Cottévrard

Cottévrard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Cottévrard

L'église paroissiale Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Fabrice Gamelin
2020-2026
Code postal 76850
Code commune 76188
Démographie
Gentilé Cottévrardais, Cottévrardaises
Population
municipale
476 hab. (2019 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 01″ nord, 1° 13′ 23″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 176 m
Superficie 7,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cottévrard
Géolocalisation sur la carte : France
Cottévrard
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Cottévrard
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Cottévrard

    Géographie

    Bien que située sur le plateau du pays de Caux, Cottévrard fait partie pays de Bray comme tout l'ancien arrondissement de Neufchâtel.

    Cottévrard est située à km de Bosc-le-Hard, à km de Saint-Saëns, à km de Bellencombre, à 13 km de Buchy et à 16 km de Tôtes.

    Elle est située à km de l'échangeur du Pucheuil (no 11) de l'A28 et a donné son nom à une gare de péage de l'A29.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 903 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cottévrard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), prairies (5,2 %), zones urbanisées (4 %), forêts (2,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cotevrart en 1147[21] et en 1197[22], Cothevrat en 1172 et 1178, Cotevrart en 1195[21], Cottevrard en 1793, Cottévrard en 1801[23].

    Il s'agit d'un composé toponymique vraisemblablement peu ancien si l'on considère son origine et son mode de composition (« formule »).

    François de Beaurepaire, citant Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, penche pour un composé de type germanique basé sur les éléments kot « habitation » que l'on retrouve sporadiquement dans la toponymie normande, par exemple : Vaucottes (Seine-Maritime) ou Brocottes (Calvados). L'origine précise de ce terme en Normandie, saxonne ou scandinave, est discutée[24]. Cependant, étant donné le caractère plus récent du mode composition « formule B », c'est-à-dire Cotte- + second élément, il est préférable d'y voir directement le vieux normand cotte « hutte, cabane » (cf. normand cottin hutte, cabane, niche à chien, voir aussi anglais cottage et coterie, tenure rurale modeste, puis révolte de cot(t)iers « petits paysans ») de même origine, suivi du nom de personne Evrart, qui se perpétue dans le nom de famille Évrard, d'origine francique.

    Histoire

    Le village conserve des traces d'un établissement militaire sur tertre au nom inconnu datant du Bas Empire, auquel a succédé un château fort médiéval datant des XIe et XIIe siècles, dont il reste quelques substructions qui sont propriétés de la commune[25]. Par contre le château de Grosmesnil (situé au lieu-dit Grosmesnil) est un édifice beaucoup plus récent (XVIIIe siècle), seule la chapelle Saint-Georges a des origines anciennes qui remontent au XIIe siècle.

    Selon l'abbé Cochet, « Vers 1830, on a recueilli, notamment au hameau de Dreulles, des monnaies romaines, en grande partie de bronze ; quelques-unes étaient de Néron et de Commode, vingt-sept de Titus, le plus grand nombre de Trajan. — La tradition du pays veut qu'il y ait eu à Dreulles une ville qu'on appelle la Cité de Dreulles. Un vieux chemin de ce hameau porte le nom de Chemin de César.— Voie romaine de Cailly et de Rouen à Arques et à Dieppe. — Sur la route du Bosc-le-Hard est le Bois de la Moue, renfermant un tertre circulaire qui recouvrait un souterrain. Il y a à Dreulles des traditions où se mêle le nom de César[26] ».

    Six bagues en argent doré avec chaton de verre, semblant dater du XIIIe siècle, ont été trouvées dans la cour du château de Grosmesnil[26]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bellencombre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray..

    Intercommunalité

    Bosc-le-Hard était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité est dissoute le et ses communes réparties entre trois intercommunalités.

    C'est ainsi que Cottévrard est désormais membre de la communauté de communes Inter-Caux-Vexin créée le .

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1829 1830 De Grosmesnil    
    1848   Mégard    
    1852   Jacques Dufour    
    194X   Ernest Benoît    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Pierre Duvivier DVD Agriculteur retraité
    2014 mai 2020[27] Jean-Claude Hautecœur    
    mai 2020[28] En cours
    (au 2 juin 2020)
    Fabrice Gamelin    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2019, la commune comptait 476 habitants[Note 8], en augmentation de 8,18 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    395365387372398375374362312
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    300287302295286328273263267
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    285289270242231235239250251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    241219219291358339345369385
    2014 2019 - - - - - - -
    453476-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Saint-Martin est mentionnée dès 1147. La partie la plus ancienne de l'église est le chœur qui remonte au XIIe siècle, mais a été très modifié au XVIe siècle. Alors que le clocher tombait en ruine en 1840, il a été décidé de le remplacer. Alors qu'ailleurs dans la région, on a beaucoup reconstruit en brique au XIXe, on a jugé bon d'acquérir un clocher ancien en pierre, à savoir celui de l'église Saint-Nicolas de Rouen qui devait être abattue, puisque la paroisse avait été supprimée à la Révolution. Le clocher est mis en place en 1843; il s'agit d'un édifice de style gothique flamboyant construit entre 1503 et 1533. C'est l'architecte rouennais Élie Courtonne qui a réalisé ce travail de transfert à l'instigation du comte de Grosmesnil[32]. La paroisse était sous la patronage de l'abbaye de Jumièges avant la Révolution française[33].

    Personnalités liées à la commune

    Liste des curés[réf. nécessaire]
    • Jean Pierre Nicolle (†1842)
    • Pierre Boniface Froment (†1868), curé pendant 25 ans
    • Antoine Ambroise Lemasson (†1876)
    • Pierre Denis Lebas (†1892)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Fauvel, Cottévrard : de la guerre de 1870 à la guerre de 1914-1918, Petit-Caux, Wooz éditions, , 84 p. (ISBN 979-10-96714-02-5, OCLC 971608673)
    • Daniel Fauvel, Cottévrard : Histoire de l'église, du prieuré et du presbytère, Petit-Caux, Wooz éditions, , 70 p. (ISBN 979-10-96714-10-0, OCLC 1027766751)
    • Daniel Fauvel, Cottévrard : de la voie romaine à l'autoroute, Petit-Caux, Wooz éditions, , 64 p. (ISBN 979-10-96714-19-3, OCLC 1100245107)
    • Daniel Fauvel, Cottévrard : les Cottévrardais à l'aube du XXe siècle, le crash de l'avion de John Alcock, Petit-Caux, Wooz éditions, 76 p. (ISBN 9791096714360, OCLC 1182580218)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cottévrard et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cottévrard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 271.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 62..
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. François de Beaurepaire, op. cit..
    25. Base Mérimée : château fort
    26. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 11, 561, lire en ligne sur Gallica.
    27. Stéphanie Petit, « Municipales 2020 : à Cottévrard, Fabrice Gamelin présente sa liste : Fabrice Gamelin, 1er adjoint à Cottévrard est candidat aux élections municipales. Le maire, Jean-CLaude Hautecœur a décidé de ne pas se représenter après son unique mandat », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Á Cottévrard, Fabrice Gamelin succède à Jean-Claude Hautecœur : Entouré par deux adjoints, Fabrice Gamelin a été élu maire de Cottévrard. L'équipe municipale veut s'attaquer à la sécurité routière dans le village », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. in L'Ami de la religion et du roi: journal ecclésiastique, politique et littéraire, Éditeur A. Le Clère, 1843.
    33. Monuments historiques à Cottévrard
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