Aussac-Vadalle
Aussac-Vadalle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Aussac-Vadalle | |||||
Mairie d'Aussac-Vadalle. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Charente | ||||
Maire Mandat |
Gérard Liot 2020-2026 |
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Code postal | 16560 | ||||
Code commune | 16024 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
515 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 49′ 02″ nord, 0° 13′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 163 m |
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Superficie | 17,61 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Boixe-et-Manslois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.aussac-vadalle.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
Aussac-Vadalle est une commune située à 19 km au nord d'Angoulême.
Aussac-Vadalle est aussi à 2 km au nord-est de Tourriers, 5,5 km au nord-est de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton et 6 km au sud de Mansle[1].
La route nationale 10 entre Angoulême et Poitiers, aménagée en voie express 2x2 voies, traverse l'ouest de la commune. La commune est aussi traversée par la D 15, de Saint-Angeau à Montignac, qui traverse Vadalle, la D 115 qui traverse Aussac, et la D 40 (dite route de la Duchesse) qui va de La Rochefoucauld à Mansle et traverse le nord-est de la commune par Ravaud[2].
Aussac-Vadalle est à 10 km au nord de l'aéroport d'Angoulême et la gare la plus proche est celle d'Angoulême (TER et TGV, Paris, Bordeaux, Saintes, Royan, Poitiers, Limoges), ou celle de Luxé à 11 km pour aller (TER Angoulême, Poitiers).
Hameaux et lieux-dits
Par ordre décroissant d'importance[2] :
- Vadalle (où est située la mairie)
- Ravaud
- Aussac
- la Grange
- chez Bourrier
- Puymerle
- le Chalet de la Boixe
- le Moulin de Ravaud
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est constitué d'un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien terminal, Kimméridgien). Il fait partie du plateau de la Boixe et de la Braconne, de nature karstique. Quelques petites zones de grèzes occupent certains endroits : à l'est d'Aussac, et entre le château de la Boixe et la route nationale 10[3],[4],[5].
Le point culminant de la commune est à une altitude de 163 m, situé près du bourg d'Aussac (borne IGN). Le point le plus bas est à 84 m, situé sur la limite orientale. Le bourg d'Aussac est à 150 m d'altitude et celui de Vadalle à 120 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par un petit cours d'eau, de 2 km de longueur totale[7],[Carte 1].
On peut toutefois signaler le vallon de Vadalle, où il y a quelques fontaines et un ruisseau intermittent. Ce ruisseau n'est permanent qu'entre Ravaud et le moulin de Ravaud. Il s'écoule vers le nord-est et s'infiltre avant d'atteindre la Tardoire plus au nord[2].
Gestion des cours d'eau
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Végétation
La forêt de Boixe s'étend en partie sur la commune, bien qu'une importante déforestation l'ait décimée à partir du Moyen Âge.
Dialectes
La commune marque l'extrémité occidentale de la langue d'oc en Charente, dialecte marchois, avec la langue d'oil, dialecte saintongeais[10].
Urbanisme
Typologie
Aussac-Vadalle est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), forêts (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %), zones urbanisées (3 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Les formes anciennes sont Alciagus en 914[17], Auciacum et Vadales en 1308[18], Aussac au XIIe siècle[19],[Note 3].
L'origine du nom d'Aussac remonterait à un personnage gallo-romain Alcius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Alcius»[20],[21].
Histoire
Au Moyen Âge, la paroisse d'Aussac était entièrement recouverte par la forêt de la Boixe. Au XIe siècle, Aussac et Vadalle n'étaient qu'une large clairière, entourée de tous côtés par la forêt. Les défrichements successifs ont fait reculer la forêt qui n'occupe plus aujourd'hui qu'une petite partie occidentale du territoire communal[22].
Le prieuré de Notre-Dame de Ravaud, de l'ordre de Grandmont, fondé en 1150, comptait en 1317 une vingtaine de membres. Il a été transféré au XVIIe siècle à l'annexe de Badeix, près de Nontron. Il n'en reste que quelques vestiges.
