Saint-Paul-de-Vence
Saint-Paul-de-Vence est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul.
Ne doit pas être confondu avec Saint-Pierre-sur-Vence.
Saint-Paul-de-Vence | |||||
Vue du village depuis la route de La Colle. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Grasse | ||||
Intercommunalité | communauté d'agglomération de Sophia Antipolis | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Camilla 2020-2026 |
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Code postal | 06570 | ||||
Code commune | 06128 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Paulois | ||||
Population municipale |
3 252 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 448 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 50″ nord, 7° 07′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 355 m |
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Superficie | 7,26 km2 | ||||
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villeneuve-Loubet | ||||
Législatives | sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Géographie
Le village de Saint-Paul-de-Vence s'élève sur un éperon rocheux situé entre les Alpes et la Méditerranée, à l'ouest duquel coule le Malvan, un affluent de la Cagne.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Saint-Paul-de-Vence est une commune urbaine[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[4] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France par la population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Toponymie
En raison de sa proximité avec la commune de Vence et pour la distinguer des autres communes portant le nom de Saint-Paul, la commune a depuis longtemps été appelée officieusement « Saint-Paul de Vence » mais le nom de Saint-Paul-de-Vence n’est officiel que depuis 2011[9],[10]. Sous la Révolution, on écrivait Sainpaul.
Sur le cadastre napoléonien de Vence, daté du , il est fait mention d'une « route de Gréolière à Saint-Paul-du-Var » car Saint-Paul-de-Vence, proche de l'ancienne frontière avec le Royaume de Sardaigne jusqu'en 1860, se trouvait alors dans le département du Var[11].
La commune a ensuite conservé officiellement ce nom jusqu’en 1913[12].
Histoire
Moyen Âge
C'est vraisemblablement entre le Xe et le XIIe siècle qu'un habitat se regroupe, autour de l'ancienne église Saint-Michel-du-Puy, au sud et à proximité du château sur la partie la plus élevée de la colline[13].
Au Moyen Âge, la région est administrée par les comtes de Provence. Au XIIIe siècle, le comte Charles II accorde plusieurs privilèges à Saint-Paul, parmi lesquels celui d’organiser un marché hebdomadaire (1285). Au début du XIVe siècle, Saint-Paul acquiert de plus en plus d’autonomie et devient une ville prospère de commerçants et de notables. La ville devient le chef-lieu d’un important bailliage[14] dont dépendent Tourrettes-sur-Loup, Villeneuve-Loubet, le Broc, Cagnes ou encore Bézaudun.
En 1388, Nice et sa région se détachent de la Provence pour se rattacher aux États du comte de Savoie. La frontière orientale de la Provence est alors redessinée pour se matérialiser par le cours inférieur du Var. Ce nouveau contexte confère à Saint-Paul une position stratégique : la ville devient une place forte frontalière pendant cinq siècles. Saint-Paul connaît une première campagne de fortification dans la deuxième moitié du XIVe siècle : la porte Nord de la ville, dite « Porte de Vence », remonte à cette muraille médiévale.
Le XVIe siècle
À l'époque des guerres d'Italie, la Provence est envahie à deux reprises par les troupes de Charles Quint : en 1524 Saint-Paul est occupée, en 1536 la ville est une nouvelle fois assiégée. Considérant la faiblesse de la frontière côté provençal et l’obsolescence des fortifications médiévales de Saint-Paul, François Ier décide en 1538 de doter la ville de nouveaux remparts, capables de résister à la puissance de l’artillerie. Cette enceinte bastionnée, élevée entre 1543 et 1547, est conservée dans son intégralité. Sur ses fronts nord et sud, quatre solides bastions protègent les deux portes de la ville.
- Plan des remparts.
Le XVIIe siècle
Au XVIIe siècle, Saint-Paul connaît un rayonnement religieux grâce à l'influence d'Antoine Godeau, évêque de Vence. L'église, élevée au rang de collégiale, est agrandie et embellie. Saint-Paul connaît également un renouveau urbanistique grâce aux familles de nobles et notables qui construisent de somptueux hôtels particuliers, en particulier dans la rue Grande. Saint-Paul conserve sa vocation de place forte militaire, aussi Vauban vient-il inspecter les fortifications en 1693 et 1700.
