Longueville-sur-Scie

Longueville-sur-Scie est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Longueville.

Longueville-sur-Scie

L'église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes Terroir de Caux
Maire
Mandat
Olivier Bureaux
2020-2026
Code postal 76590
Code commune 76397
Démographie
Gentilé Longuevillais
Population
municipale
992 hab. (2019 )
Densité 251 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 34″ nord, 1° 06′ 37″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 139 m
Superficie 3,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Longueville-sur-Scie
(ville-centre)
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Longueville-sur-Scie
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Longueville-sur-Scie
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Longueville-sur-Scie
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Longueville-sur-Scie

    Géographie

    Communes limitrophes de Longueville-sur-Scie
    Dénestanville La Chaussée
    Sainte-Foy
    Criquetot-sur-Longueville Saint-Crespin

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 933 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Longueville-sur-Scie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longueville-sur-Scie, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 3 040 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34 %), prairies (32 %), forêts (18,3 %), zones urbanisées (15,7 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Longa villa vers 1130; Longueville la Giffard du Xe au XVe siècle, du nom d'une célèbre famille seigneuriale, les Giffard[24].

    Longueville : « Village en longueur »[24].

    La Scie est un fleuve côtier de Normandie qui se jette dans la Manche.

    Histoire

    Au XIe siècle, Longueville devient un fief de la famille Giffard. Gautier II Giffard, seigneur de Longueville, est le fondateur et le protecteur du prieuré de Longueville-la-Giffard[25].

    Le comté puis duché de Longueville tient son nom de la commune [26]. Il fut donné à Jean bâtard d'Orléans, comte de Dunois, fondateur de la Maison d'Orléans-Longueville, mari de Marie d'Harcourt (héritière des vicomté de Melun, comté de Tancarville, seigneurie de Varenguebec, charges de chambellan et connétable de Normandie, seigneurie de Montreuil-Bellay, comté de Montgomery[Lequel ?], vicomté d'Abbeville, baronnie de Parthenay, principauté de Châtelaillon...). Dunois « bâtard d'Orléans » et Marie d'Harcourt sont les parents du comte François Ier, époux d'Agnès de Savoie, père de François II le premier duc et de Louis Ier le deuxième duc, qui suit. Le titre de comte de Dunois est attaché au duché.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1830 septembre 1830 Vincent Feray    
    septembre 1830 juin 1831 Amédée d’Imbleval    
    juillet 1831 juillet 1852 Louis d’Imbleval    
    juillet 1852 mars 1861 Pierre Legras    
    mars 1861 septembre 1870 Edouard Amédée d’Imbleval Droite Conseiller général
    septembre 1870 mai 1880 Louis Couppey    
    1880 avril 1896 Louis Legras Républicain Conseiller général
    1896 avril 1906 Henri Legras    
    avril 1906 avril 1909 Armand Laurent    
    avril 1909 novembre 1919 Jules Duvey   Huissier
    1919 décembre 1920 Honoré Delahaye    
    1920 juillet 1921 Robert Delafontaine    
    juillet 1921 septembre 1921 Jules Duvey    
    septembre 1921 juin 1928 Paul Rolle    
    1928 avril 1942 Robert Delafontaine    
    mai 1942 1977 André Lebaudy Rad. Ingénieur IDN, directeur à la société Ch. Gervais
    Conseiller général
    1977 1983 Bernard Prieux PS  
    1983 2001 René Delcourt UDF Conseiller général
    2001 2014[27] Serge Boulanger PS Retraité de l'industrie automobile
    Conseiller général de Longueville-sur-Scie (2004 → 2015)
    2014 En cours
    (au 31 juillet 2020)
    Olivier Bureaux DVD Fonctionnaire
    Président de la CC Terroir de Caux (2020[28] → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2019, la commune comptait 992 habitants[Note 8], en augmentation de 2,27 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    362405422435544581589594697
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    685742687720708697702696689
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    657728702637582572544622661
    1962 1968 1975 1999 2006 2011 2016 2019 -
    725801764936923982985992-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Carte postale du village vers 1930.

