Courcelles-lès-Lens

Courcelles-lès-Lens est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Courcelles.

Courcelles-lès-Lens

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération Hénin-Carvin
Maire
Mandat
Édith Bleuzet-Carlier
2020-2026
Code postal 62970
Code commune 62249
Démographie
Gentilé Courcellois, Courcelloises
Population
municipale
8 104 hab. (2019 )
Densité 1 458 hab./km2
Population
agglomération
552 694 hab.
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 07″ nord, 3° 01′ 08″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 45 m
Superficie 5,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hénin-Beaumont-2
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Courcelles-lès-Lens
Géolocalisation sur la carte : France
Courcelles-lès-Lens
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Courcelles-lès-Lens
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Courcelles-lès-Lens
Liens
Site web courcelles-les-lens.fr

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes et compte 126 509 habitants en 2018.

    La compagnie des mines de l'Escarpelle y a exploité sa fosse no 7 - 7 bis.

    Géographie

    Localisation

    La ville est traversée par le canal de la Deûle. Elle est située à 30 km au sud de Lille sur l'autoroute A21, et à 20 km de Lens et d'Arras. Elle est accessible en une heure depuis Paris, par le TGV.

    Communes limitrophes de Courcelles-lès-Lens
    Évin-Malmaison Leforest
    Noyelles-Godault Auby
    Esquerchin Flers-en-Escrebieux

    Urbanisme

    Typologie

    Courcelles-lès-Lens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (37,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,6 %), zones urbanisées (38,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), forêts (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Énergie

    Le parc éolien de l'Escrebieux, également sis sur Esquerchin et Flers-en-Escrebieux, est construit à partir d'octobre 2020 pour une mise en service en 2021[11].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Corceles devers Henin (1254) ; Courcieles (1278) ; Courcelles de la Hennin (1296) ; Courchieles vers Hennin (1307) ; Courcelles (1310) ; Courchellez (1336) ; Courchelles (1395)[12].

    En français, la préposition « lès » signifie « près de », ici Lens. D'usage vieilli, elle n'est guère plus rencontrée que dans les toponymes, plus particulièrement ceux de localités.

    Histoire

    La ville qui a été occupée par l'armée allemande a souffert de la Première Guerre mondiale, avec outre les séquelles de guerre habituelles, la pollution induite par les incendies d'installations industrielles à risque[13]. Située en zone rouge, la ville a fait l'objet d'un nettoyage par les démineurs en raison d'un grand nombre de munitions non-explosées avant d'entrer en phase de reconstruction.

    Courcelles-lès-Lens fait partie des villes du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais qui ont accueilli une part importante de l'immigration polonaise en France dans les années 1920.

    Politique et administration

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Commune et intercommunalités

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945 novembre 1945 Louis Pachy    
    novembre 1945 octobre 1947 Henri Fenzy    
    octobre 1947 avril 1967 Martial Joseph Lefebvre   Machiniste aux Houillères
    avril 1967 mars 1977 Marcel Couture   Chef d'atelier
    mars 1977 juin 1995 Roland Robert   Retraité de l'Éducation nationale
    juin 1995[14] mars 2014 Ernest Vendeville DVG  
    mars 2014[15],[16] février 2017[17] Jean-François Graf DVG Cadre retraité
    février 2017 Juillet 2020 Bernard Cardon DVG [18]
    Juillet 2020 En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Édith Bleuzet-Carlier DVG Employé administratif[19]

    Jumelages

    Jumelages et partenariats de Courcelles-lès-Lens.
    VillePaysPériode
    RadymnoPolognedepuis

    Équipements et services publics

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    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

    En 2019, la commune comptait 8 104 habitants[Note 3], en augmentation de 22,71 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    577606658689734733735763744
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7498098648769811 3021 4721 5831 811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9352 4062 7832 3093 2693 7963 6584 4615 385
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5 5825 9655 8745 8556 3436 1195 9875 9436 604
    2018 2019 - - - - - - -
    7 9188 104-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 816 hommes pour 4 102 femmes, soit un taux de 51,81 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    1,3 
    4,0 
    75-89 ans
    7,3 
    10,3 
    60-74 ans
    11,2 
    17,2 
    45-59 ans
    15,8 
    23,1 
    30-44 ans
    22,4 
    16,9 
    15-29 ans
    16,2 
    28,1 
    0-14 ans
    25,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Économie

