Gondrecourt-le-Château
Gondrecourt-le-Château est une commune française située dans le département de la Meuse en région Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Gondrecourt.
Gondrecourt-le-Château | |
L'Hôtel-de-ville et le monument aux morts | |
Héraldique |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Commercy |
Intercommunalité | CC des Portes de Meuse |
Maire Mandat |
Daniel Renaudeau 2020-2026 |
Code postal | 55130 |
Code commune | 55215 |
Démographie | |
Gentilé | Gondrefiguriens [1] |
Population municipale |
1 074 hab. (2019 ) |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 30′ 51″ nord, 5° 30′ 28″ est |
Altitude | Min. 287 m Max. 428 m |
Superficie | 51,33 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Ligny-en-Barrois |
Législatives | 1re circonscription de la Meuse |
Localisation | |
Géographie
Description
Gondrecourt est située dans une vallée très étroite arrosée par l'Ornain, et bornée au nord par des rochers nus qui, en quelques endroits, ont plus de 30 mètres d'élévation. Elle se divise en haute et basse ville. La première, bâtie sur un plateau, se nommait autrefois Gondrecourt-le-Château, à cause d'un vieux château fort dont le temps a presque enseveli le souvenir (il reste une tour ronde qui abrite actuellement un musée du Cheval). Elle existait au VIIe siècle et fut dit-on bâtie par un certain Gondoin, de qui lui serait venu le nom qu'elle porte encore aujourd'hui. Selon les anciennes chroniques, ce Gondouin, seigneur de Meuse, était père de Bodon Leudin, évêque de Toul, et de sainte Salaberge. La ville basse est formée en partie de constructions modernes et traversée par l'Ornain, dont les deux rives sont garnies de quais dans presque toute l'étendue de la ville[2].
Luméville-en-Ornois et Tourailles-sous-Bois, qui furent des communes avant d'être intégrées à Gondrecourt-le-Château en 1973, en sont séparées par le territoire de Horville-en-Ornois et constituent une exclave de la commune.
Communes limitrophes
Hydrographie
La ville est baignée par l'Ornain, qui naît de la confluence de l'Ognon et de la Maldite au sud du territoire communal.
L'Ornain, affluent de la Saulx puis de la Marne, est donc un sous-affluent de la Seine. Elle forme un méandre qui passe au centre la ville basse.
Milieux naturels et biodiversité
Les forêts de Gondrecourt-le-Château, qui s'étendent également sur Abainville, Amanty, Badonvilliers-Gérauvilliers, Chassey-Beaupré, Dainville-Bertheléville, Les Roises, Vouthon-Bas et Vouthon-Haut, avec leurs forêts caducifoliées et leurs pelouses calcicoles, sont concernées par une protection Réseau Natura 2000. On y observe notamment un complexe de pelouses à orchidées et de milieux forestiers surtout sur les versants et les fonds de vallons[3].
Le site se situe sur deux régions naturelles de la Meuse : le plateau du Barrois et les Côtes et collines de Meuse. Il abrite des milieux forestiers variés, une junipéraie (2,6 ha) et une pelouse sèche.Le site se situe sur un socle calcaire et oolithique
Urbanisme
Typologie
Gondrecourt-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), terres arables (36,6 %), prairies (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), zones urbanisées (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 591, alors qu'il était de 609 en 2013 et de 592 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 80,6 % étaient des résidences principales, 4,3 % des résidences secondaires et 15,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gondrecourt-le-Château en 2018 en comparaison avec celle de la Meuse et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,3 %) inférieure à celle du département (4,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,4 % en 2013), contre 67,5 % pour la Meuse et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Gondrecourt-le-Château[I 1] | Meuse[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 80,6 | 83,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,3 | 4,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,1 | 12,1 | 8,2 |
Toponymie
La dénomination Gondricurtis figure dans une bulle de Léon IX de 1051 en faveur du chapitre de Saint-Dié, et la forme de Gondricicurtis, dans un diplôme de Sophie, comtesse de Bar (1078-1093), en faveur de l'abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel. Au cours des siècles, d'autres variantes du toponyme sont apparues, parmi lesquelles Gundricurtis, Gondricurt (diplôme de Ricuin, évêque de Toul de 1112), Gondricort (cartulaire de Jeand'heurs de 1140), Gundricurt (diplôme d'Henri, évêque de Toul de 1151), Gondrecuria (donation de Philippe le Bel de 1307), Gondricuria (Regestrum Tullensis dioecesis beneficiorum de 1402), Gondrecour (carte des États du duc de Lorraine de 1700), Gondoinicurtis (carte du Toulois de 1707)[11].