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Pinchon (père de Robert Antoine Pinchon) : (Rouen 1846-1925). Journaliste, poète et écrivain français. Très grand ami de Guy de Maupassant avec qui il a coécrit une pièce de théâtre : Maison turque ou la feuille à l'Envers. Robert Pinchon a également écrit d'autres pièces de théâtre comme Un orage, L'Amour Chasseur... Le célèbre auteur de Boule de suif est venu rendre visite à son ami en 1878 qui habitait alors avec sa mère dans la commune de Longueville-sur-Scie.
    • Charles Bovary : Dans son roman Madame Bovary, Gustave Flaubert fait passer le docteur Bovary par le village de Longueville-sur-Scie afin de se rendre au chevet d'un de ses malades.
    • Olivier Costa de Beauregard (1872-1958), ingénieur agronome, propriétaire du domaine de Sainte-Foy, conseiller général de 1934 à 1940, membre fondateur de la Société normande d'études préhistoriques.

    Héraldique

    Les armes de la commune de Longueville-sur-Scie se blasonnent ainsi :
    de gueules au château de deux tours et un donjon d'argent maçonné hersé et ajouré de sable, le tout surmonté à senestre d'un faucon volant aussi de sable


    Images

    Gare de Longueville-sur-Scie
    Passage d'un train de terre pour Rouen .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Beaurepaire, « Notice sur le château de Longueville », Nouveaux mélanges historiques et archéologiques, 1904, p. 419-430
    • Beaurepaire, « Notice sur le château de Longueville », Bulletin de la Commission des Antiquités de la Seine-Inférieure, t.XII - 1900-1902, p. 343-354
    • Beaurepaire, « Notice sur Robert Couppequesne, vicaire à Longueville », Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, t.V, 1878-1881, p. 95-97
    • Beaurepaire, « Triste état du Prieuré de Longueville, 1738 », Bulletin de la Société d'Histoire de Normandie, 1900-1904, p. 377-380
    • Blanchetiere, « La Seigneurie de Longueville au Moyen Âge », Les Amys du Vieux Dieppe, no 41-42, Imprimerie Dieppoise, 1939
    • Joseph Prudent Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine-Inférieure, Arrondissement de Dieppe, Rouen, 1877
    • Jean Benoît Désiré Cochet, La Seine-Inférieure archéologique, 1866
    • Jean Benoît Désiré Cochet, Les églises de l'arrondissement de Dieppe, t.I, 1850, p. 253
    • Jean Benoît Désiré Cochet, Les églises de l'arrondissement de Dieppe, t.II, Églises rurales, 1850
    • Jean Benoît Désiré Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-inférieure, Paris, Imprimerie nationale,
    • Jean Benoît Désiré Cochet - Épitaphie de la Seine-Inférieure, Paris, 1855
    • Jean Benoît Désiré Cochet (1864) - La Seine-Inférieure historique et archéologique ; Époques gauloise, romaine et franque - Réédition 1866, 614 p., fig., biblio.
    • Coquelle, « Les clochers romans de l'arrondissement de Dieppe », in Bulletin archéologique, 1905
    • Olivier Costa de Beauregard, « Excursion du à Longueville, les Grandes-Ventes et Sainte-Foy », Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques, t.XV, 1907, p. 19-30
    • David, « Longueville, ses ruines, son vieux château sortent de leur léthargie », in Présence normande, no 5, S.N.P.R., Rouen, 1970
    • Dieudonné Dergny, Les Épaves du Passé, Arrondissement de Dieppe, 1898 ; réédition de 1980
    • Michel Toussaint Chrétien Duplessis, Description de la Haute Normandie, t.I, 1740
    • Jean-Luc Gazan, Historique des paroisses du canton de Longueville-sur-Scie, Luneray, 1998
    • Alexandre-Auguste Guilmeth, Description de l'arrondissement de Dieppe, p. 21
    • Alexandre-Auguste Guilmeth, Description historique de l'arrondissement de Dieppe, p. 1
    • Harel (1907), « Excursion à Longueville, Les Grandes Ventes et Sainte Foy », in Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques, 1907 (1908), p. 20
    • René Herval, « Longueville et la vallée de la Scie », in Beautés de la Normandie, Maugard, Rouen, 1958
    • La Vigie de Dieppe, année 1934 : 13/7 ; 20/7 ; 28/9 ; 26/10 ; 25/12 ; année 1935 : 5/4 ; année 1936 : 24/7 ; 28/7 ; année 1937 : 2/7 ; année 1940 : 29/3 ; 10/4 ; année 1945 : 27/11.
    • Le Verdier, « Destruction d'anciennes cloches, Longueville, Lintot, Manéhouville etc. », Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, t.XII, 1900-1902, p. 336-341
    • Pierre Le Verdier, Le Prieuré de Longueville, Patois, chansons populaires, la légende du sire de Bacqueville, Caen, Delesque, 1893
    • Pierre Le Verdier, « Notice sur le château de Longueville », in Bulletin de la Commission des Antiquités de la Seine-Inférieure, t.XII, 1900-1902, p. 343-354
    • Pierre Le Verdier, « Notice sur le dernier état et les derniers jours du Prieuré de Longueville », Revue catholique de Normandie, 1892, p. 402
    • Amédée-Louis Lechaudé d'Anisy, « Recherches sur la léproserie de Longueville », Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie, t.XVII, p. 193
    • Z. Leclerc, Notice sur Longueville, Dieppe, Delevoye, 1865, 16p.
    • Louis Le Vavasseur de Masseville, État de la Normandie, t.1, p. 205
    • Charles Monin, Dictionnaire historique de la Seine-Inférieure, p. 115
    • Noury, Documents inédits sur la mort et les funérailles de Mgr le duc de Longueville, gouverneur pour le Roi de sa province de Normandie et bailli de Rouen, au XVIIe siècle - La Normandie, 1893, p. 39
    • Osseville, Les Ruines du château de Longueville, Académie ébroïcienne, 1835, p. 97-105
    • Renault, « Recherches sur l'ancienne léproserie de Longueville », Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, t.XXVIII, p. 134 (Bulletin Monumental, t.XV, p. 24)
    • Roussel (1907), « Excursion du à Longueville, Les Grandes Ventes et Sainte-Foy », in Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques, t.XV, 1907 (1908), p. 23
    • Victor Sanson, Répertoire bibliographique, tome III : Les Communes, p. 492-1044
    • Archives départementales de Seine-Maritime, Longueville-sur-Scie, Inventaire série L, III
    • La Normandie illustrée, t.1, p. 67
    • « Nécrologie de Longueville », in Dom Bouquet, t.XXIV, p. 434

