Bezons

Bezons est une commune du département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Bezonnais. Cette commune est située sur la rive droite de la Seine.

Bezons

Le nouvel hôtel de ville
inauguré en 2015.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine
Maire
Mandat
Nessrine Menhaouara (PS)
2020-2026
Code postal 95870
Code commune 95063
Démographie
Gentilé Bezonnais
Population
municipale
31 671 hab. (2019 )
Densité 7 613 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 00″ nord, 2° 13′ 00″ est
Altitude 41 m
Min. 22 m
Max. 52 m
Superficie 4,16 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Argenteuil-3
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bezons
Géolocalisation sur la carte : France
Bezons
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Bezons
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Bezons
Liens
Site web ville-bezons.fr

    Bezons a la particularité d'être limitrophe de deux départements : les Hauts-de-Seine et les Yvelines. C'est la 312e ville la plus peuplée de France[1].

    Selon le schéma régional de coopération intercommunale, Bezons doit intégrer une communauté d'agglomération du département des Yvelines, tout en restant dans le département du Val d'Oise, au [2]. Elle intègre finalement la communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine.

    Géographie

    Bezons en Île-de-France.

    Situation

    Bezons se situe sur la rive droite de la Seine, à dix kilomètres au Nord-Ouest des portes de Paris. La commune est la plus méridionale des communes du département du Val-d'Oise.

    Située aux limites de trois départements, Val-d'Oise, Hauts-de-Seine et Yvelines, Bezons se trouve à proximité des pôles de La Défense3,5 km) et de Cergy-Pontoise.

    Comme toute la région Île-de-France, Bezons fait partie du Bassin parisien.

    Communes limitrophes

    Le territoire communal est limitrophe d'une seule commune du Val-d'Oise, Argenteuil et de deux autres départements :

    Communes limitrophes de Bezons[3]
                   Sartrouville (78) Argenteuil
    Houilles (78)
    Carrières-sur-Seine (78) Nanterre (92) Colombes (92)

    Hydrographie

    Bezons, panorama de la Seine au début du XXe siècle.

    Le territoire communal est longé sur toute sa longueur méridionale par la Seine, qui constitue également sa limite communale avec Colombes et Nanterre. La ville n'est traversée par aucun autre cours d'eau notable[4]. Le bras de Marly, de la Seine, prend naissance sur le territoire de Bezons[5].

    Bezons est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[6]. L'eau distribuée est d'origine fluviale, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[7],[8].

    Climat

    Bezons comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1 719 heures[9].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 13 15 19 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[10]

    Voies routières

    Bezons est traversée par un tronçon de la RD 392 depuis le pont de Bezons jusqu'au carrefour du Val-Notre-Dame. Un réseau de voies communales forme un maillage de la ville.

    Bezons bénéficie d’une desserte routière importante et de la proximité des autoroutes A15, A86 et A14.

    Le tramway (depuis 2012)
    Un tramway arrive à son terminus de Bezons.

    Les travaux du prolongement de la ligne de tramway T2, de La Défense vers le pont de Bezons, ont démarré en 2008. Le démontage de l'autopont a été effectué en [11].

    Mis en service le , le T2 met la ville à douze minutes de la Gare de la Défense, et de ses correspondances avec le métro 1, la RER A, la ligne SNCF vers Gare de Versailles-Rive-Droite, Gare de Saint-Nom-la-Bretèche, Versailles-Chantiers et La Verrière (Saint-Quentin-en-Yvelines). Le tramway a pour terminus la station Porte de Versailles au Sud de Paris, qu'il atteint après avoir traversé la majeure partie du département des Hauts-de-Seine.

    À La Garenne-Colombes (station Charlebourg), le tramway est en correspondance avec la ligne L du Transilien pour aller à Saint-Lazare (métros 3, 9, 12, 13, 14 et RER E) dans le 8e arrondissement de Paris ou à Cergy-le Haut.

    Urbanisme

    Typologie

    Bezons est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

    Morphologie urbaine

    Bezons est composée de quartiers aux caractères bien distincts :

    • le centre, vieux Bezons ;
    • le quartier de l'Agriculture, à l'est anciens champs urbanisés ;
    • les bords de Seine au Sud de la ville ;
    • le quartier Chênes-Val-Notre-Dame à l'ouest sur le plateau ;
    • la zone industrielle ouest vers Carrières-sur-Seine ;
    • la zone industrielle est vers Argenteuil.

