Cyril de La Patellière
Cyril de La Patellière, nom d'usage de Cyril Durant de La Pastellière, né le à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), est un sculpteur et illustrateur français.
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Cyril de La Patellière est né à Saint-Nazaire en 1950, dans une ville en pleine reconstruction après les bombardements alliés de la poche de Saint-Nazaire. C'est un membre de la famille Durant de La Pastellière[1]. Il descend de Charles Durant de La Pastellière, premier maire de Bressuire en 1704[2].
Cyril de La Patellière est élève à l'école Saint-Joseph de Saint-Nazaire et au lycée Carnot de Cannes. Issu d'une famille d'artistes, son grand-père fabriquait des maquettes de bateaux pour le musée des Beaux-Arts de Nantes, deux de ses frères sont devenus graphistes à Paris[réf. nécessaire]. La rencontre, dans la ville du Cannet en 1961 (à la Villa Domergue), d'Odette Domergue, épouse de Jean-Gabriel Domergue, et du peintre lui-même, à qui il montre ses dessins, l'orientera vers une carrière artistique.
Cyril de La Patellière est pensionnaire de l'École nationale des Arts décoratifs de Nice de 1967 à 1972. Il y rencontre Jules Henri Lengrand, son professeur de peinture grand prix de Rome, Maurice Gambier d'Hurigny, son professeur de sculpture, prix de Rome, Georges Arnulf, aussi prix de Rome, son professeur de dessin ; également Edmond Vernassa, avec lequel il s'essaye à l'art cinétique en compagnie de Raymond Cornillon (Knoll International), puis encore Pablo Picasso, Raymond Moretti, César Baldaccini, le peintre Gérard Eppelé. Cette dernière année 1972 de l'ENAD se déroula à la villa Arson qui venait d'être inaugurée par André Malraux.
En 1969, il participe à la restauration des peintures sur panneaux de bois du XIIIe siècle du plafond du cloître de la cathédrale Saint-Léonce de Fréjus sous la direction de l'architecte des bâtiments de France, Pierre Aujard. En 1970, à la galerie Alphonse Chave à Vence, il croise Zao Wou-Ki et Max Ernst avec lesquels il fait de la lithographie sous la direction de Pierre Chave, ainsi qu'avec le peintre vietnamien Vũ Cao Đàm. En , il expose une série de lithographies à la Fondation Maeght de Saint-Paul-de-Vence dans le cadre de l'exposition « Une école, une fondation », dont il dessine l'affiche. En 1971, Cyril de La Patellière, encore étudiant aux Arts décoratifs, collabore avec le designer suisse Georges Frydman (Prix René-Gabriel 1966), élève de Le Corbusier. De ce travail naîtra la Table œuf commercialisée par la Société des meubles EFA.
Graphiste
Il ouvre ensuite son cabinet de graphisme et commence sa carrière dans la publicité en créant des logotypes (Laboratoires Arkopharma, Société Imprimix, opéra de Nice, etc.) et des affiches (carnaval de Nice, Ville de Nice), ainsi que les affiches pour des spectacles du théâtre national de Nice — entre autres Monte Cristo — pour lequel il travaille avec ses directeurs d'alors : Jean-Pierre Bisson et Jacques Weber. Il est l'auteur d'un alphabet typographique en collaboration avec l'atelier d'art graphique TypoGabor, alphabet présenté aux Rencontres internationales de Lure. En 1981, il rencontre le maître-graveur Albert Decaris qui l'initie à la gravure au burin dans son atelier du 3, Quai Malaquais, Paris.
Toujours en tant que graphiste, le directeur de la maison Yvert et Tellier, Benoît Gervais, lui confie la création de la couverture du catalogue de 2014.
Sculpteur
En 1982, il peut se consacrer à sa véritable vocation, la sculpture[3], après sa rencontre décisive à Villefranche-sur-Mer avec Antoniucci Volti. Il ouvre son atelier la même année et collabore un temps avec le céramiste Roger Capron. Sa première commande lui est alors confiée par le maire de Nice Jacques Médecin, le bronze Hommage à la Méditerranée (fonderie Susse), érigé au palais des congrès de Nice (Acropolis). Un exemplaire de la tête de cette œuvre est conservé au musée de Bressuire. Jacques Médecin lui commande une autre pièce en bronze, Asahi ou le soleil levant, qu'il installera au Japon dans un des grands magasins Mitsukoshi. Suit alors une série de commandes pour différentes villes du monde : Grasse, Marseille, Gap[4], Amboise (Léonard de Vinci au Clos Lucé), Villefranche-sur-Mer (Buste de Jean Cocteau), Menton (musée Cocteau), Cogolin, Paris (Buste de l'Amiral de Grasse au musée de la Marine), Tokyo, Washington (Amiral de Grasse), Bruxelles (Jacques Brel), Monaco (La Femme au miroir), Toronto (marbre), Zurich, Rome, etc.
