Malo-Renault
Malo-Renault, pseudonyme d’Émile Auguste Renault, né à Saint-Malo le et mort au Havre le est un dessinateur, pastelliste, graveur et illustrateur français.
Ne doit pas être confondu avec Jean Malo-Renault ou Nori Malo-Renault.
collection particulière.
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Émile Auguste Renault |
Pseudonyme |
Malo-Renault |
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Illustration du Serpent noir de Paul Adam et du Jardin de Bérénice de Maurice Barrès |
Biographie
Malo-Renault dessine beaucoup dès l'enfance, au trait ou à la plume. Auguste Lemoine (1848-1909)[2], professeur de dessin au collège de Saint-Malo de 1883 à 1903, lui donne le goût du dessin d'après nature et celui de la couleur. Sous la direction de son professeur de dessin, il fait des essais de gravure à l'eau-forte.
Bachelier ès lettres, Malo-Renault part étudier l'architecture à Paris. il est élève de Stéphane Pannemaker[3] à l'École des arts décoratifs de Paris.
Ce n'est qu'à partir de son mariage en 1897 avec Honorine Tian (1871-1953), dite Nori Malo-Renault, élève de l’aquafortiste Géry-Bichard, que Malo-Renault commence sa carrière de graveur avec l'appui de son épouse pour la mise au point de tirages en couleur[4], en particulier dans le Serpent Noir de Paul Adam.
Il participe de 1903 à 1928 à de nombreuses expositions au Salon de la Société nationale des beaux-arts[5], dont il est sociétaire à partir de 1910. Il a adopté le style Art nouveau avec une influence japonisante[6]. Il enseigne le dessin à l'École ABC de Paris en tant qu'artiste[7]
Œuvre
Malo-Renault trouve son inspiration de sa terre natale, Saint-Malo et la Bretagne : les paysages et les Bretons sont les premiers sujets de ses pastels et ses estampes en couleur.
Il se spécialise dans la gravure en couleur[8], d'abord à l'eau-forte, au vernis mou, puis à la pointe sèche. En 1912, il aborde la gravure sur bois sur le conseil de Stéphane Pannemaker, mais c’est surtout par la suite qu’il adopte le procédé du bois au canif[9] pour l'illustration de La Rapsode foraine et Le Pardon de Sainte-Anne (1920)[10] d'après ce poème de Tristan Corbière.
- Le Pardon de Sainte-Anne (1920), matrices gravées sur de bois de fil, Bibliothèque de Rennes Métropole.
- Illustration de la couverture.
À l’occasion de la sortie en 1922 du Jardin de Bérénice de Maurice Barrès, il grave sur bois l'estampe du menu pour les Cent bibliophiles, en utilisant quatre planches pour les quatre couleurs.
- Matrices pour chacune des quatre couleurs, gravure sur bois de fil.
- Épreuve en couleur.
Une deuxième partie de son œuvre traduit la grâce féminine, la mutinerie et la naïveté des enfants. Il est influencé par l’œuvre d'Henri de Toulouse-Lautrec[11] et l'art japonais qui se traduisent par la sobriété. La richesse des tons et la composition décorative est celle d'un coloriste[12], particulièrement en valeur dans les pointes-sèches en couleur qui illustrent Le Jardin de Bérénice de Maurice Barrès
Pastels
- Quimper, la marchande de prunes, Rennes, musée de Bretagne.
- Terre-neuvas à quai à Saint-Servan, Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.
- Bateaux de pêche belges réfugiés à Saint-Servan, 1916, Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.
- Marché breton, Finistère, collection particulière.
Estampes
- Mode de Paris : Mars, Avril, Mai, 1912.
- Mode de Paris : Juin, Juillet, Août, 1912.
- Mode de Paris : Septembre, Octobre, Novembre, 1912.
- Mode de Paris : Décembre, 1912, Janvier, Février, 1913.
