Groupe Partouche

Le Groupe Partouche est un groupe de loisirs français (casinos, hôtels, restaurants, thermes) créé en 1973 par Isidore Partouche. Né en 1930 à Trézel (Algérie)[2], Isidore Partouche est rapatrié en France en 1962[3] et fait l'acquisition en 1973 de son premier casino à Saint-Amand-les-Eaux[4].

Groupe Partouche

Création 26/11/1958
Fondateurs Isidore Partouche
Personnages clés Isidore Partouche & Patrick Partouche
Forme juridique Société anonyme à directoire et conseil de surveillance
Slogan "Jouez le jeu"
Siège social 17e arrondissement de Paris
 France
Direction Fabrice Paire, PDG et Président du Directoire
Actionnaires Voir liste
Activité Activités des sièges sociaux (APE 7010Z)
Produits Loisirs, Casinos, Hôtellerie, Restaurants, Poker, Thermes
Effectif 39 au 31/10/2018 (niveau holding)
SIREN 588801464[1]
Site web http://www.groupepartouche.com/

Fonds propres 439 014 500 € au 31/10/2018 (niveau holding)
Chiffre d'affaires 435 000 000 € au 31/10/2018 (niveau holding)
Résultat net 5 838 500 € au 31/10/2018 (niveau holding)

La société est cotée en bourse Paris Euronext.

Histoire

Avant 1973

La famille Partouche s'installe au Touquet-Paris-Plage. En 1960, elle y installe un karting, sur le parking nord de la digue[5],[6].

1973-1990 : un développement dans l’adversité, grâce à un réel savoir-faire

En 1973, Isidore Partouche, rapatrié d’Algérie où il était radioélectricien concessionnaire de la société Philips, reprenait avec l’aide de ses frères et sœurs le casino de Saint-Amand-les-Eaux, avec son établissement thermal et la source d’eau minérale. Le redressement de ce casino, en grande difficulté, est assuré avec succès en lui appliquant les recettes commerciales « familiales », et permet à Isidore Partouche d’initier un développement qui se concrétise par des acquisitions de casinos dans le Nord de la France (Le Touquet en 1976, Forges-les-Eaux en 1986, Dieppe en 1988 et Vichy en 1989) et par une création de casino (Calais en 1982). L’activité d’un casino se limite à cette époque aux seuls jeux traditionnels et la rentabilité des établissements en souffre, mais convaincu de la nécessaire évolution du secteur à terme, Isidore Partouche va jusqu’à vendre ses exploitations d’eau de source pour garder ses casinos.

Le Pasino de Saint-Amand-les-Eaux premier casino du Groupe Partouche.

1991-1995 : une rentabilité accrue et une reconnaissance du métier en Bourse

La rentabilité du Groupe est transformée par l’implantation des machines à sous dans progressivement la totalité des établissements du Groupe. En 1991, le Groupe prend le contrôle du casino Le Lyon Vert à La Tour de Salvagny et de ses filiales, les casinos de Saint-Galmier et de Juan-les-Pins. Le développement du Groupe se poursuit avec la réouverture des casinos de Berck (1991) et Royat (1992), les rachats des casinos d’Aix-en-Provence, La Ciotat et Palavas (1994). À la recherche d’une reconnaissance du métier, le Groupe Partouche est le premier groupe de casinos intégrés à faire la démarche d’une introduction en Bourse en France : le , la société Groupe Partouche SA est introduite au second marché de la Bourse de Paris, par le biais d’une augmentation de capital, qui lui donne les moyens financiers autorisant la consolidation des positions acquises en France et le développement de ses activités, notamment à l’étranger.

1995-2005 : diversification et croissance externe

Fort de cette notoriété nouvelle et d’une rentabilité croissante, le Groupe procédera à des opérations de diversification, quant à son activité et son implantation.

