Mainvilliers (Eure-et-Loir)

Mainvilliers est une commune française située dans la banlieue ouest de Chartres, dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Sixième ville du département par sa population, ses habitants sont appelés les Mainvillois et Mainvilloises.

Pour les articles homonymes, voir Mainvilliers.

Mainvilliers

« La Folie », hôtel de ville construit en 1902 sous le mandat de Pierre Chenais.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Michèle Bonthoux (PS)
2022-2026
Code postal 28300
Code commune 28229
Démographie
Population
municipale
11 127 hab. (2019 )
Densité 933 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 03″ nord, 1° 27′ 50″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 165 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chartres-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mainvilliers
Géolocalisation sur la carte : France
Mainvilliers
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Mainvilliers
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Mainvilliers
Liens
Site web ville-mainvilliers.fr

    Géographie

    Situation

    Mainvilliers est à km de Chartres, de Lucé et de Lèves, à km d'Amilly et à 6,5 km de Bailleau-l'Évêque.

    Le principal hameau de Mainvilliers est Seresville.

    Position de Mainvilliers (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Carte de la commune de Mainvilliers et des communes limitrophes

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Au nord de Seresville, Mainvilliers est traversé par le Coinon ou Couanon ou Couasnon, provenant de Bailleau-l'Évêque et rejoignant Lèves, lieu de sa confluence avec l'Eure. Il prend le nom de « vallée des Joncs » lors de son parcours sur la commune.

    Mainvilliers a bénéficié d'une station hydrologique sur le Coinon de 1969 à 1985 : le débit moyen annuel ou module, observé durant cette période de 16 ans, est de 0,022 m3/s, soit 22 litres par seconde pour une surface de bassin versant de 755 km2.

    Durant les mois de décembre, janvier et février, le débit moyen annuel du Couasnon est au plus haut avec 0,08 m3/s en février, soit 80 litres par seconde. Le débit peut être nul à la fin d'été en septembre. La hauteur maximale instantanée, relevée le , est de 1,40 m[1]. Au moins une perte est répertoriée dans le lit du Couasnon[2].

    Réseau routier
    Entrée de Mainvilliers par la RD 939.
    • Provenant de l'ouest, Mainvilliers est traversée par la route départementale 24 (RD 24), reliant Senonches (35 km) à Chartres par Digny (25 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue du Château d'Eau, puis, après le croisement avec la rue de la Libération, prend le nom de rue de la République et rejoint Chartres au « pont de Mainvilliers ».
    • Plus au nord, la route départementale 939 (RD 939) traverse également la commune, en reliant Verneuil-sur-Avre (Eure), distant de 53 km, à Angerville (Essonne), par Brezolles (40 km) et Châteauneuf-en-Thymerais (22 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue Gambetta, avant d'être renommée rue du Faubourg Saint-Jean sur la commune de Chartres.
    Réseau ferroviaire
    Bifurcation ferroviaire de Mainvilliers.

    La gare de Chartres étant à moins de km du centre-ville de Mainvilliers, cette commune n'a pas de halte ferroviaire. Elle est néanmoins traversée par deux lignes de chemin de fer dont la bifurcation se situe au sud de la rue Pierre-de-Coubertin :

    Ces deux lignes ont contribué jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à relier par chemin de fer Rouen à Orléans.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 1, 5 et 10 du réseau de bus Filibus.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 638 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Mainvilliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[18] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones urbanisées (17,6 %), forêts (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mainvilliers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment le Coinon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[26],[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mainvilliers.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[27]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 236 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1178 sont en en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

    Toponymie

    A l’époque Gallo-Romaine, un grand nombre de villages de Beauce portent un nom qui se termine par Ville ou Villiers. Au Ve siècle, à la suite de l’arrivée de Germains en Beauce des domaines se forment. Ils continuent de s’appeler Villa ou Villieri mais prennent le nom des nouveaux occupants. Sur la commune, c’est le germain Mahin qui possède un domaine important. Le nom Mainvilliers s’est alors construit en plusieurs étapes. La ville s’appelle d’abord Mahin Villieri puis Ma-in Villiers pour finir par se nommer Mainvilliers[31].

    Histoire

    De la Révolution française à la monarchie de Juillet

    • 1791 : la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du .
    Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[32].
    • 1836 : la section cadastrale de Lucé est séparée des autres sections de Mainvilliers et érigée en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du .

    Du Second Empire à l'invasion prussienne de 1870-1871

    En 1871, le préfet d'Eure-et-Loir rapporte que Mainvilliers a été occupé presque cinq mois par les Prussiens, du , date à laquelle le château a été bombardé, au [33].

    XXe siècle

    Politique et administration

    Liste des maires

    À la suite de l'annulation des élections municipales de 2020 par un arrêt du Conseil d'État du 22 octobre 2021, la commune est sous la tutelle de l'État[34]. Pour les actes de pure administration et de gestion urgente, la commune est administrée par une délégation spéciale nommée par le préfet d'Eure-et-Loir le avec pour présidente Anne-Marie Borderon[35].

