Bourg-du-Bost

Bourg-du-Bost est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Bourg-du-Bost

La mairie de Bourg-du-Bost en 2021.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Janick Laville
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24058
Démographie
Population
municipale
218 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 18″ nord, 0° 15′ 20″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 115 ou 116 m
Superficie 7,16 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bourg-du-Bost
Géolocalisation sur la carte : France
Bourg-du-Bost
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Bourg-du-Bost
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bourg-du-Bost
Liens
Site web www.bourg-du-bost.fr

    Géographie

    Généralités


    La commune de Bourg-du-Bost est située dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois. Elle est limitrophe du département de la Charente et son territoire est situé en rive gauche de la Dronne.

    À l'intersection des routes départementales (RD) 20, 100 et 100E1, le bourg de Bourg-du-Bost est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'ouest-nord-ouest du centre-ville de Ribérac.

    La commune est également desservie par la RD 20E4.

    Communes limitrophes

    Carte de Bourg-du-Bost et des communes avoisinantes en 2016.

    La commune est limitrophe de six communes dont une dans le département de la Charente. Son territoire est distant d'environ 500 mètres de ceux de Ribérac au sud-est et de Saint Privat en Périgord au sud-ouest.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bourg-du-Bost est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 757 - Ribérac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Bourg-du-Bost.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 47 m[5] à l'extrême nord-ouest, en aval du lieu-dit Moulin de Ribérac, là où la Dronne quitte la commune et sert de limite entre celles de Petit-Bersac et de Saint-Séverin, et 115 ou 116 m[5],[Note 1] à l'extrême sud-est, près du lieu-dit Emboin[6],[7], en limite de la commune de Vanxains.

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 2] et quatorze sous-unités[9]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,16 km2[5],[12],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,27 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dronne, le Vindou et par un petit cours d'eau[Note 4],[Note 5],[Note 6], qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle  dont elle est le principal affluent  à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[17],[18]. Elle borde le territoire communal au nord sur quatre kilomètres et demi, face à Allemans et Comberanche-et-Épeluche.

    Le Vindou marque la limite communale sur plus d'un kilomètre et demi au sud-ouest, face à Chassaignes.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 8] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 9] : 841 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[27] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[28],[Note 10], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 50 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Bourg-du-Bost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 11],[34],[35],[36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 12]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante[39] :

    • prairies (28,2 %),
    • terres arables (27,7 %),
    • zones agricoles hétérogènes (25,9 %),
    • forêts (18,2 %).

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Bourg-du-Bost proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

    • le Bain
    • Bellevue
    • Aux Biarnais
    • la Bourgeade
    • Chantemerle
    • Charbonnière
    • Derrière la Grange
    • Emboin
    • la Grande Bertinie
    • la Grande Forêt
    • les Grandes Terres
    • la Lande
    • la Maisonnette des Millaud
    • les Millaud
    • le Moulin de Bourgeade
    • Moulin de Ribérac
    • la Petite Bertinie
    • la Peyrière
    • le Pont Picaud
    • le Pont du Soulier
    • la Prairie
    • Reminsignac
    • Au Soulier
    • la Terre de Reminsignac.

    Toponymie

    Alors que l'église de Bourg-du-Bost a été édifiée au XIIe siècle, les premières mentions écrites connues du lieu datent du siècle suivant sous les formes Vicus Nemoris de Bosc « village de la forêt » et Ecclesia de Bost « église de Bost » (cette dernière mention dans un registre)[41],[42]. En 1382, il est appelé Burgus Nemoris signifiant le « bourg du bois », tout comme son nom francisé actuel[41],[42].

    La première partie du nom dérive du latin médiéval burgus qui correspondait à un hameau, puis ultérieurement à une localité ; Bost, tout comme son équivalent Bosc, proviennent du terme germanique °bosk signifiant « bois ».

    En occitan, la commune porte le nom de Lu Borg dau Bòsc[43].

    Histoire

    Le lieu a été occupé dès le XIIe siècle, période à laquelle a été bâtie l'église actuelle[41].

    La commune a été créée lors de la Révolution française[5].

    Un temple protestant a été édifié au sud-est du bourg au XIXe siècle puis a accueilli les locaux de la mairie en 1914, avant de devenir une salle des fêtes[44].

    Bourg-du-Bost avait une gare sur la ligne de Ribérac à Parcoul - Médillac, ouverte aux voyageurs de 1906 à 1940.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Bourg-du-Bost est rattachée au canton de Ribérac qui dépend du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926, date à laquelle ce dernier est supprimé et ses communes rattachées à l'arrondissement de Périgueux[5].

    Les rattachements de la commune au canton et à l'arrondissement ne sont pas modifiés lors de la réforme cantonale de 2014 applicable lors des élections départementales de mars 2015[45], ni lors de la réorganisation des limites d'arrondissement de janvier 2017[46].

    Intercommunalité

    Bourg-du-Bost a d'abord fait partie de la communauté de communes du Ribéracois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 en communauté de communes du Périgord Ribéracois.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      août 1846 Jean Audemard[Note 13]    
    octobre 1846 20 juin 1854 Jean Dumas[Note 13]   Chirurgien, membre de la Légion d'honneur
    juillet 1854 septembre 1870 Jean Dubreuilh   Officier de santé
    octobre 1870   Moreau    
             
     ? 1941 Édouard Dubois   Révoqué par le Gouvernement de Vichy[49]
             
    mars 2001 octobre 2012 Claude Faguet[Note 14] SE[50] Directeur d'une grande surface
    octobre 2012 novembre 2016 Thierry Décima[Note 15] SE Directeur d'agence bancaire
    novembre 2016 février 2017 Janick Laville   Adjoint faisant fonctions de maire
    février 2017
    (réélu en mai 2020)
    En cours Janick Laville    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Bourg-du-Bost relève[51] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].

    En 2019, la commune comptait 218 habitants[Note 16], en diminution de 8,79 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    486473470536452430452459453
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    427418406384401390390372379
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    340344318271262246225261229
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    194195185188174200227231239
    2017 2019 - - - - - - -
    225218-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 97 personnes, soit 41,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-neuf) a presque triplé par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,1 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt établissements[56], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois dans l'industrie, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un relatif au secteur administratif[57].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    Notes
    1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 115 mètres sur la carte et 116 sur son ancien site.
    2. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    3. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    4. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Lizonne, affluent de rive droite de la Dronne, n'arrose pas la commune de Bourg-du-Bost située en rive gauche à leur confluence.
    5. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, l'Astier de Comberanche, entièrement en rive droite de la Dronne, n'arrose pas la commune de Bourg-du-Bost située en rive gauche.
    6. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le canal d'Alliger, entièrement en rive droite de la Lizonne et de la Dronne, n'arrose pas la commune de Bourg-du-Bost située en rive gauche.
    7. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur trente ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    8. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    9. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    10. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    11. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    12. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    13. Décédé en cours de mandat.
    14. Démissionne de la fonction de maire mais reste conseiller municipal.
    15. Démissionnaire.
    16. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Bourg-du-Bost » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Bourg-du-Bost » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bourg-du-Bost », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 757 - Ribérac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. « 115 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022)..
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bourg-du-Bost », sur le site de l'Insee (consulté le )
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    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Bourg-du-Bost », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 24 juillet 2022)..
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    25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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