Bourg-de-Péage
Bourg-de-Péage est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Bourg-de-Péage | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Nathalie Nieson 2020-2026 |
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Code postal | 26300 | ||||
Code commune | 26057 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Péagois, Péageoises | ||||
Population municipale |
9 957 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 726 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 19″ nord, 5° 03′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 200 m |
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Superficie | 13,71 km2 | ||||
Unité urbaine | Romans-sur-Isère (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourg-de-Péage (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | bourgdepeage.com | ||||
Ses habitants sont dénommés les Péageois.
Géographie
Localisation
La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Bourg-de-Péage est située à 20 km de Valence (préfecture), à 77 km de Grenoble, à 82 km de Lyon, à 195 km de Marseille et à 473 km de Paris.
Relief et géologie
Sites particuliers :
Hydrographie
Bourg-de-Péage est séparée de la ville de Romans-sur-Isère par la rivière Isère.
La commune est aussi arrosée par :
- le canal de la Bourne qui traverse la commune ;
- le ruisseau de la Maladière, affluent de l'Isère ;
- le ruisseau des Omis, affluent du canal de la Bourne.
Urbanisme
Typologie
Bourg-de-Péage est une commune urbaine (car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[4] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,8 %), zones urbanisées (22,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), cultures permanentes (6,7 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %), forêts (1,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[10] :
- Aumône
- Baron
- Bois des Naix
- Chagnol
- Chambois
- Champ du Châtaignier
- Combevert
- la Garde
- la Garenne
- la Lune
- la Magnanerie
- la Maladière
- la Parisière
- la Petite Ardoise
- la Planète
- le Pit
- l'Ardoise
- les Alliers
- les Bayannins
- les Bourgeois
- les Chanterelles
- les Drets
- les Moulins
- les Plantas
- Malataverne
- Miraillers
- Mondy
- Prés Mondy
- Tépier
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- les Allières est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Las Oleiras en 1246 (cartulaire de Léoncel, 146)[11].
Réseau routier
Bourg-de-Péage est accessible par :
Réseau ferroviaire
La commune est accessible par deux gares : Romans - Bourg-de-Péage et Valence TGV.
Aéroports
Les trois aéroports les plus proches sont : l'aéroport international de Lyon-Saint-Exupéry (1h20 en voiture, 117 km), l'aéroport de Grenoble-Isère (55 minutes en voiture, 60 km) et le petit aéroport de Valence-Chabeuil (15 minutes en voiture, 21 km).
Transports en commun
La commune de Bourg-de-Péage est desservie par le réseau de bus Citéa.
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :
- 1430 : ultra pontem Ysere in mandamento Pisanciani (terrier de Saint-Barnard).
- 1455 : Pedagium Burgi Pisanciani (Maladr. de Voley, 81).
- 1471 : Burgum Pedagii Pisanciani (Maladr. de Voley, 83).
- 1504 : bastida seu pedagium Pisançoni, prope Romanis (archives de l'Isère, B 2674).
- 1536 : le Péage près de Romans et le Péage de Romans (archives de l'Isère, B 119).
- 1646 : la terre et seigneurie des Delphinaux de Pizançon, appelée le Bourg de Péage (archives de la Drôme, E 3760).
- 1679 : le Péage de Pisançon (Maladr. de Voley, 156).
- 1709 : le Péage de Pisançon lez Romans en Dauphiné (Mémoires pour les Minimes).
- An VII (révolutionnaire) : Unité sur Isère (ann. de la Drôme).
- 1891 : Le Bourg-de-Péage, commune, chef-lieu de canton, arrondissement de Valence.
Non daté[réf. nécessaire] : Bourg-de-Péage. L'article défini n'est plus prononcé.
Étymologie
En raison du péage qu’il fallait acquitter pour traverser le pont sur l’Isère conduisant à Romans sur l’autre rive.
Histoire
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie : au point de vue féodal, son territoire faisait partie de la seigneurie de Pizançon. (voir commune de Chatuzange-le-Goubet)[12].
Attesté en 1033 : les moines du chapitre de la collégiale Saint-Barnard de Romans-sur-Isère (située sur la rive droite, au nord de l'Isère) construisent un pont permettant de traverser la rivière. Le développement de la ville sera dû à ce pont.
