Dourlers

Dourlers est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Dourlers

Entrée du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Freddy Thery
2020-2026
Code postal 59440
Code commune 59181
Démographie
Gentilé Dourlésiens
Population
municipale
551 hab. (2019 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 37″ nord, 3° 56′ 14″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 205 m
Superficie 8,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : France
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : Nord
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Dourlers

    Géographie

    Dourlers se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

    En fait, Dourlers fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

    La commune se trouve à 100 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 45 km de Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B) et à km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture).

    Le village est bordé par les communes de Bas-Lieu, Floursies, Semousies.

    La Belgique et le département de l'Aisne se trouvent à 15 km.

    Dourlers est placé sur l'axe routier connu qu'est la RN 2 (route nationale 2) reliant Paris à Bruxelles (via Laon, Avesnes-sur-Helpe, Maubeuge).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 888 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 66 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Dourlers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,2 %), terres arables (41,8 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), forêts (2,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    * Noms Anciens : Durlerum, 1111, cart. de l'église de Cambrai — Dourleers, 1186, J. de Guise, 339. — Dorleir, 1189. — Dorlers, Durler, 1206, cart. de l'abb. d'Alne. — Dorler, 1252, id. — Dourlers, 1254, arch. de la pairie d'Avesnes. — Dourleis, 1254, cart. du Hainaut. — Dourleïs, 1273, 1er cart. du Hainaut — Dourler, 1324, 2e cart. du Hainaut. — Dourles, 1324, id. — Dourlers, 1349, Pouillé de Cambrai. — Dourlai, documents divers (cf "Bulletin de la commission historique du département du Nord - tome IX - 1866).[réf. nécessaire]

    Histoire

    • Près du cimetière, se trouve le "mur des Sarazins" dernier vestige de l'aqueduc qui allait de la fontaine de Floursies (devenue fontaine Saint-Elois au XIe siècle) pour alimenter en eau Bavay alors bagacum en passant par Pont-sur-Sambre dont la patronne Notre-Dame de Quartes a été dérobée dans les années 70. Quartes exprimant à l'origine, la notion de croisement entre la Sambre et l'aqueduc.
    • 1793 : le tambour Stroh, âgé de 15 ans, y fut tué le 15 octobre 1793.
    • Sur Dourlers existait une carrière de marbre dit brèche du Haynaut car ayant quelque ressemblance avec la brèche d'Alep[22].
    • Dourlers figure sur les plans du cadastre du Consulat de 1806[23] et sur ceux du cadastre napoléonien du 1813 et 1868[24].
    • Première Guerre mondiale : Dourlers se trouve en zone occupée par les troupes allemandes d'août 1914 jusqu'au 8 novembre 1918, date où le village est libéré par des troupes anglaises, 3 jours donc avant l'armistice.

