Bourgneuf-en-Retz

Bourgneuf-en-Retz ([buʁ.nœf.ɑ̃.ʁɛ]) est une ancienne commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Villeneuve-en-Retz.

Pour les articles homonymes, voir Bourgneuf et Retz.

Bourgneuf-en-Retz

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Pornic Agglo Pays de Retz depuis le 01-01-2020
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Yves BLANCHARD
2020-2026
Code postal 44580
Code commune 44021
Démographie
Gentilé Novembourgeois
Population 3 586 hab. (2013)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 02′ 38″ nord, 1° 57′ 05″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 40 m
Superficie 53,19 km2
Élections
Départementales Machecoul
Historique
Date de fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Villeneuve-en-Retz
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bourgneuf-en-Retz
Géolocalisation sur la carte : France
Bourgneuf-en-Retz
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Bourgneuf-en-Retz
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Bourgneuf-en-Retz

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Ses habitants s'appellent les Novobourgeois et les Novobourgeoises, également appelés les Novembourgeois et les Novembourgeoises. Bourgneuf-en-Retz comptait 3 586 habitants au recensement de 2013. La commune comprend aussi le village de Saint-Cyr-en-Retz.

    Géographie

    Situation

    Avant la création de la commune nouvelle de Villeneuve-en-Retz dont elle est constitue la partie ouest, elle était entourée des communes de Bouin et Bois-de-Céné de Vendée avec l'étier Le Falleron comme frontière naturelle, et de Machecoul, Fresnay-en-Retz, Sainte-Pazanne, Saint-Hilaire-de-Chaléons, Pornic et de Les Moutiers-en-Retz.

    Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Bourgneuf était une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

    Bourgneuf, porte du marais breton est un carrefour routier important sur les axes Nantes-Noirmoutier, Pornic-Machecoul et Saint-Nazaire-Vendée dit Route bleue. À 30 minutes de Nantes, Bourgneuf ouvre la porte à la Côte de Jade et à la Côte Vendéenne.

    Paysages

    Commune composée de paysages différents :

    Près du village de Saint-Cyr-en-Retz à la Noë-Briord se trouve une table d'orientation (à 34 mètres d'altitude) où l'on peut observer tout le Marais breton, du Port du Collet à Machecoul jusqu'à Challans en Vendée.

    Toponymie

    Le nom de Bourgneuf-en-Retz vient de bourg neuf (par opposition au bourg ancien qu’est Saint-Cyr-en-Retz). Il a été mentionné sous la forme latinisée Burgum ad Ligerim et l’ancienne forme Bourg-Neuf-de-Saint-Cyr. Il est homonyme avec les nombreux Bourgneuf, le Bourgneuf et Bourg-neuf, d'époque médiévale[réf. nécessaire].

    La forme bretonne correcte proposée par l'Office public de la langue bretonne est Bourc'hnevez-Raez[1].

    Histoire

    À l'origine, la paroisse portait le nom de Saint-Cyr, port depuis l'antiquité, mais le recul de la mer força les habitants à créer au XIe siècle un nouveau bourg-port d'où le nom de « Bourgneuf », ce petit port devint vite plus important que l'ancien bourg de Saint-Cyr et la commune a fini par prendre son nom. Bourgneuf est situé dans le Marais breton qui marque la frontière entre deux régions historiques, la Bretagne dont il fait partie et le Poitou. Bourgneuf était producteur important de sel au XVe siècle.

    Au Moyen Âge, Bourgneuf et la Baie de Bretagne étaient connus en Europe comme un très grand lieu de saliculture (marais salants) et l'abondante production de sel marin était surtout destinée aux Îles britanniques, aux villes de la Hanse, Dantzig ou même Rīga, et à bien d'autres régions. Au XIIe siècle, le géographe arabe Al Idrissi décrivait Bourgneuf comme « une jolie ville où sont un chantier, un port et des bazars ». Le commerce du sel se faisait directement du producteur à l’acheteur.

    Au XIVe siècle est créé le Port du Collet avec sa forteresse (démolie pendant le règne de Louis XIV de crainte qu'elle ne tombe aux mains des Anglais), un avant-port qui devint vite plus important que le port principal de Bourgneuf qui était devenu trop ensablé.

    Ce commerce connut son apogée entre les XIVe et XVIIe siècles, en 1452 plus de 200 navires venus de la mer Baltique sont venus charger du sel à Bourgneuf. Au XVIIIe siècle on produisait plus de 30 000 tonnes de sel par an dans le marais breton. Le port est aussi utilisé pour la pêche et les transports transatlantiques[2].

    Mais l'ensablement de la « Baye de Bretagne » a provoqué la fin de la production salicole au XIXe siècle, les navires ne pouvaient plus atteindre le Collet, d'où le déclin de Bourgneuf ensuite. Aujourd'hui au port du Collet ne subsistent plus que des activités de plaisance, une production ostréicole (huîtres Vendée-Atlantique) et quelques bateaux de pêches qui se font de plus en plus rares. Les marais salants ont été remis en activité par Daniel Robard depuis 2001, près du centre bourg, et au village des Rivières-aux-Guérin.

