Balma

Balma est une commune française située dans la banlieue est de Toulouse, dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre.

Balma

Lotissements du sud de la commune de Balma en 2006.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Vincent Terrail-Novès
2020-2026
Code postal 31130
Code commune 31044
Démographie
Gentilé Balmanais
Population
municipale
16 625 hab. (2019 )
Densité 1 002 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 40″ nord, 1° 29′ 58″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 218 m
Superficie 16,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Toulouse-10
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Balma
Géolocalisation sur la carte : France
Balma
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Balma
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Balma
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Mort, la Saune, la Seillonne, le ruisseau de Noncesse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (le « biotope des prairies à Orchis lacté ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Balma est une commune urbaine qui compte 16 625 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Balmanais ou Balmanaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Thégra, inscrit en 1984.

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune de Balma se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Pin-Balma (3,3 km), Quint-Fonsegrives (3,6 km), Montrabé (4,2 km), Toulouse (4,6 km), L'Union (5,3 km), Mondouzil (5,3 km), Flourens (5,4 km), Beaupuy (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Balma fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].

    Balma est limitrophe de six autres communes.

    Balma est située au nord de la Haute-Garonne, dans l'unité urbaine et l'aire d'attraction de Toulouse, à 5,5 km de son centre-ville[5]. Située en banlieue est de Toulouse, elle est limitrophe de la ville.

    Hydrographie

    Elle est drainée par l'Hers-Mort, la Saune, la Seillonne, le ruisseau de Noncesse, Riou Gras, le ruisseau de la garrigue et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[6],[Carte 1].

    L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[7].

    La Saune, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune de Vaux et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 18 communes[8].

    La Seillonne, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sausse à L'Union, après avoir traversé 11 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 712 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,8 °C pour 1981-2010[18], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « biotope des prairies à Orchis lacté », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 14,5 ha[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[23] : les « prairies de l'aérodrome de Toulouse-Lasbordes » (47 ha)[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Balma est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 2],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,4 %), terres arables (33,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), forêts (1 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication

    La commune est accessible en voiture par le périphérique de Toulouse, sorties  15 - Roseraie,  16 - Soupetard et  17 - Lasbordes. Seul l'échangeur 16 permet une circulation aisée des autres modes de déplacements actif piétons et vélos.

    Transports

    La commune compte sur son territoire une station du métro de Toulouse, la station Balma - Gramont, terminus de la ligne A, située au nord de Balma, au niveau de la zone d'activités de Gramont.

    La station accueille également les bus de la ligne 20 du réseau Tisséo vers Beaupuy via la ZI Montredon ; la 51 vers le quartier La Terrasse à Toulouse via le centre de Balma ; la 68 vers Castelmaurou via la ZI Montredon ; la 72 vers le quartier Lasbordes via les quartiers du Vidailhan, du Cyprié et le centre de la commune ; la 83 vers le lycée de Saint-Orens-de-Gameville via le sud de la commune ; la 84 vers le collège de Quint-Fonsegrives via le centre-ville et le quartier Lasbordes ; la 101 vers Mondouzil ; la 102 vers Drémil-Lafage via le nord de Balma ; la 103 vers Drémil-Lafage via le nord de Balma également. Le terminus de Balma - Gramont accueille également les autocars de la ligne express Hop!304 du réseau Arc-en-Ciel vers Bessières ; la 353 vers Bessières ; la 376 vers Verfeil ; la 381 vers Le Faget.

    Le sud de la commune est également desservi par une ligne de bus à haut niveau de service du réseau Tisséo, le Linéo L1 qui mène au centre-ville de Toulouse et jusqu'au quartier des Sept Deniers depuis Quint-Fonsegrives.

    Balma est également desservie par la ligne 104 du réseau Tisséo qui mène à Aigrefeuille depuis la route de Castres, et par la ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel qui mène à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

    L'aérodrome de Toulouse - Lasbordes d'aviation générale, est situé sur le territoire de la commune.