Héraldique
Blason | D’azur à Saint-Paul de carnation chevelé, barbé auréolé et habillé d’argent, s’appuyant de sa main dextre sur une épée et tenant dans la senestre un livre ouvert le tout du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2019, la commune comptait 3 252 habitants[Note 3], en diminution de 7,19 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Saint-Paul-de-Vence est un des hauts lieux du tourisme notamment pour ses très nombreuses galeries d'art ce qui a pour conséquence d'avoir vidé le village de ses commerces traditionnels.
Saint-Paul-de-Vence abrite également sur ses hauteurs de nombreuses villas qui appartiennent à de nombreux millionnaires français et étrangers.
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Les remparts : élevés sur l’ordre de François Ier comme réplique à la citadelle de Nice, de 1544 à 1547, ils n’ont guère subi d’altération. C'est une des premières fortifications bastionnées construites en France. Elle est l'œuvre de l'ingénieur militaire Jean de Renaud de Saint-Rémy. Vauban a inspecté ces remparts au cours d'une de ses tournées d'inspection des fortifications, en 1700.
- L’auberge La Colombe d’or qui abrite des œuvres de Picasso, Matisse, Miró, Modigliani, Braque, Fernand Léger, Chagall (ne se visite pas)
- La fondation Maeght : haut lieu de l’art moderne et contemporain, dirigée par Aimé puis Adrien Maeght. Elle abrite des expositions temporaires et des sculptures in situ dans le parc. On y retrouve les grands noms de l’art moderne, en parcourant les salles et les jardins de ce lieu d’exception, avec les œuvres de Miró, Giacometti, Chagall ou Léger, des liens qui ont uni la famille Maeght aux artistes de leur temps, ainsi que l'architecture des bâtiments conçus par Josep Luís Sert.
- Le musée d’histoire locale offre un intéressant raccourci de l’histoire de la commune qui fut souvent aussi celle de l’histoire de la Provence.
- Le cimetière de Saint-Paul-de-Vence comporte la tombe de Marc Chagall et la chapelle Saint-Michel.
- Le pontis, passage au-dessus de la rue Grande, datant du XVe siècle.
- La tour seigneuriale, à côté de l'église, servant aujourd'hui de mairie.
- L'aqueduc des Moulins qui alimentait les moulins de la commune. En 1730, un inventaire mentionne à Saint-Paul cinq fours à pains, cinq moulins à huile et deux moulins à farine[21].
Édifices religieux
- Église collégiale de la Conversion-de-Saint-Paul : (XIIe – XIIIe siècle) restaurée au XVIIe siècle. Érigée en collégiale en 1666. Dans la chapelle Saint-Clément, ornée de stucs, l’autel est formé d’un bas-relief représentant le martyre de saint Clément et deux tableaux, l’un de l’école italienne, l’autre de l’école de Murillo ; l’église contient aussi un tableau de sainte Catherine d’Alexandrie du Tintoret. Dans la sacristie, le trésor comprend des statues en argent et en vermeil (une Vierge noire), des reliquaires, des croix. Dans la chapelle des fonts baptismaux, gracieuse statuette de la Vierge, en albâtre, du XVe siècle. Le chœur est décoré de stalles sculptées. Le beau chemin de croix en noyer, peint selon une technique du XVIe siècle, la détrempe à la colle, est moderne.
- Chapelle Sainte-Croix, chapelle des pénitents blancs (XVIIe siècle) : Jean-Michel Folon y a réalisé un vaste projet de décoration. Son étonnant clocher à trois faces complète l’harmonie de la partie culminante du village, entre la place de l’Église et la rue Cassette. Un travail nettement inspiré par l’esprit du lieu qu’il avait transcrit avec précision sur des dessins et aquarelles. Avant la décoration artistique, trois années de travaux de restauration ont permis de remettre en état la toiture, les voûtes intérieures, l’électricité et le chauffage.
