint-Leu-la-Forêt » sur Géoportail..
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 1556
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Page Histoire du site officiel
- Le Petit Parisien du 22 mars 1915 : Quelques blessés, des maisons endommagées page 2
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
- Romain Dameron, « Val-d'Oise. Municipales 2020 : Sandra Billet l'emporte à Saint-Leu-la-Forêt : La maire (Dvd) de Saint-Leu-la-Forêt est élue pour la première fois en tant que tête de liste », La Gazette du Val d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les maires depuis 1789 », un peu d'histoire, sur saint-leu-la-foret.fr (consulté le ).
- « Le duel Jean Le Gac/Eric Dubertrand », Le Parisien - Municipales 2008, (lire en ligne).
- Laurence Allezy, « Saint-Leu-la-Forêt déchaîne les passions », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- A B, « Ces sénateurs du Val-d’Oise vont devoir lâcher leur mairie », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « À 46 ans, il accède enfin à un mandat national après avoir longtemps fait planer le doute sur une candidature dissidente lors des dernières législatives. (…) Élu à Saint-Leu depuis 2001, dans l’opposition d’abord puis en tant que maire depuis 2008, Sébastien Meurant va devoir lâcher son mandat local avant le 24 octobre ».
- « Sébastien Meurant veut rempiler à Saint-Leu », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Alexandre Boucher, « Sandra Billet, nouvelle maire de Saint-Leu-la-Forêt : Élu sénateur en septembre, Sébastien Meurant (LR) a passé le relais ce mercredi soir à sa deuxième adjointe », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « La première femme élue maire de la ville compte bien « poursuivre l’action municipale entreprise depuis 2014 ». Une ascension politique fulgurante pour cette chef d’entreprise (Ndlr : elle dirige une agence de voyages) jamais encartée dont c’est le premier mandat ».
- Alexandre Boucher, « Saint-Leu-la-Forêt : la fulgurante ascension de Sandra Billet : Trois ans seulement après ses débuts en politique, la quadragénaire a remplacé le nouveau sénateur Sébastien Meurant à la tête de la ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Alexandre Boucher, « À Saint-Leu-la-Forêt, la maire Sandra Billet obtient la légitimité qu’elle « cherchait » : Élue pour la première fois en son nom, elle s’est libérée de la tutelle de l’ancien maire (LR) Sébastien Meurant, à qui elle avait succédé en 2017. Ses détracteurs la taxaient d’ailleurs d’appliquer sa politique », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- Palmarès 2005 des Villes Internet sur le site officiel de l'association (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Mathieu Lours, « Saint-Leu-la-Forêt - Saint-Leu-Saint-Gilles », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 235-238 (ISBN 9782953155402).
- « Faucheur se désaltérant – Saint-Leu-la-Forêt », notice sur e-monumen.net.
- A. B., « A l’honneur : Saint-Leu rend hommage à sa célèbre musicienne », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Voir aussi
Bibliographie
- M. et Mme Ducœur et Claude Adam, « Le Patrimoine des communes du Val-d’Oise : Saint-Leu-la-Forêt », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 771-783 (ISBN 2-84234-056-6)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Les archives de la gestion des travaux à l’église Napoléon-Saint-Leu (auj. Saint-Leu Saint-Gilles) de Saint-Leu-la-Forêt sous le Second Empire sont conservées aux Archives nationales (France).
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