Ouvrages littéraires
- Jules Renard, Ragotte, eaux-fortes en noir et blanc imprimées en taille-douce par Geny Gros, 28 × 19 cm, Paris, Librairie de la Collection des Dix, A. Ramagnol éd., 1909, 117 p.[13]
- Jules Renard, Malo-Renault, Ragotte a dit, suite de 7 pointes-sèches en couleur, tiré à part pour une exposition et album gd in-folio cartonnage à lacets, Paris, Flory.
- Malo-Renault, Quelques-unes, album, suite gravée en couleur de 15 croquis de Parisiennes, préface de Roger Marx, 41 × 29 cm, 1909.
- Paul Adam, Le Serpent noir, plus de 80 eaux-fortes et pointes-sèches en couleur, pour Les Cent Bibliophiles[14], 29 × 21 cm, 1913, 335 p.[15]
- Tristan Corbière, La Rapsode foraine et Le pardon de Sainte-Anne, 12 bois rehaussés de couleurs, 32 × 26 cm, Flory, 1920, 22 p.[16]
- Auguste Brizeux, La Chanson de Loïc, avec des bois de Malo-Renault, Paris, Kemper, 1920[17].
- Jean de la Croix, Canciones, Traduction René-Locis Doyon, bois gravés de Malo-Renault, La Connaissance, 1920.
- Joris-Karl Huysmans (1848-1907), En route, monographie imprimée, illustrations de Malo Renault, Paris, La Connaissance, 1921[18].
- Maurice Barrès, Le Jardin de Bérénice, 30 pointes-sèches en couleur, 28 × 20 cm, Les Cent Bibliophiles, 1922, 170 p.[19]
- Malo-Renault, Raquettes, texte et gravures, 6 pointes-sèches en couleur, 39 × 28 cm, L'Estampe nouvelle, tirage de 45 exemplaires signés, 1923.
- François-René de Chateaubriand, René, 6 pointes-sèches en couleur et bandeaux, 28 × 19 cm, gravures imprimées par Porcabeuf, Paris, Dorbon, 1925, 101 p.[20]
- Paul Féval, Contes de Bretagne, préface de Charles Le Goffic, Les Arts et le Livre, Henri Jonquières et Cie, éditeurs, 1928, 156 p.[21]
- Jules Barbey d'Aurevilly, Le Dessous de cartes d'une partie de whist (Wikisource) (cacographié Le Dessous des [sic] cartes d'une partie de whist pour la présente édition), La Connaissance, 1929, 60 p.[22]
- Émile Souvestre, Les mille et une nuits de la Bretagne (Le foyer breton) , illustrations de Malo-Renault, 1929[23].
- Honoré de Balzac, Ursule Mirouët, Paris, collection « L'Adolescence catholique », 1928[24].
- Jean des Cognets, D'un vieux Monde (1918) et monographie imprimée, Saint-Brieuc, O.L. Aubert, dessins de Malo-Renault, 1932[25].
- Le Serpent Noir de Paul Adam, 1913.
- Le Jardin de Bérénice de Maurice Barrès, 1922.
- Le Dessous des [sic] cartes d'une partie de whist de Jules Barbey d'Aurevilly, 1927.
Ouvrages pour la jeunesse
- Le Roi des Corsaires, texte et dessins par Malo-Renault (14 gravures), Paris, Larousse, Collection « Les livres roses pour la jeunesse », no 261, 1919, 32 p.
- Charles Perrault, Peau d'âne, La Belle au bois dormant[26], dessins de Malo-Renault, Larousse, 1923.
- Chansons de France, musique recueillie et harmonisée par Adolphe Gauwin, Paris, Hachette, 1923, 1925, 1926, 1928, 1931, Hachette Jeunesse, 1993[27].