    Logement

    Les 4 364 logements sociaux type HLM font 37,2% des 11 718 résidences principales à Bezons[20]. L'Office Public Intercommunal d'Argenteuil-Bezons gère environ 2 000 logements sociaux.

    Toponymie

    Bisunciae, Bezons XVe siècle, Bezunz[21].

    Sous les Mérovingiens, on battait monnaie à Bezons, et peut-être son nom en dérive-t-il[22]. [pas clair]

    Histoire

    Le maréchal de Bezons (1646-1733).

    Du Haut Moyen Âge à la Renaissance

    En 1470, Bezons compte douze maisons[23] habitées par des paysans, comme en témoigne la consécration en 1507 de l'église dédiée à saint Fiacre, saint protecteur des jardiniers.

    En 1580, Marie Chanterel, dame de Bezons, épouse Claude Bazin, un médecin champenois. Le couple, est à l'origine de la famille Bazin de Bezons anoblie par la régente Marie de Médicis en 1611.

    XVIIe siècle

    Sous Louis XIV, Bezons était la propriété de la famille Bazin, les personnages les plus célèbres de cette famille furent l'académicien Claude Bazin de Bezons (1643) et son fils Jacques Bazin de Bezons, maréchal de France en 1709 qui prit part aux dernières campagnes de Louis XIV. Son frère, Armand Bazin de Bezons, archevêque de Rouen, fit partie du conseil de régence, et autorisa l'ordination de l'abbé Dubois.

    La ville avait une foire très réputée au XVIIe siècle, qui a d'ailleurs inspiré deux pièces de théâtre au cours de la seule année 1695 : La foire de Bezons, par Dancourt[24], qui fut jouée devant Louis XIV, et Retour de la foire de Bezons, d'Évariste Gherardi, créé par les comédiens italiens du roi à l'Hôtel de Bourgogne.
    Même si elle est moins réputée à présent, la foire de Bezons a toujours lieu, tous les ans en septembre.

    XVIIIe siècle

    En 1740, une inondation de la Seine détruit la quasi-totalité du village. Puis, en 1791, ont lieu les premières élections municipales.

    Durant la Révolution française, Bezons, village de 468 habitants, ne fut pas très touché.

    Sous le Premier Empire

    Napoléon inaugura le premier pont de Bezons en 1811.

    Outre ce « joli pont de pierre » que Bezons possédait, il y avait un pont de bois qui fut brûlé le par les troupes françaises pour empêcher l'ennemi d'approcher de la capitale.

    XIXe siècle : la naissance d'une ville industrielle

    L'ancien dépôt de tramways du Grand Cerf à Bezons, au début du XXe siècle.

    Bezons attire les artistes : Guy de Maupassant y séjourne souvent dans un hôtel des bords de Seine et mentionne fréquemment le village dans ses écrits ; Charles-François Daubigny y peint des toiles.

    L’urbanisation de Bezons commence avec son industrialisation sur les bords de Seine : d'abord à l'Est à la limite d'Argenteuil avec Rattier, une première usine de fabrication de caoutchouc en 1863 remplacée et devenue en 1877 la Société industrielle des téléphones. Un chantier naval à la limite d'Argenteuil de 200 à 300 ouvriers, une usine de moteurs, les ascenseurs Otis-Pifre, les Câbles de Lyon. À l'Ouest de la ville, La Bakélite, La Cellophane, Le Joint français, Rhône-Poulenc, la Viscose en 1914.

    Entre 1871 et 1891, la population s’accroît de 60 %. Bezons connaît alors la construction d’une école et d’une mairie, l’installation du gaz ainsi que d’un bureau de postes et de télégraphes. Bezons devient une ville.

    La première moitié du XXe siècle

    Vue du monument aux morts de la guerre 1914-1918 dans l'ancien cimetière rue de La Paix.
    Bezons, sortie de l'usine des Câbles télégraphiques.

