Beaurains

Beaurains est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ne doit pas être confondu avec Beaurainville.

Beaurains

L'église Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CU d'Arras
Maire
Mandat
Pierre Ansart
2020-2026
Code postal 62217
Code commune 62099
Démographie
Gentilé Beaurinois
Population
municipale
5 552 hab. (2019 )
Densité 927 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 50″ nord, 2° 47′ 22″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 99 m
Superficie 5,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Arras
(banlieue)
Aire d'attraction Arras
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Arras-3
Législatives 2e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beaurains
Géolocalisation sur la carte : France
Beaurains
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Beaurains
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Beaurains
Liens
Site web mairie-beaurains.fr

    Ses habitants sont appelés les Beaurinois.

    La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 108 347 habitants en 2018.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Beaurains se situe dans la banlieue sud d'Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Paysages

    La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[2]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaurains est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[7] et 87 215 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,8 %), zones urbanisées (37,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Voies de communication

    La commune est desservie, par les routes départementales D 5, D 60 (rocade sud d'Arras), D 917 et D 919, et est située à km de la sortie no 15 de l'autoroute A1 reliant Paris à Lille[14],[15].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à km au sud de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[16].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous les formes Bellirinum (661), Belrinium (680), Beaureng (1071), Belraim (1074), Bealraim (1154), Bellus ramus (XIIe siècle), Belramus (1194), De Pulchro ramo et Biauraim (XIIIe siècle), Beaurain (1316), Beau-Raims-lez-Arras (1739), Beaurains-lez-Arras (XVIIIe siècle), Beaureins (1762)[17] et Beaurains depuis 1793 et 1801[18].

    Histoire

    Le trésor de Beaurains.

    Beaurains est une commune dont l'emplacement remonte à bien longtemps. Il suffit pour s'en rendre compte de suivre simplement l'évolution des noms successifs que porta la commune :

    • Vicus de bello ramo (inspiré par le voisinage d'une forêt) ;
    • Bourg près du bois dont les rames (branches) sont belles (ou hautes) ;
    • Bellus ramus ;
    • Biaurain puis…
    • Beaurain ;
    • Beaurains-lez-Arras ;
    • Beaurains.

    Il faut par ailleurs envisager l'existence de Beaurains à l'époque romaine sous un autre nom : Bellirintum.

    La première église beaurinoise fut construite en 674. La commune accueillit des maladreries importantes où on soigna notamment le poète Jean Bodel.

    Beaurains a donné son nom à une famille dont les descendants ont été anoblis en 1666[19].

    Le 21 septembre 1922, on découvrit dans la commune le trésor dit « trésor de Beaurains », comprenant près de 700 monnaies romaines thésaurisées sous la tétrarchie, et enfouies vers 315. Une grande partie fut volée dès la découverte ou dispersée entre les collectionneurs et le peu qui reste se trouve désormais à Arras[20]. Cette dispersion est considérée comme une perte grave pour l'étude numismatique de cette période[21].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Arras-3.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1961 Jean Haniquaut    
    mars 1961 mars 1989 Robert Debande UDF  
    mars 1989 2004[22] Jean-Louis Cottigny PS Député européen
    2004[23] En cours
    (au 13 juillet 2020)
    Pierre Ansart PS Vice-président de la communauté urbaine d'Arras (2018 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25],[26]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[27].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Beaurinois[28].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2019, la commune comptait 5 552 habitants[Note 6], en augmentation de 3,85 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    621634687894943902946921985
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9549299319831 0011 0051 0181 0321 092
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0981 1181 0856759661 1221 1651 4491 265
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6492 0123 9823 9224 3794 7084 9975 0035 083
    2015 2019 - - - - - - -
    5 5295 552-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 636 hommes pour 2 960 femmes, soit un taux de 52,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    1,4 
    6,4 
    75-89 ans
    8,9 
    16,5 
    60-74 ans
    18,1 
    20,6 
    45-59 ans
    20,7 
    18,7 
    30-44 ans
    18,5 
    17,2 
    15-29 ans
    15,6 
    20,3 
    0-14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin, construite en 1924, se situe juste derrière la mairie, elle fut à maintes reprises reconstruite, sa dernière destruction totale se situe durant la Première Guerre mondiale.
    • L'église du Saint-Curé d'Ars, construite dans les années 1960, se situe dans la cité Pierre-Bolle.
    • Le monument aux morts[34].
    Le cimetière militaire britannique Beaurains Road Cemetery.