France
- Paris :
- département des arts graphiques du musée du Louvre[28] :
- Vue de Quimperlé ;
- Saint-Malo ;
- Villeneuve-lès-Avignon, 1925 ;
- Vue du Mont Saint-Michel ;
- Petite Baigneuse ;
- Sur le Sable, 39 × 26 cm
- Le Château de Combourg ;
- département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France[29] :
- La Fourrure blanche, vers 1907, pointe-sèche en couleur ;
- Famille de Bigoudens, vers 1907, eau-forte en couleur ;
- Le Cochon, illustration pour Le Rire du ;
- 19e Dîner du Moulin à Sel…, 1907, eau-forte ;
- Sirène de Paris, 1908, eau-forte ;
- frontispice pour l'annuaire 1897-1908 de L'Estampe nouvelle, eau-forte et pointe-sèche ;
- La Petite fille aux poupées, 1911-1913, pointe-sèche en couleur ;
- Un trottin, pointe-sèche en couleur ;
- Le Thé chez Rumpelmayer, 1912, pointe-sèche en couleur ;
- Ex-libris André Barrier, vers 1912, pointe-sèche ;
- Tête de Bretonne, 1912, projet d'ex-libris, bois ;
- La Lecture, vers 1912, pointe-sèche en couleur ;
- L'Oreiller, 1912-1913, pointe-sèche en couleur ;
- 12 pointe-sèche pour Modes de Paris, 1912-1913 ;
- Mlle Jacqueline R., 1913, pointe-sèche en couleur ;
- Dîner des Amis de l'eau-forte, 1913, pointe-sèche ;
- Cinq heures rue de la Paix, 1913, pointe-sèche en couleur ;
- Menu pour la Société des Cent Bibliophiles, eau-forte en couleur (1913). La Bretagne offrant le Serpent noir à cette Société.
- Sur le sable, vers 1913, eau-forte en couleur ;
- Soins maternels, vers 1913-1914, pointe-sèche en couleur ;
- Vue de Quimperlé, 1913-1919, eau-forte en couleur ;
- La Rose jaune, 1914, pointe-sèche en couleur ;
- Venezia delle Guerra, vers 1917, bois en couleur ;
- La Douloureuse Passion de N.S. Jésus-Christ, par A.C. Emme, 1921, cinq planches ;
- La Queste nocturne ; L'Âme consumée ; Divin dialogue, trois illustrations pour Saint Jean de la Croix. Les Canciones, 1920, bois ;
- En route de Joris-Karl Huysmans, 1921, deux illustration, bois ;
- Après le Match, 1921, pointe-sèche en couleur ;
- La Vierge de la mer, vers 1921, bois ;
- Chansons de France choisies et accompagnées d'images par Malo-Renault, 1923 ;
- Villeneuve-les-Avignon, 1925, eau-forte en couleur ;
- Sonnets pour Hélène, de Ronsard, 1925, pointe-sèches en couleur ;
- Menu pour la Société des Amis des Livres, , pointe-sèche en couleur ;
- La Tasse de thé, 1926, pointe-sèche en couleur ;
- Vue du Mont-Saint-Michel, vers 1926, pointe-sèche en couleur ;
- Le Château de Combourg, vers 1930 ;
- Deux Pommes (cabaret breton), pointe-sèche en couleur ;
- Illustration pour le Bulletin de l’œuvre de Sainte Clotilde, vers 1930.
- département des arts graphiques du musée du Louvre[28] :
- Pont-Aven, musée de Pont-Aven[30] :
- Coup de vent, ou Gardeuse d’oies, estampe en couleur ;
- Fouesnant la petite chatte, estampe en couleur ;
- Les Deux Pommes ou L'Auberge, estampe en couleur ;
- La Famille de Bigouden tirant un cochon, estampe en couleur.