En 1996, le prince Rainier III de Monaco lui commande le Monument à sainte Dévote[5]. De cette sculpture, un exemplaire de la tête et de la colombe sont acquis par la collection princière.
Parallèlement, il expose à Rome, Utrecht, New York, Bruxelles, Londres, Monaco, en Andorre, au Salon d'automne de Paris, etc.
Une exposition rétrospective de son travail a lieu du au au centre de congrès Nice-Acropolis sur proposition de Jacques Médecin. À la demande de Hugues de La Touche, conservateur du musée Cocteau, et de Jean-Claude Guibal, maire de Menton, il expose régulièrement au palais de l'Europe de cette ville. Il figure dans des collections privées comme celles de la reine Élisabeth II, du prince Albert II de Monaco, de Michel Pastor, de Jacques Ginepro[6], de Jeanne Augier[7], de Hansjörg Huber, de Gonzague Saint Bris et du galeriste Jean Ferrero.
En 1988, le maire de Grasse Hervé de Fontmichel lui commande une statue en bronze de l'Amiral de Grasse, dont un autre exemplaire est conservé au Bar-sur-Loup. La même année, sur une idée de Jean-Claude Brialy et à sa demande, il crée le buste de Jean Cocteau, inauguré en à Villefranche-sur-Mer lors du centième anniversaire de la naissance du poète.
En 1990, le prince Rainier fait installer la statue en bronze de Cyril de La Patellière Maryse au miroir ou le temps inaltérable dans les jardins Saint-Martin sur le rocher de Monaco.
En 1993, il sculpte dans le marbre un grand cygne commandé par un particulier à destination de la Nécropole de Nice.
En 1994, l'architecte Guy Lambelin fait appel à lui pour la décoration intérieure de l'église Saint-Marc à Nice. Il y réalise deux tapisseries de cinq mètres, les fonts baptismaux, une grande huile sur toile Ecce Homo (classée par le ministère de la Culture) et le mobilier. Suivent alors quelques œuvres à caractère religieux pour l'église Notre-Dame-de-la-Mer à Cagnes-sur-Mer ou la chapelle de la Visitation Sainte-Claire du Vieux-Nice.
En 1999, il taille un buste en marbre de la princesse Grace, conservé au palais de Monaco.
En 2000, Alain Griotteray lui demande une statue en hommage à Pasteur pour la ville de Charenton-le-Pont, dont Jacques Peyrat achète un autre exemplaire pour l'école primaire Pasteur de Nice.
En 2005 il rencontre Daniel Goeudevert, ancien PDG de Volkswagen Allemagne, qui lui commande quelques œuvres en bronze. Cette même année, le prince Albert II lui commande une réduction du Monument à sainte Dévote pour l'offrir à Benoît XVI à l'occasion de la visite protocolaire d'investiture du prince.
En 2006, Pierre Bernard-Reymond, ancien ministre de Raymond Barre, lui commande une statue en bronze pour la ville de Gap : la Liseuse. La même année, Isabelle Nohain-Raimu, petite-fille de Raimu et de Jean Nohain, fait appel à lui pour la création du Trophée Raimu.
En 2007, Patrick Cesari, maire de Roquebrune-Cap-Martin, lui commande un buste en bronze de Jacques Brel pour commémorer sa présence régulière dans cette ville — au Golfe de Cabbé — de 1961 à 1970.
En 2008, Jeanne Augier désirant une sculpture animalière pour le hall du Negresco, il sculpte le Chat endormi en bronze et marbre.
En 2010, Christian Estrosi, maire de Nice, lui confie la réalisation de la Marianne de Nice pour la salle des mariages de cette ville[8] et dont l'exemplaire de tête se trouve dans la collection de Marianne du Sénat.