    Famille de Beaurains

    • Nicolas de Beaurains a été anobli par lettres données à Saint-Germain en décembre 1666. Natif d'Arras, il appartient à une des plus honnêtes familles de la province d'Artois. Il a rendu et rend de grands services dans les charges qu'il a occupées et occupe encore. Il est procureur général de la ville d'Arras en 1642, puis conseiller au conseil d'Artois en 1657.
    • François de Beaurains, son frère, natif d'Arras, est anobli en même temps que son frère. il est conseiller de la ville d'Arras, député des États d'Artois. Il a également été envoyé neuf fois en députation près de la .personne du roi, par le Tiers-État, au nom duquel en 1661, il a fait le premier au roi le serment et l'hommage de fidélité[19].
    • Marie Madeleine de Beaurains obtient le 10 janvier 1697 des lettres de relief de dérogeance et de réhabilitation (lettres confirmant son appartenance à la noblesse malgré le fait qu'elle ait dérogé à cet état de noble par son mariage; cette confirmation l'exemptait du versement d'impôts) connées à Versailles. Elle était la fille de Christophe de Beaurains, écuyer, conseiller au conseil d'Artois et la veuve de Gilles Ignace Werbier, avocat, député des États d'Artois, échevin de la ville d'Arras. Elle a demandé ces lettres car son mari étant de condition roturière, elle craignait que les habitants de cette province où elle pouvait se retirer, ne veuillent l'inscrire sur le rôle des personnes devant acquitter les droits ordinaires et autres subsides[35].

    Autres personnalités

    • Au XVIIe siècle, Louis le Sergeant Ier, est écuyer, seigneur d'Hendecourt (Hendecourt-lès-Cagnicourt?, Hendecourt-lès-Ransart?), Beaurains et Oresmaux. Il a épousé Jeanne Denis, fille d'Antoine Denis, chevalier, conseiller au conseil privé du roi et au conseil fiscal des finances des Pays-Bas[36].
    • Louis le Sergeant II, fils de Louis Ier, est écuyer, seigneur de Beaurains, conseiller du roi et premier élu de l'élection d'Artois. il s'est marié avec Marguerite de Smerpont. Ils sont les parents d'Alexandre-Augustin le Sergeant, écuyer , seigneur de Marsigny, qui a servi dans les armées pendant 12 ans, dont 4 dans le régiment de marine. Alexandre-Augustin a été élevé chevalier par lettres données à Saint-Germain-en-Laye le 3 août 1679[36].
    • Jacques François du Carieul, fils de Guillaume du Carieul, par lettres données à Marly le , est autorisé à surmonter l'écusson de ses armes anciennes « D'argent à un sautoir de gueules », d'une couronne de cinq fleurons et à prendre pour support deux griffons de sable becqués et armés de gueules. Il est seigneur de Fiefs, Beaurains et Boubers (sans doute Boubers-sur-Canche), gentilhomme d'Artois[37].
    • Jules Catoire (1899-1988), syndicaliste, résistant et homme politique, ministre MRP de la IVe République, né à Beaurains.
    • François Bourbotte (1913-1972), footballeur international, mort à Beaurains.
    • Lucien Langlet (1927-1985), peintre et vitrailliste, mort à Beaurains.

    Héraldique

    Blason
    D'argent au sautoir de gueules[38].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Adopté par la municipalité en 1976.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    15. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    16. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    17. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 45, lire en ligne.
    20. Pierre Bastien et Catherine Metzger, Le trésor de Beaurains (dit d'Arras), Wetteren, 1977, 255 pages, note de lecture
    21. Hubert Zehnacker, « Aperçus de numismatique romaine (IV) », Vita Latina, N°130-131, 1993. pp. 3-6.
    22. Marco Verriest, « Jean-Louis Cottigny : en campagne auprès des militants « pour être candidat PS aux municipales à Arras » : Il a déjà une carte de visite bien chargée : élu de Beaurains de 1983 à 2004 et maire à partir de 1989. Conseiller général depuis 1992. Député européen de 97 à 99 – à l’époque, il était secrétaire national du PS après avoir remplacé Kouchner - puis de 2004 à 2009, fauteuil qu’il a retrouvé en 2012 en succédant à Estelle Grelier, élue députée à l’Assemblée nationale. Et il ne se cache pas qu’être candidat aux municipales à Arras est « un vieux rêve » qui lui fait d’avance friser la barbichette », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. Benjamin Dubrulle, « Bilan du maire - Beaurains : la construction de logements et l’arrivée de Boréal Parc ont permis de réduire la dette, selon Pierre Ansart : Maire de Beaurains depuis 2004 à la suite du retrait de Jean-Louis Cottigny, touché par le cumul des mandats, Pierre Ansart, 64 ans, briguera un nouveau mandat en mars. Son dernier, assure-t-il. « L’équipe sera renouvelée à 30 %. On va passer à une liste de vingt-neuf noms (vingt-sept auparavant) avec de la parité. » C’est donc l’heure du bilan », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Beaurains: Pierre Ansart et ses colistiers installés dans la salle du conseil », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Nicolas André, « À Beaurains, Pierre Ansart en piste avec des projets pour briguer un dernier mandat : Pierre Ansart, maire de Beaurains, repartira pour un nouveau mandat… Avant de laisser la commune sur les bons rails et de profiter de sa famille », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Jean-Jacques D’Amore, « Beaurains : Pierre Ansart réélu maire, l’opposition municipale fait son retour : Le maire de Beaurains retrouve aisément son siège. Pour son dernier mandat, il devra faire face à un groupe d’opposition », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    28. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaurains (62099) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    34. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    35. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 63, lire en ligne.
    36. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 51-52, lire en ligne.
    37. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne.
    38. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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