Fleury (Pas-de-Calais)
Fleury est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Fleury.
Fleury | |||||
![]() Le monument aux morts devant l'église. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Noël Voiseux 2020-2026 |
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Code postal | 62134 | ||||
Code commune | 62339 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fleuryacois | ||||
Population municipale |
111 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 25′ 22″ nord, 2° 15′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 86 m Max. 131 m |
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Superficie | 2,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Pol-sur-Ternoise (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 38 158 habitants en 2018.
Géographie
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Localisation
Milieux naturels et biodiversité
Le territoire de la commune est situé, pour partie, sur un site classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) : le site de la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. La Ternoise, avec ses 25 km de vallée étroite, a des versants occupés par des bois, des pelouses, des prairies et des lisières arbustives, et son plateau limoneux est utilisé pour la culture. Le versant droit de la Ternoise est entaillé par de nombreuses vallées sèches drainant les collines crayeuses de l’Artois[1].
Urbanisme
Typologie
Fleury est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), prairies (19,1 %), zones urbanisées (9,4 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Urbanisme et politique environnementale
La carte communale a été approuvée en 2016, en lien avec l'ancienne communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois[9].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Floriacum (1096) ; Flori (1157) ; Flory (1360) ; Flauri (1374) ; Floury (1540) ; Fleury (1739)[10].
Histoire
Avant la Révolution française, Fleury était le siège d'une seigneurie[11].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[12] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[13]. À l'initiative des intercommunalités concernées[14], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[15] ;
- la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [16],[17].
La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [18].
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie du canton d'Heuchin[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Enseignement
Les enfants sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe Pierremont, Wavrans, Hernicourt, Monchy-Cayeux et Fleury. En 2016, ce RPI scolarise 119 élèves[9].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Fleuryacois[26].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2019, la commune comptait 111 habitants[Note 3], en diminution de 13,28 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 54 hommes pour 62 femmes, soit un taux de 53,45 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame[32].
- Le monument aux morts[33].
Seigneurs de Fleury
- Antoine François Philippe de Cunchy (Cuinchy), seigneur de Fleury, ci-devant capitaine au régiment de la marine, bénéficie en juillet 1766 de lettres données à Versailles lui accordant la chevalerie héréditaire, avec permission de décorer ses armes d'une couronne de marquis. Il descend d'une famille d'Artois connue depuis le XIIe siècle. Un de ses ascendants a été convoqué par Philippe Auguste en 1210 avec plusieurs barons du royaume. Jean de Cunchy était au service du duc de Bourgogne et a participé à une croisade. Un autre Jean de Cunchy est mort à la bataille d'Azincourt. Le frère du bénéficiaire Gérard François Joseph de Cunchy, chevalier de Saint-Louis, a également été capitaine au régiment de la marine et s'est retiré après vingt-huit ans de service à cause de ses infirmités. Le bénéficiaire a quatre fils actuellement au service sous les armes[11].
- Philippe François Marie Joseph de Cunchy bénéficie en septembre 1779 de lettres données à Versailles lui accordant le tire de comte sans affectation à une terre en particulier, lui laissant le choix de la possession à laquelle attribuer ce titre de comte. Il est ancien capitaine commandant au régiment de la marine, et actuellement major au régiment provincial d'artillerie de Besançon, chevalier de Saint- Louis, membre du corps de la noblesse d'Artois. Il a servi tant dans la dernière guerre qu'en Corse. Sa famille est connue depuis le XIIe siècle. Il se déclare chevalier, seigneur de Fleury, Tremblay, Calliemont, Cavigny, Robreuve en partie, La Cauchie, Brouay, etc. Il demeure ordinairement au château de Fleury[34].
Héraldique, logotype et devise
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Blason | De gueules à la fasce vivrée d'argent[35]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « ZNIEFF 310007268 - La vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Rues de Bermicourt et de l’Eglise : deux mois de chantier », L'Abeille de la Ternoise, nos 8602-1651, , p. 24.
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 102, lire en ligne.
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Fleury », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Pour le maire de Fleury : «J’ai réalisé tous les projets de mon programme de 2008» : Jean-Noël Voiseux ne sait pas encore s’il se représentera au poste de maire lors des prochaines municipales de 2014. « Il ne faut pas prendre le poste de maire à la légère », rappelle-t-il. Élu en 2001 en tant qu’adjoint, il est arrivé pour la première fois en tant que maire en 2008 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Aline Chartrel, « Fleury : l’église restaurée, la rue et le cimetière bientôt bichonnés : Souvent mentionnée pour sa restauration exemplaire, l’église de Fleury est aujourd’hui ragaillardie. Le maire Jean-Noël Voiseux entend désormais s’attaquer à son accès ainsi qu’à l’agrandissement de son cimetière. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fleury (62339) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Fleury : premier office en l’église restaurée célébré par Monseigneur Jaeger : L’église Notre-Dame date de la fin du Moyen Âge et du début de l’ère moderne. La cloche, de 1671, est installée dans le clocher, une tour carrée d’allure défensive. Malheureusement, l’édifice religieux a subi les outrages du temps qui ont nécessité sa fermeture il y a plus de quinze ans, par souci de sécurité, au grand dam des fidèles de ce village comptant 134 habitants », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 115, lire en ligne.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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