Gacé
Gacé est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 811 habitants[1].
Gacé | |
![]() Le château. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées d'Auge et du Merlerault |
Maire Mandat |
Jean Grimbert 2020-2026 |
Code postal | 61230 |
Code commune | 61181 |
Démographie | |
Population municipale |
1 811 hab. (2019 ![]() |
Densité | 279 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 35″ nord, 0° 17′ 49″ est |
Altitude | Min. 179 m Max. 316 m |
Superficie | 6,50 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Vimoutiers |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.gace.fr |
Géographie
Gacé se trouve sur l'axe Rouen-Le Mans. La Touques arrose la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Couvains », sur la commune de La Ferté-en-Ouche, mise en service en 1970[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Gacé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,8 %), zones urbanisées (14,7 %), forêts (14,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), terres arables (2,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté sous les formes de Gaci vers 1055 et Waci en 1066[22].
Les toponymistes considèrent la finale -é comme une évolution phonétique du suffixe gallo-roman *(I)-ACU, issu du gaulois -acon (celtique commun *-āko-), localisant à l'origine, puis marquant la propriété. La forme -é est caractéristique de l'ouest (sud de la Normandie, Maine, Haute-Bretagne, Anjou, etc.), ailleurs au nord ouest et au nord, cette finale est notée -y, -ay (-ai dans l'Orne par correctisme officiel) ou -ey.
Par contre, l'analyse du premier élément Gac- ne fait pas l'unanimité.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing[23] l'expliquent par le nom de personne gallo-romain Vassius. Ils le relient aux toponymes du type Vassy, Vassé et Vaissac
- Ernest Nègre propose, quant à lui, le nom de personne germanique Wacco[24], cité par Marie-Thérèse Morlet[25]
- René Lepelley reprend la proposition d'A. Dauzat et C. Rostaing, avec le nom de personne Wassius, donné sans astérisque[26].
Remarques : 1/ le nom de personne gallo-roman Vassius serait issu du gaulois vassos « serviteur, soumis » (cf. vasseur, vassal, valet. cf. breton gwaz « homme, mari »). 2/ Le passage de [v] à [g] (par l'intermédiaire de [w]) suppose une influence germanique qui se serait exercée sur la consonne initiale de l'anthroponyme [v] devenu [w] puis [g(w)]. On la note, entre autres, dans certains noms communs, par exemple : WADU → gué (peut-être latin vadum, assimilé au vieux bas francique *wad) ; WESPA → guêpe (latin vespa, assimilé au vieux bas francique *wespa), etc. 3/ Il existe effectivement un nom de personne germanique Wasso cf. Vassonville (Seine-Maritime), Boisgasson (Eure-et-Loir) et le nom du poète Wace (autrement Gace, etc.), nom de famille normand Vasse. Dans la partie septentrionale de la Normandie, le [w] est passé à [v] vers le XIIe siècle, sans aboutir à [g] comme dans la partie méridionale (cf. Ligne Joret). 3/ Vassy (Calvados, Vadceium en 1107 (DRS), Vaceium en 1187, Vaacey 1303) est mentionnée sous la forme Waacie vers 1066. Cependant, ses autres formes anciennes n'impliquent pas véritablement un apparentement avec Gacé[27]. De même, Wassy (Haute-Marne, Finis Vuaseacinsis, 662, Vuasciacus, 1066-80, Waseium, 1171, Waissi) peut difficilement contenir le même anthroponyme.
Histoire
Avant l'an mille
- Voie romaine Rouen - Le Mans.
- Hugues le Grand y a séjourné.
De l'an mille à 1400
- Vers 1041, Raoul de Gacé, connétable de Normandie, est seigneur de Gacé.
- En 1119, les paysans de Gacé sont épargnés par Richard de Laigle.
- Au milieu du XIIIe siècle, les du Merle deviennent seigneurs de Gacé par mariage de Guillaume V du Merle[28] avec Marie de Nollent de Tancarville, dame de Gacé, jusqu'au mariage vers 1380 d'Agnès du Merle, dame de Gacé, de la Ferté-Fresnel et du Merlerault avec Jean de La Champagne, seigneur d’Avrilly.
De 1400 à 1800
- À la suite du mariage de Jeanne de La Champagne, fille de Jean, avec Nicolas (ou Nicol) Paynel, la famille Paynel possède Gacé jusqu'en 1414, quand Jeanne Paisnel, unique héritière de Nicolas, se marie avec Louis d'Estouteville[29]. Au début du XVe siècle, Foulque IV Paynel, baron de Hambye et de Bricquebec, seigneur de Chanteloup, de Moyon, de Créances, d'Apilly (Saint-Senier-sous-Avranches), du Merlerault et de Gacé, est un puissant seigneur de Normandie, chevalier banneret qui regroupe sous ses armes, quatre bacheliers et de dix à quatorze écuyers. Son frère Nicole Paynel lui succédera[30].
