Bassurels

Bassurels est une commune française située dans le sud du département de la Lozère en région Occitanie.

Bassurels

vue sur le village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère
Maire
Mandat
Josette Plantier Gaillac
2020-2026
Code postal 48400
Code commune 48020
Démographie
Gentilé Bassurelois
Population
municipale
65 hab. (2019 )
Densité 1,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 49″ nord, 3° 37′ 33″ est
Altitude Min. 553 m
Max. 1 562 m
Superficie 46,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Collet-de-Dèze
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bassurels
Géolocalisation sur la carte : France
Bassurels
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Bassurels
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Bassurels

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Gardon de Saint-Jean, le Tarnon, la Massevaques, le ruisseau de Brion et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », la « vallée du Gardon de Saint-Jean » et « les Cévennes ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Bassurels est une commune rurale qui compte 65 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 534 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Barrois ou Barroises.

    Géographie

    Localisation

    Située dans le Sud du département, la commune est limitrophe du département du Gard.

    Bassurels est la commune la moins densément peuplée (0,93 hab/km2) du département de la Lozère, département le moins peuplé de France.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 556 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BASSURELS (48) - alt : 1 042 m 44° 11′ 54″ N, 3° 37′ 54″ E
    Statistiques établies sur la période 1986-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1986 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −1,6 −1,6 0,3 2,3 6,4 9,4 11,7 12,1 8,6 6 1,5 −0,8 4,6
    Température moyenne (°C) 1,5 2 4,7 6,8 11,3 14,8 17,7 17,8 13,6 9,6 4,7 2,2 8,9
    Température maximale moyenne (°C) 4,6 5,6 9 11,3 16,1 20,2 23,6 23,6 18,5 13,1 7,9 5,2 13,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19,5
    12.01.1987
    −16,3
    11.02.1986
    −15
    01.03.05
    −7
    12.04.1986
    −3,2
    08.05.1997
    0,1
    06.06.1989
    4
    17.07.00
    2
    30.08.1986
    −0,6
    17.09.1994
    −5,6
    25.10.03
    −10,5
    22.11.1988
    −15,1
    14.12.01
    −19,5
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,7
    01.01.22
    20,6
    27.02.19
    22,7
    22.03.1990
    24,6
    09.04.11
    28,4
    30.05.01
    35,7
    28.06.19
    32,5
    23.07.04
    36,1
    13.08.03
    30,5
    18.09.1987
    25,4
    02.10.11
    21,2
    20.11.1994
    19,6
    13.12.1994
    36,1
    2003
    Précipitations (mm) 132,2 98,3 69,2 147 119,4 74,7 33,1 47,7 146,8 230,6 201 147,2 1 447,2
    Source : « Fiche 48020003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[10].

    Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11],[12].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifères : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[15] ;
    • la « vallée du Gardon de Saint-Jean », d'une superficie de 19 020 ha, présentant une variété d’habitats naturels d’intérêt communautaire remarquables (22 génériques dont cinq prioritaires)[16] ;

    et un au titre de la directive oiseaux[14] :

    • « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18] :

    • les « pelouses du Mont Aigoual » (164 ha), couvrant 4 communes dont une dans le Gard et trois dans la Lozère[19] ;
    • le « vallon du Trépaloup » (57 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
    • le « versant de la Can de l'Hospitalet » (451 ha), couvrant 3 communes du département[21] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[18] :

    • les « Can de l'Hospitalet » (2 062 ha), couvrant 9 communes du département[22] ;
    • les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[23] ;
    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et cinq dans la Lozère[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Bassurels est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 1],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,6 %), prairies (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Avant la Révolution, la commune s'appelait Saint-Martin-de-Campselade[28],[29], Bassurels est le nom révolutionnaire qui lui a été attribué.

    La paroisse de Saint-Martin de Campselade (San Martin de Campselado) est mentionnée régulièrement au moment de la fin de la guerre de Cent Ans. Des fermiers originaires de Saint André-de-Valborgne et de Saint-Flour du Pompidou y cultivaient les terres appartenant aux châtelains du Folhaquier et de l'Hom. Au XVIe siècle, la paroisse passe entièrement à la Réforme ; des levées d'hommes ont lieu pour participer aux sièges de Montpellier et de Mende (1562-1563).

    Les consuls soutiennent à partir de 1573 le fameux Mathieu Merle qui remplace en Gévaudan le baron Astorg de Peyre, assassiné lors de la Saint-Barthélemy (1572). Après l'édit de Nantes (1598), des miliciens participent au service de garde à Florac. Les guerres du duc de Rohan (1620-1629) drainent vers Florac, Mende et Alès plusieurs miliciens réformes (familles Bourgade, Bourrely, Chabal et Caulet).

    Au moment de la Révocation (1685 : édit de Fontainebleau) la population abjure en l'église de Saint-Flour du Pompidou. Mais au moment de la guerre des Camisards, la population rejoint massivement les insurgés et participe aux victoires du plan de Fontmort et de Saumane. Les derniers Camisards rejoignent leurs habitations en 1705. Bénéficiaire de l'édit de tolérance de Versailles de 1787, la population participe avec enthousiasme à la Révolution de 1789 et constitue, en mobilisant presque tous les hommes, une compagnie de garde nationale qui perd cinq hommes dans les campagnes de 1792-1797. Sous l'Empire, la désertion se développe, les fugitifs se réfugiant sur les pentes du mont Aigoual. Lors de la Restauration, quatre paysans licenciés de l'armée en 1814 tuent pour le compte de nobles locaux deux bourgeois acquéreurs de biens nationaux qui avaient profité de la Révolution pour acquérir à vil prix des terres de bonne production. Le premier est acquitté, un deuxième se suicide et les deux autres sont guillotinés en 1826 devant 6 000 personnes.

    Au XIXe siècle, l'exode rural porte un coup fatal au village. La Grande Guerre lui enlève 16 chefs de famille. Bassurels devient un village de petits hameaux.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Bassurels est membre de la communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Collet-de-Dèze. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[30].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Florac, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Collet-de-Dèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[31].

    Liste des maires

    Liste des maires de Bassurels
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 En cours Josette Gaillac DVG Retraitée de l'enseignement
             
    1908 ... Géminard SFIO  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33]. En 2019, la commune comptait 65 habitants[Note 7], en augmentation de 35,42 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    485423454534498499430474460
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    426405403381387364348323289
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    285244205175148130139108123
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1038569586547787543
    2015 2019 - - - - - - -
    6265-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]0 %5 %7,9 %
    Département[I 6]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 36 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 8],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 12 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 24, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,6 %[I 9].

    Sur ces 24 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 69,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,7 % les transports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’azur, à un soleil d'or, vêtu d'or, coupé de l’un dans l’autre.
    Détails
    La pointe basse d’or représente les bas fonds alluvionnaires de Bassurels. La partie basse d'azur indique la présence de cours d’eau comme le Tarnon ou le Gardon.

    La pointe haute symbolise le Mont-Aigoual (Mont aigu, pointu), véritable château d’eau de la région, d'où la couleur azur.

    Le soleil indique la présence de la station météorologique du Mont-Aigoual sur le territoire communal.

    Les ornements sont deux branches de sapin de sinople, fruitées d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'or, pour indiquer la présence de forêts.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 48020003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    11. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    12. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bassurels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101363 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101368 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bassurels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « pelouses du Mont Aigoual » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « vallon du Trépaloup » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « versant de la Can de l'Hospitalet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Can de l'Hospitalet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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