Acheux-en-Amiénois

Acheux-en-Amiénois est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Acheux et Amiénois.

Acheux-en-Amiénois

L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Annie Lemaire
2020-2026
Code postal 80560
Code commune 80003
Démographie
Gentilé Achéens
Population
municipale
581 hab. (2019 )
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 04′ 27″ nord, 2° 32′ 01″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 152 m
Superficie 7,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Acheux-en-Amiénois
Géolocalisation sur la carte : France
Acheux-en-Amiénois
Géolocalisation sur la carte : Somme
Acheux-en-Amiénois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Acheux-en-Amiénois
Liens
Site web paysducoquelicot.com/acheux.htm

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Acheux-en-Amiénois est située au nord d'Amiens et entre Doullens et Albert, aux confins de la Picardie et de l'Artois.

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol et le sous-sol de la commune sont de formation tertiaire. Le sous-sol est calcaire et affleure sur les pentes. La craie à silex domine partout. Sur le plateau, la craie est recouverte par le limon des plateaux. Dans les vallées, le sol est meuble et profond[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'un plateau : celui de l'Amiénois qui oscille entre 148 m et 92 m d'altitude. La végétation n'offre rien de particulier par rapport aux autres communes des alentours[1]. Un espace boisé occupe le nord-est de la commune.

    La commune présente un paysage d'Openfield ou champs ouverts.

    Hydrographie

    Il n'y a sur le territoire de la commune ni rivière, ni source. Autrefois, un cours d'eau s'écoulait au sud-ouest de la commune, au lieu-dit le Moulin à Wade (moulin à waide). Il actionnait des moulins[1].

    La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à environ cinquante mètres de profondeur[1].

    Climat

    Le climat d'Acheux est tempéré océanique avec vents dominants de sud-ouest.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (7,1 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[2].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[3].

    Aménagement du territoire

    La commune présente un habitat groupé avec, autrefois quelques hameaux : la Sucrerie, la Pare, la Barrière qui sont maintenant jointifs du village du fait de la construction de lotissements.

    Voies de communication et transports

    Acheux-en-Amiénois est un carrefour routier secondaire où se croisent la route départementale 938 reliant Albert à Doullens et la route départementale 114 reliant Courcelles-au-Bois à Hérissart.

    La localité est desservie par les autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[4].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Acheux-en-Amiénois
    Louvencourt Bus-lès-Artois
    Léalvillers Forceville
    Varennes

    Urbanisme

    Typologie

    Acheux-en-Amiénois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Toponymie

    La première mention d'Acheux apparaît dans le texte de la fondation de l'abbaye de Corbie en 662 sous la forme Taciacum. On rencontre ensuite Aceium dans un diplôme de l'évêque Thierry d'Amiens (1147-1160), Aiciu, en 1184, dans un diplôme de Thibault d'Heilly, évêque d'Amiens, puis Aceu et Aceus en 1186, Acheu en 1220, dans le cartulaire noir de Corbie, et enfin Acheux, sur la carte de Cassini de 1757[10].

    Acheux qui viendrait du celte achad, terre cultivée[1].

    Histoire

    L'histoire de la commune est connue grâce aux travaux d'Adolphe de Cardevaque au XIXe siècle, repris par l'instituteur O. Moutardier[1] :

    Moyen Age

    Epoque moderne

    • 1557, Jacques d'Humières, seigneur d'Acheux, fonda la Ligue.
    • 1593, Acheux fut dévastée par les Espagnols. Le roi Henri IV accorda aux habitants une exonération de taille pour trois ans.
    • 1685, Louis de Crevant, seigneur d'Acheux, maréchal de France, devint grand-maître de l'artillerie du roi Louis XIV.
    • À partir de 1702 et jusqu'à la Révolution française, les paysans d'Acheux furent en procès contre leurs seigneurs.
    • En 1709, Acheux possédait une école.
    • En 1784, la paroisse d'Acheux comptait environ 500 habitants.
    • Le , les habitants d'Acheux firent un don pour la défense du pays[11]. Huit enfants d'Acheux s'enrôlèrent pour défendre la Patrie en danger.

    Epoque contemporaine

    Horaires des Chemins de fer départementaux de la Somme de mai 1914.

    Première Guerre mondiale

    La commune d'Acheux-en-Amiénois étant située à l'arrière du front, elle ne connut pas de destruction massive, ni d'occupation par l'ennemi.

    Le château en 1914.

