Boisville-la-Saint-Père

Boisville-la-Saint-Père est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Boisville-la-Saint-Père

L'église Saint-Laurent, la bibliothèque et la mairie, place de la République.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Magalie Cathelineau
2021-2026
Code postal 28150
Code commune 28047
Démographie
Population
municipale
724 hab. (2019 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 42″ nord, 1° 41′ 36″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 154 m
Superficie 24,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Boisville-la-Saint-Père
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Boisville-la-Saint-Père
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Boisville-la-Saint-Père
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Boisville-la-Saint-Père
Liens
Site web boisvillelasaintpere.fr

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Boisville-la-Saint-Père
    Prunay-le-Gillon Moinville-la-Jeulin Ouarville
    Allonnes Réclainville
    Beauvilliers Moutiers

    Hameaux et écarts

    La commune se compose du bourg, de trois hameaux, Chevannes, Demainville, Honville, de trois fermes isolées, Guillonville, Létourville et l'Orme, ainsi que du restaurant au lieu-dit "la chaudière" sur la RN154.

    Desserte ferroviaire

    Lignes de chemin de fer et parc éolien.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 630 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louville », sur la commune de Louville-la-Chenard, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 618,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Boisville-la-Saint-Père est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Boisville-la-Saint-Père est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Lamblore, l'Avre, le Buternay et le ruisseau de Pipe-Souris. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22],[20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boisville-la-Saint-Père.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 358 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bodasivilla vers 954[27], Boesvilla vers 1090[28], Boasi Villa vers 1100[27], Boeinvilla vers 1250[29], Boivilla en 1252[30], Besvilla en 1270[31], Boevilla Sancti Petri en 1272[30], Boyville la Saint Père en 1366[32], Boivilla in Belsia en 1626[29], Saint Laurent de Boisville la Saint Père en 1736[29] pour le prieuré Saint-Laurent de l'abbaye Saint-Père-en-Vallée.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
      Mars 2008 Philippe Goussu    
    Mars 2008 Mars 2014 Philippe Réau    
    Mai 2014 Juillet 2020 Bertrand Chifflet SE Agriculteur
    Juillet 2020 décembre 2020 Philippe Maisons    
    12 janvier 2021 En cours Magalie Cathelineau[33] SE Secrétaire de mairie
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2019, la commune comptait 724 habitants[Note 8], en augmentation de 2,7 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7548138288599419499691 0071 023
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0721 0861 1071 0921 1071 0221 0201 000945
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    918881816754742718643736654
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    592558552638652702721721710
    2014 2019 - - - - - - -
    703724-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Batteuse R. Lecoq, ca 1930, Le Compa, Mainvilliers.

    Groupe Lecoq

    Implantée à Boisville depuis 1858, la société de construction de machines agricoles emploie 170 personnes sur les 8 bases du groupe dans quatre départements : Fresnay-le-Comte, Thimert, La Hurie et Lutz-en-Dunois (Eure-et-Loir), Prey (Eure), Averdon (Loir-et-Cher) et Mortagne-au-Perche (Orne)[38].

    Parc éolien du bois Bigot

    Installé en 2006 par la société CSO Energy, il réunit quatre turbines Nordex d'une puissance de 2,5 MW chacune, développant une puissance totale de 10 MW[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Laurent ;
    • Statue de Notre-Dame-de-la-Libération ;
    • Stèle en hommage au 8e régiment de tirailleurs tunisiens d'Honville.
    • Le Chemin de Saint-Mathurin, ancienne voie romaine formant la limite nord de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Ferdinand Jumeau (1824-1885), homme politique français, sénateur d'Eure-et-Loir, né à Boisville-la-Saint-Père au hameau de Quémonville.
    • Jean-Claude Colas né le 30 juin 1946 à Boisville-la-Saint-Père. Maître coiffeur, représentant de la coiffure française à la télévision au Japon de 1986 à 1996, et particulièrement dans les villes de Sapporo et Tokyo. Membre du Variétés Club de France en septembre 1991, il en est le vice-président depuis 2012[40].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Louville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Boisville-la-Saint-Père et Louville-la-Chenard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Louville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Boisville-la-Saint-Père et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Boisville-la-Saint-Père », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Boisville-la-Saint-Père », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Dans le cartulaire de Saint-Père-en-Vallée.
    28. Dans les archives départementales d'Eure-et-Loir.
    29. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier, p. 23.
    30. Dans une charte du chapitre de Chartres.
    31. Dans une charte de l’abbaye Saint-Florentin de Bonneval.
    32. Dans le registre des contrats du chapitre de Chartres.
    33. « Un nouveau maire à la tête de la commune », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Groupe Lecoq », sur http://www.groupe-lecoq.com/ (consulté le ).
    39. « Parcs éoliens en France, zone 28 », sur https://www.thewindpower.net, .
    40. Variétés Club de France, « Organigramme | Variétés Club de France », sur www.varietes.org (consulté le )
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