Aufferville
Aufferville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Aufferville | |||||
Vue vers l'entrée du bourg. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing | ||||
Maire Mandat |
Bruno Moulie 2020-2026 |
||||
Code postal | 77570 | ||||
Code commune | 77011 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Auffervillois | ||||
Population municipale |
499 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 12′ 56″ nord, 2° 36′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 101 m Max. 116 m |
||||
Superficie | 17,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nemours | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | aufferville.fr | ||||
En 2019, elle compte 499 habitants.
Géographie
Localisation
La commune d'Aufferville se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1].
Elle se situe à 41,86 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 25,35 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 9,48 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].
Le village est situé à 11 km au nord-Ouest de Château-Landon et à 9 km au sud-ouest de Nemours[Carte 1].
Communes limitrophes
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Châtenoy (2,4 km), Maisoncelles-en-Gâtinais (3,3 km), Chevrainvilliers (3,4 km), Obsonville (3,6 km), Bougligny (4,2 km), Ormesson (4,6 km), Ichy (4,8 km), Garentreville (5,0 km).
Géologie et relief
Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.
L'altitude varie de 101 mètres à 116 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 109 mètres d'altitude (mairie)[Carte 2].
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[6],[7].
Carte du relief d'Aufferville. Carte géologique vectorisée et harmonisée d'Aufferville.
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
| ||||||||
Pléistocène | |||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent | |||||||||
Miocène | non présent | ||||||||||
Paléogène | Oligocène |
| |||||||||
Éocène | non présent. | ||||||||||
Paléocène | non présent. | ||||||||||
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[8].
Hydrographie
Il n'existe aucun réseau hydrographique de surface[9].
Climat
Aufferville, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[10],[11],[12].
Urbanisme
Typologie
Aufferville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,45% % en 2018), une proportion sensiblement identique à celle de 1990 (95,64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,08 %), forêts (2,94 %), zones urbanisées (1,60 %), prairies (1,38 %)[18].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
25,14 ha | 1,42 % | 28,49 ha | 1,60 % | 3,36 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
1 698,43 ha | 95,64 % | 1 695,08 ha | 95,45 % | −3,36 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
52,22 ha | 2,94 % | 52,22 ha | 2,94 % | 0 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Lieux-dits et écarts
La commune compte 87 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[21] dont Busseau, Jarville, Maison-Rouge et Morville.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 247 dont 95,1 % de maisons et 4,9 % d’appartements.
Parmi ces logements, 80,9 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,4 % contre 13,1 % de locataires et 0,5 % logés gratuitement[22] -[Note 6].
Voies de communication
Plusieurs routes départementales relient Aufferville aux communes voisines :
- la D 7, à Ichy, à l'ouest ; et à Maisoncelles-en-Gâtinais, au sud-est ;
- la D 52, à Bougligny, à l'est ;
- la D 52A, à Chevrainvilliers, au nord ;
- la D 103, à Obsonville, à l'ouest ;
- la D 403, à Châtenoy, au nord-est ; et à Obsonville et Ichy, au sud-ouest ;
- la D 403e1, à Faÿ-lès-Nemours, au sud-est.
Transports
Aufferville est desservie par deux lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[23],[24],[25] :
- la ligne 13A, qui relie Aufferville à Saint-Pierre-lès-Nemours ;
- la ligne 13C, qui relie Beaumont-du-Gâtinais à Saint-Pierre-lès-Nemours.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Orfavilla en 1212, Parrochia de Offarvilla en 1257[26].
Le nom fait allusion aux scories de fer souvent employées dans la construction des routes et chemins.
Histoire
Préhistoire
Dès la préhistoire, l’Homme prend possession de la région. La population devait se concentrer du côté de Maison-Rouge car elle y trouvait les blocs de grès pour tailler ses outils sur des polissoirs, nombreux aux confins de Maison-Rouge et de Faÿ-les-Nemours, ou des fouilles furent effectuées dans la première moitié du XXe siècle. Sous l’époque romaine, les villas sont des maisons de campagne. Les rois francs donnèrent le nom de villa aux métairies qu’ils s’étaient réservés dans la Gaule[27].
Ancien Régime
Aufferville, anciennement Offervilla sur une charte de l'année 1192[28], faisait partie du Gâtinais français, élection et bailliage de Nemours. Dans cette charte, Guy de Noyers, archevêque de Sens, reconnaît qu'un certain Guy Morelli a résigné entre ses mains tout ce qu'il possédait de menue dîme à Bougligny et à Aufferville, et en même temps il déclare qu'il en fait l'abandon aux chanoines de sa cathédrale qui desservent l'autel de Saint-Jean-Baptiste.
Les Templiers et les Hospitaliers
La seigneurie de Fargeville qui fait partie de la paroisse d'Aufferville appartenait à la commanderie de l'Hôpital, autrefois du Temple, établie à Beauvais près Nemours (dite commanderie de Beauvais-en-Gâtinais)[29]. Pour l'administration ecclésiastique, c'était une paroisse du diocèse de Sens, doyenné de Milly et archidiaconé du Gâtinais[30].
Époque contemporaine
En 1901, la commune est essentiellement à vocation agricole, cultures mais aussi élevage. Les artisans tournent autour de l'agriculture : charron, maréchal–ferrant, tous dans le bourg mais Busseau aura durant quelques années son propre épicier-café[31]. Durant la Seconde Guerre mondiale, le fonctionnement administratif de la commune continue quels que soient les dirigeants de l’État[31].
L’Après-guerre démarre durement, avec la poursuite des restrictions. Par contre le plan Marshall américain pour la reconstruction de l’Europe permet de voir arriver les premiers tracteurs[31].
