Audruicq

Audruicq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Audruicq

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité CC de la Région d'Audruicq
(siège)
Maire
Mandat
Nicole Chevalier
2020-2026
Code postal 62370
Code commune 62057
Démographie
Gentilé Audruicquois
Population
municipale
5 434 hab. (2019 )
Densité 376 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 52′ 47″ nord, 2° 04′ 53″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 22 m
Superficie 14,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Audruicq
(ville-centre)
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marck
Législatives 7e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Audruicq
Géolocalisation sur la carte : France
Audruicq
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Audruicq
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Audruicq
Liens
Site web ville-audruicq.fr

    Ses habitants sont appelés les Audruicquois.

    La commune fait partie de la communauté de communes de la Région d'Audruicq qui regroupe 15 communes et compte 27 630 habitants en 2018.

    Géographie

    Localisation

    La ville est la capitale de l'ancien pays de Bredenarde, « la terre large » en flamand, formé de Nortkerque, Zutkerque et Polincove, qui se trouve entre la plaine des wateringues et les collines boisées de l'Artois annonçant le Boulonnais.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

    Hydrographie

    Le canal de Calais borde la commune d'Audruicq au nord. D'une longueur de 32,51 km, il prend sa source dans la commune de Saint-Pierre-Brouck. Il a pour affluent le canal d'Audruicq, chenal navigable de 2,38 km, qui prend sa source dans la commune d'Audruicq et se jette dans canal de Calais au niveau de la commune d'Audruicq[1].

    La commune est également traversée par la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 775 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Urbanisme

    Panneau d'entrée de la commune.

    Typologie

    Audruicq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Audruicq, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[7] et 9 666 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,3 %), zones urbanisées (18,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Transports

    La gare d'Audruicq, située sur la Ligne de Lille aux Fontinettes, est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France. Ces TER effectuent des missions entre les gares de Lille-Flandres, ou d'Hazebrouck, et de Calais-Ville. Un parc pour les vélos et un parking pour les véhicules y sont aménagés.

    Toponymie

    Audruick (1793 et 1801).
    Ouderwijk en flamand[14] (littéralement le Vieux quartier)

    Histoire

    Audruicq a été fondée par le comte de Guînes Baudouin Ier de Guînes au XIe siècle[15].

    Audruicq était la ville principale du pays de Bredenarde faisant partie du comté de Guînes.

    Elle disposait d'un château-fort au Moyen-Âge : entre 1137 et 1142, lors de la difficile succession de Manassès Ier de Guînes, comte de Guînes, Arnould de Ham (Hames-Boucres) chargé de défendre les intérêts de Béatrix de Bourbourg, héritière de Manassès, contre les prétentions d'Arnould de Gand, futur comte sous le nom de Arnould Ier de Guînes, vient s'enfermer dans le château d'Audruicq où il est assiégé par Arnould de Gand. Il doit s'enfuir malgré le soutien apporté par Henri de Bourbourg, châtelain de Bourbourg, (famille de Bourbourg) père de Béatrix[16].

    Baudouin II, comte de Guînes l'érigea en ville en 1175, reconstruisit le château fort, fortifie la ville par des doubles fossés, bâtit une chapelle en l'honneur de saint Nicolas et convertit les marais avoisinants en terres labourables. Pour rendre la bourgade mieux connue et plus fréquentée, il y transfère le marché établi par les comtes précédents à Sutquerque (Zutkerque) et autorise une foire solennelle annuelle aux jours fériés de la Pentecôte[17].

    Au XIIIe siècle, comme d'autres cités du comté, Audruicq dispose d'une administration communale relativement autonome par rapport au comte de Guînes, (commune) : en 1254, Arnould III de Guînes déclare devoir à ses échevins de Guînes, Ardres, Audervic (Audruicq), et du pays de Bredenarde la somme de 20 700 livres parisis qu'ils avaient payé pour sa rançon[18]. Et en juillet 1272, avec son fils Baudouin IV de Guînes, châtelain de Bourbourg, seigneur d'Ardres, il confirme les privilèges d'Auderwicq[19].

    Après avoir changé continuellement d'autorité de tutelle entre le XIIIe siècle et le XVIIIe siècle (pendant vingt-cinq ans aux mains des Anglais, cédée à Charles Quint par la paix de Cambrai en1529, reprise par les Français, etc.)[15], Audruicq devient définitivement française après la paix de Nimègue en 1678.

    Pendant la première guerre mondiale, un camp anglais est implanté à Audruicq[20].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouvait de 1801 à 2016 dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

    Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Calais[21].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes de la Région d'Audruicq dont elle est le siège. La communauté de communes succède au SIVOM créé en 1971.