En 2015, Gonzague Saint Bris, voulant célébrer les vingt ans de la manifestation littéraire la Forêt des livres, demande à Cyril de La Patellière une sculpture en fer et granit.
En , la princesse Charlène de Monaco lui demande une effigie de sainte Dévote, patronne de la principauté, pour le navire océanographique le Yersin dont elle est la marraine.
En 2019, il sculpte une médaille à l'effigie de la princesse Grace d'après un profil photographié par Howell Conant pour le Gala international de gymnastique de Monaco, ainsi que le trophée.
Le Christian Estrosi inaugure la sculpture de Cyril de La Patellière Nikaïa sur la promenade du Paillon à Nice. Bronze qui est un hommage à la statuaire grecque.
Dessinateur de timbres
Cyril de La Patellière est également créateur de timbres-poste. En 1989, son projet de timbre Marianne (gravé en taille-douce par Claude Durrens) est parmi les sept projets finalistes soumis au choix du président François Mitterrand[9], lequel lui préfère celui de Louis Briat, la Marianne du Bicentenaire[10].
Après avoir réalisé le Monument à sainte Dévote de Monaco, l'Office des émissions de timbres-poste de la Principauté (OETP) lui propose de dessiner son premier timbre-poste en 2002 sur ce sujet[9]. En 2009, est émis son premier timbre français sur l'imprimeur Étienne Dolet[9]. En création de timbres-poste, il travaille également pour la Polynésie française et les Terres australes et antarctiques françaises.
En 2016, une exposition rétrospective de ses créations de timbres est organisée par la ville de Bressuire en tant qu'invité d'honneur[11].
Il est membre de la Fondation Taylor et Art du timbre gravé (ATG)[9].
Œuvres
- Nice ou la terre lumineuse (plaquette de photographies), préface de Gilles-Eric Séralini, éd. G. Vitaloni, 1987, (ISBN 978-2-904853-01-2).
- La Danse (peinture), Nice, CHU hôpital Pasteur.
- Coq (graphisme sur toile), Nice, hôtel Negresco.
- Le Chat (sculpture bronze et marbre), Nice, hôtel Negresco.
- Le Cheval de Léonard de Vinci (bronze), Amboise, château du Clos Lucé.
- La Forêt des Livres, 20 ans, (fer et granit), Chanceaux-près-Loches.
- Coq (graphisme sur tissu), Cogolin.
- Portrait de Ben Gourion, Post-office de Tel Aviv, Israël.
- Portrait d'Alain-Fournier, Épineuil-le-Fleuriel, Maison-école du Grand Meaulnes.
- Portrait de Georges Brassens, Sète, Espace Georges-Brassens.
- Portrait d'Antoine de Saint-Exupéry, mairie de Saint-Maurice-de-Rémens.
- Portrait de César Baldaccini (sanguine), Saint-Paul de Vence, La Colombe d'Or.
- Fangio, Monaco, Automobile club de Monaco.
- Jean Giono (pastel sur toile), Manosque, Centre Jean-Giono.
- Paul Valéry (acrylique sur toile), Nice, Centre universitaire méditerranéen.
- Paul Valéry, Sète, musée Paul-Valéry.
- Portrait de Jacques Anquetil, (acrylique sur toile), ancienne collection Louis Nucera, Nice, musée national du Sport.
- Portrait d'Auguste Escoffier, Villeneuve-Loubet, musée de l'Art culinaire Escoffier.
- Portrait de Gabrielle Chanel, collection Maison Chanel.
Sculpture
Cyril de La Patellière a réalisé des sculptures pour des municipalités ou des institutions, qui les ont installées sur des espaces publics.
- Hommage à la Méditerranée, bronze, palais des congrès Acropolis, ville de Nice, (1983).
- Asahi ou le Soleil levant, bronze, Tokyo, (1985).
- La Femme au Miroir, statue en bronze installée en 1990 dans les Jardins Saint-Martin à Monaco.
- Monument à Sainte Dévote, statue en bronze installée devant l'église Sainte-Dévote, à Monaco en janvier 1998.
- Sainte Dévote, Rome (Vatican), (2005).
- La Liseuse, bronze, ville de Gap, (2006).
- Pasteur, statue dans l'école de Charenton-le-Pont commandée par Alain Griotteray, maire. (2000).
- Pasteur, 2e statue à Nice. (1999).
