Boule-d'Amont
Boule-d'Amont est une commune française située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Aspres, un minusule territoire roussillonnais compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud qui tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols.
Boule-d'Amont | |||||
![]() La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat |
Claudine Botebol 2020-2026 |
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Code postal | 66130 | ||||
Code commune | 66022 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
55 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 2,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 34′ 50″ nord, 2° 36′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 234 m Max. 1 348 m |
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Superficie | 23,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Boulès et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Boule-d'Amont est une commune rurale qui compte 55 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 561 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Bouletains ou Bouletaines.
Géographie
Localisation
La commune de Boule-d'Amont se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 16 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 13 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Prunet-et-Belpuig (2,2 km), Casefabre (4,1 km), La Bastide (4,1 km), Saint-Marsal (4,7 km), Glorianes (5,0 km), Caixas (5,7 km), Calmeilles (5,8 km), Taulis (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Boule-d'Amont fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[5].
- Situation de la commune.
Géologie et relief

La commune de Boule-d'Amont se situe dans la partie ouest de l'unité hercynienne des Aspres, une unité géologique bien définie qui se compose des roches dures et anciennes.
La commune repose sur des formations métamorphisées datant d'environ 550 à 500 millions d'années (les périodes géologiques de l'Édiacarien et du Cambrien)[7],[8].
Ces formations sont principalement constituées de schistes. Ils sont souvent gris-vert, mais parfois brunâtres, comme à Roca Roja ("roche rougeâtre"), ou noirs, comme au lieu dit "Cementiri dels Moros" (Cimetière des Maures), à deux kilomètres au sud de Roca Roja[9]. On trouve également dans la commune des quartzites et des "microconglomérats"[10].

Ces couches anciennes ont été déposées pour la plupart sous forme de sédiments dans des environnements marins profonds. Puis, à partir d'il y a environ 350 millions d'années, toutes ces formations ont été comprimées entre deux continents convergents, au cours de l'orogenèse hercynienne (ou varsique). Pendant cette période de formation d'une chaîne de montagnes, les couches ont été durcies et fortement déformées par des plissements et des failles. Elles ont également été soumises au métamorphisme, donnant un aspect schisteux à plusieurs de ces formations.
Environ 200 millions d'années plus tard, à partir d'environ 65 millions d'années (Éocène), le bloc hercynien des Aspres s'est retrouvé dans la partie centrale d'une autre zone de construction de montagnes. C'était à l'époque où la plaque tectonique ibérique convergeait avec la plaque eurasienne au nord, provoquant ainsi l'émergence de la chaîne de montagnes pyrénéenne. Aujourd'hui, les Aspres, y compris la zone occupée par la commune de Boule-d'Amont, se trouvent à l'extrémité orientale de la "zone axiale" des Pyrénées.
Des gisements d'or étaient autrefois exploités dans les pentes situées immédiatement en dessous et à l'est de Roca Roja[11],[12].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[13],[14].
La superficie de la commune est de 2 322 hectares. L'altitude varie entre 234 mètres (à l'extrémité nord de la commune, dans la vallée du Boulès) et 1348 mètres (à l'extémité sud-ouest de la commune, à Santa Anna dels Quatre Termes)[15]. Ce dernier sommet est d'ailleurs le point le plus élevé de l'unité des Aspres.