L'abbaye y perçoit un droit de passage (péage). Les habitants du ressort de l'actuel canton en étaient dispensés, à l'exception des jours de grandes foires, mais les étrangers étaient surtaxés. De la même façon, les bateliers de l'Isère devaient s'acquitter du tribut de leurs rames.
Cette activité ne tarda pas à fixer l'habitat, et le hameau de Pizançon (commune de Chatuzange-le-Goubet) qui, à l'origine, se trouvait au débouché du pont, vit sa population s'accroître rapidement[13].
Au Moyen Âge, le pont de pierre était jalonné de trois constructions[réf. nécessaire] :
- Au sud s'élevait une tour percée à sa base d'une porte, près de laquelle se tenait la maison du pontonnier.
- Au nord s'élevaient la chapelle Notre-Dame-du-Pont et un petit hôpital qui se faisaient face de chaque côté du tablier du pont.
- Le pont fut maintes fois endommagé par les crues violentes de l'Isère. La tour, qui arborait fièrement les armes de la ville de Romans puis du Dauphiné, disparut au XVIIe siècle.
- À plusieurs reprises, des arches écroulées furent remplacées par un tablier de bois.
- Au XVIIIe siècle fut entreprise la reconstruction de l'ouvrage, complétée au siècle suivant par son élargissement. Le pont subit de nouvelles destructions car à trois reprises (en 1814, 1940 et 1944) sa seconde arche fut détruite ; les traces en sont encore visibles.
Il y avait, dans cette paroisse, un couvent de minimes fondé en 1621, et auquel fut uni vers 1710 le prieuré de Saint-Jean-en-Royans[12].
Avant 1790, le Bourg-de-Péage était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin. Elle formait depuis le XVIIe siècle une paroisse du diocèse de Valence dont l'église était dédiée à Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, et dans laquelle le chapitre de Saint-Barnard de Romans était collateur et décimateur[12].
De la Révolution à nos jours
En 1790, le Bourg-de-Péage devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant Bourg-de-Péage et les Delphinaux-de-Pisançon ou Chatuzange.
Lors de la réorganisation de l'an VIII (1799-1800), ce canton est compris dans l'arrondissement de Valence. Il est composé des communes de : Alixan, Barbières, la Baume-d'Hostun, Beauregard, Charpey (d'où a été distraite, en 1873, la commune de Bésayes), Châteauneuf-d'Isère, Chatuzange, Crispalot (uni ensuite à Beauregard), Eymeux, Hostun, Marches, Rochefort-Samson, Saint-Nazaire-en-Royans et Bourg-de-Péage[12].
1810 : si Romans a acquis sa renommée avec la chaussure de luxe, Bourg-de-Péage doit la sienne à la chapellerie de feutre introduite vers 1810 par des ouvriers venus de Cognin dans l'Isère.
Cette nouvelle activité succède à une solide tradition de bonneterie d'avant la Révolution (fabrication des dessous féminins principalement). En 1811, trois ateliers sont signalés et, un demi-siècle plus tard, cette activité occupe plus de quatre cents ouvriers répartis en seize ateliers[réf. nécessaire].
- Le feutre est obtenu à partir de poils de lapin domestique qui font l'objet de nombreuses opérations réalisées par les ouvriers dans des conditions pénibles d'humidité, comme le soufflage ou le foulage. Dans les campagnes alentour, les « raseuses » de lapins étaient nombreuses, et leur activité s’est parfois perpétuée dans certains noms de lieux-dits.
- L'installation de la ligne de chemin de fer à Romans en 1864 mit un terme à l'origine locale de la matière première. On lui préféra alors le poil de lapins australiens, moins coûteux.
- Ces importations firent ainsi perdre des centaines d'emplois dans les campagnes[réf. nécessaire].
En 1883, survint une crise chapelière sans précédent, du fait de l'attitude protectionniste de certains pays où s'écoulait la production. Les difficultés surmontées, l'activité s'amplifia encore jusqu’en 1929 où elle connut son apogée. À cette époque, l'entreprise Mossant, qui avait été la pionnière de la chapellerie péageoise, employait plus de mille deux cents ouvriers, et bien d'autres ateliers produisaient à ses côtés des couvre-chefs de qualité[réf. nécessaire].
