Fernandel

Fernand Joseph Désiré Contandin, dit Fernandel, né le à Marseille et mort le à Paris (16e arrondissement), est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français.

Pour les articles homonymes, voir Contandin et Fernandel (homonymie).

Fernandel
Fernandel donnant une interview en mars 1970.
Photographie d'André Cros, Archives de Toulouse.
Nom de naissance Fernand Joseph Désiré Contandin
Naissance
Marseille (France)
Nationalité Française
Décès
Paris 16e (France)
Profession Acteur
Chanteur
Réalisateur
Humoriste
Films notables voir filmographie

Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, véritable champion du box-office qui attira plus de 200 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'avant et d'après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante Voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également tenu avec succès des rôles plus dramatiques, notamment dans Naïs, La Vache et le Prisonnier ou Heureux qui comme Ulysse.

Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à ce qu'il appelait lui-même sa « gueule de cheval », il acquit une popularité internationale telle que le général de Gaulle déclara lors d'une réception à l'Élysée le 3 mai 1968 qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que [lui] dans le monde »[1]. Son succès ne s'est jamais démenti et Marcel Pagnol dira de lui après sa mort : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin ».

Biographie

Origines familiales et enfance

Fernand Joseph Désiré Contandin naît au 72 boulevard Chave à Marseille[2]. La famille était piémontaise, originaire de la vallée occitane du Cluson (val Chisone), dans la province de Turin, précisément de Méan/Meano (aujourd'hui subdivision de la commune de la Pérouse/Perosa Argentina), où on peut toujours voir la maison de ses ancêtres. La forme Contandin (au lieu de Coutandin) est due à une erreur de transcription des actes italiens[3].

Son père, Denis Contandin, qui est comptable, mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined (anacyclique de Denis), et sa mère Désirée Bédouin, également comédienne amatrice, remarquent rapidement le talent du jeune Fernand. Il suit son père lors des concerts que celui-ci organise dans la banlieue de Marseille, montant lui-même sur les planches. À l'occasion d'un concours pour petits chanteurs amateurs, il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille[4].

Andrex, comédien et ami d'enfance de l'acteur, raconte : « Fernandel, qui n'était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire[5] avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d'un grand coup de pied au derrière ; il s'empêtra dans son sabre et s'étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n'eut plus peur d'affronter le public[6]. »

Fernandel avait deux frères, Auguste-Marcel (1897-1961) , son aîné de 6 ans (avec lequel il se produira un temps sous les noms de Marcel et Fernand Sined), et Francis dit Fransined (1914-2012) plus jeune que lui de 11 ans, ainsi qu'une sœur, Marguerite (1910-2006).

Jeunesse

À la fin de l'école primaire, le père de Fernand le place à la Société marseillaise de crédit dont il ne tarde pas à se faire congédier[réf. nécessaire]. Il enchaîne ensuite les petits boulots, portant des sacs de sucre dans le port de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans plusieurs banques[7],[8].

Parallèlement, il court le cachet comme comique troupier dans des noces et banquets ou sur les scènes des cafés-concerts de Marseille (Les Variétés, Le Palais de cristal, Le Grand Casino, L'Eldorado, l'Alcazar[9]). Il a du succès, mais ne se prend pas au sérieux. Son profil chevalin marque les esprits, mais son caractère volage ne lui permet pas de s'assurer une situation stable.

Il prend finalement un emploi à la savonnerie du Fer-à-cheval, qu'il conservera jusqu'à son incorporation sous les drapeaux. Le , à 22 ans, il épouse Henriette-Félicie Manse (1902-1984), la sœur de son ami, le parolier Jean Manse[10], avec laquelle il aura trois enfants. C'est la mère d'Henriette qui serait à l'origine de son pseudonyme « Fernandel », voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille, le voyant arriver dans la rue depuis sa fenêtre, elle dit fort, tiens voilà : « le Fernand d'elle… » ; la phrase fait mouche. Elle est alors adoptée par le comédien pour en faire son nom de scène[2]. Il est aussi probable que Fernandel vienne du provençal, qui signifie « petit Fernand. »

Un mois après son mariage, il commence son service militaire au 93e régiment d'artillerie de montagne de Grenoble. Il est libéré le 29 avril 1926.

Trois semaines avant cette date, le directeur de l'Odéon de Marseille l'engage pour remplacer une vedette parisienne, conspuée par le public, en première partie de programme. Le numéro de tourlourou de Fernandel, constitué des succès de Gaston Ouvrard (C'est beau la nature), de Polin (Elle a de la barbe) et quelques créations, dont deux chansons écrites par Jean Manse, est un triomphe. Jean Faraud, le directeur français de la Paramount dont fait partie l'établissement et qui assiste par hasard à la prestation, lui propose immédiatement un contrat pour se produire dans l'ensemble du circuit[11]. Fernandel débute le 19 mars 1927 à Bordeaux où il retrouve Andrex, puis enchaîne avec Toulouse, Nice et Lille.