    En 1919, Bezons élit une municipalité socialiste, composée aux trois quarts d’ouvriers, qui refuse l’édification d’un monument aux morts. Il est finalement édifié selon des initiatives privées dans le cimetière. Au congrès de Tours, Bezons rejoint l’Internationale communiste et la ville devient municipalité communiste. Elle l'est restée jusqu'en 2020. En 1930, la ville accueillit ainsi la première Fête de l'Humanité[25] au square Sacco et Vanzetti. Aux élections de 1935, elle publie une brochure bilan de son activité, préfacée par Marcel Cachin sous le titre de Salut, Bezons la Rouge.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville, ardemment anti-fasciste, supporte mal l’occupation allemande. Très vite, au lendemain de la défaite, elle connaît la répression, mais aussi la lutte contre l’occupant : ce sont distributions de tracts, prises de parole au cinéma, sabotages, etc.

    Le député de la circonscription Gabriel Péri est arrêté et fusillé au Mont Valérien. Un groupe scolaire de Bezons porte son nom. Dix résistants bezonnais sont exécutés de 1940 à 1944. Parmi eux, Louis Champion[26] qui avait combattu dans les Brigades internationales en Espagne, Maurice Wagner[27], Daniel Baron[28], Georges Gentil dit Kléber[29], imprimeur rue Kléber à Bezons. Quatre rues de Bezons portent les noms de ces résistants fusillés.

    Gabriel Péri, député fusillé en 1941.

    En 1944, beaucoup de jeunes, dans les rangs des FFI, combattent l’armée d'occupation dans les localités voisines, quelques-uns s’enrôlent pour la durée de la guerre dans l’armée.

    L’épuration menée dans l’administration par l’occupant nazi amène également son lot de personnalités rendues tristement célèbres par leur collaboration : le nouveau médecin du dispensaire, le docteur "Destouches", plus connu sous son nom de plume de Louis-Ferdinand Céline, « assure le régime de Vichy de sa fidélité au nom de la lutte antijuive », des habitants seront même déportés, parce que juifs, arrêtés à Bezons par la police française (des jeunes filles à l'école Louise Michel notamment).

    La Libération, le , est vécue dans un immense enthousiasme[30].

    Aujourd'hui : un territoire en mutation

    La mise en circulation du tramway T2 le a créé un effet de stimulation de l'immobilier à proximité du terminus actuel, en particulier l'immobilier de bureaux. Un centre d'affaires « Les Rives de Seine » a été construit à l'Est sur des anciens terrains industriels à proximité du pont de Bezons, en bordure de la Seine.

    La mise en œuvre d'une zone d'aménagement concertée à partir de 2018 permettra de doter la commune d'un réel centre-ville, avec la création de 130 000 m2 répartis en 60 % de logements, 30 % de commerces et 10 % d’équipements publics[31],[32].

    Politique et administration

    Vue du nouvel hôtel de ville de Bezons.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [33], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement d'Argenteuil, après un transfert administratif effectif au .

    La commune faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil, année où celui-ci est scindé et Bezons rattaché au canton d'Argenteuil-Sud de la Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle  devient en 1967 le chef-lieu du canton de Bezons. En 1976, elle intègre le canton d'Argenteuil-Bezons, puis redevient en 1985 le chef-lieu du canton de Bezons[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton d'Argenteuil-3.

    La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[35],[36].

    Intercommunalité

    La commune avait créé en 2006 avec Argenteuil la communauté d'agglomération Argenteuil-Bezons. À la suite notamment d'un désaccord entre les communes lors de l'élection du président de l'intercommunalité à la suite des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, qui ont vu le basculement politique d'Argenteuil, son nouveau maire, Georges Mothron a annoncé en 2014 sa volonté de quitter la communauté d'agglomération[37],[38]. De ce fait, Argenteuil a adhéré à la métropole du Grand Paris et à l'établissement public territorial Boucle Nord de Seine[39], entrainant la dissolution de la communauté d'agglomération Argenteuil-Bezons le .

    La commune, ne pouvant légalement demeurer isolée, a été rattachée à la communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine le [40], conformément au schéma régional de coopération intercommunale approuvé par le préfet de la région d'Île-de-France le [41].

    Tendances politiques et résultats

    Bezons a été une municipalité communiste pendant un siècle, de la création du PCF[42] en 1920 jusqu'à 2020.