- Quimper, musée départemental breton[31] :
- Menu pour les Cent Bibliophiles, 1913 eau-forte en couleur, (pour l'édition du Serpent noir);
- Jeune sonneur, ex-libris pour Charles Le Goffic, eau-forte, 10 × 7,5 cm ;
- illustration publicitaire pour Le Fureteur Breton[32], bois ou linoléum, 22,6 × 40,5 cm ;
- Dans la cour de la ferme, 1902, pointe-sèche en couleur, 18 × 9 cm, Ed. Sagot ;
- Les petits dormeurs, eau-forte originale en couleurs , 27 x1 9 cm ;
- La Rapsode foraine et le Pardon de Sainte-Anne[33]
- Le Serpent noir[34], Paul Adam, Paris, 1913, édition pour les Cent Bibliophiles, eau-forte et pointe sèche en couleur ;
- Veille Bretonne en cape appuyée sur un long bâton La Cozvarc'h, 1923, pastel, 32,6 × 24 cm ;
- Bretonne portant coiffe, corsage noir, tablier bleu, pastel et crayon, 47 × 30 cm.
- Rennes, musée de Bretagne[35] :
- La Petite chatte ;
- La Fouesnantaise et son chat ;
- Breton au cochon ;
- Les Marchande de douceurs ;
- Pour le fureteur breton ;
- Christ en majesté ;
- Bigoudène au cochon ;
- Petite fille lisant ;
- Petite fille jouant à la poupée ;
- Le Mont Saint-Michel ;
- Saint-Malo ;
- Rue de Quimper ;
- Scène de marché ;
- Jeune fille au chat ;
- Quimper marchande de prunes ;
- La Procession ;
- Cancalaises ;
- Famille de bigoudens au cochon ;
- La Famille au cochon ;
- Le Coup de vent ;
- Vue de Quimperlé[36],[37],[38],[39] ;
- Bateaux et phare du jardin ;
- Mont-Dol ;
- Saint-Servan café de la marine ;
- Saint-Malo baraque de la grève de Chasles ;
- Matignon le Bois Bras ;
- La Chênaie ;
- Le Guildo ;
- La Vieille femme à l'écuelle ;
- Portrait de Charles Le Goffic ;
- Les Cancalaises ;
- Les Commères ;
- Exposition des artistes bretons, dessin préparatoire ;
- Exposition des artistes bretons, affiche ;
- Petits dormeurs ;
- Élégante buvant son thé ;
- Carte de vœux ;
- 4e Dîner du Fureteur breton ;
- La Rapsode foraine et le Pardon de Saint-Anne[10].
- Saint-Malo, musée d'Histoire de la Ville et du Pays Malouin :
- La Plage de l'éventail, 1914, dessin ;
- La Plage de Bonsecours, 1914, dessin ;
- Barques de pêche de Polankenberghe, Saint-Servan, 1915, dessin ;
- Bateaux de pêche belges réfugiés à Saint-Servan, 1916, dessin ;
- Terre-neuvas Saint-Servan, 1916, dessin ;
- Grand Panorama de Saint-Malo, estampe en couleur ;
- Petit panorama de Saint-Malo, estampe en couleur ;
- La Grand'Porte et le bassin à Flot, estampe en couleur ;
- Le Château de Combourg, pointe sèche en couleur ;
- La Tombe de Châteaubriant, eau forte en couleur ;
- Le Mont Saint-Michel, eau-forte couleur, épreuve avant toute remarque et tout tirage ;
- Soirée de gala au casino de Saint-Malo pour l'inauguration du Monument à Jacques Cartier, 1905, affiche, tirage avant la lettre ;
- Soirée de gala au casino de Saint-Malo pour l'inauguration du Monument à Jacques Cartier, pastel préparatoire pour l'affiche ;
- Grandes Régates de Saint-Malo. Saint Servan, , affiche ;
- Grandes Régates de Saint-Malo. Saint Servan, , aquarelle préparatoire pour l'affiche ;
- Les Cancalaises, estampe en couleur.
Royaume-Uni
- Londres, British Museum :
- A little girl lying in bed, holding four dolls in her arms, pointe sèche en couleur[40].
- Two women sitting on chairs, facing opposite directions, pointe sèche en couleur[41].