- Occupation de la cité par les Anglais durant la guerre de Cent Ans. En 1417, les Anglais fortifièrent Gacé. La ville revient à la France en 1449 sur l'intervention du sire D'Orval.
- Prise du château par les chouans en 1800.
De 1800 à nos jours
- Affaire criminelle Albert Leclercq en 1924[31].
- Destruction du centre de Gacé en , qui fut la première ville sinistrée de l'Orne.
- Voie ferrée Sainte-Gauburge (Orne) au Mesnil-Mauger (Calvados) (désaffectée).
Héraldique
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Blason | De gueules à deux tours d'argent closes et maçonnées de sable, rangées en fasce[32]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
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Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et trois adjoints[36].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2019, la commune comptait 1 811 habitants[Note 7], en diminution de 7,88 % par rapport à 2013 (Orne : −3,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle[41]
Lieux et monuments
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- Église Saint-Pierre, de style néo-gothique, construite vers 1880 sur les plans de l'architecte Ruprich-Robert, élève de Viollet-le-Duc.
- Château des XIIe (?), XIVe, XVe, XVIe et XVIIe siècles, en pierre et briques rouges, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1968[42],[43],[44],[45], occupé par la mairie et le musée de La Dame aux camélias[46],[47].
- Monument aux morts[48] : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962).
Personnalités liées à la commune
- Louis Charles Grégoire Maignet (Gacé 1768-1848), général d'Empire[49], officier de la Légion d'Honneur (1815).
- Charles Auguste Goyon de Matignon (1647-1739), comte de Gacé, maréchal de France.
- Le peintre Edgar Degas et la comtesse de Ségur marquèrent aussi la ville par leur passage.
- Marie Duplessis, née Alphonsine Plessis, qui inspira à Alexandre Dumas fils son roman La Dame aux camélias, y travailla chez un marchand de parapuies[50].
- André Moizo, « roi de l'évasion » et chef de gang à la Libération, condamné à la peine capitale aux Assises de l'Orne le 8 mai 1947. Gacé est l'épicentre de ses exactions en 1944. Il serait impliqué dans l'assassinat d'Émile Buffon à Joué-du-Plain en juin 1944 et celui du vice-consul François Van Aerden en septembre 1944, selon une enquête de la SRPJ de Rouen en 1953[31].
- Dominique Hoppe, président de l'Assemblée des francophones fonctionnaires des organisations internationales (AFFOI), élu personnalité francophone de l'année 2012 lors du premier Forum mondial de la langue française, lauréat du prix Gusi de la Paix en 2014, nominé au prix Nobel de la paix en 2015, et parrain de la fête des Normands en 2017, possède une résidence à Gacé depuis 2013 [51].
Voir aussi
Bibliographie
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Gacé, p. 500
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Population municipale 2019.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Couvains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gacé et La Ferté-en-Ouche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Couvains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gacé et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 308.
- ibidem.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2, Librairie Droz 1991. p. 758.
- Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes de l'ancienne Gaule, I, p. 211a.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 131.
- E. Nègre, op. cit., volume I, p. 593.
- Guillaume V du Merle baron du Merlerault, Messei et Goron était né vers 1210.
- Jersey : ses antiquités, ses institutions, son histoire.
- Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 80.
- Jean-François Miniac (préf. Alain Lambert), Les Grandes Affaires criminelles de l'Orne, Paris, Éditions de Borée, coll. « Les Grandes Affaires criminelles », , 336 p. (ISBN 978-2-84494-814-4).
- http://www.gace.fr/?page_id=816
- « Derniers vœux d'Albert Debotté, maire de Gacé, avant son retrait », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Gacé. François Dreux facilement réélu », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Municipales à Gacé. François Dreux a été réélu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- « Gacé (61230) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle
- « Château de Gacé », notice no PA00110811, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Tour, côté nord-est
- Ensemble
- Châtelet d'entrée, côté ouest
- Façade donnant sur le parvis : Tour d'angle avec horloge et entrée de la mairie
- Vue d'ensemble : Tourelle et escaliers menant au parvis
- Monument aux morts
- F. Babier et J. G. St-Sauveur, Archives de l'honneur, ou Notices sur la vie militaire, t. 4 passage= 155-156, Paris, Laurens aîné, (lire en ligne).
- Musée de la dame aux camélias
- « Dominique Hoppe, habitant de Gacé, parrain de la fête des Normands en 2017 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
Liens externes
- Site municipal
- Résumé statistique de Gacé sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Sites et paysages
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