    Seconde Guerre mondiale

    Dans un bois situé à la sortie du village, sur la route Doullens - Albert, sur la gauche en direction d'Albert, ont été retrouvés, le , les corps de sept jeunes gens de Bonneville fusillés par les Allemands au moment de la Libération[14].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune est détachée le de l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme pour intégrer son arrondissement de Péronne[15]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle était depuis 1801 le chef-lieu du canton d'Acheux-en-Amienois[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton d'Albert.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, créée fin 2001 sous le nom de Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1813 1837 Marie Pierre François Witasse   Ancien militaire. Propriétaire
    1837 1844 Hippolyte Tripet   Officier de santé
    Les données manquantes sont à compléter.
    1852 1870 Léon Gustave de Witasse   Propriétaire
    Conseiller général d'Acheux-en-Amienois (1852 → 1867)
    1870 1871 Étienne Dumont   Fabricant de tuiles-pannes
    1871 1881 Léon Gustave de Witasse    
    1881 1884 Jean-Baptiste Bernault   Notaire
    1884 1901 Léon Gustave de Witasse    
    1901 1929 Raoul de Witasse   Propriétaire, Agriculteur. Fils de Léon de Witasse
    Conseiller d'arrondissement d'Acheux-en-Amienois (1886 → 1904)
    1929 1940 Fernand Brunel   Ancien ingénieur des ponts et chaussées.
    1940 1944 Carlos Lemaire   Cultivateur et négociant
    1944 1953 Omer Walmetz   Mécanicien
    1953 1979 Raymond de Wazières[18] Rad.-UDF Agriculteur
    Sénateur de la Somme (1959 → 1977)
    Conseiller général d'Acheux-en-Aménois (1949 → 1979)
    Président de syndicats d'électricité
    Président de l'Union dépt. des coop. de stockage des céréales
    1979 2001 Jean-Pierre Herbet[19]   Agriculteur. Entrepreneur en mécanique générale
    2001 décembre 2017[20] Jean-Paul Devauchelle DVD Cadre
    Vice-président du Pays du coquelicot
    Démissionnaire
    décembre 2017[21] En cours
    (au 16 juillet 2020)
    Annie Lemaire[22]   Vice-présidente de la CA du Pays du Coquelicot (2020 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[23]

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés Achéens[24].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2019, la commune comptait 581 habitants[Note 3], en diminution de 6,74 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    743617732938900906911928870
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    803770759718655677627660637
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    607606551591576548515518490
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    494498464425424514533535608
    2017 2019 - - - - - - -
    593581-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie d'Amiens, en zone B.

    Les élèves relevant du primaire sont accueillis dans une école élémentaire et maternelle, de 6 classes à la rentrée 2014/15 scolarisant 163 élèves. Cette école est gérée par un regroupement pédagogique intercommunal regroupant également les villages de Forceville, Hédauville, Harponville, Varennes, Léalvillers, Arquèves, Marieux[28]. Ils disposent d'une restauration scolaire.

    Un collège public se trouve dans la commune. À la rentrée 2014/15, le collège Edmée Jarlaud scolarisait 343 élèves[28].

    Équipements de santé

    La commune se dote en 2018 d'une maison médicale comprenant un médecin et des professionnels de santé[29].

    Manifestations culturelles et festuvités

    Le marché du terroir, de l’artisanat et des traditions rurales, dont la 19e édition a eu lieu en octobre 2019, est prganisé par le comité des fêtes[30].

    Économie

    Le village d'Acheux-en-Amiénois occupe une position de carrefour à l'intersection de la route Albert - Doullens et de la route Toutencourt - Bertrancourt. Les activités économiques tournent autour de l'agriculture, de l'artisanat, du commerce et des services de proximité[réf. nécessaire].