    Histoire

    La vie connue sur la commune de Balma commence dès la préhistoire (partie terminale du Paléolithique inférieur), comme en témoignent les récoltes de mobilier préhistorique faites au XIXe siècle et déposées au muséum de Toulouse.

    Au Moyen Âge c'est un petit fief appartenant, au moins en partie, à l’évêché de Toulouse, elle est érigée en baronnie épiscopale en 1279. C’est donc l’évêque qui est à cette époque seigneur et baron de Balma, puis l'archevêque après l'élévation de l'évêché de Toulouse au rang d'archevêché en 1317. La baronnie de Balma a deux consulats, celui du Pin et celui de Balma. Les consuls sont nommés chaque année par le seigneur évêque, le jour de la Toussaint. Ils sont les intermédiaires entre la noblesse de robe ou d’épée, la grande bourgeoisie et les représentants des ordres religieux d’une part, le peuple de la campagne balmanaise d’autre part.

    Leur rôle principal est d’administrer les deniers communaux. Ils lèvent les impôts et les tailles. Ils veillent à l’entretien des chemins, au bon état des ponts et des arbres bordant les routes. Ils assurent l’ordre et la tranquillité dans leur communauté en veillant sur les bonnes mœurs et en faisant respecter les propriétés et les récoltes.

    Sous l’Ancien Régime, la population de Balma se compose alors surtout de familles d’agriculteurs. Un petit nombre d’artisans demeure à Lasbordes.

    La baronnie épiscopale de Balma est vendue au marquis Guillaume de Castelpers le . En 1789, de nombreuses propriétés ou pièces de terre changent de mains, par la confiscation et la vente des biens du clergé et de la noblesse. Cependant, le mode de vie des balmanais, petits propriétaires, brassiers ou métayers en général, ne change nullement.

    • La commune de Balma est créée par un décret de l’Assemblée nationale constituante le . La commune occupe, à quelques variantes près, le territoire du consulat de Balma. Le premier maire est Henri Lassalle-Préserville.
    • Au cours du XIXe siècle et jusqu’à la grande guerre, la commune de Balma construit ses chemins, se dote d’une mairie et d’un bureau de poste, bâtit presque seule une église au centre de son territoire et reconstruit presque entièrement l’église Saint-Martin de Boville. C’est également au cours de ce siècle que les institutions municipales s’affermissent par le suffrage universel et que l’instruction générale élémentaire est dispensée à tous les enfants.

    C’est seulement dans la seconde moitié du XXe siècle que Balma, du village rural, devient la ville résidentielle qu’elle est aujourd’hui. Sa population passe de 1 724 habitants en 1954 à 6 530 en 1970 avec les premières constructions de type pavillonnaire. Le premier lotissement d’habitations est élaboré en 1954 au Clos Saint Pierre. Institutions militaires et entreprises s’implantent. Balma se dote d’infrastructures, lance un projet de ville, se donne tous les atouts pour entrer sereinement dans le troisième millénaire.

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules à la crosse d'or posée en barre, accompagnée d'une mitre d'argent garnie d'or en chef et d'une croix occitane d'or.


    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 10 000 et 19 999 habitants le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente-trois[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'au redécoupage législatif de 2010, puis de la troisième circonscription de la Haute-Garonne.

    Tendances politiques et résultats

    Le maire actuel de la ville, Vincent Terrail-Novès, était membre du parti Les Républicains au moment des dernières élections de 2014 mais a depuis, pris ses distances avec ce dernier[30].

    Il est, à ce jour, le plus jeune Maire élu de la ville de Balma. Le Conseil Municipal de Balma est composé de 33 membres dont le Maire, 9 adjoints au Maire, 15 Conseillers Municipaux délégués et 8 Conseillers Municipaux. Alexandre Fieuzal est le Benjamin du Conseil Municipal (23 ans lors de son élection) et Michel Baselga en est le Doyen (79 ans lors de son élection).

