Francis Veber

Francis Veber, né le à Neuilly-sur-Seine, (Seine-et-Oise), est un réalisateur, scénariste, producteur, dialoguiste, dramaturge et acteur français.

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Il est principalement connu en tant qu'auteur de comédies à grand succès dont il a signé le scénario (Le Grand Blond avec une chaussure noire, L'Emmerdeur) ou également la réalisation (La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs, Le Placard).

Les scénarios de Veber privilégient le burlesque et sont réglés sur une mécanique boulevardière, reposant parfois sur le ressort du duo comique traditionnel comme l'Auguste et le clown blanc.

Expatrié aux États-Unis depuis les années 1980, il signe son retour professionnel en France avec Le Dîner de cons qui, sous forme de pièce de théâtre en 1993, puis de film en 1998, lui a valu l'un de ses plus grands succès.

Biographie

Jeunesse et formation

Fils du journaliste et écrivain Pierre-Gilles Veber et de la romancière Catherine Agadjanian dite Georgette Paul (1901-1990), Francis Paul Veber est également le petit-neveu de Tristan Bernard, le petit-fils de Pierre Veber et le neveu de Serge Veber. Son fils, Jean Veber, est également réalisateur[1]. Il est par ailleurs l'oncle de Sophie Audouin-Mamikonian, auteure de la série de livres pour enfants Tara Duncan. Francis Veber est en outre, par sa mère, un lointain descendant de la famille princière Mamikonian, qui a dominé l'Arménie durant le Moyen Âge. Sollicité par des monarchistes arméniens pour être prétendant au trône, il a préféré s'en désister au profit de sa nièce Sophie Audoin-Mamikonian. L'un de ses oncles maternels était par ailleurs l'époux de la fille du fondateur des caviars Pétrossian[2],[3].

Francis Veber est né de père juif et de mère arménienne ; il déclare à ce sujet : « Deux génocides, deux murs des lamentations dans le sang, tout pour faire un comique. » Son père, journaliste renommé avant la Seconde Guerre mondiale, passe l'essentiel de l'occupation allemande cloîtré chez lui par peur d'être arrêté ; il ne retrouve pas de travail dans la presse après la Libération. Sa mère qui l'a fait baptiser dans le rite arméno-grégorien, entreprend alors de faire vivre la famille en écrivant à la chaîne des romans sentimentaux[4].

La famille Veber vit assez chichement et les parents de Francis Veber, peu satisfaits de leurs carrières respectives dans les lettres, l'encouragent à suivre des études pour trouver un métier stable[5],[6]. Médiocre élève, il suit laborieusement des études de médecine, avant de s'inscrire sans plus d'enthousiasme à la Faculté des sciences, pour satisfaire sa famille qui l'imagine alors successivement chirurgien puis ingénieur dans le pétrole[7]. Il finit par renoncer à ses études et, durant son service militaire, devient reporter à Bled, le journal de l'Armée d'Algérie, où il a pour collègues Philippe Labro, Jacques Séguéla, Cabu et Just Jaeckin. Il parvient à placer quelques textes dans la presse et devient, après la fin de son service, journaliste radio à RTL, métier qu'il exerce durant trois ans mais pour lequel il estime rétrospectivement avoir été peu doué[8].

Scénariste à succès (1964-1975)

Francis Veber se marie en 1964. Il connaît à la même époque sa première expérience dans le spectacle en écrivant avec Jacques Martin, alors animateur vedette de RTL, une comédie musicale intitulée Petit Patapon : bâclée du propre aveu de son coauteur, la pièce est un échec total. Écrivant les flashs horaires de RTL, il est renvoyé de la radio à l'occasion d'une compression de personnel. Il tente alors de continuer à vivre de sa plume et écrit divers projets de feuilletons télévisés dont certains se concrétisent, comme Agence Intérim qu'il coécrit avec Richard Caron (tous deux s'abstenant cependant de signer le scénario, car jugeant le résultat très médiocre)[9].