Des hôtels viennent s’inscrire dans le panorama du Groupe Partouche, avec l’acquisition en 1997 de l’hôtel 4 étoiles de Juan-les-Pins devenu Le Méridien-Garden Beach, les ouvertures en 2000 du Hilton de la Cité internationale de Lyon et de l’hôtel Aquabella à Aix-en-Provence, l’achat en 2001 du Savoy (devenu 3.14) de Cannes.

Dès , un premier casino à l’étranger intègre le Groupe à la suite du rachat du casino de la station belge de Knokke. S’ensuivent des créations d’établissements : celle en 1996, en collaboration avec le Club Méditerranée, d’un casino à Agadir au Maroc, celle en 1998 du casino de Djerba en Tunisie sous la forme d’un Pasino, concept original de centre d’animation avec établissement de jeux, et celle en 1999 du Casino de San Roque en Andalousie. Le cœur de métier, soit l’activité casinotière en France, est aussi étoffé avec notamment l’arrivée dans le périmètre du Groupe des casinos de Cabourg et Beaulieu-sur-Mer (1997), du Carlton Casino Club à Cannes (1998), dont le transfert de licence autorisera la réouverture du prestigieux Casino Palm Beach, et du casino de Lyon (1999).

Le Groupe affirme vouloir faire évoluer le concept même du casino, comme expérimenté à Djerba, et ouvre en 2001 le Pasino d’Aix-en-Provence, casino de nouvelle génération qui rencontrera un grand succès jusqu’à atteindre le second rang français. En 2003, le casino de Saint-Amand-les-Eaux change de site et se transforme en Pasino, trente ans après son acquisition.

En 2002, le Groupe réalise la plus importante acquisition de son histoire. Entre janvier et avril, grâce à une contre OPA victorieuse sur la Compagnie européenne de casinos, le Groupe Partouche accueille 22 casinos supplémentaires, soit 18 en France et 4 à l’étranger. Parallèlement à de nouvelles ouvertures d’établissements (Meyrin en Suisse en 2003 et le Palais de la Méditerranée à Nice en 2004), des arbitrages sont opérés dans le parc d’établissements.

Puis en 2005, une seconde opération de croissance externe significative, lors du rachat du Groupe de Divonne comprenant cinq casinos dont celui de Divonne-les-Bains, vient ponctuer cette période faste qui aura vu le marché des casinos gagner sa maturité.

2006-2013 : l’ouverture aux nouvelles technologies et un contexte difficile

En , le groupe Partouche crée une nouvelle filiale, Partouche Interactive, consacrée au développement de jeux sur de nouvelles plateformes technologiques telles que la télévision, la téléphonie mobile et Internet, qui obtiendra rapidement une licence du gouvernement de Gibraltar pour l’exploitation de jeux en ligne. D’importantes modifications vont ensuite intervenir dans le cadre réglementaire d’exploitation des casinos.