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Longueville-sur-Scie et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Longueville-sur-Scie et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Longueville-sur-Scie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 95.
    25. Michel Toussaint Chrétien Du Plessis, Description Geographique Et Historique De La Haute Normandie: Le Pais De Caux, Volume 1, p. 121-124 [lire en ligne].
    26. Jean-Luc Gazan, Historique des paroisses du canton de Longueville-sur-Scie, 1998.
    27. Aurélien Benard, « Serge Boulanger (PS) se retire du devant de la scène politique : A 67 ans, Serge Boulanger, le conseiller général socialiste et ancien maire de Longueville-sur-Scie, met un terme à sa carrière politique. Interview », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ) « Serge Boulanger, le conseiller général socialiste du canton de Longueville-sur-Scie vit ses dernières heures sur le devant de la scène politique. A 67 ans et demi, l’élu socialiste a choisi de mettre un terme à son engagement public. Il siégeait au Département depuis 2004, un mandat qu’il cumulait avec celui de maire du chef-lieu de canton de 2001 à 2014. Il y a un an, aux municipales, il a été battu dès le premier tour par une liste Divers droite conduite par Olivier Bureaux ».
    28. « Entretien avec Olivier Bureaux, maire de Longueville-sur-Scie et président de Terroir de Caux : Quinze jours après son élection au poste de président de Terroir de Caux, Olivier Bureaux répond à nos questions », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Résultats municipales 2020 à Longueville-sur-Scie », sur lemonde.fr (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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