Aspiran
Aspiran [as.pi.ʁɑ̃] est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.
Aspiran | |
Maison du Viguier (XVe siècle). | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Lodève |
Intercommunalité | Communauté de communes du Clermontais |
Maire Mandat |
Olivier Bernardi 2020-2026 |
Code postal | 34800 |
Code commune | 34013 |
Démographie | |
Gentilé | Aspiranais |
Population municipale |
1 662 hab. (2019 ) |
Densité | 103 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 34′ 00″ nord, 3° 27′ 00″ est |
Altitude | 79 m Min. 17 m Max. 160 m |
Superficie | 16,13 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Clermont-l'Hérault |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, la Dourbie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Salagou ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Aspiran est une commune rurale qui compte 1 662 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Aspiranais ou Aspiranaises.
Géographie
Aspiran est un village situé dans la vallée de l'Hérault. Le territoire est traversé par l'autoroute A75.
Hydrographie
L'Hérault, le Ruisseau de la Carrièrasse et le Ruisseau de Candaurade sont les principaux cours d'eau traversant la commune.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 27 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[14], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la Montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[16] : le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du département[17].
Urbanisme
Typologie
Aspiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), forêts (2,5 %), prairies (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous le nom latin de Aspirianus en 844 dans les archives de la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, sous les formes de Aspiriano en 1146, de Aspirano en 1203, ad Aspira en 1380[21], de Aspirano Caprariensis (1344), pro Aspirano Caprariense (1351), ad Aspira de Cabrayres (1380), Aspiran (1708).
Domaine gallo-romain : gentilice latin Asperius ou surnom Asper+ suffixe -anum[22].
L'ancien déterminant de la commune se rapporte à la proximité de Cabrières. Le château de Cabrières était à cette époque occupé par une troupe de routiers qui contrôlaient à leur profit les mouvements dans la vallée de l'Hérault.
Histoire
Le nom d'Aspiran serait dérivé du nom d'une ancienne villa gallo-romaine. On trouve des traces d'amphores vinaires qui démontrent que la culture de la vigne était déjà importante à cette époque. Une campagne archéologique programmée mène régulièrement depuis 2005 des opérations de fouille sur l'atelier de potier gallo-romain de Saint-Bézard à environ deux kilomètres du village d'Aspiran. Le site fondé durant période augustéenne produisait de la céramique sigillée, de la céramique à pâte claire et des amphores. La découverte de nombreux fours met en évidence un atelier de production important pleinement intégré au commerce antique. Une natatio (piscine des thermes romains) aux dimensions exceptionnelles (la plus grande retrouvée en Gaule) a été dégagée aux abords des chais vinicoles, derrière lesquelles se situerait la pars-urbana (la partie d'une villa romaine qui était réservée à la résidence du maître) du site. L'abbaye d'Aniane devint propriétaire d'Aspiran et le resta jusqu'à la Révolution française.
Des fouilles conduites en 2017 au lieu-dit L'Estagnola en bordure de l'Hérault permirent de mettre au jour un vaste bâtiment des années 70 après J-C[23].
De l'enceinte médiévale subsistent deux portes. On trouve encore des maisons construites entre les XIe et XVIIe siècles. On pratique la polyculture (seigle, vigne, olivier) et le travail de la laine. À la fin du XIXe siècle, la crise du phylloxéra surmontée, la viticulture devient omniprésente. On construit une coopérative viticole. La clairette d'Aspiran obtient l’appellation d'origine contrôlée en 1948.
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en septembre 1792[24].
Politique et administration
Démographie
Au dernier recensement, la commune comptait 1 662 habitants.
Les listes nominatives de recensement de population ont été numérisées et sont consultables en ligne sur le site des Archives départementales de l’Hérault[30].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 672 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 580 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 690 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,2 % | 8,9 % | 13,2 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 949 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (62 % ayant un emploi et 13,2 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 468 emplois en 2018, contre 459 en 2013 et 343 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 597, soit un indicateur de concentration d'emploi de 78,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 10].
