Acheux-en-Amiénois
Acheux-en-Amiénois est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Acheux-en-Amiénois | |||||
L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays du Coquelicot | ||||
Maire Mandat |
Annie Lemaire 2020-2026 |
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Code postal | 80560 | ||||
Code commune | 80003 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Achéens | ||||
Population municipale |
581 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 04′ 27″ nord, 2° 32′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 118 m Max. 152 m |
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Superficie | 7,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Albert | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | paysducoquelicot.com/acheux.htm | ||||
Géographie
Localisation
La commune d'Acheux-en-Amiénois est située au nord d'Amiens et entre Doullens et Albert, aux confins de la Picardie et de l'Artois.
Nature du sol et du sous-sol
Le sol et le sous-sol de la commune sont de formation tertiaire. Le sous-sol est calcaire et affleure sur les pentes. La craie à silex domine partout. Sur le plateau, la craie est recouverte par le limon des plateaux. Dans les vallées, le sol est meuble et profond[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est celui d'un plateau : celui de l'Amiénois qui oscille entre 148 m et 92 m d'altitude. La végétation n'offre rien de particulier par rapport aux autres communes des alentours[1]. Un espace boisé occupe le nord-est de la commune.
La commune présente un paysage d'Openfield ou champs ouverts.
Hydrographie
Il n'y a sur le territoire de la commune ni rivière, ni source. Autrefois, un cours d'eau s'écoulait au sud-ouest de la commune, au lieu-dit le Moulin à Wade (moulin à waide). Il actionnait des moulins[1].
La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à environ cinquante mètres de profondeur[1].
Climat
Le climat d'Acheux est tempéré océanique avec vents dominants de sud-ouest.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (7,1 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[2].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[3].
Aménagement du territoire
La commune présente un habitat groupé avec, autrefois quelques hameaux : la Sucrerie, la Pare, la Barrière qui sont maintenant jointifs du village du fait de la construction de lotissements.
Voies de communication et transports
Acheux-en-Amiénois est un carrefour routier secondaire où se croisent la route départementale 938 reliant Albert à Doullens et la route départementale 114 reliant Courcelles-au-Bois à Hérissart.
La localité est desservie par les autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[4].
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Acheux-en-Amiénois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Toponymie
La première mention d'Acheux apparaît dans le texte de la fondation de l'abbaye de Corbie en 662 sous la forme Taciacum. On rencontre ensuite Aceium dans un diplôme de l'évêque Thierry d'Amiens (1147-1160), Aiciu, en 1184, dans un diplôme de Thibault d'Heilly, évêque d'Amiens, puis Aceu et Aceus en 1186, Acheu en 1220, dans le cartulaire noir de Corbie, et enfin Acheux, sur la carte de Cassini de 1757[10].
Acheux qui viendrait du celte achad, terre cultivée[1].
Histoire
L'histoire de la commune est connue grâce aux travaux d'Adolphe de Cardevaque au XIXe siècle, repris par l'instituteur O. Moutardier[1] :
Moyen Age
- 662, la terre d'Acheux est donnée à l'abbaye de Corbie par la reine Bathilde et le roi Clotaire III lors de sa fondation. Les seigneurs d'Acheux furent vassaux de l'abbé de Corbie.
- 1415, le roi d'Angleterre, Henri V, logea à Acheux quelques jours avant la bataille d'Azincourt.
Epoque moderne
- 1557, Jacques d'Humières, seigneur d'Acheux, fonda la Ligue.
- 1593, Acheux fut dévastée par les Espagnols. Le roi Henri IV accorda aux habitants une exonération de taille pour trois ans.
- 1685, Louis de Crevant, seigneur d'Acheux, maréchal de France, devint grand-maître de l'artillerie du roi Louis XIV.
- À partir de 1702 et jusqu'à la Révolution française, les paysans d'Acheux furent en procès contre leurs seigneurs.
- En 1709, Acheux possédait une école.
- En 1784, la paroisse d'Acheux comptait environ 500 habitants.
- Le , les habitants d'Acheux firent un don pour la défense du pays[11]. Huit enfants d'Acheux s'enrôlèrent pour défendre la Patrie en danger.
Epoque contemporaine
- Le , les titres seigneuriaux sont brûlés sur la place d'Acheux dans le cadre de l'Abolition des privilèges.