    La ville est en plein développement avec le projet de construction d'un éco-quartier de la Marlière qui prévoit la construction de 1250 logements d'ici une dizaine d'années, avec une crèche et des commerces de proximité. Une zone industrielle et artisanale est en pleine extension sur les Hauts-de-France (RN 43).

    Six logements sont aussi en construction à l'arrière de la résidence Léo-Lagrange.

    [réf. nécessaire]

    .

    Entreprises et commerces

    En 1894 l'usine Malfidano est fondée à Noyelles-Godault. Elle empiète également sur le territoire de Courcelles-lès-Lens. C'est une usine travaillant le plomb et le zinc. Elle traite la calamine calcinée découverte à la mine de Malfidano, en Sardaigne. Les exploitants se sont implantés à Noyelles-Godault pour profiter du grand réseau de canaux de la région, notamment le canal de la Haute-Deûle qui passe derrière l'usine, pour le réseau ferroviaire lui aussi performant, et pour la population habituée aux travaux industriels, notamment avec les mines.

    Son installation entraîne un afflux migratoire, avec l'arrivée de travailleurs étrangers. Cette augmentation de la population est une aubaine pour Noyelles-Godault et les villages des alentours, elle permet leur développement économique et la création d'écoles[26]. Néanmoins, la production de plomb et de zinc est nocive, que cela soit pour les travailleurs, les habitants ou l'environnement. Une des maladies associées au plomb est le saturnisme.

    L'usine est rasée pendant la Première Guerre mondiale, ayant servi de lieu de stockage aux Allemands. Après la guerre, elle est rachetée par l'entreprise Penarroya.

    Elle achète et fait construire des maisons durant la première partie du XXe siècle à Courcelles-lès-Lens ou encore à Noyelles-Godault, certainement afin à la fois d'avoir ses ouvriers proches de leur lieu de travail, mais aussi de s'assurer de leur tranquillité.

    La production de plomb s'accélère en 1936, lorsque l'on construit sur le site une grande usine moderne.

    La chronologie des périodes suivantes de l'usine est détaillée sur l'article Metaleurop-Nord.

    En 2003, la direction annonce la fermeture de l'usine, sans préavis ni plan social, et licencie brusquement 800 salariés[27]. Les activités de l'usine ont par ailleurs fortement endommagé l’environnement. En 2001, la Dreal (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) reconnait « une pollution des sols d’une ampleur singulière »[27].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • la gare d'eau, creusée au début du XXe siècle et pouvant accueillir plus de 200 péniches.
    • Le monument aux morts[28].
    • le giratoire avec un monument et une stèle en mémoire des métallurgistes victimes de leur travail.
    • une stèle dédiée aux mineurs morts dans des catastrophes minières de la commune.
    • l'oratoire Notre-Dame-de-Lourdes.
    • le moulin à vent.
    • l'église Saint-Vaast[29].
    • la cité de la fosse no 7 et 7 bis.
    • l'ancienne mairie, érigée sur la place juste à côté de l’église, fortement endommagée lors de la Première Guerre mondiale lors de la chute du clocher de l’église, désaffectée en 1973 et transformée alors en centre socio-culturel Gilles-Rollez[30].
    • la borne Saint-Brayou.

    Personnalités liées à la commune

    • Adulphe-Delegorgue (1814-1850)

    Chasseur et naturaliste qui naquit à Courcelles-lès-Lens le 13 novembre 1814. Fils d'Adulphe Delegorgue, un cultivateur et ancien maire de la commune, il devint marin à 16 ans. Il se lança dans sa première expédition en Afrique à 23 ans, ramenant plusieurs collections naturalistes qui enrichirent le Muséum d'histoire naturelle de Paris et le musée de Douai. Il mourut de maladie, en mer en voyage pour sa quatrième expédition. Il est l'auteur d'un Voyage dans l'Afrique australe, paru en 1847 et donna son nom à quelques espèces d'animaux. Le collège de la commune est nommé d'après lui.