Suisse
Publications
- « Le Miracle de saint Suliac », légende en vers, dite par Jules Truffier, frontispice de l'auteur, Paris : Stock, 1897[45].
- « Un artiste breton Daniel Mordant », Le Fureteur Breton, avril-, deuxième année, no 10, p. 167-168[46].
- « Le peintre Auguste Lemoine », Annales de Société d'histoire et d'archéologique de l'arrondissement de Saint-Malo, 1910, p. 259-270[47].
- « Charles Le Goffic ». Le Nouvelliste de Bretagne, .
- « Le Monotype», Art et décoration, , p. 49-56, 8 gravures[48].
- « Henri Rivière », Art et décoration, , p. 43-51, 10 gravures.
- « Les merveilles du livre italien », A.B.C magazine de l'art, , p. 177-181.
- « Sergent-Marceau et Emira Marceau graveurs », L'Amateur d' estampes, [49].
- « La technique d'Henri de Toulouse-Lautrec, graveur », L'Amateur d'estampes, 6e année, no 3, , p. 83-87[50].
- « La gravure sur bois : gravure au canif, gravure au burin, gravure en camaïeu, gravure en couleur », Le Dessin, revue d'art, d'éducation et d'enseignement, , p. 369-372 ; et , p. 429-432.
- « La gravure en taille-douce. Le pointillé, la manière noire ou mezzotint, la pointe sèche », Le Dessin, , no 12, p. 744-749.
- « La gravure en taille-douce (suite). L'eau forte, l'aquatinte et le vernis mou) », Le Dessin, , p. 46-52.
Notes et références
- « ark:/36937/s005b03ffd4ceb01 », sous le nom RENAULT Malo (consulté le )
- Malo-Renault, « Le Peintre Auguste Lemoine », Annales de Société d'histoire et d'archéologique de l'arrondissement de Saint-Malo, , p. 259-270 (lire en ligne).
- « Stéphane Pannemaker », sur https://data.bnf.fr/
- Le Serpent Noir de Paul Adam, Français : Ouvrage de Paul Adam, illustré par Malo-Renault (eau-forte et pointe sèche), mise au point des tirages (en couleur) par Madame Nori Malo-Renault., (lire en ligne)
- « Renault Émile Auguste dit Malo-Renault », sur CTHS.
- « Société historique du 6e arrondissement de Paris : membre 1925-1938, sur cths », sur Société historique du 6e arrondissement de Paris : membre 1925-1938, sur cths.
- Émile Dacier, « Malo-Renault », in La Gerbe II, 1927.
- Émile Sedeyne, Malo-Renault, Graveur en couleurs, Byblis,, , pp. 106-109..
- « Bois gravés de fils, pour le pardon de Sainte Anne de Tristan Corbière. (1920) », sur https://commons..wikiedia.org, .
- « Poème de Tristan Corbière : La rapsode Foraine et le Pardon de St Anne. Illustration Malo-Renault : bois gravés ».
- Clément-Janin,, « « Graveurs Contemporains>> <<Malo Renault » », Revue de l’art ancien et moderne, , p 166 (p. 163-168). (lire en ligne)
- Clément-Janin, « Graveurs contemporains, Malo-Renault. », Revue de l’art ancien et moderne, , pp. 163-168 (lire en ligne).
- « Jules Renard, Ragotte, Illustration de Malo-Renault », sur https://gallica.bnf.fr.
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- Auguste Brizeux, La Chanson de Loïc. Avec des bois de Malo-Renault / Auguste Brizeux, (lire en ligne).
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- Paul Féval, Contes de Bretagne / Paul Féval ; préface de Charles Le Goffic ; illustrations de Malo Renault, (lire en ligne).
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- « Ursule Mirouet / H. de Balzac ; étude et commentaires de l'abbé Bethléem ; illustrations de Malo Renault », sur https://gallica.bnf.fr/.
- « D'un vieux Monde (1932), Dessins de Malo-Renault, Gallica.Bnf », sur https://gallica.bnf.f.