Sur ces 597 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 176 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
166 établissements[Note 10] sont implantés à Aspiran au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 166 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 18 | 10,8 % | (6,7 %) |
Construction | 38 | 22,9 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 46 | 27,7 % | (28 %) |
Information et communication | 2 | 1,2 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 0,6 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 3 | 1,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 19 | 11,4 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 22 | 13,3 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 17 | 10,2 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,7 % du nombre total d'établissements de la commune (46 sur les 166 entreprises implantées à Aspiran), contre 28 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :
- Gwe France, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements divers pour le commerce et les services (2 768 k€)
- EURL Fabrice Coulon, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (505 k€)
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 132 | 113 | 79 | 63 |
SAU[Note 13] (ha) | 770 | 780 | 600 | 592 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 132 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 113 en 2000 puis à 79 en 2010[34] et enfin à 63 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[35],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 770 ha en 1988 à 592 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 9 ha[34].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Maison du viguier (XVe siècle) construite pour l'abbé d'Aniane.
- La Porte de l'Est, reste de l'enceinte fortifiée.
- L'Église Saint-Julien d'Aspiran, dont le mur nord est de l'époque romane. Reconstruite au XIVe siècle, elle a été ensuite fortifiée. La Guerre de Cent Ans et les Guerres de religion l'ont endommagée. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1963[36]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[36].
- La chapelle des pénitents d'Aspiran. Aux XIVe et XVe siècles, les pénitents de la confrérie du Saint-Esprit s'y réunissaient. Ils ont été remplacés au XVIIe siècle par les Pénitents blancs. Le clocher est du XIXe siècle.
- Église Saint-Julien d'Aspiran
- Chapelle des Pénitents d'Aspiran
Héraldique
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Les armoiries de Aspiran se blasonnent ainsi :
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Personnalités liées à la commune
Famille de la Treille de Villevieille, seigneurs de la Sablonière, et famille Ayot de la Treille (notables).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aspiran » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aspiran » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aspiran » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aspiran » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aspiran et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aspiran et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aspiran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aspiran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 599.
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 17
- « Aspiran un granarium émerge-t-il des berges de l'Hérault ? », Archéologia, no 561, janvier 2018, pp. 38 à 45.
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 415.
- Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 d'Aspiran, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
- Fiche de la mairie d'Aspiran, mise à jour le sur le site la-mairie.com (consulté le ).
- Olivier Bernardi, nouveau président du SCH, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Listes nominatives de recensement de population consultables en ligne
- « Entreprises à Aspiran », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Aspiran - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- « Eglise Saint-Julien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Georgette Birouste, « Aspiran : vie et mort du « Château » des Abbés ; Aspiran : un bac très utile, mais bien encombrant », Bulletin du Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 61-62-63,
- Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : mémoire partagée des années de guerre 1939-1945 : exposition, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 184 p.
- Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : histoire d'oliviers : catalogue de l'exposition de juillet 2009 au foyer rural, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 72 p.
- Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : la crise du phylloxéra, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 38 p.
- Pierre-Yves Genty, « L'atelier de potiers gallo-romain d'Aspiran, Hérault : synthèse des travaux de 1971 à 1978 », Figlina : documents du laboratoire de céramologie de Lyon, no 3, , p. 71-92
- Groupe d'études languedociennes, Les Domaines de la Vallée de l'Hérault : Histoire d'un domaine d'Aspiran, Gourdibau : Ballades du pays de Thau : Creyssels, le domaine, Montpellier, Université du Tiers Temps, , 29 p.
- Robert Thernot, L'établissement rural antique de Soumaltre (Aspiran, Hérault) : ferme, auberge, nécropole et atelier de potier en bordure de la voie Cessero-Condatomagus (Ier-IIe siècle), Montagnac, M. Mergoil, , 388 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales déposées d'Aspiran (1598-2003) [2,52 ml]. Cote : 13 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Portail des communes de France
- Portail de l’Hérault