Athos-Aspis
Athos-Aspis (en béarnais Atòs-Aspins ou Atos-Aspis) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Athos (homonymie) et Aspis (homonymie).
Athos-Aspis | |||||
L'église Saint-Pierre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Jean-Robert Lataillade 2020-2026 |
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Code postal | 64390 | ||||
Code commune | 64071 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Athosais | ||||
Population municipale |
210 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 24′ 53″ nord, 0° 58′ 20″ ouest | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 141 m |
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Superficie | 5,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Athos-Aspis se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 77 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 43 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Abitain (1,5 km), Autevielle-Saint-Martin-Bideren (2,6 km), Oraàs (2,9 km), Sauveterre-de-Béarn (3,2 km), Guinarthe-Parenties (4,0 km), Escos (4,1 km), Osserain-Rivareyte (4,5 km), Sauveterre-de-Béarn (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Athos-Aspis fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Saison, Arrec Héuré, L'Arrioutèque, le ruisseau de Rance, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].
Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[16] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 44 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].
Urbanisme
Typologie
Athos-Aspis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[28],[29],[30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70 %), forêts (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), eaux continentales[Note 9] (2,4 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Aspis
- Athos
- Bouchou[7]
- Cabé[7],[34]
- les Camous[7]
- la Campagne[7]
- la Campagnole[7]
- Castet[7]
- Cossou[7]
- Couteigt[7]
- Desbos (granges)[7]
- Esperben[7]
- Gabirot[7]
- Garampoey[7]
- les Garbas[7]
- Gué[7]
- Hau[7]
- Herrou[7]
- Héuré (moulin de)[7]
- Houssas[7]
- Labourdette[7]
- Lapeyrigne[7]
- Lapisque[7]
- Lavielle[7]
- Mina (côte de)[7]
- Mouliède[7]
- Mousquères[7]
- Natou[7]
- Peyrou[7]
- Poun Agnès[7]
- Pys[7],[34]
- Rioutèque[7],[34]
- Sarrecaute[7],[34]
- l'Usine[7]
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale 27 qui mène de Sauveterre-de-Béarn à Oraàs.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Athos apparaît sous les formes Atos (XIe siècle[34], d'après Pierre de Marca[35]), Atos (1119-1136[36], cartulaire de Sorde[37]), Sent Per d'Atos (1472[34], notaires de Labastide-Villefranche[38]), Atos (1745[36], notaires de Labastide-Villefranche[38]) et Athos sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[36].
Michel Grosclaude[36] propose comme étymologie, le patronyme Ato augmenté du suffixe aquitain -ossum.
Le toponyme Aspis apparaît sous les formes Espis (1119-1136[39], cartulaire de Sorde[37]), Espis (1385[34], censier de Béarn[40]), Espiis, Aespiis et Spiis (respectivement 1544[34], 1546[34] et 1548[34], réformation de Béarn[41]), Aspis sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[36]) et Aspit (1793 ou an II[42]).
Michel Grosclaude[36] propose l’étymologie gasconne es pins (« les pins »).
Autres toponymes
Cabé était un fief de la commune, vassal de la vicomté de Béarn. Le toponyme est cité sous les graphies la maison deu Cabee, lo Caver d'Atos et lo Caber (respectivement 1538[34] pour les deux premières formes, puis 1548[34], réformation de Béarn[41]).
Pys, ferme et ancien fief de la commune, relevant de la vicomté de Béarn, est mentionné sous les formes Piis-Jusoo et Piis-Susoo (1385[34], censier de Béarn[40]) et dues maysons aperades los Piis (1538[34], réformation de Béarn[41]).
Rioutèque ou Arrioutèque, est un hydronyme désignant un affluent du gave de Pau, cité sous les graphies l'arriu de Ariuteca (1538[34], réformation de Béarn[41]) et Riutèque (1863[34], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
La Salle était un fief d’Athos-Aspis, relevant de la vicomté de Béarn, et dépendant du bailliage de Sauveterre. Il est mentionné sous les graphies La Sale d’Athos (1385[34], censier de Béarn[40]) et La Sala d’Athos (1538[34], réformation de Béarn[41]).
