Carspach

Carspach [kaʁspax] est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Carspach

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Altkirch
Intercommunalité Communauté de communes Sundgau
Maire
Mandat
Rémi Spillmann
2020-2026
Code postal 68130
Code commune 68062
Démographie
Population
municipale
2 045 hab. (2019 )
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 36′ 58″ nord, 7° 12′ 46″ est
Altitude Min. 283 m
Max. 397 m
Superficie 17,17 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Altkirch
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Altkirch
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Carspach
Géolocalisation sur la carte : France
Carspach
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Carspach
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Carspach

    Ses habitants sont appelés les Carspachois et les Carspachoises.

    Géographie

    Localisation

    Sismicité

    La commune est située en zone 4 : sismicité moyenne[1].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Dans la commune, un Plan de prévention des risques (PPR) contre les inondations est applicable par arrêté préfectoral du 27 décembre 2006[2] :

    • bassin de l'Ill[3] ;
    • ruisseau du Dorfbaechle[4],[5] et ses affluents à Carspach[6].

    Synthèse des principales informations relatives aux eaux souterraines pour la commune[7].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[8].

    Voies routières

    Le réseau routier du Pays du Sundgau est structuré par les relations à Bâle et à Mulhouse d’une part et par la position centrale d’Altkirch d’autre part[9].

    Voies ferroviaires

    Les gares les plus proches sont : l'ancienne Ligne d'Altkirch à Ferrette (Ligne 134 000), Ballersdorf, Walheim, Tagolsheim, Illfurth.

    Transports en commun

    Une étude sur les déplacements et les transports collectifs de proximité à l’échelle du Pays du Sundgau a été réalisée[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Carspach est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Altkirch, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[14] et 8 909 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    La commune bénéficie du plan local d'urbanisme intercommunal[19],[20]. À l’origine, les quatre communes d’Altkirch, Aspach, Carspach et Hirtzbach étaient regroupées au sein du District d’Altkirch crée le 13 juillet 1972. La communauté de communes d’Altkirch (CCA) a été créée le 15 novembre 2001 et regroupe, depuis le 1er janvier 2014, les six communes suivantes : Altkirch, Aspach, Carspach, Heimersdorf, Hirsingue et Hirtzbach[21].

    Le territoire intercommunal est rattaché aux cantons d’Altkirch et d’Hirsingue.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49 %), terres arables (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Environnement

    • L'inventaire national du patrimoine naturel réalisé sur la commune a permis de recenser 339 taxons terminaux (espèces et infra-espèces).
    • La commune bénéficie de quatre Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) continentales[24] :
      • Ruisseau du Dorfbaechle et de ses affluents à Carspach ;
      • Vallée de l'Ill et de ses affluents de Winkel à Mulhouse ;
      • Cours de l'Ill et de ses affluents en amont de Mulhouse ;
      • Bois du Hirtzbach et étangs du Sundgau alsacien.

    Histoire

    La plus ancienne orthographe du nom du village est Karoldespach, citée en 837 parmi les biens du couvent de Hohenbourg fondé par sainte Odile, fille du duc Etichon, de la souche des comtes d'Eguisheim. En 1144, elle figure dans les possessions des prieurés de Feldbach, de Saint-Morand et de l'abbaye de Lucelle sous le patronyme de Heroldespach. Les seigneurs de Zaessingue, de Reinach et d'Andlau, le prieuré de Saint-Ulrich, les clarisses de Bâle, les comtes de Ferrette y ont également des terres. Au XIIIe siècle, Conrad de Karolspach y administrait une cour colongère. À la même époque, quelques nobles de Carspach sont recensés parmi les clarisses de Mulhouse.

    Dès 1324, le comté de Ferrette fut transmis à la dynastie des Habsbourg par le mariage de la dernière comtesse, Jeanne de Ferrette. Inféodée au domaine autrichien en 1365, par le duc Léopold, la commune eut à souffrir de la guerre civile des Armagnacs et des Bourguignons. Les premiers incendièrent le village. Ensuite, ce fut le conflit entre les Habsbourg et les Confédérés, après l'invasion des troupes commandées par le général Colloredo (it) pendant la guerre de Trente Ans.

    Il n'y avait pas de château à Carspach avant 1400. C'est à cette époque que le chevalier-administrateur du village Ullmann de Ferrette transforma sa cour en château. Il y résida avec ces descendants depuis la destruction du Liebenstein par un tremblement de terre en 1356. Ce château, appelé Altschloss (vieux château) ou Niederschloss (du bas ou inférieur), était situé au sud du Krebsbächlein (ruisseau à écrevisses).

    Un deuxième château fut construit entre 1590 et 1610. On l'appelait château supérieur (Oberschloss), et il était délimité par les actuelles rue du Château et rue des Brebis. Des vestiges subsistèrent jusqu'au XIXe siècle. Le château du bas fut abandonné après la construction du château supérieur. Le château du bas était ruiné au XVIIIe siècle et le château supérieur disparut à l'époque de la Révolution.