    . Daniel Ledent, né en 1945 à Courcelles-lès-Lens, joueur de basket-ball, sélectionné 120 fois en équipe de France.

    Héraldique

    Blason
    D’azur semé de fleurs de lys d’or, au cerf d’argent brochant sur le tout, au chef ondé aussi d’azur chargé de trois merlettes aussi d’argent.
    Détails

    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Julien Gilman, « Le chantier du parc éolien de l'Escrebieux débute le 5 octobre », La Voix du Nord, no 24360, , p. 10 (lire en ligne).
    12. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    13. ROBERT Roland, Souvenirs de la guerre : Courcelles-lès-Lens sous l’occupation allemande 1914-1918, étude historique, autoédition.[SD Onac]
    14. I. C., « Courcelles-les-Lens: Jean-François Graf décide de ne pas augmenter les taxes locales : Qu’il semble loin le temps des conseils municipaux chaotiques et surprenants lorsque Ernest Vendeville, maire atypique depuis 1995, était aux commandes. Les conseils se suivent et ne se ressemblent pas ! C’est un conseil sobre jusqu’au bout avec aux manettes un Jean-François Graf monocorde qui a eu lieu ce mardi », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    15. Annie-Claire Guilain, « Courcelles-les-Lens : portrait de Jean-François Graf, le maire amoureux des chiffres et du travail : C’est un homme radicalement différent de leur ancien maire que les Courcellois ont élu voilà plus d’une semaine. Si Jean-François Graf a, par le passé, marché dans les pas d’Ernest Vendeville, il a su prendre son propre chemin. Ce roi de la comptabilité qui mêle polyvalence et amour du travail a décidé de prendre en main les rênes d’une commune qui, selon lui, en avait bien besoin. Et lui qui aime avoir du pain sur la planche, va être servi », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    16. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    17. Pascal Wallart, « Jean-François Graf vient de donner sa démission à la préfète : Depuis un mois et demi, le maire de Courcelles-les-Lens n’est plus apparu en mairie. On l’a dit au bout du rouleau, en plein « burn out »... Et de fait, il n’y reviendra pas, ayant envoyé voici quelques jours sa lettre de démission. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    18. Pascal Wallart, « Clap de début pour Bernard Cardon… juste au milieu du gué : Sans surprise, c’est Bernard Cardon qui s’installe dans le fauteuil majoral au terme d’une séance de conseil marquée par le top-départ pour deux gros projets du mandat : la vidéoprotection et la future médiathèque. De quoi se remonter les manches alors qu’on est déjà à la moitié de la mandature. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. Fabien Pestiaux, « Édith Bleuzet-Carlier devient la première femme maire de Courcelles : Sans grande surprise, Édith Bleuzet-Carlier a été élue maire de Courcelles-lès-Lens, ce vendredi soir. Arrivée en tête au premier tour, elle avait confirmé lors du second tour dimanche dernier avec dix points d’avance sur son prédecesseur, Bernard Cardon, beau perdant. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courcelles-lès-Lens (62249) », (consulté le ).
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    26. Jean-Luc Loyer et Xavier Bétaucourt, Noir Métal, Delcourt, , p. 49.
    27. « Dans le Pas-de-Calais, le drame persistant du site le plus pollué de France », sur Reporterre, .
    28. « monument aux morts de Courcelles-lès-Lens », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    29. « Courcelles-les-Lens: depuis l’arrêt des travaux, l’église se dégrade : Après plusieurs mois d’arrêt de travaux à la suite d'un dépôt de bilan de l’entreprise qui les avait entamés, l’église courcelloise revêt une façade bicolore qui exaspère certains fidèles mais pas seulement. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Courcelles-les-Lens : avant après : mairie, bibliothèque, salle de musique », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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