Il y a travaillé jusqu’à sa mort en 2005. Il compose 8 toiles, 4 vitraux, 2 sculptures et une mosaïque de 106 m2 aux lignes simples et douces.
La chapelle, inaugurée en est aussi la dernière chapelle décorée du Sud méditerranéen. - Chapelle Sainte-Claire, route de Vence, XVe siècle
- Chapelle Saint-Claude-et-Saint-Charles, chemin de Saint-Claire, XVIIe siècle
- Chapelle Notre-Dame de la Gardette, dite Saint-Georges, chemin de Saint-Claire, XVIIIe siècle
- Chapelle moderne Saint-Bernard, chemin de Sainte-Claire.
- Chapelle Saint-Roch, chemin de saint-Roch.
- Chapelle Saint-Michel, dans le cimetière
- Chapelle, de 1885 rue Fontette, actuellement restaurant la petite chapelle.
- Chapelle, rue Fontette.
- Chapelle, des sœurs dominicaines, chemin de Saint-Claire.
- Prieuré Sainte Claire, chemin des Gardettes.
- Collégiale de la Conversion-de-Saint-Paul.
- Chapelle des pénitents blancs.
- Chapelle Sainte Claire.
- Chapelle Saint-Claude-et-Saint-Charles.
- Chapelle Notre Dame de la Gardette.
- Chapelle Saint Bernard.
- Chapelle Saint Roch.
- Chapelle Saint-Michel du cimetière.
- Chapelle du restaurant.
- Chapelle de Fontette.
- Chapelle des sœurs dominicaines.
- Prieuré Sainte Claire.
Saint-Paul-de-Vence et la philatélie
Un timbre postal, d'une valeur de 0,15 franc représentant la ville, dessiné par Pierre Ambrogiani et gravé par Robert Cami, a été émis le , avec une oblitération Premier jour le 7 dans la ville[22].
Un autre timbre de valeur permanente a été émis en 2009 valable pour le monde entier. Valeur à la date d'émission : 0,70 euro[23].
Saint-Paul-de-Vence dans la chanson
- Dans la chanson Nationale 7 de Charles Trenet, Saint-Paul-de-Vence est la ville « dont Paris est la banlieue », même si la nationale 7 ne passait pas directement par Saint-Paul-de-Vence, mais à quelques kilomètres de là, à Cagnes-sur-Mer.
- La ville est le sujet de la chanson Saint-Paul-de-Vence par Pierre Barouh, disponible sur l'album Le Pollen (ré-édité en 2001 sur CD).
- Elle est citée dans La Java de Broadway de Michel Sardou et dans les chansons Ma Môme et Les Noctambules de Jean Ferrat, ainsi que dans Cette fille c'était moi de Michèle Torr.
- Saint-Paul-de-Vence est une chanson interprétée par Isabelle Aubret avec des paroles de Pierre Grosz et une musique de Cyril Assous. Cette chanson compose l'album Le monde chante, des Disques Gérard Meys, de 1984.
Personnalités liées à la commune
- Laurent Jean Baptiste Bérenger-Féraud, chirurgien de la marine, né à Saint-Paul-de-Vence en 1832, mort à Toulon en 1900.
- De nombreux artistes et écrivains ont fréquenté le village, et notamment l'auberge de La Colombe d'or, parmi lesquels Matisse, Modigliani, Jean Giono, Jacques Prévert, Yves Montand, James Baldwin[24], Simone Signoret, Mylène Farmer, Norge, Patrick Raynal, Lino Ventura et Bernard Blier.
- Roger Féral y passait ses vacances et réalisait des émissions de Télé-Paris à partir de la Colombe d'Or.
- Marc Chagall y vécut pendant dix-neuf ans et repose au cimetière.
- Jean Lurçat, 1892-1966, rénovateur de la tapisserie contemporaine, est mort à Saint-Paul-de-Vence.
- Célestin Freinet enseigna à Saint-Paul-de-Vence de 1928 à 1933. Il entra en conflit avec la mairie qui refusait de faire les indispensables travaux d'entretien de son école. Le maire, ainsi que quelques notables locaux affiliés à l'extrême droite française, avec l'aide propagandiste du journal L'Éclaireur de Nice, demandait le déplacement de Freinet et de son épouse Élise, les accusant de faire en classe du « bolchévisme ». Ce conflit, qui prit rapidement l'ampleur d'une affaire nationale, amena Freinet à créer sa propre école à Vence (1935).
