Grenade-sur-l'Adour

Grenade-sur-l'Adour est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Grenade.

Grenade-sur-l'Adour

L'église de Grenade-sur-l'Adour.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays grenadois
(siège)
Maire
Mandat
Odile Lacouture
2020-2026
Code postal 40270
Code commune 40117
Démographie
Gentilé Grenadois
Population
municipale
2 440 hab. (2019 )
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 37″ nord, 0° 25′ 42″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 84 m
Superficie 19,72 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Grenade-sur-l'Adour
(ville-centre)
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Adour Armagnac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Grenade-sur-l'Adour
Géolocalisation sur la carte : France
Grenade-sur-l'Adour
Géolocalisation sur la carte : Landes
Grenade-sur-l'Adour
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Grenade-sur-l'Adour

    Ses habitants sont appelés les Grenadois.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située au bord de l'Adour et de la route nationale 124, entre Aire-sur-l'Adour et Mont-de-Marsan.

    Elle s'étend sur près de 2 000 hectares. Elle doit son paysage de barthes au passage de l'Adour qui matérialise la limite sud de son territoire.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 024 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records GRENADE-SUR-AD (40) - alt : 72 m 43° 48′ 00″ N, 0° 26′ 12″ O
    Statistiques établies sur la période 1990-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1990 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,9 2,4 4,4 6,5 10,7 13,7 15,2 15,2 11,9 9,3 5,1 2,5 8,3
    Température moyenne (°C) 6,5 7,6 10,6 12,4 16,7 19,7 21,5 21,7 18,4 14,9 9,7 6,7 13,9
    Température maximale moyenne (°C) 11 12,9 16,7 18,4 22,7 25,7 27,8 28,2 24,9 20,4 14,2 10,9 19,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −9,5
    27.01.07
    −10,5
    12.02.12
    −9,5
    01.03.05
    −4
    04.04.1996
    1
    05.05.19
    4,5
    01.06.06
    7,5
    04.07.1990
    6
    30.08.1998
    2
    25.09.02
    −3,5
    25.10.03
    −8
    17.11.07
    −12
    25.12.01
    −12
    2001
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    21,5
    13.01.1993
    27
    27.02.19
    29
    20.03.05
    33,5
    08.04.11
    35
    30.05.01
    41,5
    21.06.03
    40,5
    19.07.16
    40,5
    17.08.12
    37,5
    12.09.16
    32,5
    01.10.1997
    27,5
    06.11.15
    22
    07.12.00
    41,5
    2003
    Précipitations (mm) 89,2 80,2 76,4 92,1 87,9 65 56,9 70,6 73,8 90,9 106,5 94,3 983,8
    Source : « Fiche 40117001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Grenade-sur-l'Adour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenade-sur-l'Adour, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 3 092 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), forêts (10 %), zones urbanisées (8,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Fondation et époque contemporaine

    « Terra Granata » (terre riche en grains)[18] est une bastide fondée en 1322 par les Anglais. L'occupation anglaise, qui fit la prospérité de la cité, cessa en 1442. Endommagée par les Huguenots et en 1814 par Wellington. Passage de plusieurs souverains (Charles VII, Henri IV, Louis XIII). Située au carrefour de l'Armagnac, du Tursan et de la Chalosse, Grenade-sur-l'Adour (Terra Granata, terre riche en grains) est une ville frontière sur l'Adour. L'implantation de la bastide par les Anglais en 1322 correspondait à un objectif défensif et stratégique. Elle permettait de contrôler la navigation en direction de l'océan mais aussi la traversée du fleuve pour les échanges nord-sud.

    La place centrale des tilleuls (5 200 m2) est l'une des plus importantes des bastides landaises. Sa vocation a toujours été commerciale. Elle est bordée de couverts qui constituaient des portions de rues à part entières. De petites rues pittoresques rappellent l'existence d'anciennes fortifications : rue des remparts, rue des anciens fossés, rue du chemin de ronde… En vous promenant vous admirerez également de belles façades à colombages.

    L'église gothique du XVe siècle remaniée au XVIIIe siècle est classée dans l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (portail ogival, très belle descente de croix encadrée par le retable, chœur orné de boiseries chaire du XVIIIe siècle…).

    La Seconde Guerre mondiale

    Le , au cours d'une action des maquisards dirigée par maître Vielle, adjoint au maire, un important convoi allemand était intercepté aux portes de la ville infligeant à l'ennemi des pertes sensibles. En représailles, la population rassemblée sur la place publique et tenue sous la menace des mitrailleuses assistait, impuissante, à l'incendie de ses principaux édifices et à l'arrestation de cinquante otages dont bon nombre furent déportés.

    En juin 1948, Grenade-sur-l'Adour faisait ériger une stèle devant la mairie. Le 11 novembre de cette même année, la ville était citée à l'ordre du corps d'armée par le secrétariat d'État aux forces armées (guerre) recevant le , la croix de guerre avec étoile de vermeil.

    Un odonyme (route du 13-Juin-1944) rappelle également cet évènement.