    Le couvent Saint-François des Cordeliers est fondé par Gérard de Machecoul et son épouse Aliénor de Thouars en 1332. Maintenant il accueille le musée du pays de Retz depuis 1966.

    On notera le rôle de Pierre-Marie Goullin, sieur de l'Eraudière, sénéchal de Bourgneuf, dont on peut encore voir la tombe dans la nouvelle église (XIXe siècle).

    Pendant la Révolution, les forces navales de la Baie de Bretagne sont basées au Port du Collet et à Bouin. Sous la Terreur, une cinquantaine de femmes et d’enfants sont embarqués au Collet pour être noyés dans la baie sur l’ordre du Comité révolutionnaire de Nantes.

    L'une des premières décisions locales de la révolution est de transformer le nom de la ville en Bourgneuf-en-Retz.

    La commune vécut la guerre de Vendée en 1793, avec notamment en mars l'arrêt d'une colonne de 600 Vendéens sous les ordres de Ripaud de La Cathelinière de Frossay qui abattit lui-même d'une décharge de deux pistolets dans la poitrine le premier maire de Bourgneuf, Pierre Mourain (avocat et ancien député), le 24 mars 1793, au lieu-dit la Foliette.

    Le fils du sénéchal, Benoît Goullin, épousera la fille de Pierre Mourain, et deviendra à son tour Maire de Bourgneuf-en-Retz.

    En 1854, le choléra et le typhus font une centaine de morts.

    La ligne Nantes - Sainte-Pazanne - Pornic est créée en 1875 et passe par Bourgneuf. Puis, en 1923, la ligne à voie métrique Bourgneuf - Saint-Gilles-Croix-de-Vie est inaugurée et sera prolongée jusqu'aux Sables-d'Olonne deux ans plus tard. Elle dessert les communes côtière de baie jusqu'au nord de la Vendée et permettait surtout au fumier venant des fermes du marais d'être convoyé jusqu'aux maraîchers de la région nantaise. Ce service prendra fin en 1947.

    Depuis 2002, le service de TER venant de Nantes est élargi à la saison hivernale.

    Le , après plusieurs mois de travail, les communes de Bourgneuf-en-Retz et Fresnay-en-Retz décident de se regrouper au sein d'une commune nouvelle qui sera baptisée Villeneuve-en-Retz. Ce regroupement permettra de pallier la baisse programmée des dotations globales de fonctionnement versée par l'État durant les années suivantes. La création de la nouvelle commune est effective le 1er janvier 2016, entraînant la transformation des deux anciennes communes en « communes déléguées » de la nouvelle entité[3].

    Le marais de Bourgneuf-en-Retz

    À l’origine une sédimentation fluviale (Loire et Charente) créa cette zone de dépôt à versement successif pour en faire une entité.

    Les premières salines furent creusées au début de l’ère chrétienne sous l’influence des romains. Les moines bénédictins du XIe au XIIIe siècle entreprirent les constructions salicoles : fosses, étiers. L’activité du sel connut son apogée au XVIe siècle. Après quoi l’envasement amorça son déclin.

    Il fallait rendre cet espace à l’agriculture. L'aménagement portuaire pour la pêche et la poldérisation des marais séparent en deux ce milieu dans lequel le sel est incompatible avec une activité agraire.

    C'est ce qui explique l’existence des vannes du Collet et du port La Roche. Le vannage du Fresne verrouilla définitivement la remontée des eaux salées.

    En aval il existe donc des eaux saumâtres ; l’influence de l’eau de mer et le déversement des eaux douces en font un lieu propice à la pisciculture et au développement de l’aquaculture (le Collet et la zone acquacole sur la commune des Moutiers). En amont des vannes, une zone d’eau privilégie la pêche de loisir que l’envasement des étiers rend plus difficile.

    Une faune riche et particulière singularise ce milieu de marais où hérons, aigrettes blanches, busards des roseaux, canards colonisent l’espace. Le marais est un lieu d’observation privilégié et un site touristique original.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au navire équipé et habillé d'or, la voile chargée d'une croix de sable, voguant sur une mer d'argent mouvant de la pointe ; au chef cousu de gueules chargé de trois mulons de sel d'argent terrassé de sinople.
    Commentaires : : La voile du navire évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Bourgneuf-en-Retz au pays de Retz. Blason conçu par Mlle Rousseau et la municipalité (délibération municipale du ), enregistré le .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1793
    (décès)
    Pierre Mourain Majorité
    réformatrice
    avocat, député de la Loire-Inférieure
    1803 1811 Alexandre Mourain   rentier, fils du précédent
    17?? 18?? Benoît-Pierre Goullin   docteur en médecine
    1841 1848 Alphonse Charruau   notaire
    1848 18?? Benoît-Pierre Goullin   docteur en médecine, fils du précédent
    18?? 1872 Alexandre Pierre Mourain   docteur, fils du précédent et petit-fils du premier
    François Terrien   viticulteur
    1935 1959 Louis Gouy   Agriculteur
    1959 1971 Yves Quérouil   Veterinaire
    1971 1979 Jeanne Rousseau   pharmacienne
    1979 1995 Jean-Raymond Audion RPR cadre bancaire, conseiller général
    1995 2001 Jean-Jacques Bleuzen   pharmacien
    2014 Robert Blanchard   maître d'œuvre en bâtiment
    2014 2020 Alain Durrens DVG responsable de services techniques
    2020 En cours Yves Blanchard SE Maire délégué, Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1795. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[5],[Note 1].

