Arzacq-Arraziguet

Arzacq-Arraziguet (en gascon Arzac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Arraziguet et Arzacq.

Arzacq-Arraziguet

Les arcades de la place de la République.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Jean-Pierre Crabos
2020 - 2026
Code postal 64410
Code commune 64063
Démographie
Gentilé Arzacquois
Population
municipale
1 057 hab. (2019 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 12″ nord, 0° 24′ 41″ ouest
Altitude Min. 95 m
Max. 238 m
Superficie 15,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : France
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Arzacq-Arraziguet
Liens
Site web arzacq.com

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune d'Arzacq-Arraziguet se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 26 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1]

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Vignes (1,1 km), Poursiugues-Boucoue (3,2 km), Méracq (3,6 km), Poursiugues-Boucoue (3,6 km), Coublucq (3,9 km), Philondenx (4,0 km), Cabidos (4,2 km), Mialos (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Arzacq-Arraziguet fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes d’Arzacq-Arraziguet[6]
    Philondenx
    (Landes)
    Pimbo
    (Landes)
    Cabidos Poursiugues-Boucoue
    Garos Louvigny Vignes

    Accès

    La commune est desservie par les routes départementales D 944 et D 946 ainsi que par les D 32 et D 264.

    Deux lignes de bus la relient à Pau (Citram et Marette)[7].

    Lieux-dits et hameaux

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Arzacq-Arraziguet.

    La commune est drainée par le Luy, le Louts, le ruisseau l'arblech, un bras du Luy de France, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[17].

    Le Louts, d'une longueur totale de 85,7 km, prend sa source dans la commune de Thèze et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Téthieu, après avoir traversé 33 communes[18].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 123 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pomps », sur la commune de Pomps, mise en service en 1974[24] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[25],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 034,1 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 15 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,4 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[30].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[31],[32],[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Arzacq-Arraziguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[34],[35],[36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (31,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (3,9 %)[39].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le toponyme Arraziguet apparaît sous la forme altérée Raviguet (1793 ou an II[40]) et n’est pas mentionné sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]). Michel Grosclaude[41] indique que l’origine du toponyme est arrasic racine » en gascon), augmenté du suffixe collectif -etum, ce qui donne « amas de racines, souches ».

    Le toponyme Arzacq apparaît sous les formes Arsac (1385[41], censier de Béarn[42]), Lo marcat d'Arsac (1542[15], réformation de Béarn[43]), marché auquel on venait de la Soule et le Basse-Navarre, Arzac (1620[41], relation du voyage de Louis XIII à Pau) et Arzac sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]).

    Son nom, gascon, est écrit Arsac[44] ou Arzac[45]. L'hypothèse d'un ancien propriétaire gallo-romain *Arsius[46],[41] (dans un terroir alors aquitanien) ne tient pas. Arzac s'explique comme la contraction d'un *arrazac de même sens qu'Arraziguet (http://www.gasconha.com Arzacq-Arraziguet).

    Cherre désignait un hameau d’Arzacq, mentionné par le dictionnaire de 1863[15].
    Le toponyme Vialé apparaît sous la forme Le Vialé (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[15]).

    Histoire

    Arzacq est une bastide à la limite de la Chalosse. Ancien évêché de Lescar mais Généralité d'Auch. Sa trève Vignes (Binhes) était en Béarn. Arzacq a été pénétré d'influences venues de la plaine béarnaises (architecture du XVIIIe s.).

    Les 14 et 15 octobre 1620, Louis XIII fit étape à Arzacq en se rendant à Pau. Les deux jurats de la ville étaient alors Pierre Dubern et Dominique de Meylon. En 1790, le canton d'Arzacq comptait les mêmes communes qu'aujourd'hui à l'exception du village de Riumayou, mais avec la commune de Momas.

    Arraziguet s'est unie à Arzacq le 7 septembre 1845[47].

    En 1922, après la Première Guerre mondiale, Arzacq-Arraziguet parraine la reconstruction du village de Violaines dans le Pas-de-Calais. La commune s'engage, lors du conseil municipal du 24 juin 1922, à prendre à son compte le remboursement d'un emprunt de 100 000 francs sur 30 ans[48].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2020 En cours Jean-Pierre Crabos    
    1995 2020 Henri Fam    

    Intercommunalité

    Arzacq-Arraziguet appartient à trois structures intercommunales[49] :

    Arzacq-Arraziguet est le siège de la communauté de communes du canton d'Arzacq.

    Jumelages

    Au 3 septembre 2019, Arzacq-Arraziguet est jumelée avec[50] :

    Population et société

    Démographie

    Le nom des habitants est Arzaqués, francisé Arzacquois[53],[54].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

    En 2019, la commune comptait 1 057 habitants[Note 8], en augmentation de 0,28 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8107411 1001 0049769571 2861 3261 346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3191 2961 2501 2241 2641 2291 1741 1431 077
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0911 1181 104986954959963906916
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    9589178658268078899781 0001 007
    2014 2019 - - - - - - -
    1 0821 057-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arzacq, encore séparé d’Arraziguet, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[40].

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821 1831 1836
    222254-303290290
    (Sources : Cassini)

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire[59] et d'un collège[60].

    Arzacq possède également une maison de la formation et un relais assistance maternelle.

    Sports

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    La période gallo-romaine[11] de la commune fait l'objet d'une description par le ministère de la Culture.