- En 1866 est construite une sucrerie par la Compagnie sucrière du canton d'Acheux S.A.R.L, entreprise qui devient en 1869 la société Normand et Cie et emploie 150 salariés dont 15 enfants[12]. En 1891, Léonce Aubry construit sa briqueterie, avec une cheminée haute de 30 m. et dotée d'un four Hoffmann[13].
- En 1891, une gare est créée entre Acheux et Varenne, sur la ligne du chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Albert à Doullens des chemins de fer départementaux de la Somme. La ligne transportait marchandises et voyageurs. L'exploitation cesse à la fin des années 1940.
Première Guerre mondiale
La commune d'Acheux-en-Amiénois étant située à l'arrière du front, elle ne connut pas de destruction massive, ni d'occupation par l'ennemi.
Seconde Guerre mondiale
Dans un bois situé à la sortie du village, sur la route Doullens - Albert, sur la gauche en direction d'Albert, ont été retrouvés, le , les corps de sept jeunes gens de Bonneville fusillés par les Allemands au moment de la Libération[14].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune est détachée le de l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme pour intégrer son arrondissement de Péronne[15]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle était depuis 1801 le chef-lieu du canton d'Acheux-en-Amienois[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton d'Albert.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, créée fin 2001 sous le nom de Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés Achéens[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 581 habitants[Note 3], en diminution de 6,74 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune est située dans l'académie d'Amiens, en zone B.
Les élèves relevant du primaire sont accueillis dans une école élémentaire et maternelle, de 6 classes à la rentrée 2014/15 scolarisant 163 élèves. Cette école est gérée par un regroupement pédagogique intercommunal regroupant également les villages de Forceville, Hédauville, Harponville, Varennes, Léalvillers, Arquèves, Marieux[28]. Ils disposent d'une restauration scolaire.
Un collège public se trouve dans la commune. À la rentrée 2014/15, le collège Edmée Jarlaud scolarisait 343 élèves[28].
Équipements de santé
La commune se dote en 2018 d'une maison médicale comprenant un médecin et des professionnels de santé[29].
Manifestations culturelles et festuvités
Le marché du terroir, de l’artisanat et des traditions rurales, dont la 19e édition a eu lieu en octobre 2019, est prganisé par le comité des fêtes[30].
Économie
Le village d'Acheux-en-Amiénois occupe une position de carrefour à l'intersection de la route Albert - Doullens et de la route Toutencourt - Bertrancourt. Les activités économiques tournent autour de l'agriculture, de l'artisanat, du commerce et des services de proximité[réf. nécessaire].
La présence d'établissements d'enseignement (maternelle, primaire et collège) permet à la commune de polariser son territoire sur le plan scolaire.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte[31]
L'édifice date de 1760, comme l'attestent les quatre chiffres en fer forgé fixés sur sa face antérieure, au-dessus de la rosace, à la jonction de la nef et du clocher. Elle comprend une cloche du XVIIIe siècle[32]
- L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte doit son nom à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, deux martyrs chrétiens du IVe siècle.
- Château[33],[34]
Ses origines remonteraient au XIe siècle. Il était composé de sept tours ; il en reste deux actuellement. Le mur d'enceinte était entouré d'un fossé toujours à sec, rempli de ronces et d'épines, aussi, d'après la tradition, on lui attribuait le nom de « Château ou manoir de l'Épine ».
- Hôtel de ville
- La particularité de sa façade (en brique, matériau majoritaire, et pierre) est la différence de forme des fenêtres du rez-de-chaussée et du premier étage. Si le traitement décoratif des bords en pierre est pratiquement le même, les ouvertures du niveau supérieur sont rectangulaires (avec un dessus horizontal, sans clé d'arc), celles du bas sont par contre en arc (demi-cercle) dont la forme est rappelée par le fronton central identifiant l'édifice par l'inscription « Hôtel-de-ville ». Le fronton est lui-même orné d'une sorte de fausse niche au motif semblable au pourtour des baies du rez-de-chaussée.
- Le Monument aux morts, constitué d'un obélisque édifié sur un piédestal[35]. Il a été construit à l'initiative de la famille d'un soldat tué[36].
- Salle des fêtes
- Ce bâtiment, dont la façade intéressante, d'un style typique de l'entre-deux-guerres, porte l'inscription « Salle de réunion », n'est actuellement[Quand ?] plus loué pour des associations, fêtes familiales, etc. pour des raisons de mise à niveau nécessaire en termes de conformité. Un projet de restauration était, en 2010, à l'étude. Pour le moment[Quand ?], la municipalité seule l'utilise pour quelques réunions annuelles ne nécessitant pas une lourde logistique.