    Vincent Terrail-Novès a été élu en 2014 avec 52,16 % des voix au première tour. Il a été réélu en 2020 dès le premier tour avec 65,37 % des voix.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1792 Henri Lassalle de Préserville    
    1792 1800 Marin Laffage    
    1800 1801 Jean Roques    
    1801 1804 Antoine Pascal Laporte    
    1804 1805 Henri Lassalle de Préserville    
    1805 1807 Antoine Pascal Laporte    
    1807 1818 Henri Lassalle de Préserville    
    1818 1830 Emmanuel de Lassalle    
    1830 1831 Saint-Clair    
    1831 1832 Bernard Durrouch    
    1832 1835 Claude Guillaume Paulinier    
    1835 1836 Gabriel Portales    
    1836 1840 Bernard Saint-Amans    
    1840 1843 Raymond Bertrand    
    1843 1848 Gabriel Portales    
    1848 1848 Jean Sesquières    
    1848 1874 Raymond Bertrand    
    1874 1876 Bernard Saint-Amans    
    1876 1879 Adrien de Gaston    
    1879 1888 Jean Prunet    
    1888 1925 Denis Triadou    
    1925 1929 Georges Lehmann    
    1929 1935 Frédéric Dosset    
    1935 1941 Jules Champagne    
    1941 1942 Pierre Ferriol    
    1942 1944 Georges Lehmann    
    1944 1947 Édouard Bayrou    
    1947 1947 François Mignonat    
    1947 1971 Georges Pradel    
    1971 1995 Eugène Bonnet RPR Conseiller général
    Sénateur
    1995 2014 Alain Fillola PS Conseiller général
    2014 En cours Vincent Terrail-Novès UMP-LR puis DVC[31],[32] Conseiller régional Vice-Président de Toulouse Métropole, suppléant de la Députée LREM Corinne Vignon

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[33]. La démarche a été stoppée en 2014.

    Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a renouvelé son attribution de deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[34]. EN décembre 2018, la ville a reçu la troisième fleurs[35].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 8] En 2019, la commune comptait 16 625 habitants[Note 9], en augmentation de 11,36 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    546544603635790802785863883
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    840835795797877893944916965
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9139098868218689379661 2761 724
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 8904 2767 1278 1179 50611 94412 79313 82916 394
    2019 - - - - - - - -
    16 625--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[39] 1975[39] 1982[39] 1990[39] 1999[39] 2006[40] 2009[41] 2013[42]
    Rang de la commune dans le département 12 10 10 12 9 8 8 8
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Vie militaire

    La commune accueille l'état-major de la 11e brigade parachutiste au quartier Balma-Ballon. Jusqu'en 1999, elle accueillait à sa place le 14e régiment parachutiste de commandement et de soutien.

    Administrations

    Un site de la Direction générale des armements et techniques aéronautiques (DGATA), est présent sur la commune, au niveau du quartier de Vidailhan.

    Enseignement

    Balma fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par :

    Le lycée de secteur de la commune est le lycée Stéphane-Hessel situé dans le quartier des Argoulets à Toulouse.

    Un groupe scolaire public Simone-Veil va être construit sur les terrains de sport du collège Jean Rostand en raison de la forte fréquentation des actuels groupes scolaires.

    Un nouveau collège devrait être construit pour les mêmes raisons à proximité du quartier de Vidailhan.

    Culture et festivité

    La ville possède un agenda culturel bien rempli, comprenant des séances cinémas (trois projections pendant l'été) et activités de plein air, des rassemblements automobiles ou des matchs de différents sports.

    Activités sportives

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[45].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 7 345 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 16 729 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 26 830 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 66 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (55,3 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 10]5,5 %7 %7,4 %
    Département[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 10 094 personnes, parmi lesquelles on compte 77,4 % d'actifs (70,1 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 22,6 % d'inactifs[Note 12],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Toulouse[Carte 3],[I 13]. Elle compte 12 166 emplois en 2018, contre 11 492 en 2013 et 8 520 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 7 223, soit un indicateur de concentration d'emploi de 168,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 14].