En 2007, la famille Partouche refuse une offre d'achat du Groupe Partouche par Michel Ohayon[7],[8]. La même année débute l’application de la nouvelle réglementation des jeux incluant notamment la possibilité de mixité des jeux et la suppression du droit de timbre à l’entrée des salles de jeux traditionnels. En novembre de la même année, le contrôle d’identité aux entrées est rendu obligatoire pour les casinos français. À ce premier frein à la fréquentation des casinos s’ajoute en 2008 l’interdiction de fumer, très pénalisante pour la clientèle des joueurs. Un contexte de crise économique viendra également affecter le secteur des casinos à travers la fréquentation des établissements et les moyens financiers de leur clientèle ; Groupe Partouche concentre alors ses efforts dans l’optimisation de sa gestion opérationnelle. En parallèle, le Groupe entend rester à la pointe des évolutions du métier ; du début des tests du Texas hold’em poker à Aix-en-Provence jusqu’au succès du Partouche Poker Tour, Partouche devient un acteur majeur du poker. Et en 2009, il est le premier à lancer son Megapot, un jackpot multi-sites reliant plus de 200 machines à sous dans plus de 45 établissements. Enfin, en 2010, il obtient une licence d’exploitation du poker dans le cadre de l’ouverture légale des jeux en ligne en France ; et la finale (Main Event) du Partouche Poker Tour Saison 3, en septembre, bat tous les records en accueillant à Cannes, au Casino du Palm Beach, 764 joueurs dont les plus grandes stars internationales. Le prizepool (somme des gains remportés par les joueurs finalistes) a été de près de 5,7 M€. L’édition 2011 confirme le grand succès de ce tournoi. L’année 2011 voit le déploiement de la solution Pcash (Partouche Cashless), système propriétaire permettant la suppression, à terme, de l’utilisation des jetons dans les machines à sous. Enfin, dans le cadre d’une augmentation de capital réservée d’un montant de 30,6 M€, lui donnant 12,52 % du capital de Groupe Partouche SA, le groupe Butler Capital Partners devient en un partenaire minoritaire mais actif. En 2012, Groupe Partouche est de nouveau confronté à un environnement économique difficile (baisse du produit brut des jeux en France entraînant une dégradation sensible de la rentabilité opérationnelle du groupe). Face au recul d’activité du pôle Interactive essentiellement lié à l’inadéquation du modèle économique du poker en ligne français, pour lequel la filiale Partouche Gaming France déploie son activité, Groupe Partouche annonce en la réorientation stratégique de l’activité poker au sein du groupe et la restructuration de l’activité du site de poker en ligne www.partouche.fr. La construction du casino de La Grande-Motte s’achève et ce nouvel établissement ouvre ses portes le .

L’année 2013 se déroule dans un contexte de baisse d’activité commun à l’ensemble du secteur casinotier et Groupe Partouche poursuit son adaptation en concentrant ses moyens humains et financiers sur ses activités historiques et arrête son activité Poker en ligne en France.

Pour autant, Groupe Partouche continue à être moteur pour l’évolution de son métier. Grâce à l’expérimentation de la Bataille à Aix-en-Provence, ce jeu a pu être déployé dans toute la France. L’expérimentation du Sic Bo, jeu de dés asiatique, se déroule à Forges-les-Eaux et celle du bingo, jeu convivial et populaire, est engagée au Pasino d’Aix-en-Provence début 2014. Dans l’évolution vers des produits nouveaux attendu par la clientèle, de nombreuses roulettes anglaises électroniques ont été déployées dans les casinos du Groupe. Par ailleurs, Groupe Partouche reste le seul opérateur en France à disposer d’un jackpot multisite, le Megapot, créateur de millionnaires, avec plus de 200 machines à sous connectées entre elles dans les casinos du Groupe permettant au joueur de gagner des lots exceptionnels.

Enfin, constamment exposé au risque lié au non-respect d’un covenant du crédit syndiqué, pouvant entraîner l’exigibilité immédiate du capital dû, Groupe Partouche avait entrepris en une négociation avec le pool bancaire et, en l’absence d’accord trouvé, la holding Groupe Partouche SA a obtenu le l’ouverture d’une procédure de sauvegarde auprès du tribunal de commerce de Paris.

2013-2015 : Année charnière et poursuite du redressement

Dès , le plan de sauvegarde présenté par la société Groupe Partouche SA, comprenant notamment un étalement de l’échéancier de remboursement du crédit syndiqué sur près de neuf ans, est adopté à l’unanimité des membres des comités des établissements de crédit et assimilés et des principaux fournisseurs. Ce plan sera homologué par le tribunal de commerce de Paris par un jugement en date du mettant fin à la procédure de sauvegarde engagée un an auparavant.

L’exercice 2014 enregistre également des cessions d’actifs (casinos d’Hauteville, Knokke et Dinant, hôtel Hilton de Lyon) dont une partie du produit de cession est allouée au remboursement anticipé du crédit syndiqué.

En 2015, la structure financière de Groupe Partouche redevient très saine grâce à la fois au cash flow dégagé des activités, à des investissements maîtrisés et aux cessions d’actifs, dont une partie va en remboursement anticipé du crédit syndiqué.

L’exercice 2015 enregistre également des résultats en forte progression qui reflètent la reprise marquée de l’activité ainsi que l’amélioration de la marge opérationnelle.