- Pasteur, buste à l'Institut Pasteur, Paris. (2001).
- Je suis belle ô mortels…, bronze, musée de Bressuire.
- Christophe Plantin, terre cuite, musée de l'Imprimerie et de la Communication graphique, Lyon.
- Jean Cocteau, bronze, port de Villefranche-sur-Mer. (1989). Base "Palissy" ministère de la Culture (IM O6000935).
- Amiral de Grasse[12], villes de Grasse et Le Bar-sur-Loup. Bustes à Washington et au musée national de la Marine à Paris. Base "Mémoire" ministère de la Culture (MHR 93-20100600365).
- la Marianne de Nice, mairie de Nice et Sénat. (2010)
- Tristan Corbière, Morlaix, bibliothèque des Amours jaunes. (2010).
- Henri IV, buste en bronze, musée du château de Pau, (1984)[13].
- Nikaïa, bronze, promenade du Paillon, Nice, inauguré par Christian Estrosi le .
Il est l'auteur également de plusieurs bustes et portraits de personnalités, dont :
- Fernando Arrabal (collection de l'écrivain) ;
- Jeanne Augier et Paul Augier (collection de l'hôtel Negresco, Nice)
- André Verdet (au musée de Cordes-sur-Ciel) et à Cagnes-sur-Mer (musée du Château Grimaldi) ;
- Jacques Brel (Villes de Bruxelles et Roquebrune-Cap-Martin) ;
- Jean Cocteau (Menton, musée Jean-Cocteau) ;
- La Princesse Grace de Monaco (marbre au Palais princier) ;
- Anna de Noailles ;
- Alain-Fournier (Maison-école du Grand Meaulnes, Épineuil-le-Fleuriel) ;
- Jean-Baptiste Carpeaux (collection Jacques Ginepro) ;
- George Sand (maison de George Sand, Gargilesse-Dampierre) ;
- Honoré de Balzac (ancienne collection Gonzague Saint Bris) ;
- Léonard de Vinci (musée du Clos-Lucé) ;
- César (collection Michel Pastor) ;
- Rudolf Noureev (Centre national du costume de scène, Moulins);
- Paul Ricard (collection Ricard) ;
- Gonzague Saint Bris (ancienne collection personnelle de l'écrivain) ;
- Salvador Dalí (hôtel Negresco, Nice) ;
- Raimu (musée Raimu, Marignane) ;
- Bruno Deydier de Pierrefeu, (musée de la marine, Grasse).
Art funéraire
- Cygne d'étang, signe des temps, marbre, nécropole de Nice
- Femme à la coquille, marbre de Carrare, cimetière de Cagnes-sur-mer.
Médaille
- Princesse Grace, (Gala international de Gymnastique, Monte-Carlo).
- Louis Yvert.
- Jean-Honoré Fragonard (Parfumerie Fragonard).
- Albert II (prince de Monaco).
- Jean Monnet (Maison de Jean Monnet).
- François Joseph Paul de Grasse (Musée de la marine de Grasse).
- Dévote (sainte).
- Ville de Draguignan.
Timbre-poste et vignette de France
- Marianne, concours de 1989, gravée par Claude Durrens. (Projets à L'Adresse Musée de La Poste, Paris).
- Étienne Dolet, imprimeur, gravé par Jacky Larrivière, Timbres de France 2009, (6 juillet 2009). (Maquettes au musée de l'Imprimerie et de la Communication graphique à Lyon).
- Tristan Corbière, poète breton, gravé par Jacky Larrivière, Timbres de France 2011. L'un des projets est conservé à la bibliothèque patrimoniale des Amours-jaunes de Morlaix, Finistère.
- Bloc CNEP 2014 (vignette non postale).
Timbre de Polynésie française
- Jacques Brel, (gravé par Yves Beaujard), prix de l'Art philatélique, 2010.
- Jacques Brel et son avion, 2013.
- Frederick William Beechey.
- Alain Colas.
Timbre des TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises)
- Maryse Hilsz
- Patrouilleur "Le Malin"
- Willem de Vlamingh
- Serge Frolow.
- Navire océanographique La Curieuse.
Timbre de Monaco
Les maquettes originales de ces timbres-poste sont conservées dans les collections du palais de Monaco.
- Croix-Rouge monégasque : Sainte Dévote, (2002).