- Cimetière communal[37]
Il comporte un carré militaire et sa partie la plus ancienne (le long de la portion sinueuse de la ruelle Saint-Jean, jusqu'à la rue de Louvencourt) est aujourd'hui délaissée. Transformée en pelouse parfaitement délimitée par de petits rondins, on y remarque encore plusieurs stèles et tombes en bon état ainsi que, sur le bord de la rue formant talus, une remarquable chapelle funéraire, la chapelle funéraire Bellet[33]
- La chapelle, à l'intérieur duquel est inhumé - avec son épouse et sa fille - François Joseph Bellet, notaire, adjoint au maire et président du conseil d'arrondissement, surplombe légèrement la rue et fait face à une petite place prolongeant la ruelle Saint-Jean. Sa façade est surmontée de part et d'autre par deux pinacles moins hauts que la lanterne des morts qui orne son chevet. Cette chapelle commence[Quand ?] à se dégrader (disparition et/ou descellement d'éléments de fer forgé entourant le monument : porte latérale, rampe de l'élégant escalier frontal, etc.)[38].
- La partie ancienne du cimetière.
- Façade de la chapelle Bellet.
- La chapelle Bellet et sa lanterne des morts.
- La lanterne des morts de la chapelle Bellet.
- L'un des deux montants de la rampe d'escalier de la chapelle Bellet.
- Cimetière militaire du Commonwealth
- Ce cimetière de 1914-1918, est situé à la sortie de la localité, sur la droite en direction de Léalvillers[39]. Ce cimetière contient 180 sépultures de soldats (179 Britanniques et un Canadien) qui sont tombés dans la bataille de la Somme et pendant l’offensive allemande de 1918. Une Croix du Sacrifice, haute croix blanche, y est dressée, comme dans la plupart des cimetières du Commonwealth de la région.
- Cimetière militaire français 1914-1918, situé au fond du cimetière communal, il contient 152 tombes.
- Stèle commémorative 1944
À la mémoire des sept fusillés de Bonneville. - Ancienne sucrerie, route de Forceville, construite en 1866[12].
- Ancienne briqueterie Léonce Aubry, route de Varennes, lieu-dit les Quatre Buissons, construite en 1891 à l'emplacement d'une briqueterie à meules et devenue un entrepôt de charbon et matériaux de construction[13].
Personnalités liées à la commune
- Eugène Boullet (1847-1923), entomologiste.
- Edmée Jarlaud, née en 1910, à Paris, aviatrice, décédée en 1939 lors d'une collision en vol[40],[41], à l'âge de 28 ans, à Beynes (Yvelines). Elle est inhumée à Acheux-en-Amiénois où elle avait des attaches familiales. Dans le cimetière communal, sa tombe est signalée par des panneaux installés en 2008, à quelques centaines de mètres (à l'entrée même, mais aussi aux deux extrémités de la ruelle Saint-Jean). Elle est de facture très sobre et ne porte ni nom(s) ni date(s). Seules trois palmes de métal sont fixées sur la pierre et mentionnent quelques « indices » en petits caractères. Elle se trouve sur le flanc sud du cimetière, donc du côté opposé au carré militaire, et à 30 ou 40 mètres environ à gauche en entrant par la ruelle Saint-Jean.
- Le collège d'Acheux-en-Amiénois porte le nom d'Edmée-Jarlaud et le transformateur électrique de la rue de Louvencourt a été décoré en 2019 d'un graph commémoratif de l'aviatrice, peint par Johann Grenier, artiste originaire de la ville d’Eu[42].
- Raymond de Wazières (1910-1984), né à Roëllecourt (Pas-de-Calais), décédé à Acheux-en-Amiénois. Agriculteur à Acheux après 1945, fondateur et président de la coopérative agricole La Solidaire d'Albert, maire d'Acheux-en-Amiénois de 1953 à 1979, conseiller général du canton d'Acheux de 1949 à 1979. Il fut président de syndicats d'électricité et de l'Union départementale des coopératives de stockage des céréales. Après trois échecs à la députation sous la IVe République, il est élu sénateur de la Somme en 1959 et le resta jusque 1977.
Une rue de la commune honore sa mémoire.
Héraldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
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Pour approfondir
Bibliographie
- Adolphe de Cardevaque, Le Canton d'Acheux, 1883 réimpression, Paris, Le Livre d'histoire- Lorisse, 2003 (ISBN 2 - 84 373 - 348 - 0).