    De 2001 à 2020, le maire de Bezons était Dominique Lesparre (PCF). Devenu maire à la suite de la démission du précédent édile Jacques Leser (PCF) [43], il a été réélu en 2008[44] puis en 2014, avec une équipe composée également de Républicains, centristes, socialistes, verts et écologistes.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste FG-PS-PRG menée par le maire sortant Dominique Lesparre a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 969 voix (53,23 %, 27 conseillers municipaux élus dont 19 communautaires), devançant nettement les listes menées respectivement par[45] :

    • Olivier Régis (UMP-UDI, 2 990 voix, 40,10 %, 7 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires) ;
    • Michel Campagnac (LO, 497 voix, 6,66 %, 1 conseiller municipal élu).

    Lors de ce scrutin, 47,11 % des électeurs se sont abstenus.

    Dominique Lespare a été battu lors des municipales de 2020[46],[47] de 106 voix par son ancienne adjointe socialiste Nessrine Menhaouara : au second tour de ces élections caractérisées par une quadrangulaire, les résultats ont été les suivants, pour les listes menées respectivement par[48],[49] :

    • Nessrine Menhaouara  qui bénéficiait du report de la liste LREM du premier tour menée par Sophie Stenström  (PS, 1 897 voix, 35,63 %, 24 conseillers municipaux élus, dont 6 communautaires) ;
    • Dominique Lesparre, maire sortant (PCF-G.s-GRS, 1 791 voix, 33,64 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    • Marc Roullier (LR, 1 033 voix, 19,40 %, 3 conseillers municipaux dont 1 communautaire) ;
    • Marjorie Noël[50] (DVG, 602 voix, 11,30 %, 2 conseillers municipaux élus).

    Lors de ce scrutin, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 65,47 % des électeurs se sont abstenus.

    Dominique Lesparre (PCF) et Marjorie Noël (DVG) ont contesté ces résultats, alléguant de nombreuses irrégularités[51]. Ces griefs ont été rejetés par le Tribunal administratif de Cergy, qui a confirmé la régularité de ces élections[52].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[53],[54]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1807 Jean Baptiste Jacques Robineau   Premier maire de Bezons
    1807 1808 Henry Chevallier    
    1808 1811 Gabriel Thomas Lemoine de Nanteuil    
    1811 1821 Jean Marie Vital Ramey   Comte de Sugny
    1821 1824 Henry Chevallier    
    1824 1831 M. Fouquet    
    1831 1834 M. Bodin    
    1834 1843 M. Borde    
    1843 1849 Achille Nicolas Lemaire    
    1849 1850 Honoré Marie Dappe    
    1850 1865 Pierre François Borde    
    1865 1870 Thomas Nicolas Catherine    
    1870 1878 Auguste Antoine Forest    
    1878 1882 Henri Foulard    
    1882 1889 Édouard Napoléon Sainte    
    1889 1901 Auguste Antoine Forest    
    1901 1915 Ambroise Octave Delille    
    1915 1919 Georges Lavinay    
    1919 1921 Henri Luziau[Note 3] PCF Première municipalité ouvrière
    1922 1926 Eugène Branchard[55] PCF Suspendu un mois après sa réélection en 1925, pour avoir participé à une manifestation de grévistes ceint de son écharpe tricolore
    1926 1940 Louis Peronnet[56] PCF Tailleur de pierre
    Déchu de ses mandats de maire en 1939 et de conseiller général en février 1940
    1940 1944     Délégation spéciale nommée par le gouvernement de Vichy
    août 1944 1945 Henri Barrau PCF Reprise de la mairie avec le Comité de Libération
    1945 1961 Louis Péronnet[56] PCF Tailleur de pierre
    Conseiller général d'Argenteuil (1945 → 1955)
    Président du conseil général de Seine-et-Oise (1945 → 1948)
    1961 1979 Albert Bettencourt[57] PCF Tourneur
    Conseiller général de Bezons (1964 → 1976)
    1979 octobre 2001 Jacques Leser[58] PCF Instituteur
    Conseiller général de Bezons (1982 → 2001)
    octobre 2001 juin 2020 Dominique Lesparre[59] PCF Chaudronnier
    Conseiller général de Bezons (2008 → 2015)
    Vice-président de la CA SGBS (2016[40] → 2020)
    juillet 2020[60] En cours
    (au 28 janvier 2021[61])
    Nessrine Menhaouara PS Attachée au ministère de la Transition écologique et solidaire
    Conseillère départementale d'Argenteuil-3 (2015 → )
    Vice-présidente de la CA SGBS (2020 → )
    Louis Péronnet et son épouse, 1934, colonie de la Luzière.
    Il fut maire de 1926 à 1940 et de 1945 à 1961.

