Cros (Gard)
Cros est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie. Caractéristique d'un habitat dispersé, elle est composée d'une douzaine de hameaux, dont L'église de Cros, qui lui donne son nom et abrite l'église Saint-Vincent.
Pour les articles homonymes, voir Cros.
Cros | |
La Mazade, un hameau de Cros sur le Vidourle | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol |
Maire Mandat |
Christian Clavel 2020-2026 |
Code postal | 30170 |
Code commune | 30099 |
Démographie | |
Population municipale |
241 hab. (2019 ) |
Densité | 14 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 59′ 40″ nord, 3° 49′ 33″ est |
Altitude | Min. 178 m Max. 964 m |
Superficie | 16,94 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Quissac |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | cros-cevennes.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, le ruisseau de Valestalière et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cros est une commune rurale qui compte 241 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 095 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Crosois ou Crosoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Vincent, inscrite en 1961.
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colognac », sur la commune de Colognac, mise en service en 1992[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 515,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 44 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[15].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16],[17].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse »[19], d'une superficie de 12 308 ha, comportent des milieux escarpés, des falaises, et sont un biotope de prédilection pour l'avifaune rupestre parmi laquelle on relève des espèces à très forte valeur patrimoniale : l'Aigle de Bonelli, le Grand Duc d'Europe, le Circaète Jean-le-Blanc[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[21] : le « ruisseau du vidourle à Finiel » (25 ha), couvrant 2 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[21] : la « montagne de la Fage et gorges du Rieutord » (5 561 ha), couvrant 7 communes dont 5 dans le Gard et 2 dans l'Hérault[23].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cros est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[24],[I 1],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
De l'occitan Cros, du roman cros, croz, crotz, du bas latin crosum, crotum, du latin scrobs (creux, cavité)[27].
Préhistoire & Histoire
Mégalithes
Sur la montagne du Cayrel, présence d'un groupe de 3 menhirs. Le plus grand est appelé Peiras das fadas, pierre des fées en occitan.
Politique et administration
Liste des maires
source : Archives communales de Cros
RÉVOLUTION & PREMIER EMPIRE (1790-1814) | |||
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1790 | Pierre MONTFAJON | ||
1791 | Antoine CLAUZEL | ||
1793 | an II | François MONTFAJON | |
1795 | III - IV | Antoine CLAUZEL | |
1799 | VII - VIII | Jean DESHONS, maire provisoire | |
1800 | VIII - IX | Jean PUECH | |
RESTAURATIONS (1815-1848) | |||
1815 | 25 ans | Jean PUECH continué | |
1826 | 8 ans | François Théodore LACROIX | |
1832 | 14 ans | Jean Élie MONTFAJON | |
1846 | Pierre FESQUET fils | ||
IIe RÉPUBLIQUE (1848-1852) | |||
SECOND EMPIRE (1852-1871) | |||
1848 | 10 ans | Pierre FESQUET | |
1856 | 11 ans | Antoine-Henry DAUDÉ | |
1865 | Félix DELPUECH | ||
IIIe RÉPUBLIQUE (1871-1940) | |||
1871 | Félix DELPUECH continué | ||
1873 | César TEISSIER | ||
1877 | A. DESEUZES faisant fonction de maire | ||
1878 | César TEISSIER | ||
1881 | 7 ans | Jean Élie Adrien MONTFAJON | |
1888 | 1 an | César TEISSIER | |
1889 | 9 ans | Jean Élie Adrien MONTFAJON | |
1898 | 2 ans | Louis DELPUECH | |
1900 | 1 an | Adrien VESSON | |
1901 | 3 ans | Henri GUIRAUD | |
1904 | 4 ans | Alphonse FESQUET | |
1908 | 5 ans | Henri GUIRAUD | |
1913 | 6 ans | Alphonse FESQUET | |
1918 | 7 ans | Arman Cabane FESQUET | |
1925 | 10 ans | Louis SOULIER | |
1935 | Émile BARAFORT | ||
ÉTAT FRANÇAIS (1940-1944) | |||
1940 | 7 ans | Émile BARAFORT | |
1942 | 2 ans | Albert PERRIER 17/09/42 | |
1944 | 19/10, délégation spéciale : Président, A. Perrier ; Vice Président, Marcel Falguerolle | ||
IVe RÉPUBLIQUE (1944-1958) | |||
1945 | 14 ans | Francis AIGOIN | |
Ve RÉPUBLIQUE (depuis 1958) | |||
1959 | 12 ans | Josué FAÏSSE | |
1971 | 24 ans | Serge MAJOUREL (PS) | |
1995 | 6 ans | Arlette MANTHES | |
2001 | 6 ans | Maurice DESHONS | |
2008 | 6 ans | André ALÈGRE | |
2014 | 2 ans | André ALÈGRE | |
2016 | élection partielle | Christian CLAVEL |
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 241 habitants[Note 9], en diminution de 5,49 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Cros a eu 2 écoles primaires au XIXe siècle : celle de La Combe ou de La Mazadette (2 classes jusqu'en 1982) et celle de La Rouvière (1 classe de 1866 à 1960), qui sont aujourd'hui fermées. Le bâtiment de l'école de La Mazadette construit en 1881 est devenu la mairie[32].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 119 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 255 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 990 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 15,1 % | 12,5 % | 11,8 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 142 personnes, parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 36 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,5 %[I 10].
Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 27 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
25 établissements[Note 12] sont implantés à Cros au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 25 entreprises implantées à Cros), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 15 | 8 | 4 | 2 |
SAU[Note 14] (ha) | 332 | 172 | 11 | 16 |
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de légumes ou champignons[Carte 3]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 16 ha[35],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Moulin des Baumes de Faventines : Moulin passementier et moulin à foulon en 1823, transformé en 1858 en filature de laine[36].
- Filature Perrier : Filature de Soie construite en 1827, fermée en 1927, réaménagée en maison d'habitation[37].
- Filature de soie Daudé : Construite en 1826, convertie en bâtiment rural en 1925 puis en maison d'habitation[38].
- École-mairie : Construite en 1881.
Édifices religieux
- Église Saint-Vincent (XIIe siècle). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1961[39].
- Temple protestant, utilisé par l'Église Protestante Unie de France, construit aux frais de la commune en 1844.
Personnalités liées à la commune
- Marguerite Muterrer[pourquoi ?]
- Ricard de Saint-Hilaire, (1779-1849) poète français mort à Cros.
- Jean Vesson, né au Pouget à Cros en 1676, prédicant protestant à partir de 1709, créateur de la secte des Enfants de Dieu, dite par dérision des Multipliants et exécuté à Montpellier le 22 avril 1723[40].
Héraldique
Blason | D’argent chapé de gueules à trois roses, deux en chef et une en pointe, de l’une en l’autre[41]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Cros sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Cros », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cros » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cros » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cros » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cros » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Colognac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cros et Colognac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Colognac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cros et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cros », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112012 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Cros », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « ruisseau du vidourle à Finiel » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne de la Fage et gorges du Rieutord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 677, t.1
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Archives communales de Cros - série 4 M et 1 R
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Cros - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Notice no IA00128295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128297, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128296, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00103052, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Bordarier, « A propos du procès du prédicant Jean Vesson pendu sur l'esplanade de Montpellier le 22 avril 1723 », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français, vol. 120 (avril-mai-juin 1974), pp. 297-303. (ISSN 0037-9050).
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 70-71
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