Corconne
Corconne est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
Corconne | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol |
Maire Mandat |
Lionel Jean 2020-2026 |
Code postal | 30260 |
Code commune | 30095 |
Démographie | |
Gentilé | Corconnais |
Population municipale |
587 hab. (2019 ) |
Densité | 45 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 52′ 22″ nord, 3° 56′ 25″ est |
Altitude | Min. 96 m Max. 380 m |
Superficie | 12,98 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Quissac |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | corconne.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Brestalou et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Corconne est une commune rurale qui compte 587 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Corconnois ou Corconnoises.
Géographie
Localisation
Le village de Corconne est situé à 35 km de Montpellier et à 38 km de Nîmes, entre Saint-Mathieu-de-Tréviers et Quissac.
Le village est limitrophe de sept autres communes dont trois dans le département voisin de l'Hérault.
Hydrographie et relief
Le village se situe en bordure du Vidourle et de l'un de ses affluents, le Brestalou, au pied du massif de Coutach.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Conqueyrac », sur la commune de Conqueyrac, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 123,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 29 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[14].
Urbanisme
Typologie
Corconne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,8 %), cultures permanentes (27,7 %), forêts (27,7 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Occitan Courcono, du bas latin Corcona, Corconna[18].
Histoire
Préhistoire
Corconne a connu une occupation humaine au moins depuis le néolithique : un des plus importants sites de la région, l'aven de la Boucle, est situé sur le territoire de la commune.
Moyen Âge
La première mention écrite de Corconne date de 1119 : le bullaire de Saint-Gilles témoigne de l’existence d’une église Saint-Etienne[19]. Le castellas, lui, est mentionné en 1188 dans le cartulaire de Franquevaux[19]. Corconne dépend alors des seigneurs de Sauve.
Époque moderne
Au XVIIe siècle, Corconne est intégrée économiquement à l’orbite de Saint-Hippolyte-du-Fort[20].
En 1627 400 hommes du régiment de Picardie s'emparent de Corconne.
En juin 1629, la cité de Corconne, défendue par 40 hommes du régiment de Picardie postés dans le château, est le lieu d'un affrontement entre les troupes royales et protestantes menées par Henri de Rohan. Cette bataille s'insère dans le cadre du conflit religieux relancé par Richelieu avec le siège de la Rochelle et qui prend fin avec la paix d'Alès.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2019, la commune comptait 587 habitants[Note 8], en augmentation de 7,71 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Manifestations culturelles et festivités
Tous les ans depuis 1995, le 2e dimanche de décembre, Corconne organise la Fête de l'Olive. La fête commence avec le défilé de la Confrérie des Chevaliers de l'Olivier du Languedoc-Roussillon.
Un concours des huiles d'olive des producteurs présents commence vers 10h00 et les résultats sont proclamés à midi. Une quinzaine de producteurs sont généralement présents. Un concours d'olives de bouche et de cakes aux olives complète le concours. Un vin d'honneur amical est servi vers 12h30.
Un repas festif sous une tente complète les festivités.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 245 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 568 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 790 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 8,7 % | 9,7 % | 10,9 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 348 personnes, parmi lesquelles on compte 80,1 % d'actifs (69,2 % ayant un emploi et 10,9 % de chômeurs) et 19,9 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 119 emplois en 2018, contre 115 en 2013 et 109 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 248, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 10].
Sur ces 248 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 42 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
51 établissements[Note 11] sont implantés à Corconne au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 51 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 11,8 % | (7,9 %) |
Construction | 7 | 13,7 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 16 | 31,4 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 5,9 % | (2,2 %) |
Activités immobilières | 3 | 5,9 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 19,6 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 4 | 7,8 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 2 | 3,9 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,4 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 51 entreprises implantées à Corconne), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[25] :
- Les Vignerons De La Gravette, commerce de détail de boissons en magasin spécialisé (2 786 k€)
- Nature Languedoc, activités de soutien aux cultures (609 k€)
- Albaka, activités de soutien au spectacle vivant (406 k€)
- Domaine De L'emme, culture de la vigne (252 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant une frange sud-ouest du département du Gard[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 38 | 24 | 18 | 23 |
SAU[Note 14] (ha) | 265 | 156 | 242 | 230 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 38 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 24 en 2000 puis à 18 en 2010[28] et enfin à 23 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 39 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[29],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 265 ha en 1988 à 230 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à 10 ha[28].