    Circonscriptions administratives

    La commune était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Audruicq[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Marck.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la septième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1891 1919 Florentin Mitenne[24]   Propriétaire
    Chevalier de la Légion d'honneur
        Louis Boo RG Conseiller général d'Audruick (1919 → 1926)
    1945[25]   André Villers RPF
    puis DVD
    puis UDR
    Pharmacien
    Conseiller général d'Audruick (1945 → 1973)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 2001 Albert Doublet[26] UDR puis RPR Commerçant
    Conseiller général d'Audruick (1973 → 2004)
    Conseiller régional[Quand ?]
    Président du SIVOM[Quand ?]
    mars 2001 2008 Philippe Caron UMP  
    mars 2008 En cours
    (au 31 janvier 2022)
    Nicole Chevalier UMP-LR Institutrice à la retraite
    Conseillère départementale de Marck (2015 → )
    Présidente de la CC Région d'Audruicq (2014[27] → )
    Réélue pour le mandat 2014-2020[28]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30]

    Jumelages

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[32].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Audruicquois[33].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2019, la commune comptait 5 434 habitants[Note 5], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7041 8742 2522 2122 2872 3732 2992 2962 263
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2542 2252 4792 3972 4282 6152 7032 8622 979
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0093 0343 0113 1903 0653 0403 0103 0293 033
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 3883 6063 6164 0784 5864 5554 6264 6365 204
    2017 2019 - - - - - - -
    5 4125 434-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 647 hommes pour 2 795 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    1,7 
    6,1 
    75-89 ans
    9,6 
    14,4 
    60-74 ans
    16,5 
    18,9 
    45-59 ans
    17,5 
    19,5 
    30-44 ans
    20,0 
    17,6 
    15-29 ans
    14,9 
    23,2 
    0-14 ans
    19,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les mercredis matin, le marché d'Audruicq est l'un des plus importants de la région et des plus typiques. Les paysans du secteur viennent vendre volailles, lapins, pommes de terre sur la place des Marronniers.

    Tous les ans (15 jours avant Pâques) : concours agricole.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2019, dans la commune, il y a 2 152 ménages fiscaux qui comprennent 5 301 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 6] de 20 200 euros, soit supérieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros. La part des ménages fiscaux imposés est de 49 % (57,6 % en France métropolitaine)[39],[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-François Bachelet, (1742-1835), né à Audruicq, magistrat et personnalité politique.
    • Gilbert Brazy,né à Audruicq. Aviateur, il disparaît en hydravion « Latham 47 » dans l'Arctique Nord en 1928 avec Roald Amundsen.
    • Clément Codron (1851-1930), mort à Audruicq. Ingénieur Arts et Métiers de Châlons, professeur du cours des arts mécaniques.
    • Surnommée « la Dame aux loups », « la Diane de Brédenarde » ou encore « la grande louvetière du Pas-de Calais », Marie Cécile Charlotte de Laurétan, baronne Lamoral de Draeck, est restée célèbre pour avoir nettoyé l'Artois des loups, 767 selon la légende, ce qui lui valut de ne pas être inquiétée pendant la Terreur.
    • Albert Doublet, né le à Ardres, mort le , figure marquante de la région, ancien maire, conseiller régional et conseiller général du canton d'Audruicq.
    • Paul Nizan, romancier et philosophe, a été tué non loin d'Audruicq le .

    Héraldique

    Les armes d'Audruicq se blasonnent ainsi :
    D’argent à la figure d’un évêque de carnation, vêtu d’une aube du champ, d’une tunique de pourpre, revêtu d’une chape de gueules brodée d’or, la mitre en tête du même, tenant de sa dextre une palme de sinople et de sa senestre une crosse aussi d’or, le tout accosté de deux écussons de gueules chargés d’une croix patriarcale d’argent[43].


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l’océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s’agit d’une fine bande tandis qu’à l’Ouest, cette transition s’élargit jusqu’à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l’Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L’amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l’hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de Calais (E41-0082 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 d'Audruicq », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    15. Pierre Larousse Grand dictionnaire encyclopédique du XIXe siècle, Tome 1.
    16. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy, Paris, 1631, p. 57, lire en ligne.
    17. A. du Chesne, option citée, p. 70.
    18. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904, Tome V, Année 1254.
    19. A. Wauters, option citée, Tome V, Année 1272.
    20. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 28, lire en ligne.
    21. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Les maires de Audruicq », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    24. « Florentin Nestor Mitenne », base Léonore, ministère français de la Culture.
    25. Archives départementales du Pas-de-Calais, 1 W 23408/2, notices de renseignements sur les maires du Pas-de-Calais.
    26. « Audruicq : la médiathèque Albert-Doublet, un hommage à l'ancien maire : Samedi, la municipalité organisait une opération portes ouvertes à la médiathèque aménagée dans l'ancienne mairie. L'occasion pour Nicole Chevalier, maire, de rendre hommage à Albert Doublet, maître des lieux pendant près de vingt-cinq ans », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Jennifer-Laure Djian, « Nicole Chevalier élue présidente de l’intercommunalité d’Audruicq, vendredi soir : Nicole Chevalier, maire d’Audruicq, a été élue présidente de la communauté de communes de la région d’Audruicq (CCRA), vendredi soir. D’une courte avance, vingt-deux voix pour elle contre dix-neuf à Olivier Majewicz, maire d’Oye-Plage – Dominique Pourre, le maire de Vieille-Église, s’était désisté pour le second tour. Autour d’elle, elle a installé sept vice-présidents. Récit d’une longue soirée », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Jean-Marc Szuba, « Les projets des maires : à Audruicq, Nicole Chevalier, saura « s’arrêter à temps » : Réélue maire en mars dernier, Nicole Chevalier se réjouit de l’esprit constructif de l’opposition. Avec son équipe, elle va réfléchir à l’aménagement d’une zone de sept hectares, entre la rue du Fort-Bâtard et la proximité de l’église. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    31. « Audruicq : 15 ans d'amitié avec Hawkhurst », Nord Littoral, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Audruicq (62057) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    39. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
    40. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
    41. L'Écho du Pas-de-Calais no 121 décembre 2011.
    42. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    43. Banque du Blason
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.