Toute la commune se trouve dans le bassin du Boulès, qui descend au nord, vers la vallée de la Têt. La limite occidentale de la commune suit une crête qui s'étend au nord de Santa Anna à Roca Roja et au-delà, le long d'un interfluve avec la vallée du Boulès à l'est. La limite orientale de la commune suit le Boulès lui-même.
Le relief est partout vallonné, et abrupt par endroits. La topographie est typique des Aspres, c'est-à-dire un pays de collines avec des réseaux de vallées assez denses, profondément incisés.
- Boule-d'Amont sur une carte topographiqe des Pyrénées-Orientales.
- Vue vers le ouest depuis le château de Belpuig sur la vallée du Boulès et vers le sommet de Santa Anna dels Quatre Termes (au centre).
- Le village dans les gorges du Boulès.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[16].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Baillestavy », sur la commune de Baillestavy, mise en service en 1972[21]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[22],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 850,7 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 26 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[25], à 15,7 °C pour 1981-2010[26], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[27].
Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[28] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[29].
Urbanisme
Typologie
Boule-d'Amont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[30],[I 2],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), prairies (1,2 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Boule-d'Amont est desservie par la route départementale 618 (ancienne route nationale 618). La gare la plus proche se trouve à Ille-sur-Têt, celle de Bouleternère étant fermée.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Boule-d'Amont est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[33],[34].
Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[35].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[36].
Risque particulier
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[37].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Boule-d'Amont est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[38].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Bula d'Amunt[39].
Les premières mentions du nom donnent Bula en 942 et Bula Subirana en 1062[40]. On trouve enfin Bula de Munt au XVIIe siècle[41].
Bula vient du nom de la rivière Boulès qui sépare Boule d'Amont et Prunet et Belpuig. L'origine du nom est sans doute dans la racine pré-latine Bul-Vol, employée pour les torrents ravinés, aux berges escarpées ou éboulées[41].
Histoire
Des vestiges mégalithiques, notamment au Coll de les Arques (pierres dressées)[réf. souhaitée] et de dolmen appelé Cementiri dels Moros, attestent d'une occupation humaine du territoire de la commune au Néolithique.
Boule-d'Amont est mentionné à partir du Xe siècle (Bula en 942, puis Bula Subirana en 1062) ; le village est rattaché à la vicomté du Vallespir à la fin du siècle. L'abbaye Saint-Michel de Cuxa y possède des terres à partir du XIe siècle. Au XIIIe siècle, Boule d'Amont fait partie de la seigneurie de Corsavy (droit seigneuriaux partagés avec le prieuré de Serrabone et l'abbaye Saint-Michel de Cuxa).
La population du village augmente au XIXe siècle, notamment grâce à l’absorption de la commune de Serrabonne le [15],[42] avant de diminuer en dessous de la barre des 50 dans les années 1970 en raison de l’exode rural.
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Boule-d'Amont est incluse dans le canton d'Ille au sein du district de Prades. Elle rejoint le canton de Vinça en 1801, qu'elle ne quitte plus par la suite[42],[15].
À compter des élections départementales de 2015, la commune de Boule-d'Amont rejoint le nouveau canton du Canigou.
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Note : 1515 : pour La Bastide et Boule-d'Amont.
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2019, la commune comptait 55 habitants[Note 8], en diminution de 16,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
À partir de 1826, la population recensée inclut celle de Serrabonne.
selon la population municipale des années : | 1968[48] | 1975[48] | 1982[48] | 1990[48] | 1999[48] | 2006[49] | 2009[50] | 2013[51] |
Rang de la commune dans le département | 183 | 180 | 174 | 189 | 182 | 203 | 201 | 196 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 10,3 % | 20,5 % | 23,7 % |
Département[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 38 personnes, parmi lesquelles on compte 73,7 % d'actifs (50 % ayant un emploi et 23,7 % de chômeurs) et 26,3 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 20, soit un indicateur de concentration d'emploi de 110,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,2 %[I 9].
Sur ces 20 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 45 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5 % les transports en commun, 15 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 35 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
6 établissements[Note 10] sont implantés à Boule-d'Amont au [I 12]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 6 entreprises implantées à Boule-d'Amont), contre 13 % au niveau départemental[I 13].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 9 | 8 | 4 | 3 |
SAU[Note 11] (ha) | 798 | 710 | 267 | 154 |
La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 154 ha[55],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Dolmens :
Églises :
- Prieuré de Serrabone : blotti au cœur des Aspres, à 5 kilomètres du village, le prieuré de Serrabone, construit aux XIe siècle et XIIe siècle, abrite une superbe tribune romane en marbre rose. Il s'agit d'un haut lieu de l'art roman roussillonnais. L'église a été classé au titre des monuments historiques en 1875[56]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[56].
- Église paroissiale Saint-Saturnin : mentionnée en 1011, c'est un édifice roman agrandi au XVIIIe siècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1972[57]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[57].
- Pont du Mas Can Xandre ;
- Église Saint-Jean d'Arsus : église romane.
- Prieuré de Serrabone
- Église Saint-Saturnin de Boule-d'Amont
Personnalités liées à la commune
- Pierre Toubert, historien français spécialiste du Moyen Âge[réf. souhaitée]
Voir aussi
Bibliographie
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-8599-8244-7)
- Jean Tosti, Boule d'Amont, page consultée le 24 novembre 2007
- Historique du village consulté dans l'église paroissiale.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[18].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Boule-d'Amont » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Boule-d'Amont » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Boule-d'Amont » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Boule-d'Amont » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Boule-d'Amont et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Boule-d'Amont et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Boule-d'Amont et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Boule-d'Amont », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
- Carte IGN sous Géoportail
- Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8. http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-57032-FR.pdf.
- « Carte géologique » sur Géoportail. Avec notice explicative de la feuille Céret (1096) à 1/50 000 ("Notice de Céret"), BRGM Éditions, Orléans, 2015, ficheinfoterre.brgm.fr, consulté le 13 août 2021.
- "Notice de Céret", page 26.
- "Notice de Céret", page 28.
- Berbain, C., Favreau, G. & Aymar, J. (2005) : Mines et minéraux des Pyrénées-Orientales et des Corbières, Association Française de Microminéralogie Ed., 117-119. Cité sur www.mindat.org (en anglais), avec des images et une liste des minéraux du site (consulté le 23 novembre 2021).
- "Notice de Céret", page 117 (les gisements se situent dans la "zone de Glorianes-Serrabonne", une des trois "zones de minéralisations filoniennes sulfo-arséniées aurifères" des Aspres) et Fig.10 p123.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- « Risques prez de chez moi » (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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