    En 2013, la commune comptait 3 586 habitants, en augmentation de 10,95 % par rapport à 2008 (Loire-Atlantique : 5,96 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1795 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3202 0332 5702 5342 6802 6892 6252 7142 882
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7602 8932 9252 8372 8502 8802 8442 9442 987
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0423 1093 0252 6223 6152 5142 3272 2132 242
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2013
    2 2892 2252 1612 2832 3462 4002 9483 4083 586
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[7]. Pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[8].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013 (la plus récente pour laquelle l'Insee a pu analyser les données) ; Bourgneuf est alors une commune à part entière. Sa population est alors relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,8 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[9],[10],[11]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[9],[10],[11].

    Pyramide des âges à Bourgneuf-en-Retz en 2013 en pourcentage[9]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90 ans ou +
    3,7 
    7,2 
    75 à 89 ans
    11,2 
    18,0 
    60 à 74 ans
    16,2 
    18,5 
    45 à 59 ans
    17,4 
    20,5 
    30 à 44 ans
    18,5 
    12,9 
    15 à 29 ans
    12,1 
    21,7 
    0 à 14 ans
    21,0 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[10]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments

    • Musée du pays de Retz, de son histoire, de sa culture et des modes de vie du passé
    • L'église Notre-Dame de l'Assomption, reconstruite au XIXe siècle dans le style néo-gothique (son toit fut abaissé en 1975).
    • Le Port du Collet situé également en partie sur la commune des Moutiers-en-Retz à l'embouchure du Falleron
    • Plan d'eau de Bourgneuf, promenade autour de trois étangs formé par l'étier de la Taillée, début août il y a un rassemblement de motos et véhicules américains dans le parc
    • Église de Saint-Cyr-en-Retz du XIXe siècle du style néo-gothique
    • Table d'orientation de la Noë-Briord (point de vue)
    • Le moulin de l'Arzelier, le dernier moulin à avoir été en activité de tout le pays de Retz (fonctionna de 1696 à 1957), une association voudrait le faire revivre
    • la route de Millac (point de vue, anciennes salines, parc à huîtres, ferme), les promenades dans les marais (sortie nature)
    • L'Hôpital avec logis et porche du XVIIIe siècle, compte 148 lits (soins longue durée et maison de retraite)
    • Fontaine des Jalberges du XIXe siècle (une des rares sources en eau potable du marais breton, dont bénéficie les novobourgeois)
    Menhir de la Pierre-Folle
    • Manoir de la Noë-Briord reconstruit en 1888, ancien siège de la seigneurie de La Noë-Briord
    • Menhir de la Pierre Folle 47° 01′ 29″ N, 1° 53′ 25″ O
    • Une gare est en service depuis (1876), elle est démolie en 2002, remplacée par une halte ferroviaire, sur la ligne de Sainte-Pazanne à Pornic.
    • Château du Collet, ancien château fort du XIIe siècle, qui fut entièrement rebâti au XVIIe siècle par Joubert du Collet, qui le reçut de Louis XIV, dans le style « folie nantaise ». Confisqué a la Révolution, il fut vendu comme bien national. Au milieu du XIXe siècle la famille Ecomard de Sainte-Pazanne, alliée au descendant des Joubert du Collet rachète la propriété, et la rénove entièrement.
    • Les marais salants réexploités par Daniel Robard depuis 2001 près du bourg, et au village des Rivières-aux-Guérin

    Personnalités liées à la commune

    Archives

    • Marais salants à Bourgneuf, XIXe siècle, cote 15 J 96 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »
    2. Jean-Joseph Expilly, « Bourgneuf », dans Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Desaint & Saillant, , p. 758.
    3. Mariage de Bourgneuf et de Fresnay. Villeneuve-en-Retz, nouvelle commune - Ouest-France du 23 septembre 2015.
    4. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    5. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
    8. « Bourgneuf 1836 », sur Archinoë, portail d'indexation collaborative, archives départementales de la Loire-Atlantique (consulté le ), pour le recensement 2005 : base Cassini de l'EHESS.
    9. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Bourgneuf-en-Retz - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    10. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee.
    11. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee.
    • Portail de la Loire-Atlantique
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.