    La présence d'établissements d'enseignement (maternelle, primaire et collège) permet à la commune de polariser son territoire sur le plan scolaire.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte[31]
      L'édifice date de 1760, comme l'attestent les quatre chiffres en fer forgé fixés sur sa face antérieure, au-dessus de la rosace, à la jonction de la nef et du clocher. Elle comprend une cloche du XVIIIe siècle[32]
    L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte doit son nom à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, deux martyrs chrétiens du IVe siècle.
    • Château[33],[34]
      Ses origines remonteraient au XIe siècle. Il était composé de sept tours ; il en reste deux actuellement. Le mur d'enceinte était entouré d'un fossé toujours à sec, rempli de ronces et d'épines, aussi, d'après la tradition, on lui attribuait le nom de « Château ou manoir de l'Épine ».
    • Hôtel de ville
    L'hôtel de ville.
    La salle des fêtes.
    La particularité de sa façade (en brique, matériau majoritaire, et pierre) est la différence de forme des fenêtres du rez-de-chaussée et du premier étage. Si le traitement décoratif des bords en pierre est pratiquement le même, les ouvertures du niveau supérieur sont rectangulaires (avec un dessus horizontal, sans clé d'arc), celles du bas sont par contre en arc (demi-cercle) dont la forme est rappelée par le fronton central identifiant l'édifice par l'inscription « Hôtel-de-ville ». Le fronton est lui-même orné d'une sorte de fausse niche au motif semblable au pourtour des baies du rez-de-chaussée.
    • Le Monument aux morts, constitué d'un obélisque édifié sur un piédestal[35]. Il a été construit à l'initiative de la famille d'un soldat tué[36].
    • Salle des fêtes
    Ce bâtiment, dont la façade intéressante, d'un style typique de l'entre-deux-guerres, porte l'inscription « Salle de réunion », n'est actuellement[Quand ?] plus loué pour des associations, fêtes familiales, etc. pour des raisons de mise à niveau nécessaire en termes de conformité. Un projet de restauration était, en 2010, à l'étude. Pour le moment[Quand ?], la municipalité seule l'utilise pour quelques réunions annuelles ne nécessitant pas une lourde logistique.
    • Cimetière communal[37]
      Il comporte un carré militaire et sa partie la plus ancienne (le long de la portion sinueuse de la ruelle Saint-Jean, jusqu'à la rue de Louvencourt) est aujourd'hui délaissée. Transformée en pelouse parfaitement délimitée par de petits rondins, on y remarque encore plusieurs stèles et tombes en bon état ainsi que, sur le bord de la rue formant talus, une remarquable chapelle funéraire, la chapelle funéraire Bellet[33]
    La chapelle, à l'intérieur duquel est inhumé - avec son épouse et sa fille - François Joseph Bellet, notaire, adjoint au maire et président du conseil d'arrondissement, surplombe légèrement la rue et fait face à une petite place prolongeant la ruelle Saint-Jean. Sa façade est surmontée de part et d'autre par deux pinacles moins hauts que la lanterne des morts qui orne son chevet. Cette chapelle commence[Quand ?] à se dégrader (disparition et/ou descellement d'éléments de fer forgé entourant le monument : porte latérale, rampe de l'élégant escalier frontal, etc.)[38].
    • Cimetière militaire du Commonwealth
    Le cimetière militaire britannique.
    Ce cimetière de 1914-1918, est situé à la sortie de la localité, sur la droite en direction de Léalvillers[39]. Ce cimetière contient 180 sépultures de soldats (179 Britanniques et un Canadien) qui sont tombés dans la bataille de la Somme et pendant l’offensive allemande de 1918. Une Croix du Sacrifice, haute croix blanche, y est dressée, comme dans la plupart des cimetières du Commonwealth de la région.
    • Cimetière militaire français 1914-1918, situé au fond du cimetière communal, il contient 152 tombes.
    • Stèle commémorative 1944
      À la mémoire des sept fusillés de Bonneville.
    • Ancienne sucrerie, route de Forceville, construite en 1866[12].
    • Ancienne briqueterie Léonce Aubry, route de Varennes, lieu-dit les Quatre Buissons, construite en 1891 à l'emplacement d'une briqueterie à meules et devenue un entrepôt de charbon et matériaux de construction[13].

    Personnalités liées à la commune

    Trois palmes en mémoire d'Edmée Jarlaud.
    • Eugène Boullet (1847-1923), entomologiste.
    • Edmée Jarlaud, née en 1910, à Paris, aviatrice, décédée en 1939 lors d'une collision en vol[40],[41], à l'âge de 28 ans, à Beynes (Yvelines). Elle est inhumée à Acheux-en-Amiénois où elle avait des attaches familiales. Dans le cimetière communal, sa tombe est signalée par des panneaux installés en 2008, à quelques centaines de mètres (à l'entrée même, mais aussi aux deux extrémités de la ruelle Saint-Jean). Elle est de facture très sobre et ne porte ni nom(s) ni date(s). Seules trois palmes de métal sont fixées sur la pierre et mentionnent quelques « indices » en petits caractères. Elle se trouve sur le flanc sud du cimetière, donc du côté opposé au carré militaire, et à 30 ou 40 mètres environ à gauche en entrant par la ruelle Saint-Jean.
    Le collège d'Acheux-en-Amiénois porte le nom d'Edmée-Jarlaud et le transformateur électrique de la rue de Louvencourt a été décoré en 2019 d'un graph commémoratif de l'aviatrice, peint par Johann Grenier, artiste originaire de la ville d’Eu[42].
    • Raymond de Wazières (1910-1984), né à Roëllecourt (Pas-de-Calais), décédé à Acheux-en-Amiénois. Agriculteur à Acheux après 1945, fondateur et président de la coopérative agricole La Solidaire d'Albert, maire d'Acheux-en-Amiénois de 1953 à 1979, conseiller général du canton d'Acheux de 1949 à 1979. Il fut président de syndicats d'électricité et de l'Union départementale des coopératives de stockage des céréales. Après trois échecs à la députation sous la IVe République, il est élu sénateur de la Somme en 1959 et le resta jusque 1977.