Le censier de Béarn[40] en 1385[34], tout comme la réformation de Béarn[41] (Serracaute) en 1614[34], font état de la ferme Sarrecaute.
Histoire
Paul Raymond[34] note qu'en 1385 Athos comptait 19 feux et dépendait du bailliage de Sauveterre tout comme le fief d'Aspis.
Les villages d'Athos et d'Aspis ont été réunis le 10 janvier 1842.
Pendant la Réforme, le curé d'Athos fut massacré dans son église et le village adopta les nouvelles idées.
Le village est la patrie d'Armand Sillègue d'Athos, le célèbre mousquetaire de la garde royale, fils cadet d'Adrien de Sillègue, seigneur d'Athos et d'Auteville. Ce mousquetaire, homme d'épée rendu célèbre par le roman d'Alexandre Dumas sous le nom d'Athos, est mort à Paris en 1643. L'ancienne abbaye, dédiée à saint Martin de Sunarthe et devenue par la suite seigneurie, a appartenu à une branche des ascendants des Sillègue d'Athos[45].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune fait partie de cinq structures intercommunales[47] :
- le centre intercommunal d'action sociale de Sauveterre-de-Béarn ;
- la communauté de communes de Sauveterre-de-Béarn ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.
Population et société
Démographie
Le nom des habitants est Athosais[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2019, la commune comptait 210 habitants[Note 10], en augmentation de 10,53 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Athos, encore séparé d’Aspis, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[42].
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'école.
- L'église Saint-Jean-Baptiste.
Patrimoine civil
On peut voir à Athos la maison Lascampagnes, du consul Gourlat, et maison Bouchoô, maison natale de Mgr Bouchoô.
Aspis garde son château du XIVe siècle face au gave, avec terrasse et porte à rinceaux. On y trouve encore l'emplacement de l'ancienne église et de l'ancienne école.
À Athos, outre l'église d'origine romane, se dressent l'ancien fief de Moliède d'Athos où se trouvait un bac célèbre et les ruines d'un moulin.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre d'origine romane, recèle un bénitier Renaissance et une Vierge en bois polychrome. Derrière l'autel se trouve la sépulture de Jeanne du Peyrer « dame d'Athos et d'Aspis » mère du mousquetaire. Le portail renaissance possède un chrisme du XIVe siècle à l'envers (il s'agit sans doute d'une pierre de réemploi).
Le cimetière présente une sépulture de l'ingénieur concepteur du pont de Sauveterre et d'Edmond Gourlat, consul de France et personnalité locale.
Personnalités liées à la commune
La naissance du mousquetaire Athos dans la commune est sujette à discussion. Une plaque près de l'église rappelle qu'il est né dans la maison Lassalle dont il ne reste que des pans de murs mais le village d'Autevielle revendique aussi sa naissance, tout comme la maison forte de Moliède d'Athos, dont il reste de forts murs.
Athos est la patrie de Jean-Baptiste Boucho, né dans la maison Bouchoô en 1797, vicaire apostolique français de la presqu'île de Malacca.
Voir aussi
Bibliographie
- Alexis Ichas, Historial d'Athos et d'Aspis
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Athos-Aspis » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Athos-Aspis », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Athos-Aspis », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Contrairement à ce qui est indiqué, le Mousquetaire Athos n'est pas mort en 1643 mais en 1645. Source: Le Béarn des Mousquetaires et des soldats du roi. édition: C.H.AR. Joseph Miqueu -
Références
- « Métadonnées de la commune d'Athos-Aspis », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Athos-Aspis et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Athos-Aspis et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Athos-Aspis et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Athos-Aspis », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Athos-Aspis », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Sandre, « le Saison ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Athos-Aspis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 201
- Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Aspis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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