Tourriers

Tourriers est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Tourriers

La mairie de Tourriers.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
(siège)
Maire
Mandat
Laurent Danede
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16383
Démographie
Gentilé Tourrierois
Population
municipale
758 hab. (2019 )
Densité 112 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 54″ nord, 0° 11′ 33″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 141 m
Superficie 6,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tourriers
Géolocalisation sur la carte : France
Tourriers
Géolocalisation sur la carte : Charente
Tourriers
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Tourriers
Liens
Site web www.tourriers.fr

    Ses habitants sont les Tourrierois et les Tourrieroises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Tourriers est une commune située à 17 km au nord d'Angoulême et km à l'est de Saint-Amant-de-Boixe, au sud de la forêt de la Boixe, sur la RN 10 entre Angoulême et Mansle.

    Le bourg de Tourriers est aussi à km au nord-est de Vars, km au sud de Mansle, 16 km au nord-ouest de La Rochefoucauld et 26 km au sud de Ruffec[2].

    La route nationale 10 entre Angoulême et Poitiers traverse la commune du sud au nord, et contourne le bourg à l'ouest par une déviation aménagée en voie express depuis 1987. L'ancienne nationale a été renumérotée en D 915.

    La commune est aussi traversée par la D 32 et la D 88 qui passent au bourg et la D 113 au sud de la commune (demi-échangeur sud avec la N 10)[3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune est composée de plusieurs hameaux :

    • Bouffanais à l'est du bourg
    • Fenêtre au sud du bourg
    • La Faye situé au sud-ouest de la commune. La route traversant ce hameau constitue la limite entre Tourriers et Saint-Amant-de-Boixe. La partie orientale de la Faye se trouve donc sur Tourriers ; la partie ouest, elle, est sur la commune de Saint-Amant-de-Boixe[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien, et Oxfordien au nord). Il est de nature karstique[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau, celui de Braconne-Boixe, d'une altitude moyenne de 120 m. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 141 m, situé au sud en limite avec Vars. Le point le plus bas est à 89 m, situé en limite sud-est. Le bourg est à 110 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Tourriers.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[8],[Carte 1].

    Le territoire de la commune de Tourriers constitue la haute vallée du bassin versant de l'Argence, affluent de la Charente.

    De par la nature karstique du sol, on ne trouve aucun cours d'eau permanent sur la commune[3]. Il existe toutefois de nombreuses sources alimentant par intermittence l'Argence dont la source est officiellement située en aval, sur la commune limitrophe d'Anais.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Tourriers est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,6 %), zones urbanisées (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), forêts (0,4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Tauresio en 1110, Thaureis (non daté, XIIe siècle), Toureis en 1138[15], Tauresio, Toresio vers 1300[16], Taureis, Tourezio (non datées)[17].

    L'origine du nom de Tourriers remonterait à un nom de personne gallo-romain Taurisius, ce qui correspondrait à Taurisium [fundum], « domaine de Taurisius »[18],[19].

    Histoire

    L'époque romaine a laissé quelques traces dans la commune. Au nord du hameau de la Perroquerie, au lieu-dit la Grosse Borne, la voie d'Agrippa de Saintes à Limoges et Lyon traverse l'ancienne et la nouvelle route nationale 10. Selon AF. Lièvre, cette partie de la voie romaine entre Tourriers et Montignac portait encore jusqu'au XVIIe siècle le nom de Chaussade[20].

    Au sud-ouest du bourg, des tegulae, des murs et une source aménagée en bassin supposent l'implantation d'une villa gallo-romaine[21].

    Au Moyen Âge, Tourriers était une châtellenie qui relevait de l'évêque d'Angoulême. Au XIIIe siècle, elle appartenait à une famille qui avait la particularité de ne pas s'être choisi de nom patronymique. Néanmoins, les plus anciens descendants connus qui vivaient au XIe siècle étaient Guillaume Arnaud en 1075, et enfin Pierre et Audouin Baudrand en 1261, en passant par Umbert Guirille, Arnaud Tubadou, Arnaud Bouchard. Ce dernier a causé des dégâts à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe et les a réparés par des largesses.

    Par mariages successifs, la seigneurie de Tourriers passa entre de nombreuses mains : Jean, vicomte de Brosse, Reynaud de Prétigné, André de Chauvigny. En 1329, ce dernier se qualifiait de seigneur de Châteauroux, vicomte de Brosse et seigneur de Tourriers. Dans la seconde moitié du XIVe siècle, Guy de Chauvigné céda Tourriers au comte de Thouars, qui la céda à son tour, en 1399, à Guy VIII de La Rochefoucauld, pour 1 200 livres en or.

    La famille de La Rochefoucauld conserva Tourriers jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Lorsque La Rochefoucauld fut érigé en duché-pairie en 1622, la baronnie de Tourriers fut comprise dans le duché et releva directement du roi.