    Le , les électeurs renouvellent leur confiance à Michèle Bonthoux avec 59,06 % des voix, le taux de participation étant de 36,03 %[36]. Elle retrouve son siège de maire le 28 janvier 2022.

    Politique de développement durable

    La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2013[37].

    Jumelages

    Mainvilliers est jumelée avec[38] :

    Jumelages et partenariats de Mainvilliers.
    VillePaysPériode
    Römerberg[39]Allemagnedepuis

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 7]

    En 2019, la commune comptait 11 127 habitants[Note 8], en augmentation de 7,32 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7509189081 0321 046720706736819
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8398839741 1001 1181 2301 2511 3721 491
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6051 5561 7251 6531 6902 0332 1782 4222 580
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 0686 1198 49910 0689 95610 01810 33110 19411 323
    2019 - - - - - - - -
    11 127--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les établissements d'enseignement de Mainvilliers sont au nombre de cinq[43] :

    Sports

    • CS Mainvilliers-Chartres Handball devenu le C 'Chartres Métropole Handball
    • C.S. Mainvilliers Football
    • CS Mainvilliers Basket
    • CS Mainvilliers Cyclisme
    • CS Mainvilliers-ASPTT Tennis
    • BAPAMA club de Badminton
    • CNV club nautique des Vauroux
    • LMPTTA club d'athlétisme
    • Shorinji kempo
    • École de karaté de Mainvilliers (Shotokan)
    • Dojo beauceron (judo, ju-jitsu, taïso)
    • La Pétanque Sportive
    • RAVENS club de football américain
    • ASCM Amicale Sportive des cheminots de Mainvilliers
    • ACCM Amicale des cheminots corpo de Mainvilliers
    • La Palme Eurélienne
    • Majo-Twirling Mainvillois club de majorettes

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête annuelle de la ville rend hommage à saint Hilaire, protecteur de l'église de Mainvilliers. En 2019, elle se déroule pendant trois jours en fin de semaine, courant juin[45].

    Cadre de vie

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[46].

    Économie

    La Cueillette de Seresville.
    • Entre Mainvilliers et Seresville se trouve La Cueillette de Seresville, ferme de 20 ha proposant aux euréliens de faire eux-mêmes la cueillette de leurs fruits et légumes[47].
    • L’usine de valorisation des déchets Orisane, du groupe Novergie Suez traite la production de 301 000 habitants de la communauté d’agglomération, ainsi que celles du Somel et de Sirtom du Pays Chartrain[48].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Hilaire

    L'église Saint-Hilaire.
    L'église Saint-Hilaire possède quatre vitraux classées monuments historiques[49].

    Autres lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de gueules à l’épée d’argent garnie d’or, aux deux clefs à l’anneau en losange, l’une du même et l’autre aussi d’argent, passées en sautoir brochant sur le tout.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - Le Coinon à Mainvilliers (H9033310) » (consulté le ).
    2. « Perte du Couasnon », sur openstreetmap.org le site d'OpenStreetMap, (consulté le ).
    3. "Chartres-Orléans Réouverture au trafic voyageurs, Le calendrier", Réseau ferré de France.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Mainvilliers et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    18. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    24. « Les risques près de chez moi - commune de Mainvilliers », sur Géorisques (consulté le )
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    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mainvilliers », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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    31. « Découvrir la commune - Mainvilliers - Site officiel de la commune », sur www.ville-mainvilliers.fr (consulté le ).
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    33. A. Le Guay, « Aperçu général sur l'invasion prussienne dans le département d'Eure-et-Loir ; rapport du préfet », Rapports et délibérations / Département d'Eure-et-Loir, Conseil général, , p. 296 (ISSN 1262-6155, lire en ligne).
    34. Sébastien Couratin, « Les élections municipales de 2020 à Mainvilliers annulées par le Conseil d’État », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
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    36. Ville de Mainvilliers, « Élections municipales partielles 2nd tour : résultats à Mainvilliers », sur http://www.ville-mainvilliers.fr, (consulté le ).
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    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    43. Ministère de l’Éducation Nationale, « Annuaire », sur https://www.education.gouv.fr (consulté le ).
    44. « EREA François Truffaut », sur EREA François Truffaut (consulté le ).
    45. « Trois jours de fête à Mainvilliers pour la Saint-Hilaire, dès vendredi », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    46. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    47. « Bienvenue à la cueillette de Seresville, cueillette Chapeau de Paille », sur http://www.cueillettedeseresville.fr/ (consulté le ).
    48. Carte d'identité d’Orisane sur le site du Syndicat national du traitement et de la Valorisation des Déchets Urbains et assimilés, consulté le 6 janvier 2016.
    49. « 4 verrières figurées : motifs décoratifs, saint Jacques, sainte Barbe, Vierge, Adoration des bergers, sainte Marguerite (baies 7, 9, 11, 12) », notice no PM28000726, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. Beauhaire, Chronologie des évêques, curés, des vicaires....
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