Ivry-la-Bataille
Ivry-la-Bataille est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Ivry.
Ivry-la-Bataille | |
Le village vu du château. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Évreux |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Dreux |
Maire Mandat |
Sylvie Hénaux 2020-2026 |
Code postal | 27540 |
Code commune | 27355 |
Démographie | |
Gentilé | Ivryens |
Population municipale |
2 665 hab. (2019 ) |
Densité | 343 hab./km2 |
Population agglomération |
5 088 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 53′ 04″ nord, 1° 27′ 42″ est |
Altitude | Min. 55 m Max. 137 m |
Superficie | 7,76 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Ivry-la-Bataille (ville-centre) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-André-de-l'Eure |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-ivry-la-bataille.fr/ |
Ses habitants sont les Ivryen(ne)s.
Géographie
Localisation
Hydrographie
La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine, qui a joué un rôle important dans le développement de la ville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de Bû, mise en service en 1996[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 635,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ivry-la-Bataille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ivry-la-Bataille, une agglomération inter-régionale regroupant 3 communes[19] et 5 088 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,4 %), zones urbanisées (18,8 %), prairies (6,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,5 %), forêts (2,4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Ebriaco en 1023 ; Ibriacum au XIe siècle[26] ; Castrum Ebrense, Ibreicense ou Ivreicense en 1085 (Neustria pia) ; Ivriacum en 1118 (Suger, Vie de Louis le Gros) ; Castrum Ibreiense vers 1164 (charte de Henri II) ; Ivreium en 1193 (L. Dubois) ; Ivri en 1214 (feoda Normanniæ) ; Yvrie et Ybriacus vers 1250 (charte de la Noë) ; Ybreium en 1254 (reg. visit.) ; Yvre en 1270 (cart. du chap. d’Évreux) ; Ivry la Chaussée en 1588 (compte de 1454) ; Ibreium en 1557 (Robert Cœnalis) ; Ivrey en 1611 (Desrues, Singularitez de plus célèbres villes) ; Yvri en 1722 (Piganiol de la Force) ; Ivry en 1740 (sent. de la vic. de l’Eau) ; Ibroeya en 1779 (D. Bourget) ; Yvry en 1791 (Précis de la nouvelle Géographie de la France)[27].
Dans le nom d'Ivry-la-Bataille, « Ivry » vient du gaulois Eburiacum « lieu des ifs » comme Ivry-sur-Seine ; le suffixe « la-Bataille » fait allusion à une victoire, la bataille d'Ivry, remportée par Henri IV en 1590.
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d'Ivry-la-Hauteur[28].
Histoire
Au temps de l'Empire romain, le bourg se nommait Iberium ou Heriacum[29].
Au Moyen Âge, le bourg d'Ivry, situé au pied de son château était ceint d'une muraille percée de portes fortifiées. Vers 1839, près de l'église, il n'en subsistait plus que les débris d'une porte flanqué à l'origine de deux tours, construites en appareil irrégulier. De cette période, il reste des celliers creusés dans le calcaire, à la base du promontoire dominant la ville, destinés à abriter des tonneaux de vin, la vigne étant omniprésente à l'époque médiévale. Jean de Wavrin, dans une chronique du XVe siècle, au moment de la reconquête du château en 1424, dit, que les Anglais arrivent « en une belle plaine au-dessus des vignes »[30].
Dès 1300[31], les archives font état d'échanges fluviaux entre Ivry et Rouen via l'Eure puis la Seine. Charles VII, au milieu du XVe siècle, ordonne aux baillis d’Évreux et de Chartres de « mettre ladite rivière de Chartres à la Seine, en telle disposition et ordonnances que les vaisseaux et bateaux y pussent passer ». Dans un compte de la baronnie d'Ivry, il est dit que « du au dernier jour de septembre 1548, il est passé par Ivry 437 bateaux montants et 367 descendants ». De même en , on précise qu'a transité par bateau « grande quantité de pierres, bois, fer et plâtres pour les bâtiments de Madame »[Note 8],[31].
En 1590, c'est dans les environs que le roi de France Henri IV battit les Ligueurs. Une pyramide érigée en mémoire de cette bataille fut détruite pendant la Révolution française, et rebâtie sous Napoléon Bonaparte : « Le , le premier consul Napoléon Bonaparte se rend sur les lieux de la bataille d'Ivry[32] ».
En 1860 la commune compte 950 habitants, et possède des tanneries[Note 9] et une filature de coton, actionnés par la force motrice des eaux de l'Eure. Le partage de cette dernière, entre bateaux et moulins, nécessite de réguler son débit. Il subsiste, rue de la Porte-à-Bateaux, une vanne qui retenait l'eau afin d'alimenter les moulins et ouverte le passage des bateaux[31].
L'Eure, voie d'échange, est déclassé en 1869 ; le train arrive à Ivry à partir de 1873[31]. De 1873 à 1969, elle sera desservie par une gare sur la ligne ferroviaire de Saint-Georges-Motel au Grand-Quevilly.
Au XIXe siècle, les halles, situées au centre de la Grand-Rue, aujourd'hui rue Henri-IV, sont supprimées. On construit, près de l'église, le bâtiment de l'Arsenal, qui dès 1898, abrite les pompiers, leurs véhicules et leurs matériels. La distillerie Bridot située près de l'hôtel de ville, reconvertit en salle polyvalente, est fondée à la même époque, comme les bâtiments de l'hôtel de ville[31].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2019, la commune comptait 2 665 habitants[Note 10], en diminution de 0,04 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin, des XVe et XVIe siècles, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1958[38].
