Albaret-Sainte-Marie

Albaret-Sainte-Marie est une commune française située dans le nord-ouest du département de la Lozère, en région Occitanie.

Albaret-Sainte-Marie

L'église Saint-Mary.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac
Maire
Mandat
Michel Therond
2020-2026
Code postal 48200
Code commune 48002
Démographie
Gentilé Albaretais
Population
municipale
561 hab. (2019 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 59″ nord, 3° 14′ 53″ est
Altitude Min. 767 m
Max. 1 139 m
Superficie 15,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Chély-d'Apcher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Chély-d'Apcher
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Albaret-Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : France
Albaret-Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Albaret-Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Albaret-Sainte-Marie

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Truyère, le ruisseau d'Arcomie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Albaret-Sainte-Marie est une commune rurale qui compte 561 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Albaretais ou Albaretaises.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Albaret-Sainte-Marie se situe dans le nord de la Lozère, en Margeride, à la limite du Cantal, à 12 km de Saint-Chély-d'Apcher.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Albaret-Sainte-Marie[1]
    Val d'Arcomie
    (Cantal)
    Chaulhac
    Les Monts-Verts Saint-Léger-du-Malzieu
    (par un quadripoint)
    Saint-Chély-d'Apcher
    (sur 200 m)
    Blavignac

    Hameaux et lieux-dits

    Le village de la Garde, situé sur l'ancienne route nationale 9 (RD 809) et à proximité de l'A75 est aujourd'hui le centre de la commune. La mairie et l'école s'y trouvent.

    Hameaux et écarts :

    • l'Estival ;
    • la Garde ;
    • le Mas Neuf ;
    • Orfeuille ;
    • Orfeuillette ;
    • la Roche ;
    • la Roussille ;
    • le Moulin de La Garde ;
    • le Moulin de La Barque.

    Hydrographie

    La commune est bordée au nord-est par la Truyère, et au sud-ouest par son affluent le ruisseau d'Arcomie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 7,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 9,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 878 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ruynes - Gendar », sur la commune de Ruynes-en-Margeride, mise en service en 1951[7]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 729,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 64 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[14] :

    • le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » (503 ha), couvrant 14 communes du département[15] ;
    • la « vallée de la Truyère » (30 569 ha), couvrant 40 communes dont quatre dans l'Aveyron, 27 dans le Cantal et neuf dans la Lozère[16].

    Urbanisme

    La place centrale.

    Typologie

    Albaret-Sainte-Marie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 1],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,8 %), zones agricoles hétérogènes (39,2 %), prairies (13,4 %), zones urbanisées (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Albaret : désigne un lieu où pousse le peuplier blanc ou le saule blanc (occitan albar).[réf. nécessaire]

    Histoire

    Le château de la Garde.

    La Garde faisait partie de la baronnie d'Apcher. Le château de la Garde, dont la construction remonte à la fin du XIVe siècle, avait pour but de protéger le château d'Apcher plus au sud. Aujourd'hui le château de la Garde est en ruine, pillé après la Seconde Guerre mondiale.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Albaret-Sainte-Marie est membre de la communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Chély-d'Apcher. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Chély-d'Apcher pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[21].

    Liste des maires

    Liste des maires d'Albaret-Sainte-Marie[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1848 1904 Jean Bonnel    
    1904 1910 Félix Loubat    
    1910 1924 Eugène Bonnel    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2019, la commune comptait 561 habitants[Note 7], en diminution de 1,06 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    478387615549502490528533479
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    473406440434490541540502503
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    469471501468442413426387374
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    363320309333338452520522564
    2015 2019 - - - - - - -
    568561-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'antenne d'Orfeuillette de l'ISEM.

    La commune dispose d'une école primaire publique.

    Albaret-Sainte-Marie possède une antenne universitaire de l'ISEM (université Montpellier 1) à proximité du château d'Orfeuillette près du hameau de la Garde. Elle propose des formations de management hôtellerie-tourisme (Master 1re et 2e année).

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 222 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 300 [I 5] (20 420  dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 7]4,8 %7 %6,3 %
    Département[I 8]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 341 personnes, parmi lesquelles on compte 85,4 % d'actifs (79,2 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 14,6 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 143 emplois en 2018, contre 162 en 2013 et 149 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 271, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,9 %[I 11].

    Sur ces 271 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 90,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le musée.
    • Notre Dame de l'Assomption - Bourg de La Garde
      Le château d'Orfeuillette, demeure du XIXe siècle construite par le député sénateur lozérien Théophile Roussel, aujourd'hui hôtel-restaurant.
    • Église Saint-Mary d'Albaret-Sainte-Marie, de style roman et datant du XIVe siècle, située dans le bourg.
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de la Garde, de construction récente, dans le bourg de La Garde, où ont lieu les offices religieux.
    • À quelques mètres de l'église Saint-Mary, musée installé dans l'ancien four à pain parfaitement conservé, créé par M. Tuffery et régulièrement mis à jour par les habitants. Il retrace la vie du village.
    • Les ruines du château de la Garde.
    • Aire de service de la Lozère à proximité avec l'arboretum et le géoscope.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de la Lozère et du Gévaudan

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ruynes - Gendar - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Albaret-Sainte-Marie et Ruynes-en-Margeride », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ruynes - Gendar - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Albaret-Sainte-Marie et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Albaret-Sainte-Marie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « vallée de la Truyère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    21. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    22. D'après FranceGenWeb.org
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.