Produits du terroir
Corconne est une commune d'une importante production viticole. Le sol de la commune se constitue d'un mélange de cailloutis alluvionnaires et de terre argilo-calcaire très propice à la culture de la vigne et à l'élaboration des vins. Ce terroir fait d'ailleurs partie de l'appellation Cru du Pic Saint Loup. De forte tradition oléicole, les oliveraies (appelées localement : olivettes) de Corconne font partie de l'AOC Olives et Huiles de Nîmes. Le village possédait jusqu'en 1914 deux moulins à huile du XVIIe siècle ; il fait partie des « villes oléicoles françaises » et s'inscrit sur la route méditerranéenne de l'olivier[30].
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Pont du Hasard : une formation géologique particulière, qui forme un pont de pierre naturel entre deux parois de roche. Cette arche naturelle relie en fin de gorge les deux falaises qui surplombent le village[30].
- Plusieurs puits, dont le puits du Bousquillou, dans le village et le puits-lavoir des Condamines ou du chemin de la Pompe.
- Moulin à vent, chemin de la Pompe.
- Maset des Gardes : dans le bois de Coutach. Il s'agit d'un mazet de « bouscatiers », un abri temporaire pour les exploitants auxquels était affermée l’exploitation des bois communaux du Coutach, pour la coupe et surtout la fabrication de charbon de bois (de nombreuses charbonnières existent encore sur le massif).
- La mairie.
- Le pont du Hasard.
- Le monument aux morts.
Édifices religieux
- Chapelle Notre-Dame du Château de Corconne : une chapelle ancienne construite au sommet des falaises au-dessus du village. La première mention de l’édifice date de 1188, dans le cartulaire de Franquevaux. Il fait probablement partie d’une série de fortifications édifiées à la fin du XIIe siècle par le comte de Toulouse et ses alliés : le Gard est alors une zone frontière entre les possessions toulousaine et la Provence, et Corconne dépend de la famille de Sauve-Anduze, alliée au comte de Toulouse. L'édifice a pris sa vocation religieuse en 1858, lorsque les habitants de Corconne en transforment les vestiges en chapelle dédiée à la Vierge en remerciement pour avoir épargné au village l’épidémie de choléra de 1854[31]. Les murs sont partiellement remontés, la voûte restaurée et couverte d’une toiture. Un vitrail représentant la Vierge est commandé à l'atelier Louis Pagès. Situé sur le parcours du Pont du Hasard, il est aujourd’hui un lieu de randonnée et de pèlerinage annuel. Le bâtiment, comprend une pièce voûtée, la chapelle, prolongée de vestiges de murs. Il s'ouvre sur une cour enceinte de murs en gros appareil. La maçonnerie présente un parement de pierres taillées à bossage.
- Église paroissiale Saint-Étienne de Corconne : la tour est surmontée d'un discret campanile en fer (années 1830-1876). Vers 1835, une église est construite par la commune de Corconne, l'ancienne étant trop exiguë. Dans les années 1870, le bâtiment, mal conçu, menace déjà ruine. L’architecte Laurent de Nîmes est missionné : ce qui ne devait être au départ qu’une restauration devient une quasi-reconstruction, jusqu'aux menuiseries et à la restauration des tableaux, ce qui explique l'unité de l'édifice. Les vitraux ont été réalisés par l’atelier Frédéric Martin, à Avignon, un atelier régional important que l’on retrouve du Vaucluse à Montpellier. La sculpture du fronton et des chapiteaux a été confiée à un certain Michel, professeur de dessin à l’école des Beaux-Arts de Nîmes, les sculptures ornant les niches ont été acquises à part. La façade est réalisée en pierre de Beaucaire[32].
- De nombreuses croix : chemin de croix de la chapelle, croix du Bousquillou, croix du Jeu, croix de la Métronne, croix place de l’Église, croix de la Vialatte, croix de la Mairie.
Héraldique
Blason | ||
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Corconne sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Corconne », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Il fut le plus jeune maire du Languedoc-Roussillon à son élection.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Corconne » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Corconne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Corconne » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Corconne » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Conqueyrac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Corconne et Conqueyrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Conqueyrac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Corconne et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Corconne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « plaines de Pompignan et du Vidourle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 640, t.1
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 66
- Le Gard de la préhistoire à nos jours, dir. Raymond Huard, éd. Bordessoules, 2003.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Corconne », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Corconne - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- « Le village », sur www.corconne.fr (consulté le )
- Service régional de l’Inventaire : dossiers Hyvert
- Archives départementales du Gard : V133
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