Garons
Garons est une ville française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Garons | |
L'hôtel de ville. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Alain Dalmas 2020-2026 |
Code postal | 30128 |
Code commune | 30125 |
Démographie | |
Gentilé | Garonnais |
Population municipale |
4 940 hab. (2019 ) |
Densité | 402 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 46′ 09″ nord, 4° 25′ 45″ est |
Altitude | Min. 54 m Max. 96 m |
Superficie | 12,28 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Garons (ville isolée) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Marguerittes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-garons.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Garons est une commune rurale qui compte 4 940 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Garons et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Garonnais ou Garonnaises.
Géographie
Localisation
La ville est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Nîmes, sur le plateau des Costières, à une altitude de 94 mètres.
Elle est desservie par la sortie n°2 de l'autoroute A54.
La commune est située dans l'arrondissement de Nîmes et dans le canton de Marguerittes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].
Axes routiers
La commune est desservie par la route départementale D442 et par la portion de l'autoroute A54 qui relie Nîmes à Arles.
Transports en commun
La ville est desservie par le réseau de transport en commun de Nîmes : TANGO!
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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41 | Nîmes — Costières - Parnasse ⥋ Garons — Champ de Mars | ||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur — |
Durée 25 min |
Nb. d’arrêts 17 |
Matériel — |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / N / N / N |
Voy. / an — |
Exploitant Les rapides de Camargue | |
Desserte : Nîmes, Caissargues et Garons
| |||||||||
Autre : Tout près de la commune de Garons sont implantés un aéroport civil (aéroport de Nîmes - Garons) et une base aéro-navale militaire. Les installations aéroportuaires sont néanmoins situées sur les communes voisines de Saint-Gilles et Nîmes. |
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12].
Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[14] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[15].
Urbanisme
Typologie
Garons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Garons, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 4 895 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
Garons est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes par la communauté d'agglomération de Nîmes Métropole.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43 %), cultures permanentes (37,6 %), zones urbanisées (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), forêts (0,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Occitan Garouns, du roman Garons, du bas latin Garonis[19].
Histoire
Antiquité
Au IIe siècle av. J.-C., 2 villas romaines étaient implantées sur le territoire de Garons.
Moyen Âge
En 635, le domaine de Garons est attribué à l'évêque Rémessaire par les rois Wisigoths qui occupent la Septimanie. Un texte du VIIe siècle fait mention d'un hameau installé sur le domaine[réf. nécessaire].
Le domaine de Garons fut donné en 784 par l'évêque de Nîmes Rémessaire à la mense épiscopale de Nîmes[20].
Époque moderne
Au XVIe siècle, durant les luttes entre catholiques et protestants, le hameau reste du côté des évêques de Nîmes qui y ont élu résidence. De ce passé, la commune a conservé le château des évêques, actuel hôtel de ville.
Révolution française et Empire
Le , Bouillargues fut érigée en commune par ordre du comité exécutif du directoire de Nîmes. Les hameaux de Garons, Caissargues et Rodilhan y furent annexés. La nouvelle commune était dirigée par une majorité de protestants. Le 9 novembre de la même année, l’Assemblée Nationale vota l’autonomie de la commune.
Époque contemporaine
Garons n'a été érigé en commune qu'en 1835 (ordonnance royale du 19 octobre)[20]. Au cours du XIXe siècle, la culture de la vigne représente une part importante de l'activité agricole.
L'ouverture de l'aéroport en 1958 renouvelle l'économie du village et au début des années 1960 la forte immigration fait faire un bond à la population de Garons.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
- Kalivia (Grèce) depuis 1995
- Revigliasco D'Asti (Italie) depuis 2000
- Flörsheim-Dalsheim (Allemagne) depuis 2013
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2019, la commune comptait 4 940 habitants[Note 7], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
L'école maternelle et l'école primaire de la ville portent toutes deux le nom de Jean Monnet. Situées l'une à côté de l'autre dans la rue du Levant, ce sont pourtant deux entités distinctes pour l'Éducation nationale.
L'école Saint-Exupéry, située rue de la République, est l'école historique de la ville. Ses locaux hébergent encore trois classes mais sa gestion administrative a été intégrée à celle de l'école primaire Jean Monnet.