- Dans l’église, un magnifique vitrail, don de madame veuve Auguste Laval, née Julie Ledoux, belle-sœur de Jacques-Désiré Laval, résume toute la vie du bon Père. Au centre y est représenté le Père, prêchant aux noirs de l’île Maurice et, sur son lit de mort, guérissant Caroline Prosper. De chaque côté, en haut du vitrail, deux images en l’honneur des saints patrons d’Auguste Lavallois Pierre et de sa femme Julie ; plus bas, des paysages de l'île Maurice, la rade de Port-Louis, le Pouce, des champs de canne, le tombeau de l’apôtre, l’ancienne cathédrale et l’église de Pamplemousses.
C’est dans cette même église que le docteur Laval regroupa les fidèles pour y célébrer le mois de Marie, devant une statue de la Vierge qui existe toujours.
- Abbaye bénédictine Notre-Dame (ancienne), du XIe siècle, dont il ne reste que le portail d'entrée, une statue et une arcade romane. Ces vestiges sont classés au titre des monuments historiques depuis 1932[39].
- Château d'Ivry-la-Bataille, forteresse médiévale des Xe et XIIIe siècles, classé au titre des monuments historiques depuis 1990[40]. Fief de la famille d'Ivry.
- Maison dite « d'Henri IV ou de l'Ange », du XVIe siècle, dans le centre du bourg, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1932[41]. Une tradition fausse prétend que le souverain y aurait séjourné après la bataille d'Ivry. Le mur gouttereau donnant sur la rue de Garenne, est à pan de bois avec un décor sculpté dont des engoulants (têtes animales monstrueuses) qui encadrent les sablières et des représentations humaines ou animales qui rehaussent les poteaux au niveau de l'encorbellement. On peut également voir au-dessus d'un profil féminin encadré dans un médaillon, Saint Martin.
- Maison « du bailli » : située également rue de Garenne, elle occupe la totalité d'un îlot délimité au nord par la rue des Belles-Femmes, et on peut voir à la base sud du logis une fenêtre à meneau horizontal datable de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle[42], et dans un angle une tourelle d'escalier.
- « Grotte du Sabotier » cavité aménagée à mi-pente entre le château et le bourg, qui, à la suite de fouilles récentes ont permis d'affirmer qu'au XVIIIe siècle la grotte avait abrité un culte votif funéraire.
Église Saint Martin. Portail de l'ancienne abbaye. Château. Maison « de l'Ange » ou « d'Henri IV ». Façade sur rue en pans de bois.
Personnalités liées à la commune
- Jacques-Désiré Laval (1803 † 1864), s’installa dans cette ville, avec l’accord des trois médecins de la région, et y retrouva la pratique de la foi. Il y passa une année, d’ à . Sa demeure était l’ancienne gendarmerie, non loin du pont de l’Eure.
- La tombe d’Auguste Laval, né à Croth le , se trouve dans le cimetière du village.
- François-Joseph Mauduit, auteur d'un ouvrage sur Ivry, sa ville de naissance[43].
- Charles-Henri Brasier (1864 † 1941), industriel automobile, est né à Ivry-la-Bataille.
- Raymond Bussières (1907 † 1982), acteur, est né à Ivry-la-Bataille.
- Georges Bernard (1883-1957), homme politique né à Ivry-la-Bataille.
- Stefan Wul (pseudonyme de Pierre Pairault), écrivain, était dentiste à Ivry-la-Bataille du début des années 50 jusqu'à sa retraite à la fin des années 80.
Héraldique
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Ces armes se blasonnent ainsi : d'or à trois chevrons de gueules
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Voir aussi
Bibliographie
- François-Joseph Mauduit, Histoire d'Ivry-la-Bataille et de l'abbaye de Notre-Dame d'Ivry, d'après les notes et pièces inédites recueillies par feu M. F.-J. Mauduit, rédigées et classées par un membre de la Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure, Évreux, Imprimerie de Charles Hérissey, , 609 p. (lire en ligne).
- Erik Follain et Dominique Pitte, « À la découverte du passé d'Ivry-la-Bataille », Patrimoine normand, no 94, juillet-août-septembre 2015, p. 45-52 (ISSN 1271-6006).
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- On est en pleine construction du château d'Anet.
- Des tanneries s'installent sur les berges de l'Eure dès le Moyen Âge, ainsi que des moulins à grain et des installations pour fouler le drap.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bu_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ivry-la-Bataille et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bu_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ivry-la-Bataille et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Follain et Pitte 2015, p. 45.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 119.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Dictionnaire universel d'Histoire et de Géographie, éd. Hachette, année 1860, page 901.
- Follain et Pitte 2015, p. 46-47.
- Follain et Pitte 2015, p. 49.
- Le Journal de Rouen, 2 novembre 1802.
- « Maire d’Ivry-la-Bataille, Patrick Maisons ne se représentera pas aux élections municipales de 2020 », Paris-Normandie, (lire en ligne).
- Jumelage d'Ivry-la-Bataille sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du ministère des Affaires étrangères, consulté le 12 janvier 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église », notice no PA00099461, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancienne abbaye », notice no PA00099459, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no PA00099460, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison dite de Henri IV », notice no PA00099462, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94, juillet-août-septembre 2015, p. 46 (ISSN 1271-6006).
- Cans Albert, « Histoire d'Ivry-la-Bataille et de l'Abbaye d'Ivry [compte-rendu] », revue d'histoire moderne & contemporaine, Évreux, vol. 1, no 5, , p. 533-534 (lire en ligne).
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