Oraàs
Oraàs [ɔʁas] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Oraàs | |||||
L'église de l'Assomption. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Guy Touzaa 2020-2026 |
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Code postal | 64390 | ||||
Code commune | 64423 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
182 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 26′ 20″ nord, 0° 59′ 09″ ouest | ||||
Altitude | Min. 27 m Max. 172 m |
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Superficie | 10,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Salies-de-Béarn (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Oraàs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 74 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 46 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 26 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Escos (1,3 km), Escos (1,9 km), Abitain (2,0 km), Athos-Aspis (2,9 km), Labastide-Villefranche (3,2 km), Auterrive (3,3 km), Carresse-Cassaber (4,5 km), Saint-Dos (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Oraàs fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, l’arrec Héuré, l’arrec Baraillou, l’arrec de Lasmarges, le ruisseau de Laclau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[15] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 43 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,3 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[23], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[24],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[25],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].
Urbanisme
Typologie
Oraàs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-Béarn, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,1 %), terres arables (32,3 %), forêts (24,6 %), prairies (8 %), eaux continentales[Note 10] (2 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- la Plaine ;
- la Haut.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Oraàs apparaît[33] sous les formes Oras (XIIIe siècle, fors de Béarn[34]), Nostre-Done d'Oras (1442, notaires de Labastide-Villefranche[35]), Horas et Horaas (respectivement 1538 et 1548, réformation de Béarn[36]).
D'après A. Dauzat et C. Rostaing, le nom du lieu pourrait provenir du nom latin Aurus et du suffixe -anum renvoyant à l'idée de propriété[37].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de quatre structures intercommunales[40] :
- le centre intercommunal d’action sociale de Sauveterre-de-Béarn ;
- la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2019, la commune comptait 182 habitants[Note 11], en augmentation de 5,2 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.
Le sous-sol de la commune recèle un important gisement de sel gemme exploité dès le XIXe siècle.
Depuis la fermeture de la fontaine salée de la ville de Salies-de-Béarn, les thermes de la cité du sel utilisent l'eau puisée à Oraàs[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Le « château » du Leu, véritable nid d'aigle, conserve les restes de son enceinte fortifiée et l'endroit du pont-levis. On y voit encore les armoiries sculptées de Pierre de Saint-Macary, baron du Leu. Le château fut amputé de son dernier étage à tourelles au XIXe siècle et ses fenêtres à meneaux furent bouchées.
Patrimoine religieux
Oraàs – au ras deu gave – selon une plaisanterie béarnaise, ce nom est sans doute formé à partir du mot basque orre, genévrier. Le village abrite une église gothique en galets du gave qui montre encore une porte étroite dite aussi porte des cagots car une importante communauté de ces parias, les crestians, vécut au village. Le clocher porte deux anciennes cloches dont « Marie » datée de 1770 qui provient de l'ancienne église de Mur (Castagnède). Une lourde cloche moderne, datée de 1951, fut offerte par Cécile Sorel, comtesse de Ségur et sociétaire de la Comédie-Française. C'est elle qui dit : « L'ai-je bien descendu ? » au Casino de Paris en 1933.
Dans l'église gothique, se trouve à l'intérieur de l'église un chrisme du XIVe siècle, complètement inconnu et absent de l'inventaire fait en 1970. Noter aussi une pierre tombale martelée en 1793 qui est celle de Marie de Rache, d'Aspis, fraîchement convertie au catholicisme, une croix mystérieuse dans le chœur et un redoutable monstre en chêne qui sert de rampe d'accès à la tribune. Ce monstre à la gueule hideuse et aux dents apparentes se love de tout son long jusqu'à la tribune.
Le village possède aussi deux hameaux forts anciens : le Leu qui fut une baronnie et vendue pour une paire de bœufs à la fin de la guerre de Cent Ans. On y voit le blason de Pierre de Saint-Macary, seigneur du lieu et magistrat du Parlement de Pau, puis le hameau de By (ou Vin en Béarnais) qui avait une chapelle particulière.
Le village fut occupé en février 1813 par un régiment français. Ce dernier perdit de nombreux hommes contre Wellington. On a découvert le corps de quelques-uns de ces malheureux à la fin du XXe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Espain du Leu, seigneur d'Oraàs qui vendit sa seigneurie pour une paire de bœufs.[réf. nécessaire]
- Pierre de Saint-Macary, baron du Leu, remania le « château » du même nom. C'est le père de la marquise de Lons.[réf. nécessaire]
- Cécile Sorel (1873-1966) doit être regardée comme « le » personnage d'Oraàs. Elle y vint en villégiature de nombreuses années chez son ami Maurice Escande secrétaire perpétuel de la Comédie française.[réf. nécessaire]
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Oraàs » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Oraàs », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Oraàs », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Oraàs », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale d'Oraàs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Oraàs et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Oraàs et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Salies-de-Béarn », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, , 738 p., p. 509.
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
Voir aussi
Bibliographie
- Alexis Ichas - Historial d'Oraàs 2010.
- Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne 2020.
Articles connexes
Liens externes
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