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[62].

    Jumelages

    La ville de Bezons est jumelée avec[63] :

    Depuis , le conseil municipal a décidé de renforcer les liens d'amitié et de solidarité avec la ville de  Chaguitillo (Nicaragua).

    Ville fleurie

    En 2018, la commune a reçu sa première fleur au label « Villes et villages fleuris »[66].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[67],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 31 671 habitants[Note 5], en augmentation de 13,7 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    468459482554584608643667629
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6268341 2371 3501 5801 8632 0012 4062 766
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5213 6164 9807 73510 71514 31013 96412 68416 993
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    22 06124 47525 19324 01925 68026 26327 65228 33028 976
    2019 - - - - - - - -
    31 671--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[68].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la population de Bezons est estimée à 28 023 habitants, ce qui en fait la 312e commune de France la plus peuplée. Elle est ainsi l'une des villes les plus habitées du Val-d'Oise[69].

    Enseignement

    L'enseignement à Bezons n'est que public.

    Lycées

    Il existe actuellement deux lycées à Bezons :

    • le lycée de Bezons : il propose les trois séries générales du baccalauréat (L, ES, S) ;
    • le lycée professionnel du Grand-Cerf : il offre les formations professionnelles suivantes : des CAP ECMS[C'est-à-dire ?] et EVSB[C'est-à-dire ?] et des baccalauréats professionnels de gestion-administration, de vente, de commerce, et de ARCU[C'est-à-dire ?].

    Collèges

    Bezons, groupe scolaire Gabriel-Péri (1958), bâtiment des primaires, filles à droite et garçons à gauche, dans son ancienne configuration.

    Deux collèges existent actuellement à Bezons, gérés par le département :

    • le collège Henri-Wallon ;
    • le collège Gabriel-Péri (inauguré le comme école primaire de filles et de garçons).

    Élémentaires et Maternelles

    La ville est dotée en 2018 de 8 écoles maternelles, de 8 écoles élémentaires et d'une école primaire[70].

    Les écoles maternelles : Gabriel-Péri, Jacques-Prévert, Paul-Langevin, Karl-Marx, Louise-Michel, Paul-Vaillant-Couturier, Marcel-Cachin, Victor-Hugo.

    Les écoles élémentaires : Paul-Langevin, Karl-Marx, Louise-Michel 1, Louise-Michel 2, Marie-Claude et Paul Vaillant-Couturier, Marcel-Cachin, Victor-Hugo 1, Victor-Hugo 2.

    L'école primaire : Angela-Davis.

    Équipements culturels

    Le théâtre Paul-Éluard (TPE) rénové et agrandi, a rouvert en 1995. Équipement culturel phare de la ville, c’est également la première scène, en Île-de-France, à avoir obtenu le conventionnement pour l'apprentissage de la danse, en 1995[réf. nécessaire]. En plus d'être un théâtre, le TPE possède également une salle de cinéma « Les écrans Éluard ».

    L'École de Musique et de Danse propose divers cours[réf. nécessaire] : de la danse contemporaine et classique, éveil pluridisciplinaire dès 3 ans, apprentissage musical et des cours de chorale.

    La médiathèque Guy-de-Maupassant[71] a été rénovée en 2013. Elle possède une collection variée de livres, documentaires, DVD, CD, partitions, un espace informatique ouvert à tous, ainsi qu'une ludothèque et une artothèque.

    Sports

    Bezons dispose en 2018 de deux complexes sportifs[72] : la Maison des Sports inaugurée en 2017, avec tribunes et un terrain de football synthétique, des salles de boxe, taekwondo, karaté, judo, 5 terrains de tennis, et le complexe sportif Jean-Moulin avec une piscine couverte, un gymnase, des courts de tennis couverts, et un terrain de football en stabilisé.

