Les Salles-du-Gardon

Les Salles-du-Gardon est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Salles.

Les Salles-du-Gardon

La mairie.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Georges Brioudes
2020-2026
Code postal 30110
Code commune 30307
Démographie
Population
municipale
2 600 hab. (2019 )
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 12′ 29″ nord, 4° 02′ 08″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 723 m
Superficie 21,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine La Grand-Combe
(banlieue)
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Les Salles-du-Gardon
Géolocalisation sur la carte : France
Les Salles-du-Gardon
Géolocalisation sur la carte : Gard
Les Salles-du-Gardon
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Les Salles-du-Gardon

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès , Valat de Gravelongue et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Les Salles-du-Gardon est une commune urbaine qui compte 2 600 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 5 357 habitants en 1962. Elle est dans l'unité urbaine de La Grand-Combe et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Sallois ou Salloises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église de La Tour, inscrite en 1963, et le château de La Tour, inscrit en 1963.

    Géographie

    Les Salles-du-Gardon se trouve dans les Cévennes, en limite de la zone périphérique du parc national :

    La commune, dont le relief est très accidenté, est partagée par la faille des Cévennes en deux parties. L'est est aride et calcaire. La végétation, proche de la garrigue, y est dominée par le chêne vert. L'ouest est humide et schisteux. La végétation y est plus haute, principalement composée de châtaigniers et de pins.

    Le Gardon longe la limite orientale de la commune. La rive opposée (rive gauche) est occupée par La Grand-Combe.

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[1] : le « Gardon d'Alès à la Grand-Combe » (179 ha), couvrant 8 communes dont 7 dans le Gard et 1 dans la Lozère[2] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[1] : les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[3].

    Toponymie

    Le nom de la commune viendrait, selon un manuscrit de 1345, du germanique sala signifiant château. Selon une autre hypothèse, le nom viendrait d'une traduction mot à mot de « salle » dans le sens de grotte.

    Histoire

    La commune abrite en effet, le long du Gardon, un ensemble de grottes qui auraient servi d'hôpital pendant la guerre des Camisards. Le site est malheureusement aujourd'hui recouvert par les remblais de la route nationale 106.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1948 1975 Jean Delpuech PCF Conseiller général du Canton de La Grand-Combe (1964-1975)
    Député suppléant de la 3e circonscription du Gard (1973-1978)[4]
    1975 2008 Alain Tassera PCF  
    2008 En cours Georges Brioudes SE-DVG Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[6].

    En 2019, la commune comptait 2 600 habitants[Note 3], en diminution de 0,69 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    1 1881 2242 0001 0411 1121 1551 0701 0391 035
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    1 0851 2651 2961 5661 7821 5231 6391 6931 665
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 8311 8421 8252 4945 0315 3574 5483 9043 534
    1990 1999 2006 2011 2016 2019 - - -
    3 0632 5712 5852 5432 6062 600---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[8].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 113 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 2 346 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 920 [I 1] (20 020  dans le département[I 2]). 25 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 5] (43,9 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 3]14 %14,7 %15,6 %
    Département[I 4]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 5]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 373 personnes, parmi lesquelles on compte 59,8 % d'actifs (44,2 % ayant un emploi et 15,6 % de chômeurs) et 40,2 % d'inactifs[Note 6],[I 3]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 6]. Elle compte 467 emplois en 2018, contre 427 en 2013 et 370 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 616, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,1 %[I 7].

    Sur ces 616 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 141 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

    Activités hors agriculture

    142 établissements[Note 7] sont implantés aux Salles-du-Gardon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 10].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble142100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2517,6 %(7,9 %)
    Construction3826,8 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3625,4 %(30 %)
    Information et communication32,1 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance10,7 %(3 %)
    Activités immobilières21,4 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    96,3 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    74,9 %(13,5 %)
    Autres activités de services2114,8 %(8,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,8 % du nombre total d'établissements de la commune (38 sur les 142 entreprises implantées aux Les Salles-du-Gardon), contre 15,5 % au niveau départemental[I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7645
    SAU[Note 9] (ha)79691514

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[9]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 14 ha[11],[Carte 3],[Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[13].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 13] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 265 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salindres », sur la commune de Salindres, mise en service en 1915[18] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[19],[Note 14], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 068,8 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 46 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[22], à 13,5 °C pour 1981-2010[23], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Salles-du-Gardon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 15],[25],[I 12],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Grand-Combe, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 13] et 9 567 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 14],[I 15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 16]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 16],[I 17].

    La commune se partage entre un habitat minier des années 1960 (principalement à l'est, le long du Gardon) et un ensemble de hameaux traditionnels dont l'implantation est le plus souvent très ancienne.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,1 %), zones urbanisées (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %), prairies (0,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Hameaux et lieux-dits

    • La Favède
    • Le Pouget
    • Le camp del Fray
    • Aubenas
    • La Fous
    • L'Impostaire
    • La Pomarède
    • Les Baumes
    • L'Habitarelle
    • Paillères
    • Les Amelhens
    • Pourcayrargues
    • Jouvenargues
    • La Tour
    • Glanière (Haut et Bas)
    • Le Grand Valat
    • Ruffières

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    5. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[10].
    12. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
    13. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    14. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    15. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    16. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 aux Salles-du-Gardon » (consulté le ).
    2. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    3. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 aux Salles-du-Gardon » (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    7. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 aux Salles-du-Gardon » (consulté le ).
    8. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    9. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    10. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 aux Salles-du-Gardon » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de La Grand-Combe » (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Liste des ZNIEFF de la commune des Salles-du-Gardon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    2. « ZNIEFF le « Gardon d'Alès à la Grand-Combe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    3. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. https://archive.org/stream/EL066L197303030031PFPdfmasterocr/EL066_L_1973_03_030_03_1_PF_pdfmasterocr#page/n1/mode/2up
    5. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    6. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    9. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    10. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    11. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune des Les Salles-du-Gardon - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Ancienne église de La Tour », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    18. « Station Météo-France Salindres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    19. « Orthodromie entre Les Salles-du-Gardon et Salindres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station Météo-France Salindres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Les Salles-du-Gardon et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )

    Voir aussi

    Lien externe

    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.