Histoire
Le site est déjà occupé au Néolithique[12]. Un biface, silex taillé de la période du Solutréen, visible au musée de Nancy a été trouvé par un chasseur dans un champ labouré de la commune.
Selon la tradition, Gondrecourt a été fondée par Gondoin ou Gondulphe, comte d'Ornois, seigneur de Meuse, père du 17e évêque de Toul, saint Leudin-Bodon et sainte Salaberge au VIIe siècle[11]. Deux nécropoles de cette époque ont été effectivement découvertes.
Après avoir eu originairement ses seigneurs particuliers et avoir été ensuite réunie à la Champagne[Note 2], la terre de Gondrecourt fut donnée en 1307, avec ses dépendances à Édouard Ier, comte de Bar, par Philippe le Bel, à la sollicitation d'Édouard, roi d'Angleterre, oncle du comte[11]. Depuis cette époque, Gondrecourt, comme tous les domaines féodaux de quelque importance, fut souvent revendiquée par les rois de France et les feudataires. Tour à tour, cette ville subit le joug des seigneurs que les uns ou les autres lui octroyèrent, sans oser se plaindre de changements successifs qui ne modifiaient en rien sa misère ni son bien-être.
C'est ainsi qu'on voit à diverses époques la seigneurie de Gondrecourt possédée par les Rinel, les comtes de Bar, les ducs de Lorraine, les Armoises, les ducs de Bourgogne, les sires d'Anglure, le maréchal de l'Hospital, etc[13]. Les ducs de Bar, qui en furent le plus longtemps les possesseurs, lui accordèrent, entre autres privilèges, celui de recevoir de leur autorité la justice sur les lieux. Aussi y eut-il un bailliage sédentaire à Gondrecourt jusqu'en 1711, époque à laquelle il fut réuni à celui de Lamarche. La destinée de Gondrecourt fut triste pendant tout le régime féodal et ses fastes ne se composent guère que de calamités. En 1368, les Messins vinrent l'assiéger et s'en emparèrent[13]. Colart des Armoises et le comte de Saint-Pol, qui l'avaient vaillamment défendue, furent ou décapités ou pendus, avec treize autres gentilshommes des plus marquants.
Aux XIVe et XVe siècles, dans ces temps malheureux où tant de brigands ennemis ou alliés parcouraient la Lorraine en dévastateurs, Gondrecourt, médiocrement défendue par son enceinte de murailles, ne pouvait résister à la féroce cupidité de ces aventuriers. Aussi fut-il souvent pris, repris, saccagé et incendié.
Après avoir envahi le Barrois, le roi Louis XIII de France en fit entièrement démanteler les fortifications (1633-1634)[2]. En 1642, la ville est prise par les troupes françaises.
Lors de la Révolution française, le bourg est instituée commune et est le chef-lieu du district de Gondrecourt de 1790 à 1795.
Pendant la Première Guerre mondiale, la commune abrita à partir de 1917 un camp d'entraînement et un hôpital de campagne de la 1re division d’infanterie de l'armée américaine<[14].
- Remplissage d'un camion citerne d'essence au camp de Gondrecourt en 1917
- Infirmières de l'hôpital américain
Le bourg a été desservi par le chemin de fer dans les années 1880 par la ligne de Jessains à Sorcy et la ligne de Nançois - Tronville à Neufchâteau. Cette dernière a vu son service voyageur supprimé et 1969 et le trafic marchandises a perduré jusqu'en 2014.
Politique et administration
Le [15], les communes de Luméville-en-Ornois[16] et Tourailles-sous-Bois[17] fusionnent avec Gondrecourt-le-Château sous le régime de la fusion-association[18], dans le cadre des dispositions de la loi sur les fusions et regroupements de communes, dite Loi Marcellin.
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Commercy du département de la Meuse. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de la Meuse.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Gondrecourt-le-Château[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Ligny-en-Barrois.
Intercommunalité
La ville était le siège de la petite communauté de communes du Val d'Ornois, créée en 2000.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former le la communauté de communes des Portes de Meuse, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Meuse, la liste DVD menée par le maire sortant Stéphane Martin obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 363 voix (58,73 %, 12 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement celle également DVD menée par Thierry Piroird (255 voix, 41,26 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 12,94 % des électeurs se sont abstenus[21]
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Meuse, la liste menée par Daniel Renaudeau obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 321 voix (62,45 %, 13 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[22] :
- Thierry Piroird (127 voix, 24,70 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Corinne Auguste (66 voix, 12,84 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 25,11 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Le collège Val d'Ornois est implanté 2, rue Charlemagne à Gondrecourt-le-Château[26]. C'est un établissement public qui accueille 120 élèves à la rentrée 2021, répartis en 5 divisions.