    Héraldique

    Blasonnement :
    de gueules à la barre cousue d'azur chargée de trois fleurs de lys d'or à plomb, accompagnée, en chef, d'une gerbe de blé du même et, en pointe, d'un archange contourné aux ailes abaissées d'argent tenant dans ses mains les deux parties d'un chaînon brisé du même * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.
    Commentaires : Devise: « terra granata » (terre fertile en grains).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1977 Pierre Bouneau CNI puis UDF Industriel - Sénateur (1965-1983)
    Conseiller général du Canton de Grenade-sur-l'Adour (1951-1982)
    1977 1983 Jean Lamothe   Négociant
    1983 1989 Gérard Pradal   Libraire
    1989 2020 Pierre Dufourcq UDF
    puis NC-UDI
    Retraité
    Conseiller Général du Canton de Grenade-sur-l'Adour (1982-2015)
    Président de la Communauté de communes du Pays grenadois
    2020 En cours Odile Lacouture SE Retraitée

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20]. En 2019, la commune comptait 2 440 habitants[Note 6], en diminution de 2,59 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2501 3301 3681 7291 4161 4421 5001 4971 520
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4501 5891 6281 6581 5381 4131 4741 4741 372
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3371 3171 2661 1591 1691 1881 2071 1791 331
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 3692 0462 0062 1292 1872 2652 4232 4682 505
    2018 2019 - - - - - - -
    2 4562 440-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Voies

    124 odonymes recensés à Grenade-sur-l'Adour
    au
    Allée Avenue Bld Chemin Cours Impasse Passage Place Quai Rd-point Route Rue Square Villa Autres Total
    3 [N 1] 8 0 33 0 12 0 5 [N 2] 0 0 4 [N 3] 58 [N 4] 0 0 1 [N 5] 124
    Notes « N »
    1. Allée de l'Adour, allée du Capitaine-Tassa et allée Guynemer.
    2. Place des Déportés, place des Tilleuls, place Guynemer, place Saint-Exupéry et place du 19-Mars-1962.
    3. Route d'Aire, route de Bascons, route de Mont-de-Marsan, route de Saint-Sever.
    4. Dont la rue du 13-Juin-1944.
    5. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameau*/ x, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
    Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap

    Édifices et sites

    L'église gothique dont l'origine remonte au XVe siècle possède sa façade à deux tours, édifiée en 1833 à l'image de Saint-Sulpice. Une très belle descente de croix est encadrée par le retable, dans le chœur orné de boiseries.
    Église de Grenade sur Adour de nuit
    • Arcades
    En tant qu'ancienne bastide, la place de Grenade-sur-l'Adour comporte encore sur deux côtés des arcades.
    Arcades de la bastide de Grenade
    • Berges de l'Adour
    Les berges de l'Adour, dotées de tables et bancs permettant de pique niquer sur place, offrent un lieu de promenade agréable sous les arbres.
    Les berges de l'Adour
    • Fronton
    Les Landes sont un département dans lequel se pratique la pelote basque, ce qui explique la présence d'un fronton sur l'une des places de Grenade-sur-l'Adour.
    Fronton
    • Abri
    Un certain nombre d'abris, certains restaurés comme celui-ci, se trouvent encore dans le village.
    Abri

    Personnalités liées à la commune

    • Alain Vidalies, homme politique français, né le à Grenade-sur-l'Adour.
    • Antoine Simon Durrieu, général français, né en 1775 à Grenade-sur-l'Adour.
    • Jean-Louis Vielle alias René est né à Geaune (Landes) le . Après l’invasion de la zone libre, il devient un agent du réseau Hilaire-Buckmaster, puis chef de la résistance dans la ville de Grenade. Il fut tué dans la nuit du 12 au , lors d’un combat qui eut lieu sur le territoire de Bordères-et-Lamensans (Landes) au lieu-dit Maras, alors qu’il commandait un groupe de dix résistants chargés d’attaquer un convoi allemand. Il fut abattu par un officier allemand blessé qui appelait à l’aide et auprès duquel il s’était approché. En guise de représailles, les Allemands procédèrent à des arrestations à Grenade à la suite de cette embuscade. 30 civils seront arrêtés, 17 déportés seuls 7 survécurent. La rue principale de Grenade-sur-l’Adour porte aujourd'hui son nom et sa mémoire est honorée chaque année le .
    • Jean Cassaigne, né à Grenade-sur-l'Adour le , partit comme missionnaire sur les hauts plateaux de Cochinchine en 1926 où il fonda la léproserie de Djiring. Nommé évêque de Saïgon en 1941, il démissionne en 1955 après avoir décelé les premiers signes de la lèpre sur son corps. Il rejoint la léproserie de Djiring où il meurt le .
    • Philippe Ulrich, concepteur de jeux vidéo et musicien, l'un des pionniers de l'industrie du jeu en France, né le à Grenade-sur-l'Adour.
    • Pierre Bouneau, homme politique français, sénateur des Landes de 1965 à 1983, décédé le à Grenade-sur-l'Adour.
    • Alban Laboudigue, résistant, né à Bégaar en 1909 et exploitant forestier à Grenade. Il fut arrêté en 1943 avec des armes en forêt de Lussagnet. Il s'évada puis créa le maquis « Jean-Pierre », prénom de son fils, dans la forêt de Grésigne dans le Tarn. Avec son groupe, il participa aux nombreuses actions du maquis Vendôme contre les troupes allemandes. Après la guerre, il créa les fêtes du quartier Laboudique à Grenade et s'investit dans les clubs de tennis et de pétanque.

    Culture et société

    Événements

    • Fêtes patronales début juin.

    Jumelages

     Hésingue (France)

    Bibliographie

    • Meyranx, Louis-Bernard, Monographie de Grenade-s-l'Adour, Galiax, J. Villeneuve, , 243 p. (lire en ligne)
    • Meyranx (Abbé), Grenade-sur-l'Adour, histoire d'une bastide landaise, Monein, PyréMonde (Ed. des Régionalismes), , 206 p. (ISBN 978-2846184243)
    • Bruneton-Governatori, Ariane, Grenade-sur-l'Adour, d'un siècle à l'autre. Une bastide au fil de l'eau. Castay, 2000, 307 p.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Fiche du Poste 40117001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Grenade-sur-l'Adour », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Pays Grenadois, plaquette éditée par l'office de tourisme du Pays grenadois, consultée en décembre 2011
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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