    Dès le Moyen Âge, le château avait cessé d'être entretenu et il n'en reste aujourd'hui que peu de vestiges.

    Au XVe siècle, un petit prieuré fut créé à Tourriers, par l'abbaye de Saint-Cybard, en remplacement du prieuré de l'Age-Monjau qui existait dans la commune de Jauldes et qui avait été ruiné par les Anglais.

    Les registres de l'état civil conservés dans la commune ne remontent qu'à 1733.

    Au début du XXe siècle, d'importantes foires, surtout pour les chevaux, se tenaient encore au bourg le 23 de chaque mois[22].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à la tour d'argent, maçonnée de sable et soutenue de l'inscription « TURIS » écrite à la verticale en majuscules du même; chaussé de sinople chargé à dextre de deux épis de blé tigés et feuillés d'or et à senestre d'un pampre de vigne du même ; au chef affaissé de sinople le trait mouvant des angles.

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    8 février 1790 13 novembre 1791 Louis Huet Jeune   Notaire Royal
    13 novembre 1791 2 décembre 1792 Jean Pelletan Jeune    
    2 décembre 1792 14 juillet 1795 Jean-Etienne Guichard    
    14 juillet 1795 31 janvier 1807 Louis Huet Jeune   Notaire impérial
    31 janvier 1807 2 mars 1815 François Gauvain    
    2 mars 1815 10 juillet 1843 Pierre-Amédée Huet   Notaire
    10 juillet 1843 24 septembre 1848 Charles Huet   Notaire
    24 septembre 1848 14 mars 1861 Louis Berthoumeau    
    14 mars 1861 9 octobre 1870 Jean-Abel Imbaud    
    9 octobre 1870 18 juin 1871 Jean Mesnard Aîné    
    18 juin 1871 11 décembre 1871 Charles Huet   Notaire
    11 décembre 1871 5 août 1877 Jean Brurat   Charron
    5 août 1877 21 janvier 1878 Pierre Barraud    
    21 janvier 1878 ... Jean Mesnard Aîné    
    ... ... Pierre-Arsène Mesnard   Docteur en médecine
    ... 17 mai 1896 Jean Mesnard Aîné    
    17 mai 1896 17 mai 1908 Louis Nadaud    
    17 mai 1908 19 mai 1912 Léon Lavauzelle   Marchand de bestiaux
    19 mai 1912 16 mai 1925 Jules Raimbault   Notaire
    16 mai 1925 12 novembre 1944 Antonin Gougeon    
    3 décembre 1944 20 mai 1945 Jules Barrand    
    20 mai 1945 22 mars 1959 Eugène Jourde    
    22 mars 1959 mars 1977 Robert Godeberge UDR Inspecteur des impôts
    Suppléant du député Michel Alloncle
    mars 1977 mars 1983 Rémy Neveu    
    mars 1983 mars 1995 Maurice Goumet    
    mars 1995 mars 2008 Gérard Auclair   Enseignant
    mars 2008 mars 2014 Christian Annessi SE Cadre retraité
    mars 2014 En cours Laurent Danède LR Ingénieur territorial au Grand-Angoulême

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2019, la commune comptait 758 habitants[Note 3], en diminution de 0,52 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
    648658785819832865883784772
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    811797805770656567538519515
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    513416433427441398419409467
    1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2019
    543584579587697728762757758
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 371 hommes pour 386 femmes, soit un taux de 50,99 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    1,8 
    3,5 
    75-89 ans
    5,2 
    17,0 
    60-74 ans
    13,2 
    23,2 
    45-59 ans
    20,5 
    23,5 
    30-44 ans
    23,8 
    11,3 
    15-29 ans
    13,5 
    21,3 
    0-14 ans
    22,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école publique est un RPI entre Anais, Aussac-Vadalle et Tourriers. Aussac-Vadalle et Tourriers accueillent des écoles élémentaires, Anais accueille l'école maternelle et l'école primaire. L'école communale, située route de Paris, comprend deux classes. Le secteur du collège est Saint-Amant-de-Boixe[29].

    Lieux et monuments

    L'église de Tourriers.

    L'église paroissiale Saint-Hilaire, assez petite, est enserrée dans le vieux bourg. Elle tombait en ruine dès le milieu du XVIIe siècle et a été réparée à de nombreuses reprises. Elle aurait été l'ancienne chapelle du château[22].

    Personnalités liées à la commune

    • Julien Maitron, coureur cycliste d'avant 1914, mort en 1972 à Tourriers.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Tourriers » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Tourriers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125, 138, 157
    16. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 98,101,102,114
    17. Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 18
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 682.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Auguste-François Lièvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, in Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1878-1879 (lire en ligne), p. 264
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 192
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 387
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tourriers (16383) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    29. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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