La Garnache

La Garnache est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Aujourd'hui petite ville d'un peu plus de 5 000 habitants, elle fut jusqu'aux Guerres de religion des XVIe et XVIIe siècles, une seigneurie redoutée, et la ville la plus importante de la région.[1]

La Garnache

La mairie de La Garnache.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Communauté de communes Challans-Gois Communauté
Maire
Mandat
François Petit
2020-2026
Code postal 85710
Code commune 85096
Démographie
Gentilé Garnachois
Population
municipale
5 114 hab. (2019 )
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 29″ nord, 1° 49′ 47″ ouest
Altitude 27 m
Min. 8 m
Max. 52 m
Superficie 60,52 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Garnache
(ville isolée)
Aire d'attraction Challans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Challans
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Garnache
Géolocalisation sur la carte : France
La Garnache
Géolocalisation sur la carte : Vendée
La Garnache
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Garnache
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Le territoire municipal de La Garnache s’étend sur 6 052 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 27 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 8 et 52 mètres[2],[3].

    La commune est située dans le nord-ouest de la Vendée, à environ 40 km de La Roche-sur-Yon, 50 km de Nantes, km de Challans et 35 km de Noirmoutier.

    La Garnache se situe en bordure du Marais breton vendéen[4].

    Urbanisme

    Typologie

    La Garnache est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Garnache, une unité urbaine monocommunale[8] de 4 995 habitants en 2017, constituant une ville isolée[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Challans, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), prairies (22,2 %), zones urbanisées (6,1 %), forêts (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Histoire

    Environ 1 000 ans avant notre ère, le territoire de La Garnache était situé sur un promontoire dont Beauvoir-sur-Mer était le cap extrême et entouré des marais de Bouin au nord et de Sallertaine au sud.

    Deux siècles av. J.-C., la tribu gauloise des Agnutes s'installa dans le pays de Retz, alors couvert d'immenses forêts. C'étaient des marins, des agriculteurs et des éleveurs.

    La civilisation romaine laissa des traces de constructions dans la région (Pont-Habert, Déas, Ampan). Le territoire des Agnutes est rattaché à la civitas (circonscription administrative) des Pictons (capitale : Poitiers).

    Un monastère dépendant de La Garnache est fondé en 673 dans « l'île d'Hero » (Noirmoutier) par saint Philibert. La commune abrite un cimetière mérovingien.

    La dynastie des seigneurs de La Garnache débute vers 1045, sous la dépendance du vicomte de Thouars et s'étend sur un vaste territoire (Beauvoir, Bois-de-Céné, îles de l'île d'Yeu et Noirmoutier, Sallertaine...). Jusqu'en 1214, six seigneurs édifièrent et fortifièrent le puissant château, avant que terres et bâtiments ne passent successivement aux familles de Belleville, de Clisson de Parthenay et de Rohan, puis de Rohan-Chabot. Au XVe siècle la seigneurie de La Garnache était rattachée à la vicomté de Thouars qui appartenait à la famille d'Amboise. Elle passa ensuite aux ducs de Villeroy jusqu'à la Révolution..

    La ville est disputée pendant les guerres de religion entre les calvinistes et les catholiques. Ce fief, faisant partie du Bas-Poitou, dont il ne reste, de son château, que deux tours et les ruines du donjon médiéval, donne son nom à Françoise de Rohan, duchesse de Loudun, que le parti lorrain nomme alors la Dame de La Garnache. Le fils qu'elle a eu des amours du duc de Nemours - avec qui elle s'était mariée en secret, - et qui usurpe le titre d'Henri de Genevois, s'empare du château en 1585. Il est repris en 1588 par les troupes du roi de France Henri III au cours de combats acharnés, en plein hiver, plus de 300 morts côté catholique[15]. En 1622, après la Bataille de l'île de Riez contre Soubise, Louis XIII ordonne le démantèlement de la forteresse.