    Santé

    Bezons dispose en 2018 d'un Centre municipal de Santé[73].

    Les deux cliniques de Bezons sont[Quand ?] :

    • la polyclinique du Plateau : toutes spécialités, chirurgie de la main et dialyse ;
    • la clinique Newco : maison de convalescence et suites opératoires.

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les deux ans, Bezons propose une exposition gratuite d'art contemporain « REV'Arts ». Ceci dans le but de « démocratiser la culture à Bezons »[réf. nécessaire].

    Cultes

    Vue de l'église Saint-Martin.

    L'église catholique Saint-Martin, construite en 1937-1938, située rue Édouard-Vaillant, 16 chemin de la Pelouse[74], en face de l'arrêt d'autobus Grâce de Dieu, est l'église paroissiale de Bezons, dépendant du doyenné d'Argenteuil. Elle remplace une église du XVIe siècle qui était sur les bords de Seine et qui a été fermée dans les années 1930, puis démolie en 1965 pour insalubrité. L'église actuelle Saint-Martin a eu son intérieur rénové en 2011 par des bénévoles, et est desservie par les Fils de la charité.

    Il existe aussi un petit oratoire, dit chapelle du Val-Notre-Dame, avec une petite tour octogonale[75], rue de La Berthie, rue Alphonse-Cornaille, inscrit aux monuments historiques en 1984.

    La communauté musulmane ne dispose plus d'aucun lieu de culte depuis la fermeture[Quand ?] de l'unique mosquée située auparavant rue Édouard-Vaillant[réf. nécessaire].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 712 , ce qui plaçait Bezons au 16 392e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[76].

    Emploi

    Le taux de chômage, en 2014, pour la commune s'élève à 16 %, un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale (10,4 %)[77].

    Entreprises et commerces

    La commune est au cœur d'un bassin d'activités comptant des entreprises industrielles et de services : Le Joint Français, Rhône-Poulenc Bidim, Alès Groupe, SFR, Eratome, Darty, Hispano-Suiza, Activision, Atos, Atos WorldGrid, EMC[78]. L'entreprise PPG annonce par contre en 2020 la fermeture à terme de son site sur place, mais son plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) a été refusé par l'administration[79].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Buste de la République (1905), détruit sous l'Occupation.

    Le , le député de Seine-et-Oise, Maurice Berteaux (1852-1911), inaugure le buste de la République. Cette statue est enlevée par l'armée allemande sous l'Occupation aux fins de récupération de métal.

    Dans l'entrée de l'ancienne mairie démolie, il y avait un panneau commémoratif des morts à la guerre qui était un des seuls de France à posséder l'inscription « Guerre à la guerre et haine à la haine ».

    Le vieux cimetière de Bezons possède un monument aux morts de la guerre de 1914-1918.

    Les espaces verts[80]

    Panorama de Bezons côté Est avec, au fond, les tours du Val-d'Argenteuil et la butte de Cormeilles.
    • Le parc Bettencourt, rue Francis-de-Pressensé et rue des Barentins (dans le cadre de la ZAC cœur de ville le parc sera réaménagé)
    • Le parc Sacco-et-Vanzetti, rue de la Berthie et rue Prudence
    • Le square de la République, avenue Gabriel-Péri
    • Le square Cécile-Duparc, angle des rues Cécile-Duparc et Rouget-de-l'Isle  
    • Le square de la Grenouillère, place des Impressionnistes
    • Le chemin de Halage (berges de la Seine), rue de la Pâture et rue des Carrossiers  
    • Le parc Nelson Mandela, rue Jean-Carasso
    • Le square Camille-Desmoulin, rue Camille-Desmoulin
    • Le square Julian-Grimau, rue Claude-Bernard
    • Le mail et square Marcel-Langlois, rue Émile-Zola et rue Jean Carasso
    • Le square du Colombier, rue Jean-Jaurès (près du tram)

    Bezons et la littérature

    La ville connaît un certain renom littéraire : Guy de Maupassant, qui a régulièrement séjourné dans un hôtel en bords de Seine aujourd'hui disparu, a situé à Bezons l'action de sa nouvelle Une partie de campagne.
    La médiathèque de Bezons, qui porte d'ailleurs son nom, dispose de 60 000 livres et de 5 000 disques à louer[81].