Lassé de voir sa carrière stagner, Francis Veber décide de tenter sa chance dans le théâtre et rédige la pièce L'Enlèvement, inspirée du rapt de l'épouse de Marcel Dassault. La pièce, qu'il juge avec le recul à demi ratée, connaît un mauvais démarrage : Francis Veber se voit déjà renoncer à toute carrière artistique pour retourner dans le pétrole, mais cette fois comme « pompiste ». Le spectacle est finalement sauvé par une critique favorable de Jean-Jacques Gautier et connaît un succès commercial suffisant pour que le producteur Bob Amon propose de transposer la pièce au cinéma : L'Enlèvement devient sur grand écran Appelez-moi Mathilde, réalisé par Pierre Mondy, avec Jacqueline Maillan et Michel Serrault. Le film est un échec commercial et Francis Veber, qui avait rédigé un synopsis de ce qui devient par la suite L'Emmerdeur, doit provisoirement renoncer au cinéma pour faire de son projet une nouvelle pièce de théâtre. Le Contrat, histoire d'un tueur à gages dont la mission est perturbée par un gêneur maladroit, est créée sur les planches en 1971 avec Jean Le Poulain et Raymond Gérôme, remportant un certain succès malgré des conditions de travail difficiles dues à la mésentente des deux comédiens. C'est à cette occasion que Francis Veber imagine une figure de « petit homme dans la foule » plongé dans une situation impossible dont il a à peine conscience : le personnage connaît de multiples variations dans les œuvres de Francis Veber et porte alternativement les noms de François Pignon ou de François Perrin, avant que le premier nom ne s'impose tout à fait[10].

À la même époque, Francis Veber recommence à travailler pour le cinéma de manière inattendue quand Georges Lautner se montre intéressé par La Couverture, un synopsis qu'il avait écrit plusieurs années plus tôt avec Richard Caron et que ce dernier avait ensuite adapté sous forme de roman (TTX 75 en famille). Produit par Alain Poiré pour Gaumont, le film s'intitule finalement Il était une fois un flic et met en vedette Michel Constantin et Mireille Darc : premier succès de cinéma de Francis Veber, il permet à ce dernier de s'imposer enfin comme scénariste pour le grand écran. Dans le même temps, Lino Ventura, vainement démarché pour tourner dans Il était une fois un flic, s'est déclaré intéressé par Le Contrat, dont Francis Veber lui a donné le synopsis pour lui montrer ses capacités d'écriture et le convaincre de tourner dans l'autre film. Le Contrat devient L'Emmerdeur : réalisé par Édouard Molinaro et interprété par Ventura et Jacques Brel, le film est un énorme succès à sa sortie en 1973[11]. Francis Veber entame alors une longue collaboration avec Gaumont, pour qui il considère être devenu à l'époque « en quelque sorte un distributeur automatique de scénarios ». En 1972, il cosigne avec Yves Robert le scénario du Grand Blond avec une chaussure noire, qu'il dit avoir écrit intégralement lui-même. En sus de ses propres scénarios, il se charge pour Gaumont de travaux de réécriture de scénarios, œuvrant au fil des années sur des projets aussi différents que Le Professionnel ou Le Grand Bleu[12].

Scénariste/réalisateur à succès (1976-1986)

En 1976, sur le conseil de Claude Berri, Francis Veber passe lui-même à la réalisation pour tourner Le Jouet, avec en vedette Pierre Richard. Le film obtient un score honorable mais décevant en regard des films précédemment scénarisés par Veber, qui préfère alors retourner à l'écriture et enchaîne avec l'adaptation au cinéma de La Cage aux folles, que réalise Édouard Molinaro[13]. Ce n'est qu'en 1981 que Francis Veber, qui avait été quelque peu découragé par le mauvais accueil critique du Jouet, repasse derrière la caméra, cette fois pour La Chèvre. Prévu tout d'abord pour mettre en vedette Lino Ventura et Jacques Villeret, et finalement interprété par Gérard Depardieu et Pierre Richard, le film attire sept millions de spectateurs dans les salles françaises. Il remporte également un succès international, tout particulièrement en URSS où il attire à l'époque trente-cinq millions de spectateurs.