- Norge, 1898-1990, poète belge de langue française, était antiquaire à Saint-Paul-de-Vence.
- André Verdet, 1913-2004, poète, peintre, sculpteur et céramiste français, était habitant de Saint-Paul. Son buste, exécuté en par le sculpteur Cyril de La Patellière, se trouve au château-musée Grimaldi du Haut-de-Cagnes. Il faisait partie de son importante donation. Le musée de la maison du Grand Fauconnier de Cordes-sur-Ciel (Tarn) possède l'exemplaire original de ce buste.
- Elie Bernadac (1913-1999), artiste-peintre, y exposait en permanence[25],[26].
- Paul Frère, pilote automobile et journaliste belge, vécut à Saint-Paul de nombreuses années.
- Pierre Laffitte (1925-2021), né dans la commune, élève de Célestin Freinet, sénateur des Alpes-Maritimes de 1985 à 2008, est conseiller municipal de Saint-Paul de 1968 à 2021.
- Aldo Maccione vit actuellement dans la commune.
- Georges Géret (1924-1996), acteur de théâtre et de cinéma, vécut à Saint-Paul-de-Vence et repose au cimetière.
- Le chanteur Jon Anderson y vécut de 1980 à 1985.
- L'écrivain américain James Baldwin y est mort en 1987.
- L'acteur Donald Pleasence y est mort en 1995.
- Le peintre néerlando-américain Albert Dolmans
- Jacques Morali (1947-1991), auteur et compositeur de disco music (Village People, YMCA), vécut à Saint-Paul-de-Vence et repose au cimetière de Vence.
- Théo Tobiasse, artiste-peintre, dessinateur, sculpteur, y vécut de 1976 à son décès en 2012. Il est l'auteur de la sculpture monumentale en bronze, La Vénus de Saint-Paul-de-Vence, installée à l'entrée du village en 2007.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Saint-Paul-de-Vence attend bientôt son baptême officiel…
- renommage de la commune par le décret no 2011-311 du 22 mars 2011
- Section G2 La Sine, à la cote : 25FI 157/1/G2/COM.
- http://cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=33975
- Office de Tourisme de Saint-Paul de Vence.
- René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l'histoire, 1990.
- « Résultats des élections municipales 2014 : Saint-Paul (06570 - Alpes-Maritimes) », sur lexpress.fr/ (consulté le ).
- Jean-Pierre Camilla est l'ancien premier adjoint de Joseph Le Chapelain, maire divers droite de 2014 à 2020 (voir « Qui est Jean-Pierre Camilla, le nouveau maire de Saint-Paul-de-Vence pour seulement 8 voix? », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Saint-Paul-de-Vence : Le moulin à huile.
- Le timbre.
- N° YT AA336.
- Diane Lisarelli, « Yves, Simon, Nina, Miles et les autres », Vanity Fair n° 55, mars 2018, pages 48-50.
- Elie Bernadac sur artistes-cotes.com.
- Elie Bernadac sur la page du centre culturel Marius Hudry Moûtiers.
Voir aussi
Bibliographie
- Jeanne Faure, St Paul de Vence, ville royale, 1970
- Nicolas Gavet, Saint Paul et ses fortifications, Éditions de la Commune, 2001
- René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l’histoire, 1990
- François 1er et Saint-Paul, Association des Amis du musée d’histoire
- Marius Issert, Souvenirs d’un maire 1945-1995, éditions de la commune de Saint-Paul, 2000 (ISBN 978-2-95161400-0)
- Eva Pollini, Saint-Paul-de-Vence et la Fondation Maeght, Bonechi, 1989 (ISBN 978-8-87009186-1)
- Jacques Gantié, Saint-Paul de Vence, le village inspiré, Gilletta Nice-Matin, Nice, 2006 (ISBN 978-2-903574-70-3)
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- Saint-Paul sur le site de l'Institut géographique national
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