Draché

Draché est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Draché

L'école et la mairie.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Gilles Chapoton
2020-2026
Code postal 37800
Code commune 37098
Démographie
Gentilé Drachéens
Population
municipale
751 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 03′ 21″ nord, 0° 37′ 30″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 112 m
Superficie 18,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Descartes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Draché
Géolocalisation sur la carte : France
Draché
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Draché
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Draché
Liens
Site web mairie-de-drache.fr/

    Géographie

    Communes limitrophes

    Draché est limitrophe des communes suivantes[1] :

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Draché.

    Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,87 km, comprend deux cours d'eau notables, la Manse (0,948 km) et le Réveillon (4,085 km), et trois petits cours d'eau pour certains temporaires[2],[3].

    La Manse, d'une longueur totale de 30,5 km, prend sa source à une altitude de 117 m sur la commune de Bossée et se jette dans la Vienne à L'Île-Bouchard, à 32 m d'altitude, après avoir traversé 11 communes[4]. Sur le plan piscicole, la Manse est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[5].

    Le Réveillon, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Sepmes et se jette dans la Vienne à Nouâtre, après avoir traversé 5 communes[6]. Sur le plan piscicole, le Réveillon est également classé en deuxième catégorie piscicole[5]. Jusqu'au passage de la D910, le Réveillon est traditionnellement appelé la Louine[7].

    Une zone humide est répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Manse de la Roche Ploquin au Gué Blandin »[8],[9].

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 851 hectares ; son altitude varie entre 56 m et 112 mètres[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Draché est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,8 %), zones agricoles hétérogènes (20,2 %), forêts (8 %), prairies (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), zones urbanisées (1,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Plusieurs hypothèses sont proposées pour expliquer l'origine du toponyme Draché :

    • un composé de l'anthroponyme gaulois Draccius et du suffixe -acum (« domaine de Draccius »),
    • un dérivé du surnom latin Draco (« dragon ») suggéré par Marie-Thérèse Morlet[18].
    • une référence à la viticulture : Olivier de Serres emploie, vers 1600, le mot drache, d'origine celtique, équivalent à drêche aujourd'hui, pour désigner le marc de raisin[19]. Cette dernière possibilité a l'avantage d'être compatible avec l'histoire viticole de Draché dont témoignent les nombreuses caves à vin[20] présentes dans chaque ferme.

    Histoire

    Préhistoire

    L'occupation de Draché est ancienne comme en témoigne le menhir de la Pierre percée[21] daté d'entre 2500 à 2000 ans avant notre ère[22] (fin du néolithique).

    À la Taille de Randoux (Varenne de la Grande Lie) les fouilles préventives à la construction de la ligne SNCF à grande vitesse ont mis au jour un établissement datant du premier âge du fer[23].

    L'occupation et La ligne de démarcation

    Après l'Armistice du 22 juin 1940, Draché se retrouve en zone occupée mais proche de la zone libre (carte [24]). La vie change[25], des familles sont séparées. Des clandestins (familles juives, aviateurs alliés abattus, agents secrets, résistants) cherchent à passer la Ligne de démarcation. Cette situation entraîne la création de groupes de résistants et de passeurs locaux.

    L'abbé Henri Péan et les autres résistants

    À Draché, l'abbé Henri Péan déploie une activité considérable pour créer ou organiser des groupes de résistants[26]. Il devient le chef départemental des réseaux Turma-Vengeance et Marie-Odile[27], (Liste des réseaux et mouvements de la Résistance intérieure française). Il est appuyé à Draché même par Marie-Thérèse et Jean Michau qui garde le poste de T.S.F. nécessaire aux communications et par les secrétaires de mairie (Raymond Civel à Draché et Andrée Babin à Sepmes)[28] qui délivrent de faux-papiers. Il peut ainsi transmettre des renseignements. Il œuvre aussi avec la famille Goupille (André Goupille) de la Haye-Descartes et l 'équipe de Sepmes autour de Marie-Thérèse de Poix[29].

    Ces groupes vont passer plus de 2000 clandestins en zone libre et plusieurs centaines d'aviateurs vers l'Espagne et transmettent des renseignements précieux en vue du débarquement[30].

    La Gestapo démantèle le réseau Marie-Odile en février 1944. L'abbé meurt sous la torture le 28 février 1944 à Tours. Il est remplacé par Paul Tenailleau puis Robert Marquant[31].