Les élèves sont issus des trois écoles primaires environnantes: Gondrecourt, Houdelaincourt et Montiers.
Équipements culturels
- Médiathèque[27].
Justice, sécurité, secours et défense
La construction par l'intercommunalité d'une nouvelle gendarmerie est engagée fin 2021 à proximité du centre de secours des pompiers[29].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2019, la commune comptait 1 074 habitants[Note 3], en diminution de 7,49 % par rapport à 2013 (Meuse : −4,17 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramides des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (32,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,7 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 520 hommes pour 558 femmes, soit un taux de 51,76 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,49 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Médias
La chaîne de télévision locale Puissance Télévision dispose d'un bureau local au sein de la commune.
Cultes
Pour la religion catholique, depuis 1822-1823, la paroisse de Gondrecourt relève du diocèse de Verdun et de l'archiprêtré de Commercy et demeure chef-lieu du doyenné, dont la circonscription est la même que celle du canton[35].
Économie
Le village est un petit centre de services pour le Sud meusien. Cent dix établissements y sont recensés, pour un total d'environ 450 emplois[Quand ?]. Il comporte notamment un assureur, une banque, un restaurant, une poste, un collège, trois médecins, un dentiste, un cabinet d'infirmières, ainsi que quelques commerces de proximité : supérette, boulangerie, TV-Hifi, coiffeur et un garage automobiles.
Le principal employeur est la maison de retraite locale, avec une centaine d'emplois, le premier employeur privé étant un transporteur (35 emplois). La municipalité emploie quant à elle une vingtaine de personnes.
Le village a beaucoup souffert de l'effondrement de la filière bois-ameublement, qui a compté pourtant plusieurs centaines d'emplois dans les années 1960. L'implantation à proximité du Laboratoire de Bure a permis, grâce à des subventions de l'ANDRA, de redynamiser le canton.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de la Nativité-de-la-Vierge de Gondrecourt-le-Château : Église (XIe siècle). Chaque époque lui a apporté sa marque (voûtes du XIIIe s., chœur du XVe s., etc.). Elle renferme des merveilles : autel à baldaquin, mise au tombeau monumentale, baptistère, sculptures, vitraux, peintures... Elle est inscrite monument historique en 1970[36].
- L'église de l'Assomption de Luméville-en-Ornois.
- L'église Saint-Michel de Tourailles-sous-Bois.
- Tour de Gondrecourt : tour ronde du XVe siècle fusionnée avec l’ancien tribunal du XVIIIe siècle, qui abrite le Musée lorrain du Cheval, ouvert aux visiteurs en juillet-août[28].
- Habitations remarquables place de la Halle (ville haute).
- Temple protestant situé 15 place de l’Hôtel-de-Ville.
- La forêt de Gondrecourt-le-Château, d'environ 1 063 hectares.
- La Tour ronde.
- Vue de la tour depuis le viaduc.
- Le lavoir
- Passerelle sur l'Ornain
- Plan de la forêt.
Personnalités liées à la commune
- Charles 1er de Vigneulles, gouverneur de Gondrecourt dans la première partie du XVIIe siècle[37].
- Jean-Baptiste Sauce (1755-1825), ancien procureur syndic de Varennes-en-Argonne, est en mission à Gondrecourt-le-Château le lorsque les prussiens, voulant laver l'affront fait à la famille royale, viennent pour l'arrêter à son domicile.
- Louis Jacquinot (1898-1993), homme politique et ancien ministre né dans la commune.
- Fernand Braudel (1902-1985), historien, né à Luméville-en-Ornois, consacre quelques pages de son livre L'identité de la France au rôle économique de Gondrecourt dans son canton.
- Fernand Fleuret (1883-1945), écrivain et poète, né à Gondrecourt le .
- Simon Godchot, colonel et écrivain y est né le ; il décède à Nice en 1940[38].