Les hameaux au XVIIIe siècle
Grigny, ainsi que les hameaux suivants : Busseau , Jarville, Maison-Rouge et Morville.
D'après la tradition, Jarville dépendait de la paroisse d'Obsonville, mais pendant une épidémie le curé de cette dernière localité, ne voulant pas porter les derniers secours de la religion aux habitants de Jarville, celui d'Aufferville se dévoua pour la circonstance. En reconnaissance, les habitants de Jarville voulurent que leur village fît partie de la paroisse d'Aufferville[27].
Ce qui était appelé le fief de Lormoy, autrement dit de la Maison-Rouge fut sous la dépendance de la commanderie du Temple de Beauvais-en-Gâtinais (commune de Grez-sur-Loing) lors de la vente de la seigneurie de Fargeville aux chevaliers du Temple par Gauthier de Nemours. Le hameau de Grigny disparu était situé entre Maison-Rouge et l’actuelle maison dite de Grigny.
Le hameau de Morville fut acheté par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1258. Plus tard, les chanoines de la cathédrale de Sens reprirent cette terre jusqu'à la Révolution. Jean de Rogres, bailli de Nemours, achète en 1571 à Guillaume de Boulay la seigneurie de Morville qui restera dans la famille jusqu'à la Révolution.
Politique et administration
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [33],[34].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune d'Aufferville ne dispose pas d'assainissement collectif[35],[36].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[37]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée[35],[38].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [35],[39],[40].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2019, la commune comptait 499 habitants[Note 7], en diminution de 7,93 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Événements
- Vide-grenier et exposition artisanale le 8 mai.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 205, représentant 541 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 290 euros[45].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 105, occupant 248 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,8 % contre un taux de chômage de 9,9 %.
Les 18,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,8 % de retraités ou préretraités et 4,9 % pour les autres inactifs[46].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 60 dont 9 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l’industrie, 18 dans la construction, 29 dans le commerce-transports-services divers et 2 étaient relatifs au secteur administratif[47].
Ces établissements ont pourvu 55 postes salariés.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église sous le vocable de Saint Martin, XIIe siècle, Inscrit MH (1926)[48],[49].
- Elle est caractéristique des églises du Gâtinais. À l'intérieur de l'église, on peut découvrir la nef, un chœur plus étroit et l'abside semi-circulaire. Le bas-côté sud fut rajouté à la construction primitive au XVe siècle après le rattachement de Jarville à Aufferville.
- Le portail est du XIIIe siècle, les fonts baptismaux de pierre sont de 1653, et le retable d'autel du XVIIIe siècle. Comme la plupart des petites églises de campagne, elle n'est aujourd'hui ouverte qu'à certaines occasions, en raison de la présence intermittente d'un prêtre désormais responsable de nombreuses anciennes paroisses alors que chaque village avait encore un curé à demeure dans la première moitié du XXe siècle.
- La croix Saint Pierre, place de l'Église, (3,5 m de haut, XIIIe – XIVe siècle).
- Le baromètre à cadran du XIXe siècle accroché sur le mur de la mairie, don d'un particulier.
- Le vestige d'une porte charretière au hameau de Morville (XVIIIe siècle).
- La croix Saint Marc au hameau de Maison Rouge.
- La croix Saint Jean rénovée à la sortie du hameau de Morville.
- La croix dite à Martin Cornichon sur la petite place Saint-Martin.
- La croix dite à Lesage aux limites des communes d'Aufferville, de Bougligny et Maisoncelles.
- Deux bornes milliaires à l'entrée et sortie du village sur la D 403.
- Le Polissoir dit d'Aufferville/Maison Rouge en limite de la commune de Faÿ-lès-Nemours.
L'église Saint-Martin. L'intérieur de l'église Saint-Martin. Le centre d'Aufferville, la croix Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
- Martin-Jules Chouard (1839-1919), artiste peintre, né au hameau de Morville.
Voir aussi
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Localisation de Aufferville » sur Géoportail (consulté le 22 mars 2020)..
- « Aufferville » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Aufferville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
Références
- « Métadonnées de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Distance entre Aufferville et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Aufferville et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Aufferville et Nemours », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aufferville », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Plan séisme consulté le 30 octobre 2020 ».
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 19 avril 2019
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
- Statistiques officielles de l'Insee.
- « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 72 : secteur de Nemours).
- « Réseaux de bus - Transdev Ile-de-France Nemours », sur transdev-idf.com (consulté le ).
- « Plans & horaires - Aufferville », sur transdev-idf.com (consulté le ).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 925 - (ISBN 2-60000-133-6).
- « Avant le XXe siècle », sur http://auffervillevillage.wordpress.com/ (consulté le ).
- Gallia Christiana nova, tom. XII. Instrum. col. 362
- Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 97.
- Almanach historique, topographique et statistique du département de Seine & Marne et du diocèse de Meaux. 1863, Editions Amatteis, p. 121.
- « Histoire d’Aufferville au XXe siècle par Mr. Tardy », sur http://auffervillevillage.wordpress.com/ (consulté le ).
- « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
- « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
- « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
- « Commune d'Aufferville - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « Fonctionnement des services d'assainissement collectif de Seine-et-Marne - carte arrêtée en février 2020 », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
- « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
- « Aufferville - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « SIAEP de Nemours, Saint-Pierre - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « SIAEP de Nemours, Saint-Pierre - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 30 octobre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 30 octobre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 30 octobre 2020
- « L'église », notice no PA00086800, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Objets mobiliers de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
- Portail des communes de France
- Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
- Portail de l'ordre du Temple
- Portail de Seine-et-Marne