    Jean Michau est arrêté le 16 février 1944 et meurt à Bergen-Belsen le 16 avril 1945[31].

    Le 25 août 1944, a lieu le massacre de Maillé, commune jouxtant Draché. La veille, les Allemands avaient perquisitionné à Draché.

    Blasonnement

    Les armoiries de Draché se blasonnent ainsi :

    Tranché: au 1er losangé d'or et de gueules, au 2e d'argent à la bande fuselée de gueules; au menhir « la pierre percée » au naturel brochant sur le tout.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1786 1801 Estienne Blanchard    
    1801 1812 René Blanchard    
    1819 1833 François Archambault    
    1834 1848 Jean-Baptiste Delatouche    
    1848 1852 Jean Raguin    
    1871 1878 Pierre Duvignau-Martin    
    1878 1908 Pierre Archambault   (démissionne 1 mois)
    1908 1908 Baptiste Archambault    
    1908 1910 Delphin Chapelle    
    1910 1925 Pierre Archambault    
    1925 1945 Jean-Baptiste Archambault   (démissionne)
    1945 1947 Camille Nossereau    
    1947 1959 Raymond Plisson    
    1959 1968 Alfred Chaboty    
    1968 1971 Pierre Fontaine    
    1971 1988 Désiré Charpentier RPR  
    1988 mars 2008 Jacques Brégeon RPR-UMP  
    mars 2008 En cours Gilles Chapoton REM Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2019, la commune comptait 751 habitants[Note 3], en augmentation de 4,45 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    603548602602649664725733765
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    768726694647634666648665634
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    631655674624597604631653662
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    608520521518592635675718745
    2019 - - - - - - - -
    751--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 399 hommes pour 346 femmes, soit un taux de 53,56 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,09 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    0,3 
    6,0 
    75-89 ans
    7,5 
    13,0 
    60-74 ans
    13,6 
    25,3 
    45-59 ans
    26,6 
    20,0 
    30-44 ans
    17,6 
    14,8 
    15-29 ans
    14,2 
    20,5 
    0-14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges du département d'Indre-et-Loire en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    2,1 
    7,6 
    75-89 ans
    10,1 
    16,9 
    60-74 ans
    17,8 
    20,1 
    45-59 ans
    19,3 
    18,1 
    30-44 ans
    17,3 
    18,2 
    15-29 ans
    17,4 
    18,2 
    0-14 ans
    16,1 

    Enseignement

    Draché se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

    L'école élémentaire Pommaux accueille les élèves de la commune.

    Économie

    Draché est classée en zone de revitalisation rurale par arrêté du [38].

    Culture locale et patrimoine

    Croix de chemin

    Lieux et monuments

    La Pierre percée, monument mégalithique situé à Draché près du hameau des Érables
    L'église de Draché, vue sud.

    La Pierre percée, menhir haut de 4 mètres[39]. Une légende dit que les enfants qui passeront leur tête à travers le trou seront protégés des maladies. Une autre dit que les jeunes mariés qui échangeront un bouquet de fleurs à travers ce même trou seront protégés du divorce; il semble que cette pratique perdure. Une autre enfin dit qu'un grand nombre de Sarrasins auraient été enterrés au pied du menhir après la bataille dite de Poitiers en 732[21].

    Une stèle commémorant le massacre de Maillé a été érigée au carrefour de la nationale 10 (aujourd'hui D 910) et de la D 91 (commune de Draché).

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé Henri Péan (1901-1944), curé de Draché, résistant

    Henri Péan, parfois surnommé Péan le fou[40], est originaire de Saint-Léonard-en-Beauce. Prêtre du Diocèse de Tours, Il est curé de Draché et devient l'organisateur local des réseaux Vengeance et Marie-Odile[41].

    Plaque commémorative apposée sur la façade de la Mairie de Draché

    Il est arrêté le 13 février 1944, à la sortie de la messe, à la Celle -Saint-Avant par la Gestapo. Emmené à Tours, Il est torturé et assassiné par la Gestapo le 28 février 1944. Il repose au cimetière de Draché.

    Distinctions : Croix de guerre 1939-1945, Médaille de la Résistance, Chevalier de l'Ordre national de la légion d'Honneur, Médaille de la Liberté avec palme de bronze (U.S. : Medal of Freedom with bronze palm).

