Limogne-en-Quercy

Limogne-en-Quercy est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dénudé et clairsemé de champs de lavande, de genévriers et de chênes truffiers.

Limogne-en-Quercy

Le dolmen de Pech-Lapeyre.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Matthieu Gabriel Gaillard
2020-2026
Code postal 46260
Code commune 46173
Démographie
Population
municipale
738 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 54″ nord, 1° 46′ 16″ est
Altitude Min. 214 m
Max. 403 m
Superficie 32,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Limogne-en-Quercy
Géolocalisation sur la carte : France
Limogne-en-Quercy
Géolocalisation sur la carte : Lot
Limogne-en-Quercy
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Limogne-en-Quercy
Liens
Site web http://www.mairie-limogne.fr

    Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Limogne-en-Quercy est une commune rurale qui compte 738 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 507 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Limognais ou Limognaises.

    Géographie

    Le village est situé sur le Causse de Limogne dans l'ancienne province du Quercy. La route qui traverse le village est l'ancienne route nationale 111 entre Cahors et Villefranche-de-Rouergue.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 930 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Au niveau local, Limogne-en-Quercy bénéficie d’un micro-climat sec, de part sa position élevée (prise d’altitude continue depuis Cahors à l’ouest, débouchant sur un plateau puis chute d’altitude vers Villefranche-de-Rouergue à l’est). Il est ainsi fréquent que les pluies légères mouillent les communes jusqu’à Concots, mais très peu ou pas la commune de Limogne.[réf. nécessaire]

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[21],[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[23] : la « combe de Pecholié » (45 ha), couvrant 2 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Limogne-en-Quercy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 1],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), zones urbanisées (2,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Limogne est formé à partir du gaulois limo qui désigne un arbre du genre de l'orme. Il pourrait aussi provenir du nom d'homme gaulois Limonius issu du nom gaulois d'arbre limo[28].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1804 Jean Louis Pradine    
    1804 1826 Jean François Dalat    
    1826 1840 Joseph Louis Pradine    
    1840 1850 Jean Pierre Pradines    
    1850 1851 Jean Combarieu    
    1851 1865 Pierre Firmin Cosse    
    1865 1899 François Joseph Pradines    
    1899 1903 Charles Marie Albert Pradines    
    07.1903 1904 Pierre Emilien Espinasse    
    06.1904 1908 Charles Marie Albert Pradines    
    12.1908 1934 Marie Paulin Charles Roger Couderc    
    1934 1944 Jean Achille Ouvrieu    
    1944 1945 Henri Félix Bach    
    1945 1947 Jean-baptiste Félix Crayssac    
    1947 1955 Jean Achille Ouvrieu    
    1955 1977 Gabriel Rous    
    03.1977 1989 Raymond Miquel    
    03.1989 03.2008 Yves Lacam    
    03.2008 2011 Joël Massabie    
    2011 2014 Francis Mercadier    
    2014 2020 Josiane Hoeb-Pélissié    
    2020 2021 Matthieu Gaillard    
    2021 En cours Jean-Claude Vialette    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal fonctionne avec 14 élus depuis 2011.

    Adresse du site officiel de la mairie: www.mairie-limogne.fr

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2019, la commune comptait 738 habitants[Note 6], en diminution de 6,11 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9511 1751 1561 2141 0721 2261 2471 3461 458
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4541 5071 4581 3901 4081 4331 3721 3481 242
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1101 012908774738723675665623
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    584591616637618724788795764
    2019 - - - - - - - -
    738--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 369 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 696 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 050 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]9,1 %10,7 %9,9 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 343 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (62,4 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 303 emplois en 2018, contre 309 en 2013 et 347 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 223, soit un indicateur de concentration d'emploi de 136,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,8 %[I 10].

    Sur ces 223 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 126 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 68,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 13,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    99 établissements[Note 9] sont implantés à Limogne-en-Quercy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble99100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1010,1 %(14 %)
    Construction99,1 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4040,4 %(29,9 %)
    Information et communication22 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance22 %(2,8 %)
    Activités immobilières33 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    55,1 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1818,2 %(12 %)
    Autres activités de services1010,1 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40,4 % du nombre total d'établissements de la commune (40 sur les 99 entreprises implantées à Limogne-en-Quercy), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[34] :

    • EURL Morel Bassoul Sylvie Et Gerard, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en petites surfaces (moins de 400 m²) (188 k€)
    • Postmortem, activités spécialisées de design (71 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations35211617
    SAU[Note 12] (ha)1 1221 3741 9182 206

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[37] et enfin à 17 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[38],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1122 ha en 1988 à 2206 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 130 ha[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Mégalithisme

    La commune bénéficie d'un patrimoine mégalithique très riche, dont cinq dolmens classés aux Monuments Historiques :

    Dolmen d'Agranel
    • Dolmen d'Agranel : la grande table repose sur des orthostates de plus de 3 mètres de long, elle comporte une grande cupule sur sa surface extérieure.  Inscrit MH (1959) Notice no PA00095137 44° 24′ 58″ N, 1° 47′ 05″ E
    • Dolmen de Ferrières (appelé aussi Dolmen de Pech-Levade) : c'est un des plus gros dolmen du département, la table de 25 tonnes est posée sur deux orthostates très haut. La dalle de chevet a disparu et a été remplacée depuis par un muret de pierres sèches.  Classé MH (1959) Notice no PA00095138 44° 22′ 53″ N, 1° 44′ 27″ E
    • Dolmen du Joncas : il a conservé son tumulus.  Inscrit MH (1959) Notice no PA00095139 44° 22′ 24″ N, 1° 45′ 07″ E
    • Dolmen de Pajot (appelé aussi Dolmen de la Peyrette): la table de 13 m² est légèrement penchée.  Inscrit MH (1959) Notice no PA00095140 44° 23′ 16″ N, 1° 46′ 48″ E
    Dolmen du Lac d'Aurie.
    • Dolmen de Pech-Lapeyre (appelé aussi Dolmen du Lac d'Aurié) : il se caractérise par une table très épaisse (1 mètre) qui pèse environ 17 tonnes.  Classé MH (1889) Notice no PA00095141 44° 24′ 07″ N, 1° 45′ 08″ E
    • Dolmen de la Pierre-Levée : il a conservé son allure générale dont une belle table de couverture.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti: au 1er coupé au I d'azur à trois étoiles d'or rangées en pal, au II d'or à trois bandes de gueules, au 2e d'azur à la tour d'argent, maçonnée de sable, au chef cousu de gueules chargé de trois casques d'or.

    Le Pèlerinage de Compostelle

    Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

    On vient de Cajarc, la prochaine commune est Varaire.

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    8. « Orthodromie entre Limogne-en-Quercy et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Limogne-en-Quercy et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    28. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115-116 (lire en ligne).
    29. « Les maires de Limogne-en-Quercy », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. « Entreprises à Limogne-en-Quercy », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    35. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    36. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    37. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Limogne-en-Quercy - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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