Francis Veber retrouve le couple Gérard Depardieu-Pierre Richard à deux reprises, dans Les Compères (1983) et Les Fugitifs (1986) : le tandem des deux acteurs lui permet de remettre en scène une recette déjà éprouvée dans L'Emmerdeur avec Lino Ventura et Jacques Brel, soit celui de la confrontation entre un personnage « sérieux » et un autre « comique », le premier perdant progressivement pied face au comportement du second. Au fil des œuvres, le personnage de l'« Auguste » s'appelle le plus souvent Perrin ou Pignon, tandis que le « clown blanc » alterne parfois entre les noms de Lucas ou de Campana[14].

Expérience hollywoodienne (1982-1992)

En 1982, Francis Veber connaît sa première expérience dans le cinéma américain en signant le scénario du film Partners, qui est un échec commercial. Trois ans plus tard, alors qu'il est membre du jury du festival de Cannes 1985, Francis Veber fait la rencontre de Jeffrey Katzenberg, alors l'un des principaux responsables de Walt Disney Pictures, qui l'invite à venir travailler aux États-Unis.

À la fin des années 1980, il s'installe à Los Angeles et commence à travailler pour Disney en tant que « script doctor ». Il réalise également Three Fugitives, remake américain des Fugitifs, dans lequel Nick Nolte reprend le rôle de Gérard Depardieu et Martin Short celui de Pierre Richard. Si Francis Veber garde du résultat de cette première réalisation américaine une impression mitigée, Sur la corde raide (Out on a limb) avec Matthew Broderick, dont il n'a pas écrit le scénario, est en revanche pour le cinéaste une expérience exécrable et un « bide mérité » qui le convainc de revenir à l'écriture[15].

Retour à la réalisation en France (1996-2008)

Francis Veber se lance alors, sans idées préconçues, dans l'écriture de la pièce Le Dîner de cons, dont il n'envisage tout d'abord pas de faire un film. Lors d'un de ses passages à Paris, il parle de sa pièce à Alain Poiré, qui achète alors les droits d'adaptation au cinéma. Le producteur de théâtre Jean-Louis Livi, ancien agent de Francis Veber, reçoit le manuscrit de la pièce une fois celle-ci terminée et convainc Jean-Paul Belmondo de l'accueillir au Théâtre des Variétés. Mise en scène par Pierre Mondy et interprétée par Jacques Villeret et Claude Brasseur, la pièce est créée en 1993 et remporte un triomphe qui surprend jusqu'à son auteur ; elle tient trois ans sur les planches, obligeant Alain Poiré à patienter avant de lancer le chantier de l'adaptation sur grand écran.

Entre-temps, Francis Veber revient à la réalisation pour une production française, avec Le Jaguar, interprété par Patrick Bruel et Jean Reno, film qui connaît un score décevant au box office, mais est néanmoins le 5e succès français de l'année 1996 avec 2 390 580 spectateurs.

Il enchaîne alors avec le tournage de l'adaptation cinématographique du Dîner de cons, où Jacques Villeret reprend son rôle, tandis que Claude Brasseur est remplacé par Thierry Lhermitte. Le film est un immense succès, attirant en 1998 plus de neuf millions de spectateurs dans les salles françaises : il vaut à Jacques Villeret le César du meilleur acteur et à Daniel Prévost celui du meilleur acteur dans un second rôle. Francis Veber remporte quant à lui le César du meilleur scénario original ou adaptation[16].

Tout en continuant à résider aux États-Unis durant une partie de l'année[17], Francis Veber réalise ensuite en France, dans les années 2000, plusieurs autres comédies à succès : Le Placard (2001) avec Daniel Auteuil, Michèle Laroque, Gérard Depardieu, Thierry Lhermitte et Jean Rochefort; Tais-toi ! (2003) avec Jean Reno, Gérard Depardieu et Richard Berry ; La Doublure (2006) avec Gad Elmaleh, Daniel Auteuil, Richard Berry, Dany Boon et Virginie Ledoyen.