2015-2020

En 2018, le groupe est soupçonné dans une affaire de blanchiment d'argent dans son casino 3.14 de Cannes[9] il obtiendra un non-lieu[10] le 26 septembre 2019.

Le , le groupe Partouche annonce céder pour 11,5 millions d'euros les parts qu'il détient au sein de l'hôtel Palm Beach de Cannes, qui abritait son casino jusqu'en 2017. La cession sera finalisée lors de l'été 2019[11].

En , Partouche annonce un chiffre d'affaires en hausse de 5% atteignant les 222 millions d'euros pour le premier semestre de l'année[12]. La hausse de la fréquentation de ses établissements constitue l'explication principale de la bonne dynamique retrouvée du groupe Partouche[13].

En 2020, la crise liée au Covid-19 précipite une chute de moitié du chiffre d'affaires lors du deuxième trimestre en raison de la fermeture des casinos[14]. Le chiffre baisse ainsi de 46 % à 56,9 millions d'euros sur cette période[15]. Sur l'ensemble du premier semestre, la baisse du chiffre d'affaires est de 17,3 % à 183,6 millions d'euros[16].

Depuis 2020 : La digitalisation

Le 16 novembre 2020, Partouche lance son premier casino en ligne en Suisse, extension de son établissement du lac Meyrin, à Genève[17]. Proposé dans les trois langues nationales et en anglais, le nouveau casino en ligne a pour but de maintenir une offre dans un contexte sanitaire qui met en péril les affaires de Partouche en raison des confinements et de fermetures d'établissements répétés[18].

En avril 2022, Partouche annonce le lancement de Partouche Multiverse, une filiale dédiée à l'exploitation du Metavers[19]. Partouche souhaite en effet devenir un incontournable du "divertissement 3.0", se basant sur la conviction que le Metavers est une révolution de grande ampleur[20].

Au premier semestre 2021-2022, Partouche repasse dans le vert avec un bénéfice net de 24,6 millions d'euros, contre une perte de 88 millions d'euros à la même période en 2020-2021, en lien avec la fermeture des casinos lors de la crise sanitaire[21]. Le chiffre d'affaires de Partouche a quadruplé à 187,2 millions d'euros sur les six premiers mois de l'exercice en cours, contre 47,2 millions un an auparavant[22].

Actionnaires

Mise à jour au 09/09/2019[23].

Nom %
Financière Partouche 66,8%
Butler Capital Partners 13,3%
Isidore Partouche, 4,20%
Patrick Partouche 0,47%
Portzamparc Gestion 0,40%
Meeschaert Asset Management 0,19%
Katy Zenou 0,10%
Groupe Partouche (aut-contrôle) 0,065%
Ari Sebag 0,059%
Inversis Gestión 0,010%

Les activités du Groupe Partouche

Casinos

L'activité des casinos représente l'essentiel de l'activité du Groupe.

Partouche compte en 2016, 42 casinos dont 38 en France, 2 en Suisse, 1 en Tunisie et 1 en Belgique

Le métier des jeux est soumis à une réglementation des jeux et à un cadre fiscal particulier lié à cette activité. Les autorisations d'ouverture de casino sont accordées selon certaines conditions très spécifiques par les autorités de tutelle.

En 2009, le Groupe Partouche est le premier à lancer son Mégapot, un jackpot multisites reliant plus de 200 machines à sous dans 38 établissements. Le Lyon Vert casino avec 63 millions d'euros de gains redistribués au cours de la première moitié de l'année 2018, il est également l'un des meilleurs casinos pour remporter le jackpot, ou le Megapot mis en jeu par Partouche selon certains guides de casinos[24].

Interactive

En 2006, Partouche crée une nouvelle filiale, Partouche Interactive, consacrée au développement de jeux sur de nouvelles plateformes technologiques telles que la télévision, la téléphonie mobile et Internet.

Le site internet permet de jouer aux jeux de casinos proposés par Partouche dans ses casinos terrestres et au poker sur internet dans des conditions optimales de légalité et sécurité.