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- Malo-Renault (1870-1938): Illustration _ Gauwin, Adolphe (1865-1934): musique., « Chansons de France, reproduction en fac-similé de l'éditions 1922. », sur https://catalogue.bnf.fr, Fac-similé, (consulté le ).
- Liste des plaques de cuivres par Émile Auguste MALO-RENAULT, Français : Collections Département des Art Graphiques du Louvre de Paris, début du xxe siècle (lire en ligne).
- BnF, « Liste des œuvres en 1995 de Malo-Renault de la collection à la BnF »,
- Catherinne Puget, L'estampe en Bretagne, 1880-1960, musée de Pont-Aven, 2006, [catalogue d'exposition].Catalogue général de la BnF.
- « Musée départemental breton, recherche sur le site », sur http://musee-breton.finistere.fr/,
- « Le Fureteur Breton » (ill. Malo-Renault (1870-1938) une gravure sur bois), Bulletin documentaire illustré, , page 1 (lire en ligne)
- « La rapsode foraine ou le pardon de Sainte-Anne, Tristan Corbière, ill. Malo-Renault », sur http://musee-breton.finistere.fr (consulté le )
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- « Site Musée de Bretagne, collection Émile Malo-Renault », sur http://www.collections.musee-bretagne.fr.
- « Vue de Quimperlé, eau-forte tirée en brin », sur www.collections.musee-bretagne.fr (consulté le )
- « Vue de Quimperlé, eau-forte en couleur », sur www.collections.musee-bretagne.fr (consulté le )
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- « Vue de Quimperlé », sur www.collections.musee-bretagne.fr (consulté le ).
- (en) Malo-Renault, « A little girl lying in bed, holding four dolls in her arms Drypoint printed in colour », sur Britishmuseum.org (consulté le ).
- (en) Malo-Renault, « , facing opposite directions; the woman on the left holds an umbrella ; a dog sits on the right Drypoint printed in colour, mainly shades of yellow and green », sur britishmuseum.org/collection.
- « Un trottin » sur collections.geneve.ch.
- « Cinq Heures Rue de la Paix » sur collections.geneve.ch.
- « Chez le pâtissier » sur collections.geneve.ch.
- Émile Malo-Renault, « : Le Miracle de Saint-Suliac, légende en vers » [Notice], sur https://catalogue.bnf.fr, paris : stock, (1897) (consulté le ).
- « Daniel Mordant », sur Bnf, (1853-1914) (consulté le ).
- « Article sur le peintre Auguste Lemoine, Annales de la Société historique et archéologique de Saint-Malo (1910) ».
- « Le Monotype» dans. Art et décoration, février 1920, p. 49-56, Gallica.BnF ».
- « Sergent-Marceau et Emira Marceau graveur, source Gallica.BnF ».
- « La technique de Toulouse-Lautrec graveur dans L'amateur d'estampes (1927) ».
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Noël Clément-Janin, « Graveurs contemporains. Malo Renault », dans Revue de l’art ancien et moderne, , p. 163-168.
- Paul-Joseph Angoulevent, Musée national du Louvre. La chalcographie du Louvre. Histoire et description, les collections, Paris, Musées nationaux, 1926, no 16, 163 p., ill. pp. 48 et 144. no 6653, ill. Vue de Quimperlé (voir en ligne).Malo-Renault a exécuté pour la Chalcographie du musée du Louvre des estampes en couleur des vues de Quimperlé, Saint-Malo, Villeneuve-lès-Avignon, du Mont-Saint-Michel et Le Château de Combourg.
- Louis Boivin, « Un artiste malouin », Le Salut, Saint-Malo, .
- Gustave Bord, « Malo-Renault », Le Salut, Saint-Malo, .
- André Dézarrois, « Malo-Renault, graveur malouin », dans Le Salut, .
- Bormans, « Malo-Renault », Journal des Débats, .