    François-Athanase Charette de La Contrie, futur chef de l’Armée catholique et royale, s’établit à La Garnache, au château de Fonteclose, après son mariage, en 1790. Le 14 mars 1793, les paysans qui venaient de s'insurger contre la République viennent le chercher pour en faire leur chef.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Armand de Baudry d’Asson[alpha 2] PRL Député de la Vendée (1946 → 1958)
    Conseiller général du canton de Challans (1936 → 1940 puis 1945 → 1955)
    Pierre Rouillon    
    Eugène Achard    
    Claude Bobière DVD Responsable d'affaires
    en cours François Petit[17],[18] DVD Responsable d'une société de holding
    3e vice-président de Challans-Gois-Communauté (2017 → )
    Réélu en 2018 - en 2020

    Population et société

    Évolution démographique

    Les habitants de la commune sont appelés les Garnachois[19].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2019, la commune comptait 5 114 habitants[Note 4], en augmentation de 9,67 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0002 1822 4613 0932 7432 8802 8852 9942 926
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9563 0053 2043 1533 1673 1853 3293 3863 356
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 4473 4703 5103 1023 1012 9352 8882 7792 837
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 7102 6282 8073 1523 3793 5764 2024 5574 956
    2019 - - - - - - - -
    5 114--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 534 hommes pour 2 541 femmes, soit un taux de 50,07 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    2,0 
    6,2 
    75-89 ans
    8,6 
    16,9 
    60-74 ans
    16,8 
    20,2 
    45-59 ans
    19,9 
    21,3 
    30-44 ans
    19,8 
    12,9 
    15-29 ans
    13,7 
    21,8 
    0-14 ans
    19,1 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,1 
    8,4 
    75-89 ans
    11 
    19,5 
    60-74 ans
    20,4 
    20 
    45-59 ans
    19,4 
    18 
    30-44 ans
    17,1 
    14,9 
    15-29 ans
    13,2 
    18,5 
    0-14 ans
    16,8 

    Enseignement

    • École publique maternelle et primaire Jan-et-Joël-Martel.
    • Les écoles maternelle et primaire Sainte-Marie et Saint-Joseph ont été réunies en un établissement pour la rentrée 2010 sous le nom de l'école Notre-Dame-de-la-Source (établissement privé catholique).

    Sports

    • Zone de loisirs : à proximité du bourg, le plan d'eau de 3,54 hectares ouvert à la pêche est un espace détente et promenade avec un coin pique-nique. De nombreux sentiers pédestres sillonnent la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments remarquables

    La commune compte quatre monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[26] :

    • Tumulus dit La Butte Cavalière, inscrit depuis le [27] ;
    • Pierre du Diable, menhir classé depuis le [28] ;
    • Manoir dit La Vieille Fonteclose (Maison de Charette) dont les façades et les toitures sont inscrites depuis le [29] ;
    • Château ancien dont les deux tours sont inscrites depuis le [30].

    La Pierre du Diable

    Mégalithe de La Garnache (Vendée) dit "Pierre du Diable."

    Cette pierre méconnue est située en plein champ, sur un îlot boisé, aux frontières de Challans, Sallertaine et de La Garnache. Le docteur Marcel Baudouin en fait une description complète dans le Bulletin de la Société préhistorique de France n°4 de 1925 : Le Menhir tombé de La Grande Emonnière, Commune de La Garnache (Vendée). Il indique dans son article avoir découvert ce mégalithe en 1907 (alors propriété de Léon Martel-Boucher, père des sculpteurs Jan et Joël Martel), et qu'il n'a été signalé par personne. Mais l'abbé Baudry en parle déjà en 1864, dans l'Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée, où il rapporte cette légende : « Les habitants de Sallertaine n'ont respecté qu'un menhir, dit Pierre Levée ou Pierre du Diable. Un jour, ils l'entourèrent d'une fune (un câble), et la firent tirer par douze bœufs. Mais la fune, pourtant neuve, se brisa comme du verre, et la pierre resta immobile, ce qui n'étonna personne. Car, dirent-ils, c'est une pierre que le Diable portait au pont de Saint-Martin et qui est toujours sous sa puissance. Et elle est, ainsi que la croisée de la Croix-Joslin, le rendez-vous des sorciers. »

    Autres lieux et monuments

    Vue de l'église de La Garnache.