    Sur ces 7 223 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 702 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 72,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,5 % les transports en commun, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    1 945 établissements[Note 13] sont implantés à Balma au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble1 945100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    753,9 %(5,7 %)
    Construction1477,6 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    44322,8 %(25,9 %)
    Information et communication985 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance1698,7 %(3,8 %)
    Activités immobilières1025,2 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    44222,7 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    33217,1 %(16,6 %)
    Autres activités de services1377 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,8 % du nombre total d'établissements de la commune (443 sur les 1945 entreprises implantées à Balma), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :

    • Bouygues Travaux Publics Regions France, construction d'ouvrages d'art (209 121 k€)
    • LPR - La Palette Rouge, affrètement et organisation des transports (142 517 k€)
    • Societe Hydro-Electrique Du Midi - Shem, production d'électricité (94 349 k€)
    • Celad, conseil en systèmes et logiciels informatiques (90 638 k€)
    • Totana, hypermarchés (44 927 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2921139
    SAU[Note 15] (ha)9211 1421 092982

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (29 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 982 ha[49],[Carte 5],[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Balma comporte 3 monuments à découvrir :

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • B. Cabanis, M. Barat, R. Pradelles et J. Pramil, Eglise Saint-Martin de Boville ou Beauville à Lasbordes : éléments de l'histoire de l'église de Lasbordes pour une visite commentée, Histoire vivante de Balma, , 19 p.
    • Guy Eché, Histoire de Balma : l'urbanisation, vol. 2, Toulouse, Editions universitaires du Sud, , 443 p. (ISBN 978-2-7227-0138-0)
    • Guy Eché, Histoire de Balma : Jusqu'à l'urbanisation, vol. 1, Toulouse, Editions universitaires du Sud, , 262 p. (ISBN 978-2-7227-0137-3)
    • Histoire vivante de Balma, Balma : deux mille ans d'histoire, Histoire vivante de Balma, , 93 p. (ISBN 2-9520410-0-8)
    • Christian Bressan, Balma : terre aéronautique, Toulouse, Signes du monde, , 86 p. (ISBN 2-909635-15-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Balma » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Balma » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Balma » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Balma » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Balma » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Balma » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Balma et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. « Communes les plus proches de Balma », sur www.villorama.com (consulté le ).
    3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. « Infos, distance et photos de Balma et Toulouse », sur www.voldoiseau.com (consulté le ).
    6. « Fiche communale de Balma », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    7. Sandre, « l'Hers Mort »
    8. Sandre, « la Saune »
    9. Sandre, « la Seillonne »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Balma et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Balma », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
    30. Fabrice Valéry, « Le maire de Balma Vincent Terrail-Novès prend ses « distances » avec Les Républicains », sur Le blog politique, (consulté le ).
    31. Vincent Terrail Noves quitte les républicains
    32. « Résultats des élections municipales 2020 à Balma », sur https://www.francetvinfo.fr/elections/resultats/haute-garonne_31/balma_31130.
    33. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Balma, consultée le 25 octobre 2017
    34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    35. « Balma, 3ème fleur », sur Mairie de Balma (consulté le )
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. Site officiel du Balma Olympique Rugby Club
    44. ASPTT Balma bat RC Orléans 15 à 14 sur finalesrugby.com
    45. http://www.toulouse-metropole.fr/missions/dechets-proprete
    46. « Entreprises à Balma », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    47. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    48. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    49. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Balma - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    50. Daniel Hourquebie, « Toulouse. Alain Giresse, le Girondin africain de Balma », La Dépêche, (lire en ligne).
    51. girondins4ever.com Publié le 2022-06-14.
    52. Emmanuel Vaksmann, « La Balmanaise Morgane Laplace championne du Monde de culturisme », La Dépêche, (lire en ligne).
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