    Le séjour de Louis-Ferdinand Céline à Bezons, de 1940 à 1944, a mis l'écrivain en contact avec le bibliothécaire de la ville, Albert Sérouille. Ce dernier obtient de l'écrivain une préface pour son livre, Bezons à travers les âges (1944). Cette préface commence par la phrase célèbre : « Pauvre banlieue parisienne, paillasson devant la ville où chacun s'essuie les pieds, crache un bon coup, passe, qui songe à elle ? Personne ».

    La présence de Bezons dans la littérature est mise en évidence dans le livre de Daniel Renard, Ils ont chanté Bezons (2012) ainsi que dans le livre de Jean Rolin, Le pont de Bezons (2020)[82],[83].

    Personnalités liées à la commune

    Maison de Gabrielle d'Estrées.


    Héraldique, devise et logotype

    Les armes de Bezons se blasonnent ainsi :

    De gueules à la roue d'engrenage d'or enfermant une fontaine fascée ondée d'argent et d'azur de six pièces, ladite roue tenue par deux dextrochères et un senestrochère nus d'argent posés en pairle mouvant de la pointe et des angles supérieurs de l'écu ; au chef cousu d'azur chargé de trois couronnes ducales d'or.


    La commune a pour devise « La ville pour tous ».

    Elle est inscrite sur le logo de Bezons réalisé en 2004.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    [réf. incomplète]