    • Raymond Civel (1916-1945)

    Né à Plessé (Loire-Atlantique), secrétaire de mairie à Draché, résistant, fournissait de faux-papiers, déporté au Camp de concentration de Dora, mort à Ellrich, sous-camp de Dora, le 24 mars 1945[42].

    • Jean et Marie-Thérèse Michau (1906-1945)

    Jean, agriculteur à Draché, résistant, proche de l'abbé Péan, déporté en camp de concentration, mort à Bergen-Belsen le 15 avril 1945[43].

    Distinctions : Médaille de la Liberté avec palmes , Chevalier de l'ordre national de la Légion d'Honneur, Médaille de la résistance[44].

    Marie-Thérèse Joubert (1906-1979), épouse de Jean, d'abord agent du réseau B.E. Wisigoth-Lorraine filière d'aide aux juifs polonais, elle intègre aussi le réseau de l'Abbé Péan à partir de mars 1943[43].

    Distinctions : Medal of freedom, Croix de guerre avec palmes, légion d'honneur[43]

    • Georges Poivilliers (1892- 1968)

    Né à Draché, ingénieur (Centrale, 1913), spécialiste de la photogrammétrie, directeur de l'École centrale de 1952 à 1962, Commandeur dans l'Ordre de la Légion d'Honneur[45], Croix de Guerre 1914-1918, officier de l'Ordre de Léopold (Belgique).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    3. « Carte hydrologique de Draché », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. « Fiche Sandre - la Manse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    5. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Fiche Sandre - le Réveillon », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    7. « géoportail cartes », sur géoportail cadastre (consulté le ).
    8. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    9. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    10. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 113.
    19. « Drêche », Ortolang, sur Cnrtl.fr (consulté le ).
    20. Il existe encore à Draché une exploitation commerciale viticole en appellation Touraine et de nombreuses vignes familiales.
    21. Lemaistre, Jacques, 1941-, Mégalithes : chasse au trésor autour du Grand-Pressigny, (ISBN 979-10-97407-15-5, OCLC 1103676047, lire en ligne), p. 33.
    22. Claude Croubois (dir.), Les temps préhistoriques , dans , L'Indre-et-Loire : la Touraine, des origines à nos jours, St-Jean-d'Angély, Bordessoules, , 470 p., p. 35.
    23. Nicolas Pimpaud, « Draché (Indre-et-Loire), La Taille de Randoux (Varennes de la Grande Lie) : rapport de fouille », sur dolia.inrap, (consulté le ).
    24. Robert Vivier, « Touraine 1939-1945 : », sur BnF Gallica (consulté le ).
    25. André Goupille, Mon village sous la Botte, éditions CLD, , 206 p. (ISBN 978-2-85443-278-7 et 2-85443-278-9), p 29à 70.
    26. Marc Chantran, « A propos du livre de Jean-Gilles Dutardre », sur chantran.vengeance, (consulté le ).
    27. Du nom de Marie-Odile Laroche, pseudonyme de Mme Henri Barré de Saint-Venant.
    28. Ils mourront aussi en camps de concentration. J. Perret, op.cit.
    29. Thierry Vivier, Touraine, années terribles, Turquant, Anovi-Fabrica libri, , 335 p., p190.
    30. A. Goupille, op.cit.
    31. Jean-Gilles Dutardre, La vicomtesse Marie-Thérèse de Poix : 1894-1970, Chinon, Anovi, , 181 p. (ISBN 978-2-914818-81-0), p. 141.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Draché (37098) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département d'Indre-et-Loire (37) », (consulté le ).
    38. « Arrêté du 16 mars 2017 constatant le classement de communes en zone de revitalisation rurale », sur Legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    39. Base Mérimée : PA00097742, classement par arrêté du 29 avril 1911
    40. « T.A.G. : André Goupille », sur battements-de-loire.com (consulté le ).
    41. Pour la répartition des actions entre réseaux voir note sur Marc Chantran.
    42. Abbé Joseph Perret, « Le Curé de Draché "un pur de la Résistance" », sur chantran.vengeance, (consulté le ).
    43. Pouliquen, Sylvie., Femmes de l'ombre en Touraine, Chambourg-sur-Indre, PBCO éditions, 175 p. (ISBN 978-2-35042-050-9 et 2350420507, OCLC 951160167, lire en ligne), p. 54.
    44. J.G. Dutardre, op.cit., p. 137.
    45. « Poivilliers Georges Jean », sur cths, (consulté le ).
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