    Une rue de la commune honore sa mémoire.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    parti de gueules et d'or, au 1er une hache, au 2e une clé contournée, de l'un à l'autre.


    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Adolphe de Cardevaque, Le Canton d'Acheux, 1883 réimpression, Paris, Le Livre d'histoire- Lorisse, 2003 (ISBN 2 - 84 373 - 348 - 0).
    • René Boyenval, René Debrie, René Vaillant, Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, Amiens, 1972, éditions ÉKLITRA - 232 pages,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Notice géographique et historique sur la commune d'Acheux, rédigée par Monsieur O. Moutardier, instituteur, 1897, Archives départementales de la Somme
    2. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    4. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Adolphe de Cardevaque, Le Canton d'Acheux, 1883 réimpression, Paris, Le Livre d'histoire- Lorisse, 2003 (ISBN 2 - 84 373 - 348 - 0) p. 110
    11. Régis Boyer (dir.), Les Vikings, premiers Européens : VIIIe – XIe siècle : les nouvelles découvertes de l'archéologie : [actes du colloque international tenu en Sorbonne, octobre 2004, Paris, Éd. Autrement, coll. « Mémoires : histoire » (no 119), , 284 p. (ISBN 978-2-746-70736-8, BNF 40048660).
    12. « Sucrerie dite Cie sucrière du Canton d'Acheux, puis Normand et Cie », notice no IA00076408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    13. « Briqueterie Léonce Aubry », notice no IA00076409, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    14. La gazette achéenne, n°28, (www.paysducoquelicot.com/images/stories/Gazette_acheenne_n_28.pdf), p. 25.
    15. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. « Les maires de Acheux-en-Amiénois », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
      Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme (1800-1945), Amiens, Archives départementales de la Somme, 2011, 2015..
    18. « de Wazieres Raymond, ancien sénateur de la Somme », Anciens sénateurs de la Ve République, Sénat (consulté le ).
    19. « Portrait de Jean-Pierre Herbert », La Gazette Achéenne, novembre 2012, n° 28 (lire en ligne, consulté le ).
    20. E. B., « La démission du maire d’Acheux-en-Amiénois validée », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La démission du maire d’Acheux-en-Amiénois (près d’Albert, dans l’est de la Somme), Jean-Paul Devauchelle, a été acceptée par le sous-préfet d’Abbeville, sous-préfet par intérim de Péronne. C’est la première adjointe Annie Lemaire qui assure l’intérim. (...) Jean-Paul Devauchelle explique (...) que «  depuis maintenant un an, la maladie ne me permet plus d’exercer pleinement mes fonctions dans les différentes structures que je préside. Ainsi, j’ai décidé de mettre un terme à tous mes mandats à l’exception de celui de conseiller municipal. (…)  ». Il était maire d’Acheux depuis 2001 ».
    21. « Annie Lemaire, nouveau maire d’Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Liste des maires de la Somme » [ODS], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. « Annie Lemaire réélue à Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    24. habitants.fr, « Somme > Acheux-en-Amiénois (80560) » (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. « Acheux-en-Amienois », Les communes, sur www.paysducoquelicot.com, (consulté le ).
    29. Vincent Hery, « La maison médicale va ouvrir ses portes à Acheux-en-Amiénois : L’annonce a été faite, vendredi soir, lors de la traditionnelle cérémonie des vœux à la population », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. Emmanuelle Bobineau, « Le 19e marché du terroir et des traditions d’Acheux-en-Amiénois a ses adeptes malgré la pluie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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    33. « Aquarelle : A) La Picardie historique, pittoresque et illustrée. Le Château d'Acheux (Somme) [Carte postale]
      B) Chapelle à Acheux, [Aquarelle d'Oswald Macqueron] d'après nature, 19 août 1874
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      , Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le )
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    34. « A) Eglise d'Arquèves: plan (Extrait de "La Picardie historique et monumentale"
      B) Château d'Acheux - Vue au Nord.
       »
      , Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le )
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    35. « Acheux-en-Amiénois », Les monuments aux morts France & Belgique, Université de Lille-III (consulté le ).
    36. « L'initiative », Ériger un monument, 1914-1918 : Les monuments aux morts dans la Somme (consulté le ).
    37. Philippe Landru, « Acheux-en-Amienois (80) : cimetière », Cimetières de France et d'ailleurs, (consulté le ).
    38. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 172 (ASIN B000WR15W8).
    39. (en) Site avec photo et mention du nombre de combattants inhumés, un second avec photo et un autre site donnant les noms des 180 soldats inhumés avec photo ancienne
    40. Site aerosteles.net
    41. Site personnel consacré à Beynes
    42. « Le transformateur rend hommage à la célèbre aviatrice Edmée Jarlaud à Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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