Le village de Ravaud est traversé par la D 40, dite route de la Duchesse[Note 4]. Une source prend naissance au centre du bourg, où se trouve une fontaine et le ruisseau traverse un beau lavoir avant de s'éloigner vers le moulin de Ravaud. On s'y rendait en pèlerinage lors de grandes sécheresses[22].
D'autres sources, la Font Bénite et Font Carabin, rejoignent le ruisseau en l'alimentant de façon régulière.
À Puymerle, dans la forêt, on trouve encore une petite chapelle qui faisait l'objet de frairies[Note 5] le 22 mai, fête patronale. C'était une cénobie dépendant de l'abbaye de Grosbot nommée Sainte-Quitterie, abandonnée après la campagne protestante de 1568.
Du logis de Puychaussac, qui a appartenu à différentes familles entre le XVIe et le XVIIIe siècle, il ne reste plus rien[23],[24].
Au XVIIIe siècle, les dindes élevées sur le territoire d'Aussac dans la forêt et nourries en automne aux glands et faînes étaient réputées sur le marché d'Angoulême[23].
En 1124, Vadalle a été le lieu d'un duel judiciaire entre l'abbé de Saint-Amant et une famille qui lui contestait une donation. L'affaire s'est finalement terminée en transaction[22].
Le bourg de Vadalle a depuis toujours une vocation économique dynamisée par la circulation sur la D.15 avant l'arrivée du chemin de fer, en particulier des rouliers qui transportaient du vin de Vars et Saint-Amant vers le Limousin et le Centre de la France[22], puis s'est ajoutée une activité administrative avec l'implantation de l'école et de la mairie.
Politique et administration
La commune d'Aussac-Vadalle a été créée en 1793, puis elle est devenue Aussac en 1801. En 1985 elle est redevenue Aussac-Vadalle afin d'éviter des confusions avec d'autres communes[25].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2019, la commune comptait 515 habitants[Note 6], en augmentation de 1,38 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 260 hommes pour 251 femmes, soit un taux de 50,88 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Aussac-Vadalle a commencé sa baisse démographique dans la deuxième moitié du XIXe siècle et l'a continuée durant un siècle. Elle a maintenant retrouvé sa population de 1931, moins de la moitié de celle du milieu du XIXe siècle.
Économie
Agriculture
L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].
Industrie
Sur 1 760 ha desservis par 50 km de chemin vivent 400 habitants (en 2006). L’activité économique principale est l’agriculture, bien que l’on trouve une petite entreprise de transport, une carrière et le restaurant "La Belle Cantinière" sur la N 10.
Le parc éolien d'Aussac-Vadalle a été construit en 2010. Il comporte quatre éoliennes, d'une puissance totale de 8 MW ce qui assure une production électrique et un nouveau revenu financier pour la commune et la communauté de communes de Boixe[32].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Anais, Aussac-Vadalle et Tourriers.
Aussac-Vadalle et Tourriers accueillent des écoles élémentaires, Anais accueille l'école maternelle et l'école primaire[33].
Autres équipements et services
Une salle des fêtes a été inaugurée en 2008 à Vadalle près de la mairie.
Vie locale
La vie associative est très présente avec sept associations qui animent la commune.
Les principales manifestations sont la fête de Puymerle à l'Ascension, la course cycliste régionale en mai, le feu de la Saint-Jean et les championnats internationaux, nationaux et régionaux de tir sportif, et notamment le championnat de France de tir sur silhouette métallique tous les quatre ans.
