Deûlémont

Deûlémont (en néerlandais : Deulemonde) est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Ne doit pas être confondu avec Delémont.

Deûlémont

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Christophe Lienart
2020-2026
Code postal 59890
Code commune 59173
Démographie
Gentilé Deûlémontois
Population
municipale
1 818 hab. (2019 )
Densité 183 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 06″ nord, 2° 56′ 57″ est
Altitude Min. 11 m
Max. 20 m
Superficie 9,94 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armentières
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Deûlémont
Géolocalisation sur la carte : France
Deûlémont
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Deûlémont
Géolocalisation sur la carte : Nord
Deûlémont
Liens
Site web deulemont.fr

    Géographie

    Deûlémont dans son canton et son arrondissement

    Situation

    Deûlémont tire son nom de sa situation au confluent de la Lys et de la Deûle. Le toponyme accole le nom de la rivière canalisée, la Deûle, et le mot mont, forme francisée de mond (bouche en néerlandais). En 1060, on trouve une mention du nom Duplices Montes.

    Une île sur la Lys, à laquelle on ne peut accéder que par le quai Verboeckhoven à Comines-Warneton (Belgique), appartient à la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Deûlémont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,2 %), prairies (10 %), zones urbanisées (4,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Héraldique

    Armoiries données en 1690, sous l’administration de Madame Marie–Louise–Victoire de Créquy, 28e abbesse de Messines (1679 - 1706)[21] et Dame de Deûlémont. Enregistrées par D’Hozier à l’Armorial général de France.

    Les armes de Deûlémont se blasonnent ainsi : «Écartelé au Premier et Quatrième de gueules à une fleur de lys à l’antique d’argent,au deuxième et troisième d’or au lion de sable lampassé de gueules,à une crosse d’or posée sur l’écartelé en pal,à l’écu brochant sur le tout d’or au créquier de gueules».


    Toponymie

    Deûlémont signifie « embouchure de la Deûle » ; mond signifie « bouche » en néerlandais.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2019, la commune comptait 1 818 habitants[Note 8], en augmentation de 7,89 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0021 8731 8852 0322 1682 1582 1252 1402 060
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0491 9431 9521 9361 8901 8621 8681 9171 958
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9021 9591 757715831837813827880
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8988669511 3601 3681 4611 4241 4601 690
    2015 2019 - - - - - - -
    1 6731 818-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 889 hommes pour 909 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,3 
    3,0 
    75-89 ans
    3,4 
    17,1 
    60-74 ans
    16,2 
    22,7 
    45-59 ans
    24,0 
    20,6 
    30-44 ans
    19,2 
    15,7 
    15-29 ans
    17,1 
    20,8 
    0-14 ans
    19,8 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1803 Inglebert Vandermersch    
    1803 1813 Jean Baptiste Gesquière    
    1813 1816 Hippolite Joseph Vandermersch    
    1816 1817 Augustin Lutun    
    1817 1821 Zacharie Catteau    
    1821 1831 Roger Laloy    
    1831 1848 Augustin Vandermersch   Le maire et l’adjoint furent révoqués à l’issue de la Révolution de 1848
    1848 1848 Charles Sénélar   Maire provisoire
    1848 1853 Hippolite Vandermersch    
    1853 1858 Auguste Ghestem    
    1858 1861 Louis Philippo    
    1861 1876 Alphonse Vandermersch    
    1876 1894 Charles Philippo    
    1894 1904 Louis Philippo    
    1904 1906 Roger Horent    
    1906 1908 Louis Flipo    
    1908 1912 Georges Horent    
    1912 1919 Victor-Hyacinthe Liénart    
    1919 1927 Louis Claro   Conseiller général du Canton de Quesnoy-sur-Deûle
    1927 1959 Pierre Dillies    
    1959 mars 1971 Louis Lefebvre    
    mars 1989 André Dekyndt    
    mars 2014 Francis Grimonprez   Onzième vice-président à Lille Métropole Communauté urbaine
    En cours Christophe Liénart DVD  

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint Symphorien - Elle a été construite en 1925 en remplacement de la précédente église, détruite durant la première guerre mondiale.
    • La chapelle Marie Mère de Dieu - Bâtie en 1926, elle est située aux écolatries. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant, une statue de Saint Roch et une statue de Saint Joseph.
    • La chapelle Notre-Dame - Elle est située rue des Processions. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant
    • La chapelle Notre-Dame - Elle est située rue du Maréchal Foch. Elle contient une statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse.
    • La chapelle Notre-Dame de la Délivrance - dite "Chapelle Rohart". Bâtie en 1867, reconstruite en 1934 et rénovée en 2013. Elle est située rue des trois frères Fretin. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant, une statue de Saint Gérard et une statue de Saint Antoine de Padoue.
    • La chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs - Elle a été édifiée à l'initiative de la famille Desprez, qui occupait la ferme du Wynhem, en action de grâce pour avoir été préservée des malheurs de la première guerre mondiale. Elle est située à l'angle du chemin du Moulin du Wynhem et du chemin de Deulemont.