Les établissements de secteur pour le secondaire sont le collège Les Fontaines à Bouillargues et le lycée Ernest-Hemingway à Nîmes.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 840 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 4 809 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 740 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 46 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (43,9 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8,3 % | 11,1 % | 11 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 099 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 24,7 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 1 993 emplois en 2018, contre 1 995 en 2013 et 2 173 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 016, soit un indicateur de concentration d'emploi de 98,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 13].
Sur ces 2 016 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 405 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
357 établissements[Note 11] sont implantés à Garons au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 357 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 40 | 11,2 % | (7,9 %) |
Construction | 73 | 20,4 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 104 | 29,1 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 0,8 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 9 | 2,5 % | (3 %) |
Activités immobilières | 16 | 4,5 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 42 | 11,8 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 39 | 10,9 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 31 | 8,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (104 sur les 357 entreprises implantées à Garons), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[26] :
- Trefilaction, commerce de gros (commerce interentreprises) de quincaillerie (20 665 k€)
- Santerne Camargue, construction de réseaux électriques et de télécommunications (10 235 k€)
- Cofex Mediterranee, construction d'autres ouvrages de génie civil n.c.a. (7 304 k€)
- Les Cinq Sens, hébergement médicalisé pour personnes âgées (3 568 k€)
- DG Laser, découpage, emboutissage (3 015 k€)
La ville bénéficie de la présence de l'aéroport et de la base de Défense (qui fut longtemps le 1er fournisseur d'emplois).
Agriculture
La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 47 | 25 | 36 | 37 |
SAU[Note 14] (ha) | 759 | 434 | 1 231 | 842 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 25 en 2000 puis à 36 en 2010[29] et enfin à 37 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 21 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[30],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 759 ha en 1988 à 842 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 23 ha[29].
Spécialisations
La principale activité de la commune jusqu'aux années 1970 était l'agriculture avec la dominance de la viticulture et des vergers.
La commune héberge sur son territoire plusieurs manades, dont la manade Arlatenco. Celle-ci a été fondée à Garons en 1951 par Frédéric Clément, à partir de bétail provenant des manades Pastré et Guillierme[31]. La manade s'étend sur 80 hectares, avec des pâturages sur les communes de Raphèle-lès-Arles et d'Aimargues. Elle possède des arènes et une salle ouverte d’été (loupio) d'une capacité de 320 personnes. Le bétail se compose de 210 taureaux et vaches et 23 chevaux.
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
La résidence d'été des évêques de Nîmes abrite actuellement l'hôtel de ville et le bureau de poste de la ville.
Édifices religieux
- Église Saint-Étienne de Garons. L'église fut construite au XIXe siècle dans un style néo-gothique.
Parcs et jardins
Personnalités liées à la commune
- Raymond Pellegrin (1925-2007), acteur français, y est mort.
- Andréa Guiot (née en 1928), soprano française, y est née.
Héraldique
Blason | De gueules à la mitre d'évêque d'or. |
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---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Site Officiel du SCOT Sud Gard », sur www.scot-sud-gard.fr (consulté le )
- « Communauté d'agglomération de Nîmes Métropole », sur www.nimes-metropole.fr (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Garons », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Garons » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Garons » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Garons » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Garons » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Garons » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Nîmes-Courbessac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Garons et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Garons », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « plaine de Manduel et Meynes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne.., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 30, t. 2
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 97
- « Histoire de Garons », sur www.ville-garons.fr (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Garons », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Garons - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- Gilles Arnaud (photogr. Gilles Arnaud, Nicole Cabanel, Jérémy Campilongo, Thierry Chatel, Jérôme Contestin, Cyril Daniel, Rémi Dumas, Jean François, Sandra Frus, Norbert Gauthier, Mickaël Gonzalez, Émile Grande, Sophie Guinand, Jean Mansuy, Luc Pero, Anaïs Pescador, Thomas Privat, Susanne Renker, Auguste Roman, Laurent Sonsogni et Nicolas Vera), Le Répertoire des manades de Camargue, Sommières, Gilles Arnaud (réimpr. 2008) (1re éd. 2003), 213 p., p. 22.
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