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Pierre
L'église paroissiale Saint-Pierre d'Aussac dont l'existence est citée en 922 possède la litre funéraire de François VI, duc de La Rochefoucauld[32] datant de 1680. L'origine de cette église donnée à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe remonte au Xe siècle. Elle fut en partie reconstruite à la fin du XVIe siècle après les guerres de religion, avec un presbytère adjacent encore existant, vendu comme bien national à la Révolution. La voûte a été refaite au XIXe siècle et un clocher-mur ajouté. C'est lors de cette restauration que la litre funéraire a été découverte sur le latéral nord[34]. Dans les années 2000, un chemin de croix a été peint par les peintres bénévoles de l'association Bandiat-Tardoire en réutilisant les cadres de chêne noir d'époque.
Ermitage de Puymerle
La clairière de Puymerle et le petit hameau abandonné qui abrite toujours les ruines de l'ermitage de Puymerle, une chapelle à demi enterrée dédiée à sainte Quitterie[Note 7] et dépendant de l'abbaye de Grosbot. Cette cénobie fût construite au XIIe siècle. L'endroit faisait l'objet d'un pèlerinage annuel le 22 mai, d'autant qu'il y avait un puits miraculeux[35],[36].
Celle grandmontaine
À Ravaud, on trouve les vestiges d'une celle grandmontaine, fondée entre 1150 et 1160 par le comte d'Angoulême Guillaume VI. En 1317, elle devient prieuré et les petites celles de Gandory, Beusault, Rauzet (Charente) et Badeix (Dordogne) lui sont unies[37],[34]. Le bâtiment actuel date en partie du XVe siècle[38].
Chapelle funéraire
La chapelle néo-gothique située à côté de l'église d'Aussac était celle de l'ancien cimetière, et l'ancienne chapelle mortuaire de la famille Vallier, famille de notables d'Aussac, que la municipalité a tenu à conserver[34].
Croix
Toujours à Aussac, une croix de pierre marquée des signes des compagnons fait face à la petite chapelle funéraire située sur la place JB.Hériard qui fut le premier maire en 1790.
- L'église Saint-Pierre d'Aussac.
- L'ermitage de Puymerle.
- Le prieuré de Ravaud.
- Chapelle funéraire et croix de pierre.
Patrimoine civil
Un réseau de souterrains médiévaux relie les maisons et les villages[réf. nécessaire].
Sont aussi à citer le chalet de la Boixe, où a séjourné le peintre Eugène Delacroix, et trois puits communaux.
Personnalités liées à la commune
- Eugène Delacroix a séjourné au chalet de la Boixe.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les formes Alterio, Auterio du XIIe siècle, dans ce même cartulaire, identifiées aussi à Aussac, peuvent aussi identifier Altier, un personnage.
- En l'honneur de la duchesse de La Rochefoucauld au château de laquelle cette route aboutit après avoir traversé la forêt de la Braconne.
- Dans les Charentes, une frairie est un rassemblement festif annuel.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Appelée aussi sainte Quitière ou sainte Acquittière en Charente.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Aussac-Vadalle » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- BRGM, « Notice de la feuille de Mansle » [PDF], sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Aussac-Vadalle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur https://eau-grandsudouest.fr (consulté le )
- Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Louis Adolphe Terracher, Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), vol. 212, Bibliothèque de l'École des hautes Études, éd. Honoré Champion, Paris, , 450 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 57
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 114
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 190
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 34-35.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 64-65
- Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 189-191
- Étienne Munier, L'Angoumois à la fin de l'Ancien Régime, (réimprimé en 1981 par Bruno Sépulchre, Paris), , 307 p., p. 209
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aussac-Vadalle (16024) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de la mairie
- Site de l'inspection académique de la Charente
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 54
- « Site d'Aussac-Vadalle, l'ermitage de Puymerle », sur aussac-vadalle.fr, (consulté le )
- P. Saulnier, études locales, 11e année, 101, mai 1930, p.151-152 in, « Lieux de cultes dédiés à sainte Quitterie », (consulté le )
- « Celle grandmontaine de Ravaud », sur grandmont.pagesperso-orange.fr, (consulté le )
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 88
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel d'Aussac-Vadalle
- Catillus Carol, « Aussac-Vadalle », sur charente.angouleme.free.fr, (consulté le )
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