Débuts parisiens

Le , Fernandel fait ses débuts parisiens à Bobino. Grâce au succès de cette prestation, il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le , il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à l'Élysée-Palace de Vichy. C'est là que Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du théâtre Mogador, le voit et l'engage pour la revue d'hiver du concert Mayol, revue déshabillée à succès de l'époque réunissant le tout-Paris. Fernandel et Parisys y interprètent trois sketches intercalés entre les numéros de danse. Il débute également au théâtre de l'Empire engagé par Emile Audiffred.

Le réalisateur Marc Allégret qui y assiste est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel ; il décide de lui offrir le rôle d'un groom dans le film qu'il prépare avec Sacha Guitry Le Blanc et le Noir[2]. 1930 marque ainsi le début de la carrière cinématographique de Fernandel.

L'année suivante en 1931 Jean Renoir lui offre un rôle plus important aux côtés de Michel Simon dans On purge bébé, d'après la pièce de Georges Feydeau. Cette même année, il « croise » Jean Gabin dans le film Cœur de lilas. L'année suivante, il est pour la première fois la vedette d'un film, Le Rosier de madame Husson de Dominique Bernard-Deschamps d'après une nouvelle de Guy de Maupassant.

Vedettariat

Fernandel et Totò dans La loi, c'est la loi (1958).

Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), Josette (1937, film dans lequel joue aussi sa fille aînée), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz[12] (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).

Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qu'il y interprète deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi.

En 1937, il publie ses premiers mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir[13].

En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre », à Marseille, dans le 15e escadron du Train, caserne d'Aurelles. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde[14], puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a, entre-temps, enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande[15].

Ses films des années 1940, dont deux qu'il réalise lui-même : Simplet (1942) et Adrien (1943), sont essentiellement tournés pour la Continental-Films[16],[17], société de production financée par des capitaux allemands. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue d'exercer sa profession et chante dans des cabarets, se fait applaudir à l'opéra (Grand Casino) et au Casino des Fleurs de Vichy, et fredonne sur Radio Paris[18],[19].

Don Camillo

Fernandel (à droite) sur le tournage du Petit Monde de don Camillo (1951), en compagnie de Giovannino Guareschi, auteur de la série.

Dans les années 1950, il retrouve le succès avec des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker ainsi que La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959. Il réalise également Adhémar ou le Jouet de la fatalité, en 1951, sur un scénario de Sacha Guitry.

Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi, dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent à une lutte d'influence feutrée ; son interprétation bon enfant, en ces temps de guerre froide, assoit sa notoriété. Il tournera six films en tout : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison du cancer qui va l'emporter l'année suivante[20].

Le 18 janvier 1953 alors qu'il est à Rome avec sa fille Janine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Un Fernandel de cire en Don Camillo dans son confessionnal est également installé en bonne place au musée Grévin.

Lors d'une entrevue où un journaliste lui demandait de parler du succès du premier Don Camillo, il répond : « D'abord, la surprise. La surprise du personnage qu'on ne connaissait pas. La surprise de parler à Jésus. Ça fait un drôle de partenaire vous savez. J'en ai eu dans ma vie mais, je dois dire que celui-là, je lève ma barrette »[21].

Fernandel remporte parallèlement un grand succès public et critique avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.).

En 1963, il fonde avec Jean Gabin la société de production Gafer d'après la première syllabe de leurs pseudonymes [22]. Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier[23].

À partir de 1968, Fernandel ralentira sa carrière au cinéma. En 1970, il envisagera de se mettre en retrait du cinéma, en ne participant plus qu'à quelques films pour les prochaines années après le film Heureux qui comme Ulysse (1970), mais il souhaitait surtout travailler sur un dernier film avec Marcel Pagnol, ce qui ne se concrétisera pas.

Décès

Tombe de Fernandel au cimetière de Passy.

Fernandel est atteint d'un cancer généralisé[Note 1], mais les médecins et sa famille lui cachent la gravité de son état. On lui fait croire qu'il est atteint d'une pleurésie qu'il aurait attrapée lors du tournage de Don Camillo et ses Contestataires. Le 26 février 1971, épuisé par la maladie, il meurt dans son somptueux appartement tout en marbre au 44 de l'avenue Foch à Paris[26]. Il figurait sur l'annuaire (CONTANDIN F art). Il est inhumé au cimetière de Passy (1re division)[10].

Il était aussi propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « les Mille Roses », sur l'avenue des Trois-Lucs, entourée d'un parc de cinq hectares[27].