- 1902 - Pelléas et Mélisande - Claude Debussy », (2002). Deux études sont au Musée Claude-Debussy de Saint Germain en Laye.
- Sainte Dévote , bloc de quatre timbres gravés par Pierre Albuisson, (29 septembre 2003).
- Sainte Dévote , série de cinq timbres gravés par Claude Jumelet et Jacky Larrivière, (5 janvier 2004).
- Centre cardio-thoracique et Institut monégasque de médecine et de chirurgie sportive, gravés par Martin Mörck, 1er (décembre 2006).
- André Masséna, gravé par André Lavergne, Timbres de Monaco 2008 (21 janvier 2008).
- Pétrarque. Gravé par Yves Beaujard, (2009). Une maquette est présentée au Musée-bibliothèque Pétrarque (Fontaine-de-Vaucluse).
- Gustav Mahler. Compositeur et chef d'orchestre, gravé par Claude Andréotto, Timbres de Monaco (2011).
- Henri Troyat. Écrivain, gravé par Claude Jumelet, Timbres de Monaco (2011).
- Portrait de la princesse Charlène de Monaco pour le timbre de son mariage avec Albert II (2011).
- Auguste Lumière. Ingénieur, gravé par Claude Andréotto (2012).
- Henri Dunant. Gravé par Pierre Albuisson (2013).
- Traité franco-monégasque de 1814 gravé par Claude Jumelet (2014)[14].
- Emma Calvé (2018).
- Fédor Chaliapine (2018).
- Honoré V (prince de Monaco). Gravé par Pierre Albuisson (2019).
- Marcel Proust. Ecrivain (2021). Deux études sont présentées au Musée Marcel Proust à Illiers-Combray.
Récompenses
- Grand prix européen de la sculpture, en 1985 et 1990.
- Prix de l'Académie des beaux-arts en 1989.
- Prix Paul-Belmondo de sculpture en 1989. Prix reçu à l'Institut de France, décerné par Jean-Paul Belmondo.
- Prix de sculpture Salon international de Saumur (Art et métiers du cheval), 2001.
- Grand prix de l'Art philatélique pour son timbre Jacques Brel (Polynésie française) en novembre 2009.
- Prix René-Cottet en 2010 (Salon philatélique d'automne).
- Trophée Yvert et Tellier en 2013.
Notes et références
- À ne pas confondre avec la famille Dubois de La Patellière.
- « Bressuire. Créateur de timbres, il a un ancêtre qui fut maire de Bressuire », Courrier de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- gazette-drouot.com, « Ventes aux enchères Cyril de La Patellière, Né en 1950 », sur catalogue.gazette-drouot.com (consulté le ).
- « Gap : "La liseuse" - », sur www.animagap.fr (consulté le ).
- « Sainte Dévote | Provence 7 », sur www.provence7.com (consulté le ).
- Collectionneur et expert qui lui confie la restauration de quelques-unes des œuvres de sa collection : Jean-Baptiste Carpeaux, Jules Dalou, etc.
- Créatrice de l'hôtel Negresco de Nice.
- Nice-Matin, .
- « Artiste Cyril de La Patellière - Tout sur le timbre - La Poste », sur La Poste (consulté le )
- Dominique Stéphan, « Marianne non émises », article paru sur le site du Cercle des amis de Marianne, juillet 2004 (page consultée le 12 décembre 2006). Le projet de La Patellière de 1989 est reproduit en bas, le premier en partant de la droite.
- La Nouvelle République, .
- Base Joconde, ministère de la Culture.
- Base Joconde n° d'inv. P8531, ministère de la Culture.
- « http://www.oetp-monaco.com/index.php?route=information/information/loadInfo&information_id=98 »
Annexes
Bibliographie
- Dictionnaire Bénézit, 4e édition, volume 8, 1999.
- « Dis, l'artiste, dessine-moi le timbre de tes rêves… », entretien et dessin publiés dans L'Écho de la timbrologie no 1792, , pp. 12–13. — Pour cet entretien, l'artiste a crayonné un portrait de Claude Nougaro.
- « Peintre et sculpteur… fasciné par le timbre », entretien publié dans Timbres magazine, no 66, . — L'entretien, illustré de maquettes des timbres de l'artiste, aborde sa façon de travailler dans les différents arts.
- Nice-Matin, .
- Le Courrier de l'Ouest, .
Article connexe
Liens externes
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