    Dévotion populaire et tradition

    La ville de Deûlémont est marquée par la dévotion à Saint Symphorien, On trouve un autel dédié à ce saint dans l'église du même nom. Au XVIIè siècle on paye déjà le clerc de l'église pour donner des chandelles aux pèlerins qui viennent "servir Saint Symphorien"[28]. La dévotion est toujours active au XIXè siècle : en 1861, l'abbé Dinet mentionne Deûlémont dans son étude sur S. Symphorien et son culte[29].

    Deûlémont était un lieu de pélérinage populaire parmi les Flamands, qui appelaient la ville "Dulzemonde". L'écrivain populaire flamand Edward Vermeulen l'évoque dans son ouvrage de 1927 "Mietje Mandemakers & Cie" [30] L'éthnologue Belge Walter Giraldo, le mentionne à plusieurs reprises dans ses études sur la dévotion populaire en Flandre Occidentale, notamment dans son ouvrage "Volksdevotie in West-Vlaanderen".

    On prie Saint Symphorien en particulier pour la guérison de la Cyanose[31],[32] et pour prévenir la mort subite du nourrisson[33] ou toutes sortes d'autres maladies infantiles. On invoquait aussi parfois Saint Symphorien contre les maladies du bétail[34].

    Au début des années 1930, des pèlerins de Courtrai venaient y faire bénir les sous-vêtements déjà neuf fois portés par leurs enfants, après quoi les enfants devaient porter pendant neuf jours ces vêtements[35].

    Dans les années 1950, les pèlerins viennent encore d'Aalbeke[31], de Deerlijk[32], de Wytschaete[36] ou de Wevelghem[34]. Des pratiques similaires aux années 1930 sont rapportées  : on se rend à Deûlémont avant l'accouchement, de préférence avec son époux et on fait bénir un vêtement qui doit être fait porté à l'enfant à sa naissance pendant neuf jours[34].

    Au XIXe siècle la paroisse de Deûlémont diffusait une médaille à l’effigie du Saint. Une procession avait lieu le quatrième dimanche du mois d'août[37]. De nos jours, des pèlerins viennent encore de Flandre pour "servir" le Saint. Une messe avec bénédiction des enfants est toujours organisée à cette date : les enfants reçoivent l'image d'un vitrail représentant Saint Symphorien[38].

    Personnalités liées à la commune

    • Virginie Ghesquière (1768-1867) Elle s'enrôle dans l'armée de Napoléon à la place de son frère.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Deûlémont et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Deûlémont et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. http://users.telenet.be/hallu/nl_historiek.php (MESEN HISTORIEK - Historique de Messines)
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Deûlémont (59173) », (consulté le ).
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    28. Deûlémont Informations historiques sur la ville, Deûlémont, Archives Municipales, , 28 p., p 18.
    29. Abbé Ch. -L. Dinet, S. Symphorien et son culte Tome Second, Autun, Imprimerie Michel Dejussieu, (lire en ligne), p 551.
    30. (nl-BE) Edward Vermeulen, Mietje Mandemakers & Cie, Tielt, Lannoo, (lire en ligne), p 102 / Ge moet in beëvaaart gaan naar Dulzemonde, raade Leonie aan, 't is wel ver in Frankrijk, maar ge zoudt er voorzeker beternis vinden." / Tu dois aller en pélérinage à Deulémont, conseilla Léonie, 'c'est bien loin en France, mais t'y trouverais pour sur de l'amélioration.".
    31. (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p 68 (lire en ligne).
    32. (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p 71 (lire en ligne).
    33. (nl-BE) Walter Giraldo, Volksdevotie in West-Vlaanderen, Brugge (bruges), Marc van de Wiele, , 164 p. (ISBN 90-6966-057-1), p 29 "tot heden blijkt Dulzemonde de aangewezen bedevaartplaats tegen de wiegendood te zijn" / tr : jusqu'à présent, Deulemont semble le lieu de pélérinage désigné contre la mort subite du nourrisson..
    34. (nl) Walter Giraldo, « Bedevaart, volksgeneeskunde en toverij », Biekorf, , p 236 (lire en ligne).
    35. (nl-BE) Walter Girardo, Volksdevotie in West Vlaanderen, Brugge / Bruges, Marc Vande Wiele, , 164 p. (ISBN 90-6966-057-1), p 56.
    36. (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p105 (lire en ligne).
    37. « Deulemont dans la tourmente », sur doyennelysetdeule.fr.
    38. « St Symphorien ferme dans la foi », sur doyennelysetdeule.fr, (consulté le ).
    • Portail de la métropole européenne de Lille
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.