Dions

Dions [djɔ̃s] est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Dions

Église de Dions.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Gérard Theotime
2020-2026
Code postal 30190
Code commune 30102
Démographie
Population
municipale
543 hab. (2019 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 57″ nord, 4° 17′ 50″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 175 m
Superficie 11,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Uzès
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dions
Géolocalisation sur la carte : France
Dions
Géolocalisation sur la carte : Gard
Dions
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Dions
Liens
Site web http://www.dions.fr/

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Bourdic, le ruisseau de Braune, le ruisseau de Goutajon, Valat de Gouloubert et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 le Gardon et ses gorges », les « gorges du Gardon » et le « camp des Garrigues ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Dions est une commune rurale qui compte 543 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Dionsois ou Dionsoises.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans l'aire urbaine de Nîmes à 15 km de cette ville.

    Communes limitrophes de Dions
    Saint-Chaptes
    La Calmette Sainte-Anastasie
    Nîmes

    Hydrographie et relief

    Le Gardon traverse la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 762 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rouvière », sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15],[16].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[18] :

    • « le Gardon et ses gorges », d'une superficie de 7 009 ha, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)[19]

    et deux au titre de la directive oiseaux[18] :

    • les « gorges du Gardon », d'une superficie de 7 024 ha, abritant trois espèces de rapaces remarquables, l'Aigle de Bonelli, le Circaète Jean-le-Blanc et le Vautour percnoptère[20] ;
    • le « camp des Garrigues », d'une superficie de 2 089 ha, présentant une richesse avifaunistique marquée notamment par la présence du cortège des espèces des garrigues méditerranéennes. Les principales espèces de passereaux et assimilés caractéristiques des zones méditerranéennes sont présentes dans le camp. Il présente aussi un intérêt majeur comme site de nidification et comme territoire de chasse pour de nombreux rapaces : Aigle de Bonelli, Milan noir, Grand Duc d'Europe, Circaète Jean-le-Blanc et busard cendré[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] : les « gorges du Gardon » (5 231 ha), couvrant 10 communes du département[23], et la « rivière du Gardon entre Moussac et Russan » (682 ha), couvrant 7 communes du département[24] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] :

    • le « plateau Saint-Nicolas » (15 838 ha), couvrant 16 communes du département[25] ;
    • la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Dions est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

    Dions est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,5 %), cultures permanentes (20,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (2,2 %), terres arables (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Dion en 1157, Dions en 1170 et Dyons en 1256[30].

    Ce toponyme provient du gaulois devona/divona, « la divine », présent dans d'autres noms de localités comme Devona Cadurcorum (Cahors, Lot) ou Divonne dans l'Ain[31][source insuffisante].

    Ce mot d'origine indo-européenne est à rapprocher du sanskrit deváh, "dieu", du latin deus, du breton doue, du gallois duw, du vieil-irlandais dia, etc[32].

    Histoire

    Moyen Âge

    Dion en 1157, Dions en 1170, Dyon en 1256, Dyons en 1274, Dions en 1384, Duons en 1463[33],

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats


    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1997 2008 Christian Silbermann    
    2008 2014 Charles Picolo   Vice-président de Nîmes Métropole
    2014 2016
    (démission)
    Marc Gilbert SE  
    2016 En cours Jean Verdalle    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2019, la commune comptait 543 habitants[Note 9], en diminution de 9,2 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    618663687711720716700700737
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    737752713665656611573565602
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    580558539452419426422337288
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    311378377393453522540522575
    2014 2019 - - - - - - -
    599543-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 263 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 584 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 180 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,5 %9,4 %9,3 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 368 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (69,2 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 86 en 2013 et 62 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 257, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,4 %[I 10].

    Sur ces 257 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    50 établissements[Note 12] sont implantés à Dions au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble50100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    48 %(7,9 %)
    Construction1428 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1122 %(30 %)
    Information et communication24 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance12 %(3 %)
    Activités immobilières12 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    714 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    510 %(13,5 %)
    Autres activités de services510 %(8,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 50 entreprises implantées à Dions), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations23171311
    SAU[Note 15] (ha)261231190165

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 17 en 2000 puis à 13 en 2010[40] et enfin à 11 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[41],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 261 ha en 1988 à 165 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 11 à 15 ha[40].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Le château.
    • Château.
    Temple de Dions

    Édifices religieux

    Patrimoine culturel

    • Moulin à vent de Grès, construit sans doute à la fin du XVIIIe siècle[43], il produisait de la farine. Il a été restauré en 2011 par Bernard Garibald, charpentier-amoulangeur, pour le Syndicat mixte des gorges du Gardon[44]. Ses meules à farine ont été remplacées par une meule à huile parce que le moulin est situé en pleine zone d’oliveraies que le Syndicat veut réhabiliter. Le Syndicat veut remettre en état de marche. «Tout cela pour recréer sur place une culture oléicole», rapportait le journaliste d'Objectif Gard le 5 août 2018[45].

    Patrimoine environnemental

    Le gouffre Espeluca.

    Le gouffre Espeluca : cavité naturelle située sur la rive droite du Gardon.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De vair à la fasce losangée d'argent et de sinople[33].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Dions » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Dions » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Dions » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Dions » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France La Rouvière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Dions et La Rouvière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France La Rouvière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Dions et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
    16. « Gorges du Gardon - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Dions », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9101395 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9110081 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « site Natura 2000 FR9112031 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Dions », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « gorges du Gardon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF la « rivière du Gardon entre Moussac et Russan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « plateau Saint-Nicolas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « vallée moyenne des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, , 704 p., p. 652.
    31. Xavier Delamarre : Dictionnaire de la langue gauloise (Errance 2001), art. deuos p. 118.
    32. « Panthéon gaulois », sur vousvoyezletopo.blog.lemonde.fr (consulté le ).
    33. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 73-74
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    39. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Dions - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
    42. «Guide du patrimoine», Nîmes Métropole, p. 16
    43. «Moulin à vent de Grès», Fédération des moulins de France, [en ligne], http://www.fdmf.fr/index.php/les-moulins-de-france/203-moulin-a-vent-de-gres (page consultée le 6 août 2018)
    44. Voir le reportage de France 3, sur Dailymotion : https://www.dailymotion.com/video/xir2oo_moulin-de-dions-fr3-pays-gardois-22-04-2011_creation
    45. Anthony Maurin, «Gorges du Gardon : la nature à l’état brut», Objectif Gard, [en ligne], http://www.objectifgard.com/2018/08/05/gard-gorges-du-gardon-la-nature-a-letat-brut/ (page consultée le 6 août 2018)

    (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 804, t.1

    • Portail des communes de France
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.