Reprises au théâtre de ses films culte (depuis 2005)

En 2005, il est convaincu par Michel Sardou, qui vient alors de racheter le théâtre de la Porte-Saint-Martin, de remonter sur les planches L'Emmerdeur. Jugeant le film un peu vieilli, Francis Veber en propose une version remaniée : mise en scène par ses propres soins, cette nouvelle mouture remporte un triomphe, avec Patrick Timsit et Richard Berry comme interprètes principaux.

Suit une reprise au théâtre du Dîner de cons, avec Dany Boon et Arthur. En 2008, galvanisé par le succès au théâtre de L'Emmerdeur, Francis Veber décide d'en tirer une nouvelle version cinématographique, une idée qu'il juge lui-même a posteriori « calamiteuse ». Le nouvel Emmerdeur est un échec commercial, le public n'acceptant guère de voir revisité à l'écran le classique naguère interprété par Brel et Ventura : le film ne tient que deux semaines dans les salles et n'attire que 203 870 spectateurs, soit un score très inférieur aux succès habituels de Francis Veber[18]. Le réalisateur commente par la suite : « Outre le fait que les réactions du public et de la critique m'ont donné l'impression d'avoir fait de la profanation de sépulture, j'ai reçu une leçon que je ne suis pas prêt d'oublier : il y a certains cultes qu'il vaut mieux respecter »[19].

Le réalisateur récompensé en 2012 par un Prix Lumières d'honneur.

En 2009, Le Dîner de cons est à nouveau repris au théâtre, cette fois avec Régis Laspalès et Philippe Chevallier. En 2010, Francis Veber publie ses mémoires, intitulées Que ça reste entre nous. Le , à la cérémonie des Prix Lumières 2012, il reçoit un Prix Lumières d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[20].

En 2013, Francis Veber signe et met en scène une nouvelle pièce, Cher trésor, avec Gérard Jugnot dans le rôle principal[21] : le spectacle remporte un grand succès à Paris et réalise ensuite une tournée dans toute la France[22].

L'année suivante, il adapte au théâtre son propre film Le Placard, qu'il met également en scène : Élie Semoun y reprend le rôle tenu à l'écran par Daniel Auteuil tandis que Laurent Gamelon (déjà apparu dans le film) reprend celui de Santini jadis tenu par Gérard Depardieu[23].

Collaborateurs récurrents

Derrière la caméra

Francis Veber a connu sur l'ensemble de sa filmographie un grand nombre de collaborations récurrentes. Alain Poiré a produit La Chèvre, Le Jaguar et Le Dîner de cons. Georges Klotz a monté Le Dîner de cons, Le Placard, La Doublure et L'Emmerdeur.

Marie-Sophie Dubus a monté Les Compères et Les Fugitifs. Vladimir Cosma a composé la musique pour tous ses films jusqu'au Placard inclus. Luciano Tovoli fut son directeur de la photographie à partir de Les Fugitifs jusqu'à Tais-toi ! (5 films).

Producteurs
Film Le Jouet
(1976)
La Chèvre
(1981)
Les Compères
(1983)
Les Fugitifs
(1986)
Le Jaguar
(1996)
Le Dîner de cons
(1998)
Le Placard
(2001)
Tais-toi !
(2003)
Terminus (court-métrage)
(2006)
La Doublure
(2006)
L'Emmerdeur
(2008)
Alain Poiré  Oui Oui Oui Oui
Patrice Ledoux  Oui Oui Oui

Devant la caméra

Francis Veber choisit souvent les mêmes acteurs pour ses films : Gérard Depardieu a joué dans La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs, Le Placard et Tais-toi ! Il avait failli jouer dans Le Dîner de cons mais le rôle fut confié à Thierry Lhermitte. Virginie Ledoyen a joué dans La Doublure et dans L'Emmerdeur.

Vincent Moscato, Laurent Gamelon et Armelle Deutsch ont joué dans Le Placard et Tais-toi !.

Pierre Richard a joué dans Le Jouet, La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs, dans Le Grand Blond avec une chaussure noire & Le Retour du grand blond (scénario d'Yves Robert et Francis Veber).

Alexandra Vandernoot apparaît successivement dans Le Jaguar, Le Dîner de cons et Le Placard.