    En 1648, selon les traités de Westphalie, le Sundgau autrichien, dont fit partie Carspach, fut donné à la couronne de France. En 1674, la guerre éclata à nouveau. Turenne passa à Carspach pour gagner Brunstatt, où livra bataille.

    L'église Saint-Georges.

    Le 30 juillet 1789, les révolutionnaires s'acharnèrent sur les châteaux de Montjoie à Hirsingue et du Landenberg à Seppois, mais épargnèrent ceux de Carspach et de Hirtzbach.

    En 1814-1815, Carspach eut encore à souffrir des cantonnements de cosaques. Les nobles de Ferrette-Carspach s'étaient réfugiés à Fribourg-en-Brisgau. Le dernier seigneur de Carspach et du Liebenstein, Jean Népomucène de Ferrette, mourut en 1818.

    Le grand incendie de 1818 n'empêcha pas le village de se développer. En 1826 s'éteignit, à Fribourg, Suzanna-Xaviera, abbesse de Masevaux, et avec elle disparut la dynastie des nobles de Ferrette. Des deux châteaux de Carspach, ruinés pendant la Révolution, il ne reste à peu près rien. En 1841 fut érigée la mairie-école. En 1881-1882, on créa le corps des pompiers. En 1891, la ligne de chemin de fer Altkirch-Ferrette traversa Carspach. D'abord adonnée à l'élevage et à la culture de blé, de chanvre et de colza, peu à peu la commune s'industrialisait, avec l'installation d'une manufacture textile (D.M.C. Mulhouse) et la création, en 1919, de l'usine mécanique Alimann Frères.

    Pendant la guerre de 1870-1871, le village fut grevé de lourdes réquisitions par les Prussiens, qui annexèrent l'Alsace-Lorraine.

    La période entre 1871 et 1914 favorisa maintes réalisations : l'établissement hydrothérapique Kneipp en 1895, le nouveau cimetière en 1906, l'école des garçons en 1909...

    Pendant la guerre de 1914-1918, la ligne de front traverse la commune de septembre 1914 jusqu'à la fin du conflit. Un grand abri souterrain est construit au niveau du « Lerchenberg » entre fin 1915 et début 1916 par les troupes allemandes. Ce dernier, appelé Kilianstollen (galerie Kilian en français), est partiellement détruit le 18 mars 1918 par l'artillerie française. Le site est retrouvé en 2010 puis fouillé en 2011 par une équipe du Pôle d'archéologie interdépartemental rhénan. Les corps des 21 soldats allemands du 94e régiment d'infanterie de réserve qui n'avaient pas pu être exhumés pendant les combats sont retrouvés.

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1914-1918[25].

    Vue aérienne de la fouille avec la galerie et ses accès.

    La guerre ayant occasionné, une fois de plus, des dégâts considérables, on commença, à partir de 1919, à reconstruire le village, et notamment l'église et les édifices publics.

    En 1931, on aménagea la rivière et on renouvela le cadastre. Grâce à la donation Rieter et Keller, on construisit la maison des sœurs gardes-malades. En 1932, on érigea le monument aux morts. Dans les années 1934-1935, la canalisation fut posée. Les rues et les rigoles étaient refaites.

    Héraldique

    Les armes de Carspach se blasonnent ainsi :
    « D'azur au Saint Georges équestre d'or sur un cheval d'argent harnaché d'or. »[26]


    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1899[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1899 1919 Joseph Eberlin    
    1919 1925 Charles Habermacher    
    1925 1932 Aimé Meyberger    
    1932 1947 André Alimann    
    octobre 1947 1974 Paul Zurbach    
    1974 mars 2001 Marcel Rosburger    
    mars 2001 mars 2014 Jean-Pierre Hartmann DVD Retraité
    mars 2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Rémi Spillmann [28]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    UDI Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    Mairie de Carspach.

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :

    • total des produits de fonctionnement : 14 440 000 , soit 669  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 071 000 , soit 497  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 784 000 , soit 364  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 526 000 , soit 244  par habitant ;
    • endettement : 1 879 000 , soit 873  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 14,76 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,52 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,83 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 18,05 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 464 [30].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2019, la commune comptait 2 045 habitants[Note 3], en diminution de 0,1 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +1,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6826708159291 0641 1401 2171 3181 372
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 2811 2801 3141 2881 2111 2101 1861 1591 295
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3761 4731 5181 1251 2911 3961 4471 6041 603
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5331 5581 5001 4481 3991 6201 7862 0482 048
    2019 - - - - - - - -
    2 045--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Château centre thermal vers 1908, par Eugène Auger.
    • L'église paroissiale Saint-Georges[35],
    ses cloches de 1561[36] et de 1867[37],
    et son orgue de 1773[38],[39].
    • Le Sonnenberg, château de Carspach qui était autrefois un centre thermal reconnu[40].
    • Pensionnat et école ménagère Sonnenberg[41].
    • L'ancien château Oberschloss[42].
    • Caserne, quartier Plessier[43].
    • Monuments commémoratifs :
    Monuments aux morts[44],[45],[46],
    Monument funéraire des époux Allimann-Hartmann[47].
    • Croix :
    Croix de cimetière : Christ en croix[48],
    Croix de chemin[49],[50],[51].