Vie privée

Fernandel et son épouse ont eu trois enfants :

  • Josette, née le 19 avril 1926, morte le 22 novembre 2017.
  • Janine, née le 18 avril 1929, morte le 4 janvier 2020.
  • Franck, né le 10 décembre 1935, mort le 8 juin 2011.

Les journaux à sensation, friands de scandales autour des célébrités, n'en ont jamais débusqué dans la vie privée de Fernandel. À tel point que l'un d'entre eux titre un jour, dans un geste d'autodérision, « La femme cachée de Fernandel », ladite femme étant la sienne que jamais il ne mettait en avant[28]. Dans un de ses derniers entretiens, Jean Gabin témoigne de la moralité et de la fidélité de Fernandel dans tous les domaines, tant en amitié qu'en affaires[29][source insuffisante].

Gabin et Fernandel

Devant gérer les revenus de plus en plus importants liés à leur succès, Gabin et Fernandel cherchent à mettre leurs économies à l'abri de l'inflation. Fernandel choisit l'immobilier. Gabin achètera des terrains en lui disant : « Les immeubles, ça s'écroule. La terre, ça reste. »

Liés par l'amitié et une grande estime, les deux acteurs ont créé en 1963 leur société de production cinématographique commune, la Gafer, nom formé par les premières syllabes de leurs noms de scène. « Nous avons bien fait de ne pas prendre celles de nos patronymes », expliquera Fernandel. Gabin se nomme en effet Moncorgé et Fernandel Contandin (cela aurait fait Moncon).

Filmographie et box-office

Don Camillo (Fermandel) et Peppone (Gino Cervi) dans une scène du film Don Camillo Monseigneur en 1961

Avec Louis de Funès, Bourvil et Jean Gabin, Fernandel fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles : environ 202 millions entre 1945 et 1970 [30].

Ses films ayant eu l'audience la plus élevée sont les suivants :

Film à plus de 5 millions d'entrées[31]
Film Année Réalisateur Entrées
Le Petit Monde de don Camillo 1952 Julien Duvivier 12 791 168 entrées
La Vache et le Prisonnier 1959 Henri Verneuil  8 844 199 entrées
Le Retour de don Camillo 1953 Julien Duvivier  7 425 550 entrées
La Cuisine au beurre 1963 Gilles Grangier  6 396 529 entrées
La Grande Bagarre de don Camillo 1955 Carmine Gallone  5 087 231 entrées

Pièces de théâtre

Bien qu'une grande partie de sa vie d'artiste se soit déroulée sur des scènes  dans des revues, des opérettes ou des récitals  mais très pris par ailleurs, notamment par sa carrière cinématographique, Fernandel a peu joué de pièces de théâtre. En 1968, interviewé par Lise Élina[32], il n'en mentionne que deux dans sa vie, pour des rôles qui d'ailleurs ont été écrits pour lui :

Distinctions

Décorations

Récompenses

Fernandel avec Jean-Pierre Mocky dans La Bourse ou la Vie (novembre 1965).
  • 1914 : Second au concours Comœdia de la chanson organisé au théâtre du Châtelet de Marseille (devenu Capitole) derrière un certain Larquet, mais lui permettant néanmoins de débuter au cabaret du Palais de cristal
  • 1949 : Grand prix du rire pour On demande un assassin
  • 1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens
  • 1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit Monde de don Camillo
  • 1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
  • 1954 : médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 Oscars de la popularité en Belgique wallonne)
  • 1954 : Léopard d'or au Festival de Locarno 1954 grâce à ses six rôles dans Le Mouton à cinq pattes
  • 1957 : citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)
  • 1960 : Oscar européen de la popularité
  • 1964 : prix Georges-Courteline de l'humour remis par son colauréat Bourvil
  • 1964 : prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse
  • 1964 : Orphée d'Or de l'Académie du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche
  • 1967 (7 décembre) : Invité du général de Gaulle au palais de l'Élysée pour une réception officielle en compagnie d'autres artistes français.
  • 1968 : Intronisation au Grand Conseil des vins de Bordeaux
  • 1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
  • 1970 : prix remis lors de la Nuit du cinéma par Claude Dauphin

Citations

  • Fernandel : « Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »[34]
  • Fernandel à propos de son personnage de don Camillo : « Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Dieu comme partenaire. »[35]
  • Marcel Pagnol à propos de Fernandel : « Il possède le don de faire rire des êtres qui ont tant de raisons de pleurer. »[réf. nécessaire]
  • Sacha Guitry : « Moi on m'admire, vous on vous aime. »[36]