À partir de 1930, la mode des « nue têtes » et l'insuffisance des exportations provoquèrent un rapide déclin de la chapellerie, dont certains ateliers continuèrent cependant de fonctionner jusqu'en 1985[réf. nécessaire].
Politique et administration
Politique environnementale
En 2014, ville fleurie avec « 3 fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[14] depuis 2008 : 59 hectares de parcs et jardins, de gazon, de massifs, d'arbres et arbustes, de haies et d'accompagnements de voirie... Un patrimoine paysager exceptionnel qui fait la fierté des Péageois.
Finances locales
Finances locales de Bourg-de-Péage de 2000 à 2018[15] (tapez sur le lien wiki[16]).
Jumelages
- Verbania (Italie)
- Mindelheim (Allemagne)
- East Grinstead (Royaume-Uni)
- Sant Feliu de Guíxols (Espagne)
- Schwaz (Autriche)
- Grand-Mère (Canada)
- Tomioka (Japon) (pacte d'amité)[17]
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 4]
En 2019, la commune comptait 9 957 habitants[Note 5], en diminution de 1,78 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Bourg de Péage dépend de l'académie de Grenoble. La commune comptent plusieurs écoles : trois écoles maternelles et quatre écoles élémentaires, dont une privée[21] ; deux collèges, dont un privé[22].
Une ligne de transport scolaire a été mise en place par la municipalité, réservée au écoliers de la commune[23].
Manifestations culturelles et festivités
- Bourg-de-Péage dispose de nombreuses salles de spectacles et d'expositions (salle Jean Cocteau, espace François Mitterrand, Parc Mossant)[réf. nécessaire].
- Semaine culturelle en février[24].
- Festival Musique au Parc : deux jours de concerts et d'animations[réf. nécessaire].
- Les rendez-vous de la magie : animations de rues, ateliers d’initiation, concours amateur de magie, animations dans les écoles et les lieux publics, etc. : pendant une semaine, c’est toute la ville qui vit au rythme de la magie. Le festival se clôt en beauté avec l’organisation de trois soirées, animées par des magiciens professionnels d’envergure internationale, qui rassemblent plus de 1 500 spectateurs[25].
- Le salon des picturales : les Picturales rassemblent environ 130 artistes peintres ou amateurs enthousiastes. Ils peuvent ainsi échanger leurs expériences et leurs acquis sans arrière-pensées. Ici, pas de compétition, ni de sélection ou de récompense : telle est la ligne directrice souhaitée par son initiateur, le peintre Pierre Palué. Depuis 1975, les Picturales constituent un rendez-vous toujours très attendu par les amateurs d’art. Ce salon péageois représente une occasion unique de découvrir ou de redécouvrir les talents artistiques que recèle notre territoire. Ainsi, chaque mois d'octobre, pendant les 10 jours des Picturales, ce sont plus de 1500 visiteurs qui viennent admirer les œuvres exposées[25].
Loisirs
- Pêche[24].
Sports
- Le complexe sportif Vercors.
- Aviron : l'Aviron Romanais Péageois, créé en 1908, est le premier club de la Drôme et de l'Ardèche. Le plus grand rameur du club est Laurent Porchier qui fut plusieurs fois champion de France et champion du monde, et aussi champion olympique aux Jeux olympiques de Sydney en 2000[réf. nécessaire].
- Handball : Le Bourg de Péage Drôme Handball est un club de handball. L'équipe féminine évolue en LFH du championnat de France féminin[réf. nécessaire].
- Tous les deux ans, au mois de décembre, la Ville de Bourg-de-Péage récompense ses sportifs lors d'une soirée au centre Jean-Cocteau[26].
- Ville départ du Tour de France 2013 et de la 16e étape du Tour de France 2015, entre Bourg de Péage et Gap le [27].
Cultes
La paroisse Sainte Claire en Dauphiné regroupe les communautés catholiques de Romans-sur-Isère, Bourg-de-Péage, Pizançon et Granges-lès-Beaumont[28].
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, vignes, cultures fruitières, porcins, bovins[24].
Commerce
- Braderie : fin mai[24].
La boulangerie Pascalis est la plus ancienne boulangerie de Bourg-de-Péage et date du XIXe siècle. Sa spécialité est la fameuse pogne de Romans[29].
