Embres-et-Castelmaure
Embres-et-Castelmaure est une commune française, située dans le sud-est du département de l'Aude en région Occitanie.
Embres-et-Castelmaure | |
L'église Saint-Étienne | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Narbonne |
Intercommunalité | Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée |
Maire Mandat |
Gérard Benezis 2020-2026 |
Code postal | 11360 |
Code commune | 11125 |
Démographie | |
Gentilé | Embrémaurais |
Population municipale |
153 hab. (2019 ) |
Densité | 4,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 56′ 26″ nord, 2° 48′ 51″ est |
Altitude | Min. 138 m Max. 709 m |
Superficie | 32,2 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton des Corbières |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Barrou, le Rivière Tarrasac, le ruisseau de Nouvelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « Corbières orientales » et les « basses Corbières ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Embres-et-Castelmaure est une commune rurale qui compte 153 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 413 habitants en 1886. Ses habitants sont appelés les Embrémaurais ou Embrémauraises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Félix de Castelmaure, inscrite en 1948.
Géographie
Localisation
Embres-et-Castelmaure est une commune située dans les Corbières, sur le terroir Corbières (AOC). Elle est limitrophe du département des Pyrénées-Orientales.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Embres-et-Castelmaure se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le Barrou, la rivière Tarrasac, le ruisseau de Nouvelle, le ruisseau de Bidaula, le ruisseau de Madaychou, le ruisseau de Roujou, le ruisseau des Agasses, le ruisseau de Saint-Bernard, le ruisseau des Arbres Blancs et le ruisseau des Pézès, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le Barrou, d'une longueur totale de 16,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers l'est puis se réoriente au nord. Il traverse la commune et se jette dans la Berre à Durban-Corbières, après avoir traversé 4 communes[6].
La rivière Tarrasac, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le sud. Elle traverse la commune et se jette dans le Verdouble à Paziols, après avoir traversé 3 communes[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durban-Corbières », sur la commune de Durban-Corbières, mise en service en 1989[13] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 670 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 28 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[19].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive oiseaux[21] : :
- les « basses Corbières », d'une superficie de 29 495 ha, un site important pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l'Aigle royal, le Grand-duc d’Europe, le Circaète Jean-le-Blanc, le Faucon pèlerin, le Busard cendré, l'Aigle botté[22] ;
- les « corbières orientales », d'une superficie de 25 371 ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :
- les « garrigues de Vingrau » (1 622 ha), couvrant 3 communes dont 2 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales[25] ;
- le « massif du Montoulié de Périllou » (3 271 ha), couvrant 6 communes dont 5 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales[26] ;
- la « rivière du Barrou et ruisseau de la Grave » (13 ha), couvrant 2 communes du département[27] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :
- les « Corbières centrales » (68 810 ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[28] ;
- les « Corbières orientales » (30 263 ha), couvrant 19 communes dont 12 dans l'Aude et 7 dans les Pyrénées-Orientales[29].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Embres-et-Castelmaure est une commune rurale[Note 7],[30]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (76,1 %), cultures permanentes (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), forêts (3 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Embres-et-Castelmaure est membre de la communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée[33], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Claira. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[33].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Corbières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[33], et de la première circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 2010[35].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 153 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 81 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 135 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 300 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 9,4 % | 8,4 % | 9,1 % |
Département[I 7] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 77 personnes, parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (61 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 48 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 51, soit un indicateur de concentration d'emploi de 115,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42 %[I 10].
Sur ces 51 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 77 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 74,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 21,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
10 établissements[Note 11] sont implantés à Embres-et-Castelmaure au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Embres-et-Castelmaure), contre 32,3 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[40]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[41].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 39 | 27 | 22 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 339 | 308 | 346 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 27 en 2000 puis à 22 en 2010[41], soit une baisse de 44 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[43]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 339 ha en 1988 à 346 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 16 ha[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Félix de Castelmaure. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1948[44].
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Olive d'Embres-et-Castelmaure.
- Église Saint-Étienne d'Embres-et-Castelmaure.
- Serre de Castelmaure, vaste ensemble calcaire qui marque l'ancienne frontière avec le royaume d'Aragon et l'actuelle Catalogne.
Personnalités liées à la commune
- Paul Courrent[45],[46] né le à Lavelanet (Ariège) et décédé le à Embres-et-Castelmaure. Il a été médecin, historien, viticulteur, maire d'Embres-et-Castelmaure de 1919 à 1941, chevalier de la Légion d'honneur en 1932[47], président fondateur de la cave coopérative et de la Société des vignerons d'Embres-et-Castelmaure, président de la Société d'études scientifiques de l'Aude en 1926.
- Georges Marius Taba né le à Embres-et-Castelmaure et décédé le à Bordeaux. Chef d'escadron d'artillerie. Chevalier puis officier de la Légion d'honneur.
Héraldique
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Son blasonnement est : De sinople au pal fuselé d'or et d'azur.
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Voir aussi
Bibliographie
- Paul Courrent, « Embres-et-Castelmaure. Les vicomtes de Narbonne, seigneurs de Castelmaure et de Saint-Jean-de-Barrou. Titres et privilèges des communautés de Saint-Jean et de Castelmaure. Les d'Arsse et les Caussat, seigneurs de Castelmaure en 1651 et 1746. Branche de Pompadour habitant Castelmaure. Les de Volontat », dans Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1928, 38e année, tome 32, p. 116-140 (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Embres-et-Castelmaure » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Embres-et-Castelmaure » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Embres-et-Castelmaure » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Embres-et-Castelmaure » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Embres-et-Castelmaure » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale d'Embres-et-Castelmaure », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Barrou »
- Sandre, « la rivière Tarrasac »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Durban-Corbières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Embres-et-Castelmaure et Durban-Corbières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Durban-Corbières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Embres-et-Castelmaure et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Embres-et-Castelmaure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110111 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112008 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Embres-et-Castelmaure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « garrigues de Vingrau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Montoulié de Périllou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière du Barrou et ruisseau de la Grave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Corbières centrales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Corbières orientales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Embres-et-Castelmaure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Embres-et-Castelmaure - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).
- « Eglise Saint-Félix-de-Castelmaure », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Joseph Poux, « Panégyrique du docteur Courrent », dans Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1928, 38e année, tome 32, p. LIV-LIX (lire en ligne)
- Marie Debosque, « Un humaniste embresien .. », dans Lurio des quatre saisons, décembre 2005, no 5, p. 9
- « Courrent, Joseph Paul Justin », base Léonore, ministère français de la Culture
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