    Seigneurs de Dourlers

    • Antoine François Bady, fils de Pierre Bady seigneur d'Aymeries et d'Anne Charlotte Bodart, écuyer, est seigneur du Sart de Dourlers, Normont, Arbre, Rouville, est grand bailli d'Avesnes. Il est enterré à Dourlers le . Il épouse par contrat du Marguerite de Rouillon de Castagne, fille de François, seigneur d'Arbre, et de Marie Grossaux. Elle meurt en 1768[25]. Le couple a eu 11 enfants dont :
    1. Antoine François Joseph Bady (1713-1780), écuyer, seigneur du Sart de Dourlers, nait à Avesnes le . Il est nommé grand bailli d'Avesnes le , et meurt à Chaumont le . Il épouse d'abord le Thérèse Josèphe de la Fitte de Caupenne, fille de François, écuyer et de Marguerite Thérèse de Daries, mort en 1749, puis Anne Louise Lamirault de Cerny. Du premier lit, lui nait une fille morte encore enfant.
    2. Bertrand Joseph Bady, qui suit.
    3. François Joseph Bady nait le , sert en tant que capitaine, meurt à Ettingen en 1743.
    4. Catherine Françoise Josèphe Bady. Elle voit le jour le . Elle épouse à Dourlers, le 19 décembre 1730, son cousin Pierre Joseph Bady, seigneur d 'Aymeries, bourgeois de Lille.
    5. Marie Thérèse Charlotte Bady (1712-1735), dame de Saint-Aubin. Elle nait le et meurt à Avesnes le .
    6. Marie Marguerite Hélène Bady -1724-1747). Elle vient au monde le et meurt à La Rochelle le . Elle se marie en 1744 avec René Alexandre marquis de Culant, seigneur de Ciré, Champfleury, colonel de dragons[26].
    • Bertrand Joseph Bady (1719-1788), fils d'Antoine François, écuyer, seigneur de Marolles, Normont, Poligny, Chauffour, Bidaut, nait le . il est capitaine au régiment de Richelieu infanterie, puis au régiment de Rohan, chevalier de Saint-Louis. Blessé à la bataille d'Ettingen en 1743, où est mort son frère François Joseph, par une coup de feu qui lui brise la clavicule droite, il succède à son frère Antoine François Joseph en tant que grand bailli d'Avesnes. Il meurt à Dourlers le . Il obtient le titre de comte de Normont, enregistré au Parlement de Flandres le . Il épouse à Namur, par contrat du Marie Françoise Narcisse Joseph de Baude de Rinsart, fille de Ferdinand Joseph, baron de Baude et de Marie Françoise de Bouille. Elle décède le . Ils ont eu trois enfants dont :
    1. Charles Bady (1756-1833), comte de Normont, nait à Avesnes le . Il est lieutenant puis capitaine au régiment Royal dragons, lieutenant des maréchaux de France au département d'Avesnes en 1786, commandant de la garde nationale d'Avesnes en 1791. Il meurt à Bruxelles, sans enfants, fin juillet 1833. Il épouse une demoiselle Levert dont il vit longtemps séparé et qui meurt après lui. La Révolution française lui fait perdre une grande partie de ses biens. Il est dénoncé au directoire du district d'Avesnes pour avoir tenu des propos contre-révolutionnaires, enlevé de nuit de son château d'Aymeries et conduit à Avesnes fin août 1793. Il revient à Aymeries pour peu de temps, un arrêté de déportation à l'intérieur le force à s'établir à Colligis près de Laon. Dénoncé une nouvelle fois comme ennemi de la Révolution, il est incarcéré à Laon. Le procès envisagé risque fortement de lui coûter la vie. Il s'échappe et gagne la frontière après maintes difficultés. Il se fixe à Bruxelles, puis à Strasbourg pour revenir à Bruxelles. Ses biens sont confisqués, sa propriété de Dourlers vendue le 17 prairial an VI (), son château d'Aymeries ravagé en 1793. Dès le mois de brumaire an VII, (octobre-novembre 1798), il tente d'être rayé de la liste des émigrés. Cela lui vaut un courrier de protestation du commissaire près de l'administration de Solre-le-Château, adressé au commissaire du pouvoir exécutif auprès du département du Nord. La lettre le décrit comme un « perfide... ennemi juré de la République ». Il obtient enfin d'être rayé de cette liste le 12 germinal an X (), peut racheter une partie de ses biens et meurt en 1833.
    2. Bertrand Bady (1758-1845), nait le . Il est dit baron de Rinsart, puis comte de Normont après al mort de son frère Charles. Il sert en tant que lieutenant au Royal dragon puis capitaine aux cuirassiers du roi par brevet du . il meurt célibataire à Quiévrechain le . il émigre pendant la Révolution puis rentre en France, ensuite envoyé en surveillance dans la district de Paris pour un temps[27].

    Politique et administration

    Maire en 1802-1803 : Antoine Leconte[28].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2020 Fabrice Piotrowski LR Enseignant
    Réélu pour le mandat 2014-2020
    mai 2020 En cours
    (au 30 juin 2020)
    Freddy Théry Sans étiquette Directeur de patrimoine
    Élu pour le mandat 2020-2026[29]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2019, la commune comptait 551 habitants[Note 8], en diminution de 4,51 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    503517614779738840918915940
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    960950940775729713726716725
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    663654616598610608619694688
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    746748710622582568550545577
    2018 2019 - - - - - - -
    554551-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 282 femmes, soit un taux de 50,9 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    0,7 
    6,6 
    75-89 ans
    11,3 
    15,1 
    60-74 ans
    16,3 
    21,7 
    45-59 ans
    19,9 
    21,3 
    30-44 ans
    18,4 
    13,2 
    15-29 ans
    13,1 
    21,3 
    0-14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église de l'Immaculée-Conception de 1859
    • La mairie de 1840
    • Le château de Doulers
    • Le kiosque à musique du type kiosque à danser.
    • Le monument aux morts.
    • Plusieurs chapelles - oratoires disséminées, dont la chapelle Notre-Dame-de-Walcourt (1846).
    • Le cimetière militaire situé au fond du cimetière communal.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Dourlers se blasonnent ainsi : "D’azur au lion d’or tenant en ses pattes une clef d’argent, le panneton en haut et à dextre".


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Dourlers et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Dourlers et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 9, lire en ligne.
    22. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 191, lire en ligne.
    23. site internet des Archives départementales du Nord
    24. site internet des Archives départementales du Nord
    25. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 11, lire en ligne.
    26. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 11-12, lire en ligne.
    27. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 12-13, lire en ligne.
    28. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
    29. « Dourlers: Freddy Théry est le nouveau maire du village », La Voix du Nord, .
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dourlers (59181) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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