(Jean-Charles Pascalis, maître artisan boulanger pâtissier, chevalier de l'Ordre national du Mérite (France), conseiller municipal en 2014).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Maison Favor est un château construit entre 1798 et 1810 sur le domaine de Bayanne (classée depuis le )[30] : escalier avec sa cage, pièces du rez-de-chaussée avec décor de papier peint, façades et toitures (MH)[24].
- Château de Mondy construit à la fin du XVIIe siècle[réf. nécessaire].
- Clos de l'Hermitage[réf. nécessaire].
- Chapellerie Mossant : le bâtiment actuelle date de 1929[31] (inscrite au titre des monuments historiques depuis le )[32]
- Monument du départ des pionniers du Vercors[24].
- Église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Bourg-de-Péage, récente[24].
- Bords de l'Isère (vue depuis le Bois des Naix).
- Maison Favor (1798-1810).
- Chapellerie Mossant (1929).
L'association Sauvegarde du patrimoine romanais péageois propose des articles sur les monuments des deux communes[33].
Patrimoine culturel
- Artisanat d'art[24].
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- Francois Marbos (1739-1825) : 1er maire de Bourg-de-Péage, évêque de la drome en 1791 puis député (il vota contre la mort de Louis XVI).
- Marc-Antoine Jullien (né en 1744 à Bourg-de-Péage, mort en 1821 à Pizançon) : homme politique.
- Paul Brunat (né en 1840 à Bourg-de-Péage, mort en 1840 à Paris) : concepteur et directeur de la filature de soie de Tomioka.
- François Eynard (né en 1874 à Bourg-de-Péage , mort en 1949 à Bourg-de-Péage) : homme politique.
- Charles Jourdan (né en 1883 à Bourg-de-Péage, mort en 1976 à Paris) : industriel de la chaussure.
- Marie Chaix (1886-1955) (née à Bourg-de-Péage) : première française élue adjointe au Maire (en 1925).
- Paul Dochier (né en 1914 à Bourg-de-Péage, assassiné en 1996) : religieux de l'moine de Tibéhirine (ou Tibhirine) en Algérie, renommé « frère Luc », assassiné avec six de ses compagnons le [34].
- Henri Durand (né en 1919, mort en 2010 à Bourg-de-Péage) : homme politique.
- Didier Guillaume (né en 1959 à Bourg-de-Péage) : homme politique.
- Nathalie Nieson (née en 1969 à Lyon) : femme politique, maire de Bourg-de-Péage.
- Romain Saïss (né en 1990 à Bourg-de-Péage) : footballeur professionnel.
- Didier Guillaume.
- Nathalie Nieson.
Héraldique, logotype et devise
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Bourg-de-Péage possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
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Annexes
Bibliographie
- Laurent Jacquot, Romans, traces d'Histoire, coll. Les Patrimoines, éd. Dauphiné Libéré, 2008.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Bourg-de-Péage sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Allières).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 46 (Bourg-de-Péage).
- Histoire de Bourg-de-Péage
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- http://marielaure.monde.free.fr/Finances_Locales_Web/Departement_026/index.html.
- http://marielaure.monde.free.fr/Finances_Locales_Web/Departement_026/Bourg-de-Peage/Bourg-de-Peage_wikicode.html.
- Mairie de Bourg-de-Péage, « Villes jumelles » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- écoles maternelles et primaires à Bourg-de-Péage.
- collèges à Bourg-de-Péage.
- ligne de transport scolaire.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Bourg-de-Péage.
- politique culturelle à Bourg-de-Péage.
- politique sportive de Bourg-de-Péage.
- Julien Ricotta, « Tour de France 2015 : découvrez le parcours » , sur Europe 1, (consulté le ).
- paroisse Sainte Claire en Dauphiné.
- musée de la pogne.
- Notice no PA00116899, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- https://romans-patrimoine.fr/patrimoine/patrimoine-et-monuments/12-patrimoine/patrimoine-e-tmonuments/70-nt.html
- Notice no PA26000013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- https://romans-patrimoine.fr/association.html
- MINASSIAN Marie-Dominique, « Frère Luc », sur Les Moines de Tibhirine (consulté le ).
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