Notes et références

Notes

  1. Issu d'une tumeur « à la poitrine »[24] ou « au sein »[25] selon les sources.

Références

  1. Jacques Lorcey, Fernandel, 1990, p. 126 (aperçu sur Google Livres.
  2. Biographie accompagnant Les Disques d'or de Fernandel.
  3. (it) « Don Camillo in Val Chison », sur piemonteparchi.it, (consulté le )
  4. Jacques Lorcey, Fernandel, Éditions Ramsay, , p. 28
  5. Répertoire d'un petit soldat de 1793 dans Marceau ou les Enfants de la République, au théâtre Chave de Marseille.
  6. Sélection du Reader's Digest, mai 1973.
  7. « Fernandel, saute-ruisseau à la BNC » sur le site Source d'Histoire de BNP Paribas.
  8. Jacques Lorcey, op. cit., p. 21
  9. « Fernandel et le music-hall marseillais », Repères méditerranéens, 18 septembre 1960, sur le site de l'INA.
  10. Biographie sur fernandel.online.fr
  11. « Biographie de Fernandel »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur bdmusic-egalerie.com
  12. « Le Schpountz : scène de l'épicerie - 1ère partie (M. Pagnol) Fernandel… », sur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le )
  13. André Ughetto, « Fernandel », émission La Marche de l'Histoire sur France Inter 7 septembre 2012
  14. Valeurs actuelles no 3783, p. 77.
  15. Jean-pierre Gueno, « La mélodie volée du Maréchal », sur Google book
  16. Le Cinéma français sous l'occupation sur diplomatie.gouv.fr
  17. Yves Riou, L'Occupation sans relâche (documentaire), 2010.
  18. Aurélie Moreau, « Entre ambivalence et opportunisme », sur La Libre Belgique,
  19. Jacques Lorcey, op. cit., p. 51.
  20. Le film sera entièrement retourné avec d'autres comédiens, le réalisateur Christian-Jaque et Gino Cervi (Peppone) ayant refusé de le faire sans Fernandel.
  21. « Fernandel "Don Camillo, le rôle de ma vie" / Archive INA » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  22. « Fernandel, biographie et filmographie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur encinematheque.net (consulté le )
  23. « Fernandel et Jean Gabin à propos de la GAFER » (1964), 27 février 1971, sur le site de l'INA.
  24. « Il n’a jamais su qu’il avait le cancer », La Dernière Heure/Les Sports, (lire en ligne)
  25. « Henk van der Mark : "Il y a encore trop de peur par rapport au cancer du sein" », Le Journal des femmes, (lire en ligne)
  26. Jacques Lorcey, op. cit., p. 115.
  27. Jacques Lorcey, op. cit., p. 43.
  28. Olivier Rajchman, « Fernandel : découvrez l'histoire de sa "femme cachée" », Télé Star, (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Gabin parle de Fernandel » sur YouTube
  30. Box office de Fernandel entre 1945 et 1970 sur jpbox-office.com.
  31. « Fernandel (Acteur français) », sur jpbox-office.com (consulté le ).
  32. « Fernandel à propos de la pièce "Freddy" » [vidéo], sur ina.fr (consulté le ).
  33. https://data.bnf.fr/fr/39467497/freddy_spectacle_1968
  34. Raymond Castans, Fernandel m'a raconté, op. cit., p. ?
  35. « Don Camillo, le rôle de ma vie », interview de Fernandel, Première chaîne de l'ORTF, 2 octobre 1965, sur le site de l'INA.
  36. J.-J. Jelot-Blanc, Fernandel : Quand le cinéma parlait provençal, op. cit., p. ?

Annexes

Documentaires

Bibliographie

  • Les Merveilleuses Aventures de Fernandel, Laurel et Hardy, etc., éd. SEINE, 1946 (bande dessinée brochée).
  • Carlo Rim, Fernandel, coll. Masques et Visages, Calmann-Levy, 1952.
  • Jacques Lorcey, Fernandel, Anthologie du cinéma, L'Avant-scène, Paris, 1973.
  • Raymond Castans, Fernandel m'a raconté, La Table ronde, 1976.
  • J.-J. Jelot-Blanc, Fernandel : Quand le cinéma parlait provençal, éd. Alain Lefeuvre, 1981 (ISBN 2-902639-62-7).
  • Jacques Lorcey, Fernandel, PAC, Paris, 1981.
  • Jacques Lorcey, Fernandel, coll. « Ramsay cinéma », Ramsay, Paris, 1990 (ISBN 2-85956-880-8).
  • Frédéric Valmont, Fernandel : Le Rire de la Canebière, Didier Carpentier, 2009.
  • André Ughetto, Fernandel : Le Rire aux larmes, Hoëbecke, 2012.
  • Laurent James, Saint Fernandel, éd. Nouvelle Marge, Lyon, 2021.

Liens externes

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