En 2010, Partouche obtient la licence d'exploitation de casino et poker en ligne, selon les restrictions de chaque pays.

Poker

Après avoir réduit son activité Poker avec la fin du Partouche Poker Tour en 2012 et la fermeture de son site de poker en ligne en 2013, le Groupe annonce le retour du Partouche Poker Tour en 2020. À cause du Covid-19 l'édition 2020 sera annulée. Le Partouche Poker Tour reviendra donc en 2021.

Les établissements du Groupe Partouche

Les Casinos

Le Groupe Partouche compte 42 casinos en Europe dont 38 en France.

Le Groupe compte 5 Pasinos, nom commun inventé par Isidore Partouche pour désigner un complexe de divertissement ouvert à tous proposant jeux, espaces événementiels et spectacles.

France


Suisse Belgique

Tunisie

Hôtels et Restaurants

  • 11 hôtels du 3* au 5*
  • 120 restaurants

Les Thermes

Pour approfondir

Bibliographie

  • Patrick Partouche, La Banque a sauté, Éditions Michel Lafon, 2012.

Liens externes

Notes et références

  1. Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)
  2. Le Point, magazine, « Les Partouche, une famille en or », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
  3. « Pourquoi Partouche n'a plus la baraka », LExpansion.com, (lire en ligne, consulté le )
  4. (fr) Isidore Partouche roi des bandits-manchots, Le Point du 26 janvier 2007
  5. chronologie dactylographiée, et non publié en l'état, par Fernand Holuigue, secrétaire perpétuel de la Société académique du Touquet-Paris-Plage.
  6. Société académique du Touquet-Paris-Plage, Le Touquet-Paris-Plage 1912-2012 un siècle d'histoires, Le Touquet-Paris-Plage, Les Écrits du Nord Éditions Henry, (ISBN 978-2-917698-93-8), p. 109 écrits de Richard Klein
  7. « Pas d'accord entre la famille Partouche et Michel Ohayon », sur Les Echos, (consulté le )
  8. « L'Impartial 5 juillet 2013 — e-newspaperarchives.ch », sur www.e-newspaperarchives.ch (consulté le )
  9. « Casinos : Partouche sous pression après la découverte d'une affaire de blanchiment », (consulté le )
  10. « Non-lieu dans l'affaire du casino Partouche de Cannes », sur LExpress.fr, (consulté le )
  11. « Palm Beach à Cannes: Partouche cède ses parts restantes pour 11,5 millions d'euros », sur FIGARO, (consulté le )
  12. « PARTOUCHE : +8% pour le chiffre d’affaires au deuxième trimestre », sur Capital.fr, (consulté le )
  13. « Casinos Partouche: le chiffre d'affaires progresse de 5% grâce au regain de fréquentation », sur FIGARO, (consulté le )
  14. « Le géant du casino Partouche durement touché par le confinement », sur Capital.fr, (consulté le )
  15. Zone Bourse, « PARTOUCHE : le Covid-19 a lourdement pesé sur l’activité du deuxième trimestre | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  16. Le Figaro avec AFP, « Partouche: le chiffre d'affaires amputé de moitié au deuxième trimestre », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  17. Zone Bourse, « Partouche lance son casino en ligne en Suisse | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  18. Le Figaro avec AFP, « Partouche lance son casino en ligne en Suisse », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  19. 6medias avec AFP, « Casinos : Partouche se lance dans le métavers », sur Capital.fr, (consulté le )
  20. « Casinos : Partouche crée une filiale dédiée aux projets dans le métavers », sur LEFIGARO, (consulté le )
  21. « Groupe Partouche : net regain de dynamisme au 1er semestre », sur Bourse Direct (consulté le )
  22. « Casinos : Partouche revient dans le vert au premier semestre », LEFIGARO, (lire en ligne, consulté le )
  23. Zone Bourse, « liste des actionnaires », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  24. « Casinos Terrestres En France : Les Meilleures Destinations », sur CasinoOnlineFrancais (consulté le )
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