    On peut également citer :

    • l’église Notre-Dame, reconstruite au XIXe siècle, ornée d’une Assomption polychrome du XVIIIe siècle, d’un christ de bois, maître-autel et chemin de croix contemporains (à noter, comme l'église de Challans, que l'édifice est orienté "à l'envers," l'abside n'étant pas tournée vers l'Est, ou le Sud-Est - comme Notre-Dame de Paris ou d'Amiens, - mais vers le Nord-Ouest).
    • la chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire (ancienne chapelle Saint-Léonard), de style gothique. Dédiée à saint Léonard depuis 1150, elle changea de patronage en 1571 pour commémorer la victoire navale de Lépante[31] ou Bataille de Lépante. En ruine après les guerres de Religion, elle fut restaurée à partir de 1711 sur la demande du père Louis-Marie Grignion de Montfort (dans la Revue de la Vendée historique de 1911, on lit également (p. 103) : "Montfort, qui avait construit ou relevé tant de chapelles, affectionnait tout particulièrement celle de la Garnache. Dans son testament, écrit à Saint-Laurent-sur-Sèvre la veille de sa mort, le 27 avril 1716, (on) relève cette clause bien significative : « Je donne trois de mes étendards à Notre-Dame de Toute-Patience, de la Séguinière ; les quatre autres à Notre-Dame de la Victoire, à la Garnache... ». On ne sait ce qu'ils sont devenus. La "Bannière de Lépante," qui a été restaurée fin 2017 à Nantes par Marie-Flore Lenoir[32], a quant à elle a été commandée par la paroisse de La Garnache en 1888 pour fêter la béatification du père de Montfort. Elle est aujourd'hui une pièce maîtresse des trésors d'église de Notre-Dame de La Garnache. En 2022, des visites guidées de la chapelle sont organisées en juillet et août par l'association Pierres des Marches du Bas Poitou.
    • des châteaux du XIXe siècle : château des Planches, château de La Poirière, manoir des Laumiaires ;
    • des moulins ;

    Équipements culturels

    • Musée du passé et des traditions.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au premier, d'or aux sept merlettes d'azur ordonnées en orle, au franc-quartier de gueules ; au second, coupé : au premier, parti d'argent à la moucheture d'hermine de sable et d'or à la fleur de lys d'azur, et au second, d'azur à l'ostensoir d'or.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. Fils de Léon-Armand de Baudry d’Asson, maire de La Garnache de 1888 à 1892.
    2. Fils d’Armand de Baudry d’Asson, maire de La Garnache de 1912 à 1935.

    Références

    1. Ch. de Sourdeval, "Le château et les seigneurs de La Garnache," Revue des provinces de l'Ouest, 2e année.
    2. « Commune 8007 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    3. « La Garnache », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    4. « Carte géographique », sur maps.google.fr (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de La Garnache », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Challans », sur insee.fr (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Agrippa d'Aubigné
    16. « Historique des maires » sur le site de la commune [lire en ligne (page consultée le 18 novembre 2018)].
    17. « Installation du nouveau conseil municipal », Ouest-France, .
    18. « François Petit succède à Claude Bobière », Ouest-France, (lire en ligne).
    19. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Garnache (85096) », (consulté le ).
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    26. « Liste des monuments historiques de la commune de La Garnache », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Tumulus dit La Butte Cavalière », notice no PA00110126, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Menhir dit Pierre-du-Diable », notice no PA00110125, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Manoir dit La Vieille Fonteclose (Maison de Charette) », notice no PA00110124, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Château (ancien) », notice no PA00110123, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. http://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/85-Vendee/85096-Garnache/143023-ChapelleNotre-Dame-de-la-Victoire
    32. Le Courrier Vendéen, jeudi 04 janvier 2018, p. 14.
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