- Roger Billoret (1910-1987), né à Gondrecourt, y passa son enfance avant de faire ses études à Nancy. Il devient professeur de lettres classiques au lycée Henri-Poincaré à Nancy en 1936 puis obtient l'agrégation de grammaire en 1937[39]. Archéologue et chercheur en antiquités romaines, Roger Billoret fut aussi un professeur très apprécié pour son érudition et dont l'enseignement exigeant transparaît dans sa remarquable Grammaire du latin (1952, Hachette) en collaboration avec son collègue de Khâgne classique, Élisabeth Greiner. Roger Billoret est enterré dans la tombe familiale du cimetière de Gondrecourt[40].
Voir aussi
Bibliographie
- Gondrecourt-le-Château - Aux sources de l'Ornain, 96 pages, édité par la Ville de Gondrecourt, Maury Imprimeur, 2007.
- Fernand Braudel, L'identité de la France : Espace et Histoire, Paris, Arthaud-Flammarion, , 367 p. (ISBN 2-70030411-X)
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Gondrecourt-le-Château (55215) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Gondrecourt-le-Château », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Gondrecourt-le-Château » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Il relevait du présidial et des coutumes de Sens et appartenait à divers seigneurs vassaux dont Gui de Plancy, Joffroi de Vaudémont et Jean de Joinville.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Gondrecourt-le-Château » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Gondrecourt-le-Château - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Gondrecourt-le-Château - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Meuse » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- https://www.habitants.fr/meuse-55
- FiloSoft
- « FR4100182 - Forêts de Gondrecourt-le-Château » [PDF], Inventaire national du patrimoine naturel, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Gondrecourt-le-Château, inventaire topographique, 1981, p. 187 (ISBN 2-11-080752-0).
- « GONDRECOURT-LE-CHATEAU » (consulté le ).
- « Château de Gondrecourt le Château - Lorraine | Meuse - 55 », sur montjoye.net (consulté le ).
- Nicolas Galmiche, « Gondrecourt-le-Château - Centenaire « Vive l’amitié franco-américaine », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Arrêté préfectoral en date du 1er décembre 1972
- Gondrecourt-le-Château, inventaire topographique, 1981, p. 241 (ISBN 2-11-080752-0).
- Gondrecourt-le-Château, inventaire topographique, 1981, p. 275 (ISBN 2-11-080752-0).
- http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/fichecommunale.asp?codedep=55&codecom=215
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Résultats officiels pour la commune Gondrecourt-le-Château
- « Meuse (55) - Gondrecourt-le-Château », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Les maires de Gondrecourt-le-Château », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Lodoïs Gravel, « Municipales 2020 : Stéphane Martin, maire de Gondrecourt-le-Château : "je ne me représente pas, je change de vie" : Le maire de Gondrecourt-le-Château (Meuse) jette l'éponge. Après trois mandats celui qui est aussi président de la communauté de communes des Portes de Meuse a choisi de changer de vie », France 3 Grand Est, 27/2/2020 mis à jour le 11/6/2020 « Il fut l'un des plus jeunes maires de France au début des années 2000. Elu le 26 janvier 2004 à 27 ans, il en a aujourd'hui 43 et désire changer de vie ».
- « Daniel Renaudeau élu maire de Gondrecourt », L'Est républicain, 27/5/2020 mis à jour le 2/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
- « Collège Val d'Ornois », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le )
- « Médiathèque et subventions au menu des conseillers : Traditionnel conseil de fin d’année et cortège de décisions qui n’ont fait l'objet d’aucune objection de la part des conseillers », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Gondrecourt-le-Château », Le territoire, sur http://www.portesdemeuse.fr (consulté le ).
- Béatrice François, « Nouvelle gendarmerie : la première pierre est posée : C’est un projet datant de dix ans qui aboutit : la première pierre de la nouvelle gendarmerie de Gondrecourt-le-Château a été officiellement posée. Bureaux, locaux techniques, garages les bâtiments vont s’étendre sur 1 500 m². Dix logements de fonction sont prévus », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gondrecourt-le-Château (55215) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Meuse (55) », (consulté le ).
- Gondrecourt-le-Château, inventaire topographique, 1981, p. 189 (ISBN 2-11-080752-0).
- « L'église de la Nativité-de-la-Vierge », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Pages généalogiques de Stéphane LOUIS - Ferry de Bildstein », sur stephane.louis.free.fr (consulté le ).
- « Simon Godchot (1858-1940) », sur data.bnf.fr (consulté le ).
- « Roger Billoret (1910–1987) », sur Grand, Vosges, site archéologique (conseil départemental des Vosges) (consulté le )
- Nécrologie et Bibliographie de Roger BILLORET
- Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872.
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