Caissargues
Caissargues est une commune française située dans le sud-est du département du Gard, en région Occitanie .
Caissargues | |
La Poste | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Olivier Fabregoul 2020-2026 |
Code postal | 30132 |
Code commune | 30060 |
Démographie | |
Gentilé | Caissarguais |
Population municipale |
4 150 hab. (2019 ) |
Densité | 517 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 47′ 48″ nord, 4° 22′ 46″ est |
Altitude | Min. 22 m Max. 93 m |
Superficie | 8,02 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Nîmes (banlieue) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Marguerittes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-caissargues.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vieux Vistre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Caissargues est une commune rurale qui compte 4 150 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Nîmes et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Caissarguais ou Caissarguaises.
Géographie
Localisation
Les communes de Nîmes, Bouillargues, Garons et Saint-Gilles sont limitrophes de la commune de Caissargues, qui est située dans la plaine agricole de la Vistrenque.
Hydrographie et relief
Caissargues est traversé par une petite rivière d'apparence inoffensive mais qui gonfle subitement lors des pluies d'automne et provoque alors des inondations assez importantes : le Vistre.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].
Transports en commun
Caissargues fait partie du réseau TANGO (Transport de l'Agglomération Nîmoise) et est desservi par trois lignes :
- la ligne de Tram-bus T1 qui relie le centre de Nîmes à Caissargues en 20 minutes ;
- la ligne de bus 41 qui relie Nîmes, Caissargues, Garons (et vice-versa) ;
- la ligne de bus 42 qui relie Nîmes, Caissargues, et Saint Gilles (et vice-versa).
L'aéroport ne se situe pas très loin de Caissargues, à Garons et la gare TGV/TER se trouve à Nîmes.
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[12], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[14] : les « plaines de Caissargues et Aubord » (1 603 ha), couvrant 4 communes du département[15].
Urbanisme
Typologie
Caissargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[I 1],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nîmes, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 185 059 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
Caissargues est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,4 %), cultures permanentes (18,1 %), zones urbanisées (15,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), forêts (7,4 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Attestée sous les formes Caxanicus en 956[19], Caissanicus en 994[20], Caxanicus en 1007[21], Kassanguis en 1060[22], Caxanicœ, Cassanicœ, Casanicœ en 1076[23], In territorio Sancti-Salvatoris de Caissanicis, Caixanicœ, Caxanicœ, Caixanègues en 1114[24], Sanctus-Salvator de Caisanigues en 1119[25], Castrum de Caxanicis en 1208[26], Ecclesia Sancti-Salvatoris de Cassanicis en 1266[27], Cayssanicœ en 1310[28], Cayssanicœ ultra Vistrum en 1380[29], Ecclesia de Caysanicis en 1386[30], Caissanicœ en 1405[31], Caissargues en 1479[32], Quessargues en 1518[33], Quessargues en 1589[34], Cayssargues en 1671[35].
Ses habitants s'appellent les Caissarguais et Caissarguaises.
Histoire
Moyen Âge
Saint-Sauveur, prieuré bénédictin dépendant de Saint-Gilles[36].
Les guerres des Albigeois portèrent le trouble et la dévastation dans le village, en 1167[37].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].
En 2019, la commune comptait 4 150 habitants[Note 8], en augmentation de 6,79 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Primaire
Trois écoles primaires se trouvent à Caissargues dont une privée :
- L'école publique Cambourin (qui regroupe maternelle et élémentaire) se trouve au nord du village ;
- L'école privée Notre-Dame de Caissargues (qui regroupe maternelle et élémentaire) se trouve au centre du village, place de l'église ;
- L'école publique du Clos (qui regroupe maternelle et élémentaire) se trouve au sud du village.
Secondaire
Il existe plusieurs collèges aux alentours de Caissargues (aucun dans Caissargues). Les collèges se situent à Nîmes et à Bouillargues. Les plus fréquentés par les Caissarguais sont le collège public Les Fontaines à Bouillargues et le collège privé Emmanuel D'Alzon à Nîmes.