- Bormans, « Réflexions d’un bibliophile en l’honneur d'Eugène Rodriges (1953-1928) » Citation de l’illustration du Serpent noir de Paul Adam, par Malo-Renault.
- Noël Clément-Janin, « Causerie bibliophilique », Nouvelles littéraires, . Le Jardin de Bérénice, illustration.
- Émile Dacier, « Malo-Renault », La Gerbe II, Paris, Éditions Atelier A.B.C. In 4°, 32 p., 1927, fig. pp. 21–24.
- Émile Dacier, « Malo-Renault », La Bretagne touristique, no 62, , pp. 275-277.
- Émile Dacier, La gravure française, Paris, Larousse, In 16, 184 p., 48 pl., 1944, pp. 140 et 170.
- Raymond Hesse, Le livre d’art du XIXe siècle à nos jours, Paris, la Renaissance du livre, In 16, 228 p., 20 pl., 1927 p. 107 et pl. p. 100. — Illustration pour Jules Renard, Ragotte. Dessin de Malo-Renault, gravé à l’eau-forte par Nori Malo-Renault, éditeur A. Romagnol.
- Roger Marx, Un album de M MALO-RENAULT, Gazette des Beaux-Arts , article sur l'album Quelques Unes , p. 228–230.
- Henri Nicolle, « La reliure moderne », Les Arts français, revue mensuelle, 3e année, [vers 1920], no 36, p. 189-201 ; p. 201. Malo-Renault : cuir modelé et pailleté d’argent [lamé] pour Le Serpent noir de Paul Adam, illustré par le même ; p.196 [Mme Malo-Renault, gardes brodées].
- Anne-Louise Olivier, Émile Auguste Marie Renault, dit Malo-Renault (1870-1938) , mémoire de master 2, master art, université de Rennes 2-Haute Bretagne, département histoire de l'art et archéologie, 2009.
- Jos Pennec, « Émile Malo-Renault, graveur et illustrateur (1870-1938) », Bulletin et Mémoires de la Société Archéologique et Histoire d'Ille-et-Vilaine, (2004 [PDF] en ligne).
- Léon Rosenthal, « La Rapsode foraine et le pardon de Sainte-Anne », Art et décoration, Floury, , pp. 6-7. — Poème de Tristan Corbière. Bois de Malo Renault.
- Léon Rosenthal, « Notes d’art », La France libre, 15-. — Illustration du Jardin de Bérénice de Maurice Barrès, pour la Société des Cent Bibliophiles.
- Émile Sedeyne, « Malo-Renault, Graveur en couleurs », Byblis : miroir des arts du livre et de l'estampe, automne 1926, pp. 106-109.
- Guy Tournier, Répertoire d'artistes bretons, tome III, manuscrit photocopié, documentation du musée des beaux-arts de Rennes], années 1960-1970, pp. 10, 20, 20b, 21
- L'Estampe nouvelle : Annuaire 1897–1908, Paris, Impr. Frazier-Soye, In 8°, 1908, pp. 14 et 16. — Eau-forte en couleur.
- Le Fureteur Breton, 6° année, no 32, –, p. 78 : Ex-libris bretons, ex-libris de Charles Le Goffic, par Malo-Renault.
- Malo-Renault, « Panorama de Saint Malo », A.B.C. magazine de l’art, 2e année, no 17, , p. 134. — Reproduction de la pointe-sèche en couleur commandée par L’État.
- Philippe Le Stum, La Gravure sur Bois en Bretagne, 1850-2000, Spézet, Coop Breizh, 2018, 319 p., p. 130-131 (ISBN 9782843468216).
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- AGORHA
- Musée d'Orsay
- (de + en) Artists of the World Online
- (en) Bénézit
- (en) British Museum
- Ressource relative à la recherche :
- « Société historique du 6e arrondissement de Paris : membre 1925-1938 », sur cths.fr.
- Site dédié à Émile Malo-Renault (1870-1938) et Nori Malo-Renault, sur www.malo-renault.fr.
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