    Sites touristiques

    • Le Seiblonn (à côté de l'ancien Cocorouri) où l'on peut distinguer 7 clochers des villages environnants.
    • La Bruchala, à mi-chemin en longeant le chemin parallèle à la voie ferrée entre le blocus (ferme Mundi) et le village, et qui débouche sur la rue du Château.
    • La Ross-schwemma, passage dans l'Ill où les chevaux peuvent se désaltérer.
    • Le Rüaijbank, où nos anciens pouvaient se reposer entre Fulleren et Altkirch en allant au marché.
    • Le Himmelreich, étang dans un endroit idyllique en pleine forêt.
    • Le château d'eau sur l'Illberg, daté de 1933.
    • L'ancienne carrière de sable toujours sur l'Illberg en prolongeant votre promenade derrière la rue des Vignobles.

    Personnalités liées à la commune

    Ronde des Étangs

    La Ronde des Étangs est une randonnée VTT annuelle qui arpente les chemins du Sundgau au départ de Carspach. Cette randonnée est organisée par le football club[52] et a lieu chaque lundi de Pentecôte. C'est, par le nombre de participants, la plus grande manifestation de VTT du Haut-Rhin.

    En 1998, les footballeurs de la Saint Georges Carspach, désireux de diversifier leurs manifestations, ont voulu s'essayer à une discipline alors en pleine expansion : le VTT loisir. La Ronde des Étangs était née.

    Le départ est fixé au stade, et après inscription, les randonneurs sont guidés par un fléchage très précis le long des chemins du Sundgau. La randonnée est traditionnellement ouverte à tout le monde, du plus jeune au plus âgé, avec des parcours très variés (5 circuits), allant en général de 10 à 80 km.

    Participation
    AnnéeParticipants
    1998340
    1999520
    2000800
    20011 100
    20021 423
    2003650Canicule
    2004530Intempéries
    2005500Intempéries
    2006420Jour travaillé
    2007350Intempéries
    20081 150
    20091 450
    20101 700
    20111 400
    20121 920
    2013855Intempéries 12 °C
    2014
    2015
    2016
    2017
    20181 500Temps couvert le matin, ensoleillé l'après midi

    La randonnée a très vite su se faire un nom auprès des vététistes. Cela dit, la canicule de 2003, les intempéries de 2004, 2005 et 2007, ainsi que le lundi de Pentecôte travaillé de 2006 ont nui à la participation de la randonnée.

    Bibliographie

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Le risque sismique
    2. Document d'information communal sur les risques majeurs
    3. Extraits cartographiques du PPRi de l'ILL
    4. Code européen de la masse d'eau : FRCR42
    5. La taillanderie et le moulin de Gunsbach étaient actionnés par les eaux du ruisseau dit "Dorfbaechle"
    6. ZNIEFF 420030327
    7. Synthèse des principales informations relatives auxeaux souterraines pour la commune
    8. Table climatique
    9. Pays du Sundgau Étude sur les déplacements et les transports collectifs de proximité à l’échelle du Pays du Sundgau pages 110 à 115
    10. Étude sur les déplacements et les transports collectifs de proximité à l’échelle du Pays du Sundgau : Phase 1 Diagnostic
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 d'Altkirch », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. L’élaboration du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi) du Secteur d’Altkirch
    20. Le diagnostic territorial
    21. Projet d'aménagement et de développement durable (PADD
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Liste des ZNIEFF sur la commune
    25. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    26. Archives Départementales du Haut-Rhin
    27. Site officiel de la commune de Carspach
    28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    29. Les comptes de la commune
    30. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. « Église paroissiale Saint-Georges », notice no IA68005897, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Notice no IM68011044, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1561
    37. Notice no IM68011045, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1867
    38. Notice no IM68011043, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue
    39. Carspach, St-Georges
    40. « Château Sonnenberg », notice no IA68006102, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Pensionnat et école ménagère Sonnenberg », notice no IA68006101, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Château Oberschloss », notice no IA68006103, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Caserne, quartier Plessier », notice no IA68006113, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Monument aux morts
    45. Notice no IM68011035, base Palissy, ministère français de la Culture Ensemble de 2 monuments aux morts
    46. Le monument aux morts
    47. Notice no IM68011048, base Palissy, ministère français de la Culture Monument funéraire des époux Allimann-Hartmann
    48. Notice no IM68011047, base Palissy, ministère français de la Culture Croix de cimetière : Christ en croix
    49. Notice no IM68008094, base Palissy, ministère français de la Culture Croix de chemin
    50. Notice no IM68008093, base Palissy, ministère français de la Culture Croix de chemin : Saint Georges terrassant le dragon
    51. Notice no IM68011053, base Palissy, ministère français de la Culture Croix de chemin : Saint Georges terrassant le dragon, de 1764
    52. Site officiel de la Saint Georges Carspach, section football, organisateur de la randonnée VTT
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