Tous les lycées se trouvent à Nîmes. Les plus fréquentés par les Caissarguais sont le lycée public Ernest-Hemingway (anciennement lycée Camargue) pour les baccalauréats généraux et technologiques, et le lycée public Dhuoda pour les baccalauréats professionnels. Existe aussi le Lycée ALphonse Daudet à Nîmes menant aux classes préparatoires.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 782 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 4 213 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 650 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 56 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (43,9 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 5,4 % | 8,7 % | 9,7 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 346 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 9,7 % de chômeurs) et 24,7 % d'inactifs[Note 11],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 1 593 emplois en 2018, contre 1 628 en 2013 et 1 660 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 564, soit un indicateur de concentration d'emploi de 101,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,9 %[I 13].
Sur ces 1 564 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 279 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 84,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,5 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
472 établissements[Note 12] sont implantés à Caissargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 472 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 29 | 6,1 % | (7,9 %) |
Construction | 76 | 16,1 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 143 | 30,3 % | (30 %) |
Information et communication | 9 | 1,9 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 19 | 4 % | (3 %) |
Activités immobilières | 23 | 4,9 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 83 | 17,6 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 49 | 10,4 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 41 | 8,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,3 % du nombre total d'établissements de la commune (143 sur les 472 entreprises implantées à Caissargues), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[44] :
- Bastide Le Confort Medical, location et location-bail d'autres biens personnels et domestiques (240 444 k€)
- Techniques Francaises D'export - Tfe, autres intermédiaires du commerce en produits divers (40 732 k€)
- Bastide Groupe, location et location-bail d'autres biens personnels et domestiques (9 997 k€)
- Peinture Antico Diffusion - Pad, fabrication de peintures, vernis, encres et mastics (8 486 k€)
- Tissot Electricite, travaux d'installation électrique dans tous locaux (3 938 k€).
Agriculture
La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 22 | 15 | 29 | 20 |
SAU[Note 15] (ha) | 758 | 829 | 825 | 612 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 15 en 2000 puis à 29 en 2010[47] et enfin à 20 en 2020[Carte 4], soit une augmentation de 9 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[48],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 758 ha en 1988 à 612 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 34 à 31 ha[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les arènes, situées au centre du village, sont un lieu typique de nombreux villages de la région.
- Un pigeonnier se trouve sur la place du village.
- Le bâtiment de la Poste (anciennement le clocher), l'église, l'ancienne mairie et le château sont les quatre plus anciens bâtiments de la commune.
- Église Notre-Dame de Caissargues.
Héraldique
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Les armes de Caissargues se blasonnent ainsi : D'azur au chevron d'or accompagné de trois poules d'eau d'argent, celles du chef affrontées, au chef du même chargé de trois étoiles de gueules[49].
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Histoire de Caissargues sur le site nemausensis », sur www.nemausensis.com (consulté le )
- « Caissargues sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Caissargues », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nîmes » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Caissargues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Caissargues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Caissargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Caissargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Nimes-Courbessac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Caissargues et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Caissargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Caissargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « plaines de Caissargues et Aubord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 20
- cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 70
- cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 114
- Histoire de Languedoc Il, preuves colonne 267
- Histoire de Languedoc Il, preuves colonne 292
- cartulaire de Notre-Dame de Nimes, chapitre 65
- bullaire de Saint-Gilles
- Ménard I, preuves page 46, colonne 1
- Ménard I, preuves page 87, colonne 2
- Ménard I, preuves page 164, colonne 2
- compoix de Nimes
- répartition du subside de Charles VI
- Ménard III, preuves pages 191, colonne 1
- la Taula del Possori de Nismes
- archives hospitalières de Nîmes
- compoix de Jonquières-et-Saint-Vincent
- compoix de Nîmes
- Laurent-Henri Cottineau, Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés : Tome I, A-L, Mâcon, Protat frères, , 1696 p., in-4° (BNF 31972730), p. 558
- Hector Rivoire, Bouillargues - extrait du Dictionnaire Historique des Communes du Gard, 1842, tome II, pages 525 à 526. (Dictionnaire des communes du Gard, écrit en 1842, ne fait pas la différence entre Bouillargues et Caissargues).
- publication du JO du 17 janvier 1904
- « Blog de la liste Caissargues demain »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur caissargues-demain.over-blog.com
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Caissargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Caissargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- « Blason de la commune », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
(oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 422, t.1
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