Bourg-Saint-Bernard
Bourg-Saint-Bernard est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».
Bourg-Saint-Bernard | |||||
Vue du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres du Lauragais | ||||
Maire Mandat |
Évelyne Cesses 2020-2026 |
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Code postal | 31570 | ||||
Code commune | 31082 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bourguignons | ||||
Population municipale |
1 111 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 36′ 11″ nord, 1° 42′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 156 m Max. 253 m |
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Superficie | 16,60 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Revel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | bourg-saint-bernard.fr | ||||
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Girou, la Sausse, le Dagour, le Nadalou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bourg-Saint-Bernard est une commune rurale qui compte 1 111 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Bourguignons ou Bourguignonnes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Bernard, inscrite en 1965.
Géographie
Localisation
La commune de Bourg-Saint-Bernard se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 28 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Verfeil[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saussens (1,8 km), Montcabrier (3,1 km), Francarville (3,6 km), Teulat (3,9 km), Bannières (4,0 km), Prunet (4,0 km), Vendine (4,6 km), Vallesvilles (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Bourg-Saint-Bernard fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[4].
Bourg-Saint-Bernard est limitrophe de sept autres communes dont deux dans le département du Tarn.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 660 hectares ; son altitude varie de 156 à 253 mètres[6].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Girou, la Sausse, le Dagour, le Nadalou, le Rieutort, le ruisseau de Buguet, le ruisseau de Cante-Counil, le ruisseau de Maynague, le ruisseau des Chèvres et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé 31 communes[9].
La Sausse, d'une longueur totale de 22,1 km, prend sa source dans la commune de Lanta et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 11 communes[10].
Le Dagour, d'une longueur totale de 10,2 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Verfeil, après avoir traversé 6 communes[11].
Le Nadalou, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Lacougotte-Cadoul et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Teulat, après avoir traversé 8 communes[12].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961[18] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[19],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 26 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[22], à 13,8 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[24].
Urbanisme
Typologie
Bourg-Saint-Bernard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,5 %), zones urbanisées (3,6 %), forêts (1,7 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Accès par les anciennes route nationale 126 et route nationale 621. Aérodrome de Toulouse - Bourg-Saint-Bernard.
La ligne 381 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse et à Le Faget.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[28] : « la Vendinelle, le Girou et prairies annexes » (28 ha), couvrant 10 communes dont huit dans la Haute-Garonne et deux dans le Tarn[29].
Toponymie
Les habitants de la commune sont appelés les Bourguignons.
L'origine du nom de la commune remonte à saint Bernard de Clairvaux (1090-1153), moine, réformateur de la vie religieuse, canonisé dès 1174.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bourg-la-Loy[30].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[31],[32].
Liste des maires
La mairie.
Division électorale
Bourg-Saint-Bernard fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne et depuis le redécoupage cantonal de 2014, l'une des 59 communes du canton de Revel.
Division administrative
Avant le redécoupage cantonal de 2014, Bourg-Saint-Bernard faisait partie du canton de Lanta.
La commune fait partie de la communauté de communes des Terres du Lauragais et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes Cœur Lauragais.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2019, la commune comptait 1 111 habitants[Note 9], en augmentation de 13,48 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[36] | 1975[36] | 1982[36] | 1990[36] | 1999[36] | 2006[37] | 2009[38] | 2013[39] |
Rang de la commune dans le département | 116 | 126 | 167 | 168 | 165 | 176 | 175 | 166 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Enseignement
Bourg-Saint-Bernard fait partie de l'académie de Toulouse.
Manifestations culturelles et festivités
Tous les ans, le lundi de Pentecôte est célébrée la fête du Pré de la Fadaise anciennement appelée Prat Contast. Cette tradition locale remonte à l'an 1211. Dans la guerre contre les Albigeois, les jeunes gens du Bourg, armés de piques, délivrèrent par un coup de force un des leurs fait prisonnier et le rendirent à sa mère qui était veuve. Cette femme, reconnaissante envers les libérateurs de son fils, leur donna, le lundi de la Pentecôte, une fête équestre dans le pré qui lui appartenait. Pour consacrer le souvenir impérissable de cette délivrance, on convint que cette fête serait célébrée annuellement à perpétuité.