- René Boyenval, René Debrie, René Vaillant, Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, Amiens, 1972, éditions ÉKLITRA - 232 pages,
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Acheux-en-Amiénois sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune d’Acheux-en-Amiénois (80003) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 NE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Notice géographique et historique sur la commune d'Acheux, rédigée par Monsieur O. Moutardier, instituteur, 1897, Archives départementales de la Somme
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Adolphe de Cardevaque, Le Canton d'Acheux, 1883 réimpression, Paris, Le Livre d'histoire- Lorisse, 2003 (ISBN 2 - 84 373 - 348 - 0) p. 110
- Régis Boyer (dir.), Les Vikings, premiers Européens : VIIIe – XIe siècle : les nouvelles découvertes de l'archéologie : [actes du colloque international tenu en Sorbonne, octobre 2004, Paris, Éd. Autrement, coll. « Mémoires : histoire » (no 119), , 284 p. (ISBN 978-2-746-70736-8, BNF 40048660).
- « Sucrerie dite Cie sucrière du Canton d'Acheux, puis Normand et Cie », notice no IA00076408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Briqueterie Léonce Aubry », notice no IA00076409, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La gazette achéenne, n°28, (www.paysducoquelicot.com/images/stories/Gazette_acheenne_n_28.pdf), p. 25.
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Acheux-en-Amiénois », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme (1800-1945), Amiens, Archives départementales de la Somme, 2011, 2015.. - « de Wazieres Raymond, ancien sénateur de la Somme », Anciens sénateurs de la Ve République, Sénat (consulté le ).
- « Portrait de Jean-Pierre Herbert », La Gazette Achéenne, novembre 2012, n° 28 (lire en ligne, consulté le ).
- E. B., « La démission du maire d’Acheux-en-Amiénois validée », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La démission du maire d’Acheux-en-Amiénois (près d’Albert, dans l’est de la Somme), Jean-Paul Devauchelle, a été acceptée par le sous-préfet d’Abbeville, sous-préfet par intérim de Péronne. C’est la première adjointe Annie Lemaire qui assure l’intérim. (...) Jean-Paul Devauchelle explique (...) que « depuis maintenant un an, la maladie ne me permet plus d’exercer pleinement mes fonctions dans les différentes structures que je préside. Ainsi, j’ai décidé de mettre un terme à tous mes mandats à l’exception de celui de conseiller municipal. (…) ». Il était maire d’Acheux depuis 2001 ».
- « Annie Lemaire, nouveau maire d’Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [ODS], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Annie Lemaire réélue à Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- habitants.fr, « Somme > Acheux-en-Amiénois (80560) » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Acheux-en-Amienois », Les communes, sur www.paysducoquelicot.com, (consulté le ).
- Vincent Hery, « La maison médicale va ouvrir ses portes à Acheux-en-Amiénois : L’annonce a été faite, vendredi soir, lors de la traditionnelle cérémonie des vœux à la population », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Emmanuelle Bobineau, « Le 19e marché du terroir et des traditions d’Acheux-en-Amiénois a ses adeptes malgré la pluie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Acheux, chef-lieu de canton, arrondissement de Doullens, d'après nature, 19 août 1874. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « La cloche », notice no PM80000060, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Aquarelle : A) La Picardie historique, pittoresque et illustrée. Le Château d'Acheux (Somme) [Carte postale]
B) Chapelle à Acheux, [Aquarelle d'Oswald Macqueron] d'après nature, 19 août 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ). - « A) Eglise d'Arquèves: plan (Extrait de "La Picardie historique et monumentale"
B) Château d'Acheux - Vue au Nord. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ). - « Acheux-en-Amiénois », Les monuments aux morts France & Belgique, Université de Lille-III (consulté le ).
- « L'initiative », Ériger un monument, 1914-1918 : Les monuments aux morts dans la Somme (consulté le ).
- Philippe Landru, « Acheux-en-Amienois (80) : cimetière », Cimetières de France et d'ailleurs, (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 172 (ASIN B000WR15W8).
- (en) Site avec photo et mention du nombre de combattants inhumés, un second avec photo et un autre site donnant les noms des 180 soldats inhumés avec photo ancienne
- Site aerosteles.net
- Site personnel consacré à Beynes
- « Le transformateur rend hommage à la célèbre aviatrice Edmée Jarlaud à Acheux-en-Amiénois », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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