    • Albert Serouille (bibliothécaire de la ville de Bezons), Bezons à travers les âges, préface de Louis-Ferdinand Céline, éd. Denoël, Paris, 1944[85].
    • Gérard Arthus, Jean-Pierre Barlier, Émile Breton, Pierre Petremann, Daniel Renard, Bezons, du village à la ville, éd. du Valhermeil, 1994[86].
    • Daniel Renard, Bezons et la guerre 1914-1918, éd. du Valhermeil, 1999.
    • Daniel Renard, Bezons, mémoire en images, éd. Alan Sutton, 2001.
    • Daniel Renard, Ils ont chanté Bezons. Bezons et ses écrivains, éd. Le Temps des Cerises, 2012.
    • Daniel Alliot et Daniel Renard, Céline à Bezons, 1940-1944, éd. du Rocher, 2008.
    • Jean Rolin, Le pont de Bezons, éd. P.O.L., 2020.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. L'orthographe est bien "Luziau" et non "Luzau" ni "Luzeau".
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. http://www.capretraite.fr/annuaire-maison-de-retraite/maison-de-retraite-les-parenteles-de-bezons_ville-3574-m.html
    2. Le Parisien : Argenteuil-Bezons, le casse-tête de la dissolution d'une agglomération
    3. Bezons sur Géoportail, consulté le 30 mars 2018.
    4. SANDRE - Fleuve : la Seine
    5. SANDRE - Bras de Marly
    6. Site de la DDASS95
    7. Voir l'Atlas de l'eau en Val-d'Oise
    8. SEDIF - Méry-sur-Oise
    9. Météo France - Climatologie
    10. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 20 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
    11. Le Parisien du 8 novembre 2008
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Dossier complet − Commune de Bezons (95063) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    21. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    22. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
    23. ville-bezons.fr
    24. « La Foire de Besons », sur théâtre-classique.fr.
    25. Alexandre Courban, « Presse. 1930, la Fête de l’Humanité à Bezons », sur l'Humanité, .
    26. Son nom complet est Étienne Louis René Champion Voir sa biographie dans "Le Maitron" https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article19353
    27. Voir sa biographie dans "Le Maitron" https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article142710
    28. Inhumé au carré des fusillés du cimetière de Bezons.Voir sa biographie dans "Le Maitron" https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article136221
    29. Voir sa biographie dans "Le Maitron" https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article50693
    30. Source : Site officiel de la ville
    31. Laurence Boccara, « Bezons reconfigure son centre-ville », Le Monde, (lire en ligne).
    32. « Altarea Cogedim et Imestia créent un nouveau centre-ville à Bezons », Le journal du Grand Paris, (lire en ligne).
    33. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    36. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    37. Daniel Chollet, « Vers quelle agglo Argenteuil va-t-elle se tourner ? : Écarté du poste de président, bien qu'élu maire de la plus importante commune de cette agglomération, Georges Mothron se dit prêt à quitter et donc à dissoudre la Caab », La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    38. Alain Auffray, « Le retour par l’agglo des virés par les urnes », Libération, (lire en ligne).
    39. Anne-Sophie Damecour, « Sept villes s’unissent sans passion dans la Boucle nord de Seine », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    40. « Bezons : Lesparre devient vice-président de la nouvelle agglo », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    41. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le ).
    42. Cahier spécial du journal Le Monde, édition du 11 mars 2008
    43. « PV Conseil Municipal 09/10/2001 », .
    44. « Elections municipales - Ile-de-France Val-d'Oise », Le Monde, (lire en ligne)« Le Parti communiste conserve ses positions dans le Val d'Oise. Bezons, communiste depuis les années 1920, reste aux mains de Dominique Lesparre réélu au premier tour ».
    45. Résultats officiels pour la commune Bezons
    46. Antoine Guitteny et Thibault Chaffotte, « A Bezons, les anciens alliés du maire communiste font bande à part pour les municipales : Le maire (PCF) sortant, Dominique Lesparre, reste serein et confiant malgré les candidatures de membres ou ex-membres de sa majorité », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    47. Thibault Chaffotte, « Municipales à Bezons : les 3800 logements en construction attisent les crispations : De nombreux chantiers sont en cours dans la ville. C’est trop pour les adversaires du maire communiste, Dominique Lesparre. Ce dernier compte notamment face à lui deux anciens membres de sa majorité. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le candidat sortant, Dominique Lesparre (PCF), fait face à cinq autres listes, dont deux issues de la majorité. Presque toutes ont fait de l'urbanisme un thème majeur de leur campagne ».
    48. Julien Ducouret, « Val-d'Oise. Elections municipales : Nessrine Menhaouara met fin à un siècle de règne communiste à Bezons : La socialiste Nessrine Menhaouara l'a emporté lors du second tour de l'élection municipale à Bezons (Val-d'Oise) face au maire sortant (Pcf) Dominique Lesparre », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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    50. Marjorie Lenhardt, « Bezons : la majorité communiste se fissure : Deux adjoints (PCF) se sont vus retirer leur délégation et indemnités par manque de « loyauté » envers le groupe majoritaire du maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Deux adjoints ont en effet été évincés lors du conseil municipal de mercredi soir, à la demande du maire (PCF), Dominique Lesparre. Philippe Noël, adjoint au quartier de l'Agriculture et sa fille, Marjorie Noël, à la jeunesse et aux sports, se sont vus retirer leur délégation et leurs indemnités ».
    51. Thibault Chaffotte, « Bezons : les deux groupes d’opposition de gauche font cause commune face à la maire : Les ennemis d’hier, qui ont contesté le résultat des élections municipales, concentrent leurs critiques sur Nessrine Menhaouara, la nouvelle maire en vue d’une éventuelle invalidation des élections », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
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    58. Jacques Girault, « LESER Jacques , Joseph dit Jacky : Né le 13 août 1936 à Clichy (Seine-Hauts-de-Seine), mort en février 2012 ; instituteur ; militant communiste dans le Val-d’Oise, maire de Bezons, conseiller général. », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
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    63. Comité de jumelage et relations internationales
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    79. Francine Aizicovici, « A Bezons, la fermeture de l’usine PPG ne passe pas », Le Monde, (lire en ligne)
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    81. http://www.ville-bezons.fr/heading/heading3598342.html
    82. Jean Rolin, Le pont de Bezons, Paris, POL / Normandie roto impr., , 240 p. (ISBN 978-2-8180-4911-2), "Heureux qui a vu le jour se lever sur le pont de Bezons.".
    83. Éd. Le Temps des cerises, 2012.
    84. « Claudine Loquen », sur www.art-culture-france.com, (consulté le ).
    85. Extrait de la préface de Céline : "Pauvre banlieue parisienne, paillasson devant la ville où chacun s'essuie les pieds..."
    86. "Daniel Renard, Bezons, du village à la ville", Libération, 9 janvier 1995.
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