Acteurs
Film Le Jouet
(1976)
La Chèvre
(1981)
Les Compères
(1983)
Les Fugitifs
(1986)
Le Jaguar
(1996)
Le Dîner de cons
(1998)
Le Placard
(2001)
Tais-toi !
(2003)
Terminus (court-métrage)
(2006)
La Doublure
(2006)
L'Emmerdeur
(2008)
Jacques Villeret  Oui
Jean Carmet  Oui
Gérard Depardieu  Oui Oui Oui Oui Oui
Pierre Richard  Oui Oui Oui Oui
Alexandra Vandernoot  Oui Oui Oui
Thierry Lhermitte  Oui Oui
Daniel Auteuil  Oui Oui
Richard Berry  Oui Oui Oui Oui
Vincent Moscato  Oui Oui
Laurent Gamelon  Oui Oui Oui
Jean Reno  Oui Oui
Philippe Brigaud  Oui Oui Oui Oui Oui
Michel Caccia  Oui Oui Oui
Michel Aumont  Oui Oui Oui Oui Oui Oui
Michel Robin  Oui Oui
Michèle Garcia  Oui Oui
Roland Blanche  Oui Oui Oui
Pétronille Moss  Oui Oui
Stéphane Bierry  Oui  Oui
Maurice Barrier  Oui Oui
Virginie Ledoyen  Oui Oui
Robert Dalban  Oui Oui
Armelle Deutsch  Oui Oui
Irina Ninova  Oui Oui
Edgar Givry  Oui Oui Oui Oui

Théâtre

Filmographie

Réalisateur

Scénariste

Tous ses films en tant que réalisateur, à l'exception de Sur la corde raide.

Dialoguiste

Ses films en tant que réalisateur.

Remakes de ses films

Acteur

Résultats au box-office

Film Année Box-office français[24]
Le Dîner de cons 1998 9 247 001 entrées
La Chèvre 1981 7 079 674 entrées
Le Placard 2000 5 317 858 entrées
Les Compères 1983 4 847 229 entrées
Les Fugitifs 1986 4 496 827 entrées
Tais-toi ! 2003 3 139 195 entrées
La Doublure 2006 3 087 562 entrées
Le Jaguar 1996 2 407 696 entrées
Le Jouet 1976 1 269 452 entrées
L'Emmerdeur 2008 240 720 entrées
Total - 41 113 214 entrées

Distinctions

Autobiographie

Francis Veber à la foire du livre 2010 de Brive la Gaillarde

Notes et références

  1. Sa fille, Jeanne Veber, est une archéologue de renom. Jean Veber sur les pas de Francis, Le Parisien,, 15 janvier 2003
  2. Agenda - Francis Veber : "Deux génocides, deux Murs des lamentations dans le sang", Collectif Van, 27 septembre 2010
  3. Tara la "sortcelière", L'Express, 8 mai 2003
  4. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 7, 11-15, 24-27
  5. Francis Veber publie ses Mémoires, Le Soir, 22 octobre 2010
  6. Francis Veber sur cin-et-toiles.com
  7. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 46-51
  8. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 54-61
  9. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 67-81
  10. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 85-105
  11. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, page 109-112, 129, 146
  12. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 129, 142-143, 148-152
  13. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 168, 175-176
  14. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 184-219
  15. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 229-234, 243-257
  16. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 269-279
  17. Francis Veber : « Je ne me prends pas au sérieux », L'Union, 3 octobre 2010
  18. Box office du film L'Emmerdeur, sur allocine.fr
  19. Francis Veber, Que ça reste entre nous, Robert Laffont, 2010, pages 146, 308-314
  20. « Le théâtre de Francis Veber du 28 août 2014 - France Inter », France Inter, (lire en ligne, consulté le )
  21. Cher Trésor : Gérard Jugnot, le fisc à la patte, Le Figaro, 21 janvier 2013
  22. Gérard Jugnot : « Le succès, c’est bien de le déguster », Le Dauphiné libéré, 13 avril 2014
  23. Francis Veber change de Pignon, Paris Match, 26 février 2014
  24. JPbox-office.com ; Page "Francis Veber" Box-office France Page consultée le 11 septembre 2013

Liens externes

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