Aujourd'hui, et malgré l'abolition du jour férié, le lundi de Pentecôte reste le jour où les gens du village et des alentours se réunissent pour faire la fête et un cortège se forme dans le village. On y trouve dans l'ordre : les musiciens qui jouent l'air traditionnel, un groupe folklorique, le drapeau, des enfants costumés en soldats portant casque et «piques légendaires», le maire à cheval précédant des cavaliers en habit d'époque, le blason du pré et le blason du Bourg, des chars et voitures fleuris. Et c'est à midi solaire (14 h) que le cortège prend le départ suivi des habitants du village et des communes environnantes. Tous en grande foule se dirigent vers le pré situé dans la vallée du Girou à 2 km environ au nord du village. Dans ce pré d'un hectare et demi environ, l'usage veut qu'une surface, à l'entrée, d'environ 14 ares, soit préalablement dépouillée d'herbe par le propriétaire, comme pour indiquer que l'entrée est libre. L'herbe doit être intacte dans tout le reste du pré, afin que les chevaux puissent paître et y prendre leurs ébats en toute liberté. C'est là que vont se dérouler les festivités. La musique s'installe dans l'emplacement réservé. Les danses commencent, on court, on s'amuse, on rit, la consigne est : «dans le pré aucune fille debout», les téméraires sont transportées et roulées dans l'herbe mais délicatement si l'on veut bénéficier du «poutou» autorisé. On va ramasser l'herbe d'amour gage de fidélité, conservé précieusement jusqu'au prochain bouquet cueilli l'année suivante. Les cavaliers se préparent, s'alignent et c'est le départ de la course. Après trois tours souvent semés de péripéties, le cavalier arrivé le premier est déclaré roi de la fête. Il choisit, parmi les jeunes filles, sa cavalière du village qui devient reine, il lui offre une couronne de fleurs blanches qu'il va déposer sur sa tête. Le roi prend en croupe la reine et se place à la tête des cavaliers qui choisissent aussi chacun leur cavalière formant ainsi le «reinage». À 15 heures (solaire) le cortège se reforme et quitte le pré accompagné de la foule pour retourner au village. Au terme du circuit tout le cortège se disperse, se mêle à la foule. La musique prend la relève, les danses commencent, les baraques foraines et les manèges sont investis. Un grand feu d'artifice marque le début du bal de nuit qui se terminera tard.
Sports
Depuis 2007, la commune possède l'aérodrome de Toulouse - Bourg-Saint-Bernard dont la gestion est confiée à l'association vélivole et aéronautique toulousaine (AVAT)[40] ; un club de planeurs y est implanté.
Culture locale et patrimoine
Monuments historiques
La commune compte un monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques, mais aucun objet[41],[42].
- L'église Saint-Bernard de Bourg-Saint-Bernard a été bâtie à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle de style gothique, avec une seule nef à trois travées. La flèche en briques a été démolie en partie en 1794. L'ensemble du bâtiment (extérieur et intérieur) est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis le [43].
- L'église Saint-Bernard.
- Vue de l'intérieur.
- Les fonts baptismaux.
- La chaire.
- Plafond du chœur.
Autres lieux et monuments
- Le monument aux morts de Bourg-Saint-Bernard
- L'église Saint-Pierre de Roques et son monument aux morts.
- Le monument aux morts de Bourg-Saint-Bernard
- Le monument aux morts de Roques
- L'église Saint-Pierre de Roques
Personnalités liées à la commune
- Robert Monestier (1910-1986), résistant, né dans la commune.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Bourg-Saint-Bernard » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- « Métadonnées de la commune de Bourg-Saint-Bernard » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Bourg-Saint-Bernard et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bourg-Saint-Bernard et Revel », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bourg-Saint-Bernard », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Bourg-Saint-Bernard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Girou »
- Sandre, « la Sausse »
- Sandre, « le Dagour »
- Sandre, « le Nadalou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Site du club.
- « Liste des monuments historiques de la commune de Bourg-Saint-Bernard », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Bourg-Saint-Bernard », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Bernard », notice no PA00094295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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