    La commune possède un ensemble fortifié, nommé motte la Tourette[61], dont la construction s'est étendue du Xe siècle au XIVe siècle, et qui comprend une église, une basse-cour, une motte, un fossé et une enceinte.

    Des fermes d'Arzacq-Arraziguet (lieux-dits Castetber[8], Gibardéou[10], Cruhot[9], Salles[13], Tristan[14]) datent du XIXe siècle.

    De même un lavoir[12] fut construit au XIXe siècle près du lieu-dit Labère.

    Des maisons de maître, du XVe siècle au XXe siècle sont également recensées par le ministère de la Culture telles que celles de la place du Marcadieu (maison Mimbielle[62] des XVIIIe et XXe siècles et une maison[63] du XVIIIe siècle, la poste[64] (XIXe siècle), des maisons de la place de la République[65] datant pour l'une des XVe, XVIe et XIXe siècles et d'autres[66] du XVIIIe et XIXe siècles[67], la maison presbytère[68] (XIXe siècle). Il faut également noter l'actuelle boucherie[69] de la place de la République qui date des XVe, XVIe et XXe siècles. Sur cette même place se dresse un manoir[70] qui tient ses origines du XVe siècle et qui a été remanié durant les siècles suivants, servant aujourd'hui de café.

    Enfin un monument aux morts[71] de la guerre de 1914-1918 est également recensé par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel) sur cette même place.

    La mairie possède un tableau[72] de Paul Mirat représentant l'arrivée de Louis XIII à Arzacq le 14 octobre 1620.

    Un musée du jambon se trouve à Arzacq, et retrace l'histoire du jambon de Bayonne.

    Les arènes dédiées aux courses vasconnes ou courses de vaches "landaises" ont été rebâties.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre[73] date du XIXe siècle. Elle recèle des sculptures[74],[75],[76],[77], divers mobiliers[78],[79],[80],[81],[82],[83] et vingt-trois verrières[84] d'Émile Thibaud, recensés par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel).

    Arzacq-Arraziguet est une étape sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle. À ce titre, le blason de la ville s'orne de trois coquilles.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules au lévrier courant d'or surmonté d'un croissant du même, au chef cousu d'azur chargé de trois coquilles aussi d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Arzacq-Arraziguet » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Arzacq-Arraziguet », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    7. Page transports sur le site de la commune
    8. « La ferme du lieu-dit Castetber », notice no IA64000207, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    9. « La ferme du lieu-dit Cruhot », notice no IA64000205, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    10. « La ferme du lieu-dit Gibardéou », notice no IA64000206, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    11. « Présentation de la période gallo-romaine », notice no IA64000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. « Le lavoir du lieu-dit Labère », notice no IA64000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    13. « La ferme du lieu-dit Salles », notice no IA64000203, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    14. « La ferme du lieu-dit Tristan », notice no IA64000202, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    15. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
    16. « Fiche communale d'Arzacq-Arraziguet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    17. Sandre, « le Luy ».
    18. Sandre, « le Louts ».
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    23. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    24. « Station Météo-France Pomps - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    25. « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
    26. « Station Météo-France Pomps - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    27. « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    29. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    31. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    41. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
    42. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
    43. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    44. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
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    46. Page histoire du site de la mairie
    47. « Présentation de la commune », notice no IA64000148, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    51. Annuaire des villes jumelées
    52. Page jumelage du site de la commune
    53. Gentilé sur habitants.fr
    54. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
    55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    57. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    59. Site de l'école élémentaire
    60. Site du collège d'Arzacq
    61. « La motte la Tourette », notice no IA64000006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « La maison Mimbielle », notice no IA64000195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. « La maison du XVIIIe siècle de la place Marcadieu », notice no IA64000199, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. « La poste », notice no IA64000200, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. « Une maison de la place de la République datant des XVe, XVIe et XIXe siècles », notice no IA64000008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. « La maison de XVIIIe siècle de la place de la République », notice no IA64000198, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    67. « La maison du XIXe siècle de la place de la République », notice no IA64000197, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. « La maison presbytère », notice no IA64000196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. « L'ancienne boucherie de la place de la République », notice no IA64000194, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    70. « Le manoir de la place de la République », notice no IA64000007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    71. « Le monument aux morts », notice no IA64000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    72. « Le tableau de Paul Mirat », notice no M64002820, base Palissy, ministère français de la Culture.
    73. « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    74. « Le Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002652, base Palissy, ministère français de la Culture.
    75. « Vierge à l'Enfant de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
    76. « Le groupe sculpté (petite nature) : Vierge à l'Enfant entourée d'anges », notice no IM64002656, base Palissy, ministère français de la Culture.
    77. « Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
    78. « Le mobilier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002653, base Palissy, ministère français de la Culture.
    79. « Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre (liste supplémentaire) », notice no IM64002781, base Palissy, ministère français de la Culture.
    80. « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002736, base Palissy, ministère français de la Culture.
    81. « Les autel, gradin d'autel, tabernacle (maître-autel) de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002735, base Palissy, ministère français de la Culture.
    82. « Les fonts baptismaux de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002655, base Palissy, ministère français de la Culture.
    83. « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002654, base Palissy, ministère français de la Culture.
    84. « Les verrières de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002737, base Palissy, ministère français de la Culture.
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